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  • 1 month later...

https://www.lenouvelespritpublic.fr/podcasts/217 (19 juillet 2020)

Quant à votre deuxième question sur l’alternative politique, j’insiste sur le fait que les Américains et les Européens ont très peu de chances de forcer Maduro à se rendre à la table des négociations, seuls ses soutiens ont ce pouvoir : la Russie, la Chine et Cuba. Il en était de même pendant la transition en Afrique du Sud, ou pour les référendums au Chili sous Pinochet : à l’époque ce sont les Américains qui ont tapé du poing sur la table, et cela a été suivi d’effets parce que les USA étaient alliés de ces régimes. Ici, ce sont les adversaires, pourquoi Maduro les écouterait-il ? On est donc un peu dans le wishful thinking en s’imaginant que l’Europe ou les USA vont être entendus dans cette affaire.

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Le 02/08/2020 à 18:27, Wallaby a dit :

https://www.lenouvelespritpublic.fr/podcasts/217 (19 juillet 2020)

Quant à votre deuxième question sur l’alternative politique, j’insiste sur le fait que les Américains et les Européens ont très peu de chances de forcer Maduro à se rendre à la table des négociations, seuls ses soutiens ont ce pouvoir : la Russie, la Chine et Cuba. Il en était de même pendant la transition en Afrique du Sud, ou pour les référendums au Chili sous Pinochet : à l’époque ce sont les Américains qui ont tapé du poing sur la table, et cela a été suivi d’effets parce que les USA étaient alliés de ces régimes. Ici, ce sont les adversaires, pourquoi Maduro les écouterait-il ? On est donc un peu dans le wishful thinking en s’imaginant que l’Europe ou les USA vont être entendus dans cette affaire.

Je dirais même que ça ne fait que renforcer la détermination des dirigeants et lui apporter le soutien de la population.

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  • 1 month later...
il y a une heure, kalligator a dit :

Tu veux pas dire "que les USA n'achètent plus au Vénézuela" plutôt ?

Non ce n'est pas ce que je veux dire. Dailleurs ce n'est pas ce que j'ai dis comme quoi c'est pas un hasard :laugh:. Mais surtout c'est pas ce que dis l'article

Citation

State-owned oil company PDVSA produced just 336,000 bpd of crude last month, company documents showed, down from almost triple that a year earlier, as U.S. sanctions and the long-term deterioration of the industry stifled it. U.S. sanctions also significantly reduced the number of parties willing to buy Venezuelan crude and ship owners willing to provide the transport for this crude.

Yet besides the most obvious effects of the sanctions, they have also cost Venezuela its diluent supply. Lack of diluents for the superheavy crude in the Orinoco Belt was one of the main contributing factors to the slump in production, as Venezuela used to import most of its diluents from the United States

 

Modifié par nemo
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  • 4 months later...
il y a 40 minutes, Patrick a dit :

Après je ne dis pas, ça s'oberve aussi de voir des peuples crever du fait de la politique de leurs dirigeants qu'ils ont mis au pouvoir en premier lieu, le Vénézuéla en est un exemple vibrant, mais derrière faut assumer.

Attention de ne pas survoler trop vite l'histoire du Venezuela qui ne peut se résumer à un ou deux mandats de quelques années. Il faut voir l'évolution dans la longue durée, notamment sur le plan alimentaire.

Les Vénézueliens crevaient de faim sous les régimes précédant l'élection d'Hugo Chavez [1]. Et c'est le régime d'Hugo Chavez qui a résolu le problème de la faim [2] au Vénézuela :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Hugo_Chávez#Distribution_alimentaire

En 2013 la FAO félicite le Venezuela pour ses progrès « remarquables et extraordinaires » en matière de lutte contre la sous-nutrition. L'organisme onusien estime la proportion de personnes affectées par la faim réduite de 14,1 % en 1990 à 4,6 % en 2013, malgré l'accentuation du problème jusqu'en 2001. Le problème de la faim au Venezuela est ainsi considéré comme pratiquement éliminé.

[1] 

Le 14/02/2019 à 19:19, Wallaby a dit :

Pour revenir au Vénézuela, Carlos Andrés Pérez était aussi membre d'un parti affilié à l'Internationale Socialiste :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Carlos_Andrés_Pérez#Caracazo

Il annonce peu après son élection [en 1989] un plan d'austérité de ton néolibéral inspiré de ce même « consensus de Washington » : hausses généralisées de prix, libéralisation et privatisation de l'économie, gel des salaires et réduction des dépenses publiques.

