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Mine de rien l'idée de publier plusieurs fois par jour des photos de l'espace sur Twitter  (cf thom_astro) je crois est franchement bien vu. Je ne suis pas sur que ça ait un coût énorme par contre y a des tas de gens qui ne s'intéressent pas à la conquête spatiale et encore moins à l'ISS qui en perçoivent du coup un intérêt - restreint certes. C'est pas mal comme principe de démocratisation. Et si ça motive qqcentaines d'élèves pour pousser plus loin leurs études ça sera ça de pris.

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  • 2 months later...
  • 1 month later...

Voir l’ISS ? C’est possible, c’est même facile !

Bien sûr, les quelques conseils qui suivent ne s’adressent pas aux « moustachus » qui rodent sur ce forum et qui, eux, savant déjà tout sur tout, mais plus modestement à tous ceux qui, distraits, inattentifs, ou que sais-je encore… n’auraient pas bien suivi les explications quand elles furent données.

Voir l’ISS depuis le sol est facile. Il suffit de la conjonction de :

  • La nuit
  • Que l’ISS passe pas trop loin de chez vous (disons dans un rayon de 1.500 km autour de chez vous)
  • Que l’ISS soit encore éclairée par le soleil quand elle passe.

La dernière de ces conditions est la plus contraignante mais pas impossible car, l’ISS étant à quelques 400 km au-dessus du sol, elle reste encore longtemps éclairée par l’astre même quand c’est déjà l’obscurité chez nous en bas. Les opportunités se situeront donc le soir ou le matin. Quant à la condition 2), on se rappellera que l’ISS faisant un tour de la Terre toutes les 90 minutes environ, donc, si vous manquez votre chance de la voir, la suivante se présentera dans une heure et demi. Dernier rappel, l’ISS vole de l’ouest vers l’est pour un observateur au sol.

Pour savoir où est l’ISS à chaque instant (la partie en rouge de la trajectoire indique les portions de celle-ci ou l’ISS est éclairée par le soleil, donc visible du sol, ce sont celles qui nous intéressent) :

http://iss.astroviewer.net/

Pour savoir quand et où sera l’ISS, voir ce site de la NASA (en anglais malheureusement, tout le monde n’ayant pas encore la-bas le privilège de savoir lire et écrire le français) :

  • Entrer le nom de votre ville (ou d’une grande ville proche exemple Toulouse pour tout le sud-ouest)
  • Entrer à nouveau le nom de votre pays et de votre ville (oui, je sais, ce site est effectivement encore perfectible…)

On vous donne alors tous les prochains passages visibles avec l’heure de début, la longueur de la fenêtre le point d’arrivée sur l’horizon et le point de disparition, la hauteur au plus haut au-dessus de votre tête, etc…)

https://spotthestation.nasa.gov/sightings/index.cfm

Exemple : ce soir 1er juin, à Paris pendant 4 minutes à partir de 23h00 depuis le nord-ouest vers l'est à +45deg au plus haut.

 

Que chercher ? L’ISS apparait comme une étoile, l’étoile la plus brillante du ciel en fait et de loin (plus que Venus), visible meme depuis l'interieur d'une ville, non scintillante, rapide (comme un avion) puisqu’elle traverse tout l’horizon en 4 à 6 minutes maximum. L’ISS est un feu fixe blanc, à la différence des avions qui ont des feux clignotants et de couleur, car l’éclat de l’ISS est la conséquence de la réflexion des rayons du soleil sur ses surfaces et sur ses panneaux solaires.

Penser aussi à bien lever la tête ! L’ISS est à 400 km d’altitude. Donc si on l’annonce passant au-dessus d’Orleans, un parisien la verra quand même presque à sa verticale (Orleans-Paris : 120 km / Pairs-ISS : 400 km). De même pour un marseillais (il y en a…), même passant au-dessus d’Alger, l’ISS reste très visible (Marseille-Alger : 800 km / Alger-ISS : 400 km donc a +30deg au-dessus de l’horizon vu du Vieux-Port)

 

Bonne chasse !

Et un salut a Thomas qui redescend demain !

Modifié par chaba
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  • 6 months later...

La station spatiale internationale, super-labo des entreprises américaines
 

https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/0301053295790-la-station-spatiale-internationale-super-labo-des-entreprises-americaines-2141032.php

si accès limité

Les entreprises américaines se pressent pour faire de la recherche et développement en apesanteur. La réutilisation des capsules SpaceX ouvre de nouvelles perspectives.

