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Armée française dans le sud afghan? Comment faire si les canadiens se cassent?


QuebecOne

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Reportage intéressant des nouvelles de l'armée sur les tactiques employées en Afghanistan notamment par des troupes ''non-combattantes'' lors d'un contact suite à une shoura(réunion entre chefs de villages):

Part 1 à 5

http://www.army.forces.gc.ca/lf/English/6_1_1_1.asp?id=2640

http://www.army.forces.gc.ca/lf/English/6_1_1_1.asp?id=2641

http://www.army.forces.gc.ca/lf/English/6_1_1_1.asp?id=2642

http://www.army.forces.gc.ca/lf/English/6_1_1_1.asp?id=2643

http://www.army.forces.gc.ca/lf/English/6_1_1_1.asp?id=2644

Les engagements mentionnés vu par la ''combat camera'':

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Si les infos de JDM sont bonne les troupes francaise seront déployer dans la region de Kapisa

Quelques images du coin:

Tres montagneux  des fines vallée un peu de vert le long des rivieres, et un large vallée a l'est... le classique des reportge deja diffusée sur les OMLT.

Dans google maps.

http://maps.google.fr/maps?ll=34.815131,69.75771&z=11&t=h&hl=fr

Le paysage.

http://www.panoramio.com/photo/3202955

http://www.panoramio.com/photo/5608659

http://www.panoramio.com/photo/3202128

Le lien KMZ pour google earth de Tagab dans l'est de la region.

http://www.pulsar.org/2008/0314.ssf-jbad-08/07_03_settlements.kmz


Et pour ceux qui penses que c'est moins chaud que dans le sud

http://news.bbc.co.uk/2/hi/south_asia/7429219.stm

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Suite à un article sur ASSAUT sur le LUCHS (http://www.globalsecurity.org/military/world/europe/luchs.htm), je me demande si les allemands ne pourraient pas nous en vendre (à très bas prix ou en location ! NS est copain avec Merkel, non ?) quelques dizaines pour améliorer immédiatement la protection de nos soldats en afghanistan (sans créer un régiment LUCHS mais en tant que "matériel en libre service pour les unités en OPEX").

les VAB (en bout de course et insuffisamment blindé) modifiés avec tourelles ne vont pas arriver avant des années, et encore en quantité ultra-limité !

Le LUCHS est un blindé reco à roues rustique avec un canon de 20, c'est pile poil ce dont on a besoin, en plus la Bundeswehr (qui en avait des centaines) veut s'en débarasser..... on pourrait aussi s'en servir en afrique (je regrette ce bon vieux et fiable AML 90 !).

Je me demande pourquoi il faut toujours jeter à la ferraille du matos pratiquement jamais utilisé (le LUCHS a fait des merveilles au Kosovo) alors qu'on en use d'autres jusqu'à la corde ! 

Pour une fois, soyons européen et utilisons les vehicules sortis de dotation de nos alliés. 

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Pour quoi faire, Alexandre ?

De la reconnaissance blindé à roue, nous avons les VB2L pour les Hussards et des PVP pour les URB.

On a RTD et Nexter qui veulent proposer toute une gamme de EBM.

Panhard a aussi des VBR, des AV5XL

On peut surblinder sur étagère les VAB avec Rafael.

Berlin n'a pas encore choisi en le Gavial PVP et sa Wolswagen blindé.

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Un VAB, niveau blindage/résistance aux IED, ça équivaut a un MRAP moderne (style bushmaster) non?

Je me demande pourquoi on n'achète pas des MRAP ça m'a l'air d'être l'idéal pour le transport en zone pas trop dangereuse.

Pour les endroits vraiment chauds, il y a les VBCI...

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@Philippe : les VB2L et PVP n'ont pas de canon de 20. Les EBM c'est pour 2025 au mieux, les VBR et les AV5XL ne sont pas en production (et n'ont pas de canon de 20 non plus !)