Le virage néolibéral impulsé par Pérez provoque une série de protestations populaires, notamment par ceux qui, vivant dans les cités-dortoir de Caracas, devaient se déplacer quotidiennement pour travailler dans la capitale. En peu de temps, le mouvement qui commença à Guarenas s'étendit rapidement à Caracas et d'autres villes (La Guaira, Valencia, Barquisimeto, Mérida, Guayana et les Vallées du Tuy), se transformant en mouvement d'émeutes général. L'armée réprime dans le sang le Caracazo, faisant des centaines de morts. Le président Pérez refuse pourtant d'assumer toute responsabilité dans cette répression.

Le matin du 4 février 1992, le Venezuela entier fut secoué par une tentative de coup d'État commandée par le lieutenant colonel Hugo Chávez qui la justifiait par la détérioration de la situation sociale et l'augmentation de la corruption dans l'administration. Après quelques heures d'incertitude, Pérez récupéra le contrôle, rétablissant l'ordre constitutionnel. Cependant, la tentative n'améliora pas son image publique, tandis que les putschistes étaient bien accueillis par une partie de la population. Une fois la révolte battue par les forces loyales au président et ses meneurs mis en prison, Carlos Andrés Pérez s'engagea, devant l'opinion publique, à corriger certains aspects de ses mesures ; mais la dynamique engagée ne pouvait être l'objet de retours en arrière immédiats, car le processus de détérioration ne s'arrêterait pas.

En mars 1993, le procureur et inspecteur général des Comptes de la République, Ramón Escobar Salom, porta contre lui des accusations de malversations de 250 millions de bolivars.

C’est pourquoi le Congrès national a résolu de le destituer pour que se poursuive ledit processus, ce qui fut effectif le 31 août de cette même année.

Le 20 décembre 2001, un tribunal de première instance de Caracas ordonna que Pérez, alors en République dominicaine, soit retenu à son domicile de façon préventive, en relation avec les fonds publics détournés vers les comptes secrets.

[2] qui constitue avec la pauvreté les deux faces de la même pièce : 

Le 16/11/2015 à 10:42, Wallaby a dit :

http://www.nytimes.com/2015/11/08/books/review/the-reproach-of-hunger-by-david-rieff.html (6 novembre 2015)

Recension d'un livre récemment paru sur ce sujet. Pour Paul Collier, ancien expert de la Banque Mondiale, le livre qui explore trois pistes : la philanthropie technocratique, l'agro-industrie mondialisée et les politiques révolutionnaires, se trompe d'approche : « la solution au problème de la faim n'a pas grand chose à voir avec la fourniture d'aliments » car « la faim est un symptôme de la pauvreté et non un problème à combattre isolément ».

Modifié par Wallaby
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https://www.worldpoliticsreview.com/articles/29426/in-venezuela-guaido-and-the-opposition-are-clinging-to-a-failed-strategy (16 février 2021)

Aujourd'hui, la majorité parlementaire qui était à la base de la prétention du Guaido au pouvoir en tant que président de l'Assemblée nationale a expiré, avec 90 % des sièges contrôlés par les alliés de Maduro après que l'opposition ait boycotté les élections de décembre. Néanmoins, des législateurs de l'opposition, dans un contexte de dissidence interne, insistent sur le fait que Guaido reste le président légitime du Venezuela. Ils ont approuvé un parlement croupion, connu sous le nom de Commission déléguée, et ont inventé un "Conseil politique" - qui doit encore être mis en place - qui, en théorie, rajeunirait l'unité flétrissante et les promesses en déclin des forces de l'opposition.

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  • 3 weeks later...

https://www.whitehouse.gov/briefing-room/press-briefings/2021/03/08/background-press-call-by-senior-administration-officials-on-venezuela/

Donc, écoutez, je pense que la première chose que je dirais est que nous - les États-Unis ne sommes pas pressés de lever les sanctions.  Mais nous devons reconnaître que les sanctions unilatérales, au cours des quatre dernières années, n'ont pas permis d'obtenir un résultat électoral dans le pays.