Les fusées SpaceX ne transportent pas encore d'astronautes dans l'espace. Mais elles y emmènent des rongeurs, des araignées, des mouches, des vers et des plantes vertes. Le 15 décembre, quarante souris ont embarqué à bord de la capsule Dragon, envoyée par SpaceX pour ravitailler la station spatiale internationale (ISS) . Accueillies par les six astronautes qui y séjournent à temps plein, elles doivent tester le fonctionnement d'un minuscule implant diffusant un traitement contre l'atrophie musculaire - une maladie induite par l'âge mais aussi par l'apesanteur - à terme commercialisé par Novartis. La moitié d'entre elles reviendront sur terre mi-janvier, quand la capsule Dragon fera son vol retour.

C'est la troisième fois que Novartis expédie des expériences vers la station. Et ce n'est pas le seul laboratoire à le faire : son rival Merck y a testé en début d'année les effets de l'apesanteur sur son traitement anticancéreux Keytruda, tandis qu'Eli Lilly y a étudié l'an dernier le processus de dissolution d'un comprimé, plus lent donc plus facile à observer en apesanteur.

Ces dernières années, des dizaines d'entreprises ont confié des travaux de recherche à l'équipage d'astronautes, de scientifiques et d'ingénieurs qui occupe la station spatiale internationale. « Cela fait partie des missions de la station, confirme Patrick O'Neill, du Centre pour la science dans l'espace (CASIS), une entité rattachée à la NASA qui fait la liaison avec les entreprises. La moitié de l'espace américain à bord doit être consacrée à des recherches, le reste étant dédié à l'exploration. Les astronautes sont formés pour faire des expériences demandées par les entreprises ».

Propriétés particulières

La station spatiale internationale possède des propriétés difficiles à recréer sur terre : un environnement stérile, sans gravité, qui favorise l'apparition de certaines maladies, ou la quasi-disparition de certains phénomènes physiques constatés sur terre, comme la sédimentation. Les conditions extrêmes de l'espace permettent en outre de tester la résistance des produits. Un constructeur automobile aurait ainsi soumis dernièrement l'un de ses moteurs à l'expérience du vide. Parfois, il y a des surprises, comme « ce ver plat à qui on avait coupé la queue et qui a développé une deuxième tête », se souvient Patrick O'Neill.

La recherche en apesanteur, longtemps réservée à des organismes publics, s'est ouverte progressivement aux entreprises, à mesure que la NASA a délégué certaines de ses missions en orbite terrestre basse à des entreprises comme  SpaceX et Orbital ATK . Ces dernières ont pris le relais de la navette spatiale de la NASA, retirée du service en 2011. Depuis 2012, le nombre de missions de recherche menées sur la station a ainsi été multiplié par 10 pour atteindre 43 en 2017. « Le fait que les capsules SpaceX soient réutilisables - autrement dit capables de faire revenir du matériel de recherche sur terre après expérimentation - a ouvert de nouvelles possibilités, notamment pour des missions avec des organismes vivants », admet-on à la NASA.

L'apesanteur n'est pas le seul argument qui convainc les entreprises de délocaliser leur R & D à 400 kilomètres du sol. L'essentiel des coûts est en effet supporté par la NASA, qui finance le transport et les éventuelles manipulations à bord de l'ISS. « Avec les crédits d'impôts, faire des recherches dans l'espace revient même moins cher que sur terre ! », se réjouit Jonathan Slotkin, cofondateur de LaunchPad Medical, une start-up ayant placé du matériel dans la capsule Dragon. Les entreprises ne financent que les caissons dans lesquels est placé leur matériel, qui doit être homologué.

Pour la NASA, le développement de la recherche privée s'inscrit aussi dans un objectif à plus long terme de privatisation de la station, qu'elle finance à 76 %, le reste étant assuré par le Japon (13 %), les Européens (9 %) et le Canada pour le solde. En 2024, l'agence américaine aimerait réduire le financement de l'ISS , qui lui coûte entre 3 et 4 milliards de dollars par an. « In fine, notre but est de confier la station au secteur privé pour que la recherche en orbite basse puisse se poursuivre », expliquait l'ex-numéro deux de la NASA l'an dernier, alors que l'agence concentre ses ressources sur l'exploration de l'espace lointain, et notamment de la planète Mars. Toute la question est de savoir si les entreprises, y compris partenaires de la NASA, seront en mesure de prendre le relais à si brève échéance.

Des contrats à plusieurs milliards de dollars pour le privé

Depuis que la NASA a mis fin aux vols de la navette spatiale en 2011, elle s'appuie sur des entreprises privées pour les missions en orbite basse autour de la terre. Depuis cinq ans, SpaceX et Orbital ATK se chargent ainsi du ravitaillement de la station spatiale internationale, au terme d'un contrat de 3,1 milliards de dollars courant jusqu'en 2019. Un autre prendra le relais jusqu'en 2024, pour 14 milliards de dollars répartis entre trois prestataires (SpaceX, Orbital ATK, Sierra Nevada Corp).