Ma proposition visait à doter immédiatement nos soldats d'un véhicule blindé en support avec un armement dissuasif, le tout à très bas coûts, rien de plus. J'essaie d'imaginer une solution acceptable pour les vautours de Bercy (d'ou mon idée de location en attendant mieux....). 

@Krogort : Le VAB n'est pas un MRAP, c'est juste un camion blindé à peine mieux qu'un VBL. Les MRAP coutent la peau du cul, on en aura jamais. Le VBCI, ok mais quand ? a peine 3 exemplaires livrés pour l'instant, pour l'apprentissage...   

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@ Fusilier : Bien sur que non ! les AMX10 RC sont très attendus mais il faut compléter avec un calibre intermédiaire entre le 105 et la 12.7.

C'est pour celà qu'on va bricoler des tourelles Kongsberg sur les VAB mais celà va prendre des mois et couter cher, alors que les LUCHS vont rouiller en allemagne...

Ok les gars, je me fais un film, on en achetera/louera jamais, mais en période de pénurie on devrait se serrer les coudes en europe et partager le matériel plutôt que de jouer perso et de gaspiller les ressources (mon idée est que dès qu'un matériel devient inutile ou obsolète pour un pays de l'OTAN, on le mette à disposition des autres pays à très bas prix pour leurs OPEX : c'est de la science fiction ?) : au lieu de celà, on envoie à la casse ou on donne au premier qui passe. 

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Ben, si j'ai bien compris les tourelles Kongsberg c'est un âchat urgent et la livraison est prévue pour la fin de l'année. Le temps du déploiement en août, du passage du témoin entre Français et Ricains, que les Talib observent les nouveaux vénus ; on sera pas loin de la fin de l'année et du ralentissement des opérations de la période hivernale...

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@ Fusilier : Bien sur que non ! les AMX10 RC sont très attendus mais il faut compléter avec un calibre intermédiaire entre le 105 et la 12.7

Les VAB 20mm - VAB T20/13 -sont déjà déployé en Afghanistan ...

http://www.defense.gouv.fr/layout/set/popup/content/view/full/128511

L'article sur les OMLT de Kapisa http://www.defense.gouv.fr/ema/enjeux_defense/operations_exterieures/afghanistan/breves/27_05_08_afghanistan_un_mois_dans_la_vie_des_omlt_de_kapisa

Sur celle ci http://www.defense.gouv.fr/layout/set/popup/content/view/full/128496 on voit bien les addon de blindage latéral des VBL ... les plaque fond pres d'un cm d'épaisseur.


http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2008/06/post.html

[tt]La France accueille, à partir de ce lundi, un "symposium" des forces spéciales de l'Otan. Très récemment, une haute autorité militaire française rappellait, en privé, que "les forces spéciales servent aux opérations spéciales !". Il exhortait ses interlocuteurs à en finir avec "le mythe des forces spéciales" omnipotentes. Cette personnalité traduisait l'agacement croissant d'une bonne partie de l'armée vis-à-vis du COS (Commandement des opérations spéciales).

"Quand je suis allé voir les forces spéciales en Afghanistan [l'opération Arès qui s'est terminée fin 2006], ce que j'ai trouvé là-bas, c'était un régiment d'infanterie !", indique le même interlocuteur. "Ce qu'ils y faisaient, un régiment d'infanterie d'une armée professionnelle doit savoir le faire, ou alors il y a un problème...", ajoute-t-il.

"Les forces spéciales doivent être utilisées pour des missions particulières, comme la libération d'otage ou la protection de personnalités", précise-t-il. Pas comme une infanterie légère, de style commando de chasse en Algérie. A ses yeux, il est donc hors de question que la France renvoie des éléments du COS en Afghanistan, même si les Américains le lui demandent.[/tt]

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A Singapour, entretiens Hervé Morin / Robert Gates sur l'Afghanistan

par Jean Guisnel

Imprimez Réagissez Classez Dans le cadre du Shangri La Dialogue organisé à Singapour par l' IISS de Londres, le ministre français de la défense Hervé Morin s'est entretenu samedi 31 mai avec son homologue américain Robert Gates , essentiellement des prochains renforts français en Afghanistan. Curieusement, le secrétaire américain à la défense pensait que les Français envoyaient sur place des forces spéciales, et Hervé Morin lui a rappelé que ce ne sera pas le cas.  :P