Cela dit, nous allons réexaminer les sanctions pour nous assurer qu'elles sont efficaces, car l'objectif des sanctions doit être d'accroître la pression sur le régime, d'éliminer toute sorte d'accès à des capitaux corrompus pour se maintenir, et - mais aussi de ne pas pénaliser et punir inutilement le peuple vénézuélien dans le pays.

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Il y a 14 heures, Wallaby a dit :

https://www.whitehouse.gov/briefing-room/press-briefings/2021/03/08/background-press-call-by-senior-administration-officials-on-venezuela/

Donc, écoutez, je pense que la première chose que je dirais est que nous - les États-Unis ne sommes pas pressés de lever les sanctions.  Mais nous devons reconnaître que les sanctions unilatérales, au cours des quatre dernières années, n'ont pas permis d'obtenir un résultat électoral dans le pays.

Cela dit, nous allons réexaminer les sanctions pour nous assurer qu'elles sont efficaces, car l'objectif des sanctions doit être d'accroître la pression sur le régime, d'éliminer toute sorte d'accès à des capitaux corrompus pour se maintenir, et - mais aussi de ne pas pénaliser et punir inutilement le peuple vénézuélien dans le pays.

Ils sont en train de faire une clé de bras à tout le peuple vénézuélien en les forçant à faire un choix contre leur propre volonté... Vive la démocratie hein...

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Pour mémoire :

Le 22/05/2019 à 22:01, Wallaby a dit :

https://www.democracynow.org/2019/5/1/economist_jeffrey_sachs_us_sanctions_have (1er mai 2019)

AMY GOODMAN : C'est Démocratie Now ! Je suis Amy Goodman. Nos invités sont Miguel Tinker Salas, professeur vénézuélien au Pomona College en Californie ; Jeffrey Sachs, économiste principal et directeur du Center for Sustainable Development de la Columbia University, est avec nous ici à New York. Il a récemment coécrit un rapport pour le Center for Economic and Policy Research intitulé " Les sanctions économiques comme punition collective " : Le cas du Venezuela."

Tant de choses sont utilisées contre la présidence de Maduro, disant qu'il a paralysé l'économie du pays. Vous défendez une thèse différente, Jeffrey Sachs.

JEFFREY SACHS : Eh bien, ce n'est pas un statu quo économique. C'est un effondrement économique complet, une catastrophe, au Venezuela. Il y a eu une crise, c'est sûr, avant l'arrivée au pouvoir de Trump, mais l'idée de l'administration Trump, depuis le début, a été de renverser Maduro. Ce n'est pas une hypothèse. Trump a été très explicite dans ses discussions avec les présidents d'Amérique latine, où il leur a demandé : "Pourquoi les États-Unis ne devraient-ils pas simplement envahir ?" Il l'a déjà dit en 2017. L'idée de l'administration Trump était donc de renverser Maduro dès le début. Eh bien, les dirigeants latins ont dit : "Non, non, ce n'est pas une bonne idée. Nous ne voulons pas d'action militaire." Le gouvernement américain a donc essayé d'étrangler l'économie vénézuélienne.

Cela a commencé par des sanctions en 2017 qui ont essentiellement empêché le pays d'accéder aux marchés internationaux des capitaux et la compagnie pétrolière de restructurer ses prêts. Cela a mis le Venezuela dans une hyperinflation. C'était l'effondrement total. Les recettes pétrolières ont chuté. Les revenus qui sont utilisés pour acheter de la nourriture et des médicaments se sont effondrés. C'est alors que la crise sociale et humanitaire est devenue incontrôlable. Et puis, cette année, avec cette idée très naïve, très stupide, à mon avis, qu'il y aurait ce président autoproclamé, qui a été chorégraphié avec les États-Unis très, très étroitement, une autre série de sanctions encore plus sévères, confisquant essentiellement les gains et les actifs du gouvernement vénézuélien, a eu lieu.