Pour expédier ses astronautes à bord de la station, la NASA s'appuie en revanche encore sur l'agence spatiale russe et sa capsule Soyouz. Mais à partir de 2018, SpaceX et Boeing auront théoriquement la faculté d'envoyer des astronautes à bord de la Station (pour un contrat de 6,8 milliards).

Elsa Conesa

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  • 3 weeks later...
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  • 2 months later...

 

ils ont une fuite sur le soyouz, impact du à une micro météorite ou un débris

Live coverage: Space station crew investigating slow pressure leak, va falloir faire gaffe pour le retour.

https://spaceflightnow.com/2018/08/30/space-station-pressure-leak-status-center/

Citation

Après des vérifications approfondies, l’équipe de la station a retrouvé la fuite vers la capsule russe Soyouz MS-09, qui a transporté un cosmonaute russe, un astronaute européen et un mécanicien de bord de la NASA vers le complexe en orbite en juin.

À ce moment, la pression s'est stabilisée après qu'un des cosmonautes de la station ait installé du ruban adhésif sur un petit trou découvert sur le vaisseau spatial Soyouz MS-09, dont la largeur est estimée à environ 2 millimètres (0,08 pouce).

Les contrôleurs de mission en russe ont demandé aux cosmonautes Sergey  Prokopyev et Oleg Artemyev d'utiliser un dispositif d'endoscope pour enregistrer les images du trou.

Les officiels n'ont pas déterminé ce qui a causé le trou, mais cela peut avoir été créé par une collision avec un petit morceau de débris spatial ou un micrometeoroid.

L'équipage de la station et les contrôleurs au sol discutent maintenant de plusieurs options pour une prise plus permanente du trou sur le vaisseau spatial Soyouz, qui est amarré au module Rassvet de la station.

 

 

Modifié par zx
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http://www.air-cosmos.com/fuites-sur-l-iss-114493

histoire de perceuse

Citation

 

Après une baisse de pression détectée dans la nuit du 29 au 30 août, les membres de l’Expedition 56, en liaison avec les centres de contrôle de Houston et de Moscou, se sont mis en quête de fuites sur les parois de la Station spatiale internationale, grâce à un appareil à ultrasons. Ils ont, jusqu’à présent, identifié deux trous.

Le premier se situe sur le vaisseau Soyouz MS 09, amarré au module russe Rassviett de la Station depuis le 8 juin dernier. D’un diamètre d’environ 2 mm, il semble avoir été provoqué… par une perceuse au sol, avant le lancement. L’astronaute allemand Alexander Gerst a commencé à le boucher avec son doigt, avant que du Kapton (un isolant adhésif capable de résister à de grands écarts de température) soit utilisé pour une réparation temporaire.

Une fissure a également été détectée à l’extérieur du module d’amarrage, probablement liée à la première. Mais elle risque d’être compliquée à colmater depuis l’intérieur de la Station.

 

 

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il y a 11 minutes, zx a dit :

je pensai que le vaisseau était mis au moins mis en condition avec des tests de pressurisation avant de partir pour l'assemblage final sur le lanceur.

C'est effectivement le cas (bien entendu !!!). C'est pour cela qu'ils pensent que si c'est une erreur, cela avait été "camouflé" avec de la colle ou autre qui n'est pas conçu pour tenir éternellement en orbite.

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  • 3 months later...

 

1ca699a4bf9af4d89985bec5600a2776-dans-ce

Citation

Dans ce petit point blanc filmé depuis l’ISS, trois cosmonautes filent dans l’espace

Une volute de fumée, et voilà le petit point blanc qui s’échappe de l’atmosphère bleutée de notre Terre pour filer dans l’espace. C’est le spectacle prodigieux, inédit, du vaisseau Soyouz MS11, lancé le 3 décembre, filmé depuis la Station spatiale internationale (ISS).

https://www.ouest-france.fr/sciences/espace/dans-ce-petit-point-blanc-filme-depuis-l-iss-trois-cosmonautes-filent-dans-l-espace-6111295

Juste magnifique !! :wub:

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  • 3 months later...
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dommage, ca sera  pour la prochaine fois, je lui souhaite le succés, ca peut devenir intéressant.