Ce sont environ 700 hommes venant pour l'essentiel de la 11ème brigade parachutiste et surtout de trois régiments ( 8ème RPIMa de Castres, 35ème RAP de Tarbes avec des mortiers lourds de 120mm RTF1 , 1er REC d'Orange avec des AMX-10 RC ), qui rejoindront en juillet ou en août prochain la zone orientale de l'Afghanistan. Selon le ministre français, cette composante constitue " une force entraînée". "Elle appartient à l'élite, qui ne possède pas forcément le tampon force spécial. Quand on envoie le régiment de Castres, on n'envoie pas des seconds couteaux".

Si la France a décidé ce renforcement voici quelque mois, c'est pour répondre à une exigence pressante de l'OTAN, qui déploie la Force internationale d'assistance à la sécurité (FIAS) en Afghanistan. Les troupes canadiennes et néerlandaises affectées au sud du pays estiment qu'elles ont besoin de renforts, pour faire face aux assauts des Talibans et des chefs de guerre. Ce sont les troupes américaines qui vont assurer ce renfort, et ce sont ces dernières que les Français viendront remplacer à l'est de Kaboul. Pourquoi les Français ne vont-ils pas directement s'installer dans le sud afghan, zone la plus dangereuse du pays ? L'option orientale a été justifiée par trois raisons rappelées par Hervé Morin :

1) elle pèsera moins lourd sur le budget ;

2) la logistique et le soutien au sud du pays auraient été compliqués pour les Français déjà installés à Kaboul et dans sa région. Les nouveaux arrivants ne s'installeront donc pas trop loin de Kaboul, ce qui permettra d'optimiser les flux logistiques et le soutien.

3) elle permettra de mieux poursuivre la formation de l'armée nationale afghane. Sur ce dernier point, le ministre de la défense considère que l'un des principaux objectifs des Français en Afghanistan demeure la contribution à la formation de l'armée nationale afghane, qui doit pouvoir, à terme, " assurer seule la sécurité du pays ".

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Mille hommes seront envoyés dès le mois prochain dans la province de Kapisa, l'une des plus dangereuses du pays au nord-est de Kaboul.

Alors que s'ouvre jeudi à Paris la conférence des donateurs sur l'Afghanistan, la France se pré­pare activement à envoyer un bataillon supplémentaire pour renforcer la Force internationale d'assistance à la sécurité, l'Isaf. Les 1 000 hommes, qui seront essentiellement prélevés sur le 8e régiment de parachutistes d'infanterie de marine, commenceront à être déployés dès le mois prochain. L'état-major des armées vient de confirmer leur destination: la province de Kapisa, au nord-est de Kaboul. L'armée française s'apprête par ailleurs à déployer dans les semaines qui viennent une nouvelle équipe d'instructeurs intégrés à des unités afghanes opérationnelles dans le sud du pays, pour épauler les forces néerlandaises. Elle se prépare enfin à reprendre le commandement du Grand Kaboul, le 6 août prochain.

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J'ai trouvé cet article, il parle de la situation des SAS australien qui sont actuellement utilisé comme de l'infanterie légère, exactement comme les fs française avant leur retrait par rapport à l'infanterie par rapport aux unités d'infanterie légère canadienne ''régulière'' déployé dans le sud.

Tout les pistes de réflexion sont mise en avant (considération politique l'acceptation de situation: ''le gamin de 19ans réserviste tué vs le vétérans fs endurci de 30ans), le manque d'entraînement des unités régulières, le manque de confiance de l'état major envers les forces régulières etc...

je partage:

CANADIANS TURN TABLES ON AUSSIES IN AFGHANISTAN

By Sasha Uzunov

There used to be a running joke in the Australian Army about how the Armed Forces of our Commonwealth cousin, Canada, had gone soft because of decades of peacekeeping and do-gooder missions but now in the Afghanistan War the tables have turned.