Aujourd'hui, le Venezuela est dans une catastrophe totale et complète, dont une grande partie a été provoquée délibérément par les États-Unis, créant des souffrances massives. Nous savons qu'il y a la faim. Nous savons qu'il y a une pénurie incroyable de fournitures médicales. Nous ne pouvons qu'imaginer, parce que nous ne saurons pas vraiment, tant que la poussière ne se sera pas dissipée et que des études approfondies n'auront pas été faites, combien il y a de surmortalité, mais, dans un contexte comme celui-ci, c'est sûrement une catastrophe largement créée par les États-Unis, car, comme nous l'avons déjà dit, c'est une stratégie tout ou rien. Ce que les États-Unis - ce que Trump ne comprend tout simplement pas et ce que Bolton, bien sûr, n'accepte jamais, c'est l'idée de négociations. C'est une tentative de renversement. C'est très grossier. Ca ne marche pas. Et c'est très cruel, parce que ça punit 30 millions de personnes.

AMY GOODMAN : Comment avez-vous calculé le nombre de 40 000 morts à la suite de ces sanctions américaines paralysantes ?

JEFFREY SACHS : Laissez-moi être clair : personne ne sait. Il s'agissait d'un calcul très simple et très élémentaire fondé sur les estimations des universités du Venezuela selon lesquelles la mortalité avait augmenté d'une certaine proportion après les sanctions. Je ne veux pas qu'on pense qu'il y a de la précision dans ces chiffres. Ce qui est certain, cependant, c'est qu'il y a une catastrophe humanitaire, délibérément causée par les États-Unis, par ce que je qualifierais de sanctions illégales, parce qu'ils essaient délibérément de renverser un gouvernement et de semer le chaos dans le but de renverser un gouvernement.

AMY GOODMAN : Pourquoi ?

Pourquoi font-ils cela ? C'est la politique étrangère normale de la droite américaine, rien de différent. C'est la même politique étrangère que nous avons vue dans toute l'Amérique latine au XXe siècle. C'est la même politique étrangère que celle que nous avons connue de façon catastrophique au Moyen-Orient. Voici M. Bolton. C'est l'idée que M. Bolton se fait de la diplomatie. C'est l'idée de Trump de la diplomatie. Tu frappes quelqu'un au visage. Vous écrasez votre adversaire. Essaie de faire ce que tu peux pour obtenir ce que tu veux. C'est très simple d'esprit. C'est très grossier. Et, Amy, ça ne marche jamais. Ça mène à la catastrophe.

AMY GOODMAN : Enfin, j'aimerais poser une question à Jeffrey Sachs au sujet de la question que vous soulevez au sujet du châtiment collectif, en disant que le châtiment collectif d'une population civile, tel que décrit dans les conventions internationales de Genève et de La Haye, dont les États-Unis sont signataires, l'est de cette façon.

JEFFREY SACHS : Et, je dirais, de l'OEA aussi, qui interdit explicitement ce genre d'action hostile contre un autre pays. Des sanctions américaines sont maintenant imposées pour renverser des gouvernements partout. De même, hier, en Iran, vous avez fait une grande annonce de l'effondrement de l'économie iranienne, et le FMI l'a attribué aux sanctions américaines. C'est donc ce que l'administration Trump essaie de faire aussi vis-à-vis du Nicaragua. Trump a dit hier, un blocus total sur Cuba, s'ils ne sont pas malins. C'est de l'intimidation pure et simple. C'est totalement contraire au droit international. Cela fait des ravages. C'est déjà assez difficile de réaliser des progrès économiques, mais lorsque les États-Unis utilisent leur pouvoir politique pour briser d'autres pays, les résultats peuvent être absolument dévastateurs.

Et nous le voyons au Venezuela, c'est le coup de pied qui a poussé le Venezuela dans cette spirale catastrophique du déclin et de l'hyperinflation. C'est toujours la faute de Maduro dans notre presse, mais les gens ne regardent même pas et ne comprennent pas comment les États-Unis ont les instruments de sanctions qui bloquent l'accès aux marchés financiers, poussent les entreprises en défaut, bloquent le commerce, confisquent les actifs appartenant au gouvernement vénézuélien, précisément pour créer ce genre de crise, car l'idée, si la douleur est suffisante - selon des gens comme Bolton - il y aura alors un renversement militaire. Ils essaient donc de créer un désastre absolu.