Le robot russe Fedor a raté son amarrage à la Station spatiale internationale

VIDÉO [ACTUALISÉ] Le robot humanoïde russe Fedor a été envoyé vers la Station spatiale internationale (ISS). La navette a raté sa première tentative d'amarrage. Un second essai est prévu 

https://www.usinenouvelle.com/editorial/le-robot-russe-fedor-a-rate-son-amarrage-a-la-station-spatiale-internationale.N876380

Actualisation du lundi 26 août : Samedi 24 août, la capsule spatiale contenant le robot humanoïde Fedor n’a pas réussi à s’amarrer à la Station spatiale internationale (ISS). L’agence spatiale russe Roscosmos a évoqué un problème technique potentiel lié à un composant du système d'embarquement automatique du port d'amarrage de l’ISS.

Une deuxième tentative est programmée mardi 27 août à 5h12 (heure de Paris) à un autre module de l’ISS. Entre temps, la capsule spatiale russe orbite autour de la Station spatiale internationale à une distance de sécurité. Ses systèmes fonctionnent normalement selon la NASA.

Modifié par zx
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  • 1 month later...

un petit pas en direction des synthétiseurs de star trek

ISS : Des astronautes ont créé le premier steak imprimé en 3D dans l’espace

INVENTION Cette petite révolution concernant l’apport en nourriture hors de l’atmosphère terrestre vient d’être réalisée grâce à une collaboration internationale

https://www.20minutes.fr/sciences/2624811-20191010-iss-astronautes-cree-premier-steak-imprime-3d-espace?xtor=RSS-176

Modifié par zx
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  • 1 month later...

En voilà un qui met les pieds dans le plat :happy: !

L’ex-astronaute Patrick Baudry qualifie l’ISS de « plus grand bobard de l’histoire spatiale »

Patrick Baudry, 74 ans, a été l'un des premiers Français à partir dans l'espace en 1985 à bord de la navette spatiale. Reconverti en conférencier et animateur de stages de team building en entreprise, l'ex-astronaute et pilote d'essai, est très critique envers le maintien de l'ISS prévu au moins jusqu'en 2030.

Pourquoi considérez-vous la station spatiale internationale comme inutile ?

PATRICK BAUDRY. Mais parce que c'est le plus grand bobard de l'histoire spatiale et qu'il faut arrêter les frais. Depuis la station soviétique Mir qui a fonctionné à partir de 1986 durant quinze ans, on sait déjà tout ce qu'il faut savoir sur les effets de la microgravité sur le corps humain. Il n'y a aucun intérêt à les refaire indéfiniment.

Et les expériences au service de la science qu'on y mène ?

Jean-Loup Chrétien et moi, on faisait déjà les mêmes il y a 35 ans! J'ai suivi la mission de Thomas Pesquet en 2016, j'ai vite décroché. Je n'ai toujours pas compris ce à quoi on l'avait employé. Ce garçon est pourtant bourré de talent, c'est dommage qu'il soit si mal employé.

Qu'est-ce qui vous désole le plus ?

Les sommes colossales dépensées. Avec, on aurait pu faire tant de belles choses : établir une base lunaire sur la Lune, y travailler sur la meilleure façon de protéger l'homme des radiations pour aller sur Mars, installer sur sa face cachée un laboratoire d'astrophysique afin d'observer l'espace profond, loin de tous bruits parasites venant de la terre… Si on avait mis en chantier tout cela dès le début des années 1990, Mars, on y serait déjà !

 

Pourquoi la station spatiale est-elle prolongée encore et encore ? Pourquoi ces sommes énormes englouties à faire des tours autour de la Terre et faire semblant de faire des expériences intéressantes ?

La raison je le soupçonne c'est qu'il s'agit de la ligne de plus grande pente

- On ne veut pas se lancer dans des missions humaines qui aient un sens, parce qu'on craint les coûts et surcoûts, peut-être aussi les risques

- On ne veut pas non plus prendre la décision d'abandonner l'espace humain, qui serait impossible à cacher et rendrait trop visible le déclin - trop de gens risqueraient de demander pourquoi ce qui était possible dans les années soixante à quatre-vingt - Spoutnik, Voskhod, Apollo, Skylab, Saliout, la navette spatiale, Mir - ne le serait plus maintenant. Les Russes ont une réponse "On s'est effondré dans les années 90". Les Américains... quelle serait leur réponse, au juste ?

Du coup, prolonger la station spatiale internationale permet de faire semblant de progresser, alors qu'on ne fait en réalité que du surplace, tout en dépensant beaucoup d'argent mais... des sommes à peu près connues à l'avance, et sans grand risque.

Les Etats-Unis quant à eux ajoutent à ça des programmes assez peu convaincants pour "retourner sur la Lune" - ça fait quinze ans qu'ils se sont donnés cet objectif avec George W Bush, et ils n'ont pas encore envoyé le moindre type dans l'espace même s'ils ont dépensé moult pognon. Inefficacité, manque de conviction, un mix des deux ? En tout cas, c'est cohérent avec le reste...

 

Modifié par Alexis
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