The concern that we were heading down the Canadian path prompted the then Chief of the Australian Army, Lieutenant General Frank Hickling, a combat engineer who served in Vietnam, to issue his “back to basics” directive in 1998, ordering his senior officers to sharpen up their soldiers’ war fighting skills.

It was as if General Hickling was gazing into a strategic crystal, because a year later neighbouring East Timor erupted into violence after breaking away from Indonesia.

The Australian Howard Federal government at the time deliberately used the Army’s elite Special Forces unit, SASR (Special Air Service Regiment), to do most of the fighting in East Timor, which should have been performed by the infantry.

The political logic was that the public and media would accept SASR casualties rather than a 19 year old infantryman, fresh out of home or from a small country town.

But political logic does not necessarily make good military sense and vice-versa. In East Timor the pro-Indonesian militia tried to inflict as many casualties as possible on our infantry units, including battalions made up of many reserve/part time soldiers, in the hope that Australia would withdraw.

The moral of the story is no matter how hard the Australian government tried to insulate our infantry from combat by using the SASR, the unexpected happened.

The SASR and 4RAR (Commando) are our 2 Specials Forces units and are a surgical tool--to be used sparingly--not a blunt instrument.

Australian infantry soldiers have recently expressed their dissatisfaction at being kept away from the sharp end in Afghanistan.

But how long can the incoming Rudd government use the SASR and 4RAR (Commando) in an infantry role, until they become worn out?

When will the government allow our infantry soldiers to do the job they have trained for?

The Canadian Army and its infantry are deployed in the Kandahar province of Afghanistan, the headquarters of the Taliban insurgents and one of the most dangerous places in the country. In recent times the Canadian infantry has been transformed from a demoralized force into a band of fighters itching for action. Moreover, the Canadian government has been prepared to take casualties--85 soldiers killed so far--in battle against the Taliban.

The man responsible for the Canadian Army’s resurgence is General Rick Hillier, a much loved larger than life character, in the mould of Australia's own East Timor hero General Peter Cosgrove.

In contrast Australia now has the quietly spoken and competent Air Chief Marshal Angus Houston and the Chief of the Australian Army, Lieutenant General Peter Leahy, a deep thinker who unfortunately missed out on serving on a peacekeeping mission or in combat.

The current Australian Rudd Federal government has pulled out our troops from Iraq, as part of its election promise, and is committed to the long haul in Afghanistan.

The time is now right for a serious rethink about how the Australian Army fights in Afghanistan.

Are we going to wear down the SASR and 4RAR (Commando) or will we have the courage to allow Australian infantry soldiers to do the job in Afghanistan?

The war in Afghanistan can be won but it will not be easy nor is it simply a case of using brute military force. The solution is proper efficient force coupled with political and economic strategies. When you provide the Afghan people with clean drinking water, health care, education and basic infrastructure, then the Taliban no longer become an attractive alternative to the local people.

We have to listen to the Afghan people and their leaders. Trying to impose a western political system overnight will not work. A “Senate” or council of elders from the various ethnic groups, including sections of the Taliban who have renounced violence, and retired warlords should guide the Afghan government in policy. By being inclusive you do not allow the disaffected room to maneuver or to plot coups.

Mr. Amrullah Saleeh, the head of Afghan Intelligence, the NDS, has said that if NATO does not change its political strategy it will lose, regardless if it pulls out now or in three years time. The call for more NATO troops by Australia's Defence Minister Joel Fitzgibbon will end up being futile.

(Sasha Uzunov served in the Australian Army and is now a defence journalist.) 

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J'ai trouvé cet article, il parle de la situation des SAS australien qui sont actuellement utilisé comme de l'infanterie légère, exactement comme les fs française avant leur retrait par rapport à l'infanterie par rapport aux unités d'infanterie légère canadienne ''régulière'' déployé dans le sud.