Eh bien, ce qu'il y a de si stupide dans ces politiques américaines, ces politiques néoconservatrices, c'est qu'elles créent un désastre, mais qu'elles n'atteignent même pas les objectifs politiques de ces gens méchants comme Bolton. Ce n'est pas comme s'ils étaient efficaces et méchants ; ils sont complètement inefficaces et totalement méchants en même temps. Mais au Congrès, dans notre pays, personne ne regarde. C'est incroyable qu'il y ait ce spectacle d'un seul homme de Trump qui fait des dégâts et qui déchire le monde entier. Il n'y a pas de surveillance du tout. Et dans les institutions internationales, comme le FMI, la Banque interaméricaine de développement, les gens ont même peur de dire la vérité, que ce tyran des États-Unis, surtout avec le genre de président que nous avons en ce moment, personne ne veut dire les faits évidents sur les dommages causés, le nombre de vies perdues, la souffrance créée, le nombre de réfugiés créés, délibérément. Et puis, bien sûr, il y a le New York Times ou quelqu'un d'autre qui dit que c'est la faute de Maduro, parce qu'il ne tient même pas compte du processus évident.

AMY GOODMAN : Et vous aussi, les dirigeants démocrates, au Congrès, vous dites la même chose. Nous allons donc nous tourner maintenant vers un démocrate au Congrès. Nous tenons à remercier Jeffrey Sachs, qui est un économiste de premier plan et directeur du Center for Sustainable Development de l'Université Columbia. Nous vous renvoyons à votre rapport que vous avez publié avec le Center for Economic and Policy Research sous le titre "Les sanctions économiques comme punition collective : Le cas du Venezuela."

 

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  • 1 month later...

Petite liste du matos qui avait été retiré ou stocké depuis longtemps et qui est en cours de déploiement au Venezuela

Faute d'argent, pas trop le choix pour le pays

Du patrouilleur à la jeep en passant par des avions de transport, tout le monde y passe

Cliquez sur le lien et fait défiler :wink:

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il y a 6 minutes, collectionneur a dit :

@Banzinou Depuis mon portable, quand je vais sur Twitter, je ne voit pas la dite liste ...

- Patrouilleur GC-24 ‘Hugo Chavez’ de Classe Guaicamacuto qui n'avait pas été terminé par les espagnols en 2019

- rénovation des EE-11 Urutu

- au moins 5 Scorpion 90 rénovés

- Un nombre indéterminé de V-100 et V-150 rénovés, au moins un V-100 converti en véhicule de déminage

- 6 AMX VCI rénovés et au moins 1=un converti en véhicule de déminage

- Un nombre indéterminé d'AMX-13 en cours de rénovation

- Un nombre indéterminé de Jeep Wranglers converties en chasseur de chars avec canon de 106mm

- 2 EMB-312 en cours de rénovation pour être remis en service.

- Un G.222 en cours de rénovation également

- Modernisation également des AMX-30, AMX 155mm, remise en service d'un Mi-17v5 et d'un FV-105 Sultan et de plusieurs Tpz-1

Quelques photos

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  • 3 weeks later...
  • 1 month later...

https://www.lefigaro.fr/international/au-venezuela-le-geste-d-ouverture-de-nicolas-maduro-20210509

À la veille des municipales, deux membres de l’opposition intègrent le nouveau Conseil national électoral.

Il s’agit d’Enrique Marquez, un ancien député de Nuevo Tiempo élu en 2015, quand l’opposition avait remporté deux tiers des sièges alors que le CNE ne comprenait qu’un seul recteur de l’autre bord. L’autre personne désignée est Roberto Picon, qui a été responsable de la commission électorale au sein de la Mesa de la Unidad (MUD), la coalition de l’opposition ayant permis aux antichavistes de remporter les élections législatives de 2015.

https://www.rfi.fr/fr/amériques/20210514-à-la-une-les-méga-élections-fixées-au-21-novembre-au-venezuela

Après la mise en place d’un nouveau Conseil électoral ces derniers jours, un conseil qui a reçu l’aval d’une bonne partie de l’opposition vénézuélienne, son nouveau président Pedro Calzadilla a donc annoncé hier la tenue des élections régionales et municipales le 21 novembre, précise ce matin Ultimas Noticias, quotidien proche du pouvoir.

Les « méga élections » comme les présente ce quotidien. Un pas essentiel en vue d’un rétablissement des principes démocratiques ce qui inclut la participation de l’opposition au scrutin, ce qui n’était pas le cas lors des dernières législatives en 2020, explique El Deber.

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