Tout les pistes de réflexion sont mise en avant (considération politique, l'acceptation de situation par la population: ''le gamin de 19ans réserviste tué vs le vétérans fs endurci de 30ans), le manque d'entraînement des unités régulières, le manque de confiance de l'état major envers les forces régulières etc...

je partage:

CANADIANS TURN TABLES ON AUSSIES IN AFGHANISTAN

By Sasha Uzunov

There used to be a running joke in the Australian Army about how the Armed Forces of our Commonwealth cousin, Canada, had gone soft because of decades of peacekeeping and do-gooder missions but now in the Afghanistan War the tables have turned.

The concern that we were heading down the Canadian path prompted the then Chief of the Australian Army, Lieutenant General Frank Hickling, a combat engineer who served in Vietnam, to issue his “back to basics” directive in 1998, ordering his senior officers to sharpen up their soldiers’ war fighting skills.

It was as if General Hickling was gazing into a strategic crystal, because a year later neighbouring East Timor erupted into violence after breaking away from Indonesia.

The Australian Howard Federal government at the time deliberately used the Army’s elite Special Forces unit, SASR (Special Air Service Regiment), to do most of the fighting in East Timor, which should have been performed by the infantry.

The political logic was that the public and media would accept SASR casualties rather than a 19 year old infantryman, fresh out of home or from a small country town.

But political logic does not necessarily make good military sense and vice-versa. In East Timor the pro-Indonesian militia tried to inflict as many casualties as possible on our infantry units, including battalions made up of many reserve/part time soldiers, in the hope that Australia would withdraw.

The moral of the story is no matter how hard the Australian government tried to insulate our infantry from combat by using the SASR, the unexpected happened.

The SASR and 4RAR (Commando) are our 2 Specials Forces units and are a surgical tool--to be used sparingly--not a blunt instrument.

Australian infantry soldiers have recently expressed their dissatisfaction at being kept away from the sharp end in Afghanistan.

But how long can the incoming Rudd government use the SASR and 4RAR (Commando) in an infantry role, until they become worn out?

When will the government allow our infantry soldiers to do the job they have trained for?

The Canadian Army and its infantry are deployed in the Kandahar province of Afghanistan, the headquarters of the Taliban insurgents and one of the most dangerous places in the country. In recent times the Canadian infantry has been transformed from a demoralized force into a band of fighters itching for action. Moreover, the Canadian government has been prepared to take casualties--85 soldiers killed so far--in battle against the Taliban.

The man responsible for the Canadian Army’s resurgence is General Rick Hillier, a much loved larger than life character, in the mould of Australia's own East Timor hero General Peter Cosgrove.

In contrast Australia now has the quietly spoken and competent Air Chief Marshal Angus Houston and the Chief of the Australian Army, Lieutenant General Peter Leahy, a deep thinker who unfortunately missed out on serving on a peacekeeping mission or in combat.

The current Australian Rudd Federal government has pulled out our troops from Iraq, as part of its election promise, and is committed to the long haul in Afghanistan.

The time is now right for a serious rethink about how the Australian Army fights in Afghanistan.

Are we going to wear down the SASR and 4RAR (Commando) or will we have the courage to allow Australian infantry soldiers to do the job in Afghanistan?

The war in Afghanistan can be won but it will not be easy nor is it simply a case of using brute military force. The solution is proper efficient force coupled with political and economic strategies. When you provide the Afghan people with clean drinking water, health care, education and basic infrastructure, then the Taliban no longer become an attractive alternative to the local people.

We have to listen to the Afghan people and their leaders. Trying to impose a western political system overnight will not work. A “Senate” or council of elders from the various ethnic groups, including sections of the Taliban who have renounced violence, and retired warlords should guide the Afghan government in policy. By being inclusive you do not allow the disaffected room to maneuver or to plot coups.

Mr. Amrullah Saleeh, the head of Afghan Intelligence, the NDS, has said that if NATO does not change its political strategy it will lose, regardless if it pulls out now or in three years time. The call for more NATO troops by Australia's Defence Minister Joel Fitzgibbon will end up being futile.

(Sasha Uzunov served in the Australian Army and is now a defence journalist.)

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