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Le cheval noir de la Famine


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Le pétrole a passé 120$ le baril ce soir ...

Le matiere premiere agricole ont enfin marqué une pause ... les capitaux qui avait migré du marché action vers les commodities regagne semble t il le marché action et soulage un peu le prix des cereale qui est revnu au prix d'avant noel - ce qui marque souvent une augmentation de pres de 100% en 1 an quand mm -.

Si, justement, le pére de la Révolution Verte des années 70 à justement dit dans un article sortie hier que les OGM étaient indispensables pour pouvoir nourrir les 2 a 3 milliards d'humains supplémentaires prévus dans les prochaines décennies.

Lesquelles ? pas celle qu'on nous propose aujourd'hui en tout cas ... et les autres on leur place dans les labos pas dans nos champ :lol:

Le probleme n'est pas dans la plante elle même mais dans la régénération des sols souvent et l'écosystème sol arable - les quelques dizaine de centimètre d'épaisseur qui permette aux végétaux de pousser -  et pour le moment bien complexe et pas vraiment maitriser ... quant au solution engrais, elles sont pour l'essentiel issu de ressource non renouvelable - potasse gaz naturel pétrole ... - qui vont devenir rapidement inabordable. Sans parler de l'approvisionnement en eau ...

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  • 4 weeks later...
Invité barbaros pacha

Juste une petite info lié au réchauffement climatique..

La Turquie va signer le Protocole de Kyoto

"... La Turquie avait précédemment indiqué qu'elle pourrait signer le protocole au plus tôt en 2015 :lol: dans la mesure où elle doit encore achever son industrialisation et où elle doit faire face à des coûts gigantesques pour assurer une protection adéquate de l'environnement...."

http://www.cyberpresse.ca/article/20080602/CPENVIRONNEMENT/80602162/6108/CPENVIRONNEMENT

Il reste que les Usa...Je pense que c'est une decision prise pour assurer l'UE, sinon il sera appliquer..bon vent..

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  • 2 weeks later...

Crise alimentaire : l'Inde et la Chine ne sont pas coupables !

Claude Aubert et Frédéric Landy, experts (l'un est agroéconomiste à l'Inra, l'autre, géographe), s'interrogent sur l'inflation des prix alimentaires, que certains voudraient attribuer à l'émergence de l'Inde et de la Chine qui aurait pour conséquence le changement d'alimentation des populations de ces deux pays.

À partir de 2006, la flambée des cours mondiaux des produits alimentaires a tourné les regards vers l'Inde et la Chine. La croissance économique de ces deux «pays émergents» si peuplés accroîtrait la consommation de viande et de lait, se révélant un facteur important d'inflation en raison des besoins croissants en produits fourragers. Les récents propos de George W. Bush suscitèrent d'âpres commentaires en Inde : «Il y a 350 millions de personnes en Inde qui sont considérées comme “classes moyennes”. C'est plus que l'Amérique. Leurs classes moyennes sont plus importantes que toute notre population. Et quand vous commencez à vous enrichir, vous commencez à exiger une meilleure nutrition et une meilleure alimentation, et cela fait augmenter la demande, et cela fait monter les prix» (Times of India, 3 mai 2008). Rappelons que les deux pays comptent ensemble pour 15 % des importations agricoles mondiales ; et que, représentant 38 % de la population et 55 % des agriculteurs de la planète, ils ne disposent que de 21 % des terres arables… Aux yeux de l'opinion internationale, la question alimentaire en Inde et en Chine est donc une question d'échelle mondiale. Mais est-il vrai que le changement de régime alimentaire est à ce point brutal ? La Chine est-elle tant importatrice de grains ? L'Inde est-elle si consommatrice de viande ?

On connaît le modèle de la «transition alimentaire» : au cours du processus de développement d'un pays, la population passe d'une alimentation fondée sur les céréales (source de calories peu onéreuses) à une alimentation plus diversifiée et riche en viandes, produits laitiers, fruits et légumes. Cette transition se fait en deux phases : la première passe par une augmentation de la ration en céréales (quand les consommateurs ont les moyens de manger à leur faim), la seconde se traduit par une baisse de cette ration au profit de calories plus chères. Où en sont nos deux pays ?

Comme prévu par le modèle, les Chinois mangent moins de grains : en 2005, les ruraux consommaient en moyenne 210 kg de céréales, protéagineux et tubercules par an, contre 258 en 1985 ; et les citadins seulement 158 kg (contre 209 en 1985). Au total, la consommation alimentaire directe de grains, qui était de 262 millions de tonnes en 1985, a d'abord augmenté dans le cadre de la première phase de la transition alimentaire pour atteindre 291 millions en 1993, puis est descendue à 246 millions en 2005 à mesure que la Chine progressait dans cette transition. Celà s'est fait au profit de la consommation carnée. Même s'il faut réduire sans doute de 25 % les chiffres officiels, nos calculs donnent 44 kg de viande par personne et par an (dont 27 kg de porc). Les animaux consomment désormais le tiers des grains disponibles. Cette transition carnée a été réussie tout en respectant un taux d'autosuffisance en grains de 95 % au cours des vingt dernières années (à la seule exception de 2003). En 2007, la production céréalière chinoise était encore excédentaire.

Les chiffres de l'Inde sont fort différents. Là aussi, la part des céréales et protéagineux est en baisse dans l'alimentation : 174 kg par an en 2005-2006 pour les ruraux (contre 186 en 1987-1988) et 147 kg pour les citadins (contre 159 en 1987-1988). Mais cette baisse est très imparfaitement complétée par une légère hausse de la consommation de viande (5,2 kg en 2002 contre 3,7 en 1961 un chiffre sans doute sous-évalué certes, en raison notamment du tabou sur la vache). On n'atteint toujours pas les deux œufs par mois en moyenne… Au total, la disponibilité en calories baisse en Inde : 2 040 calories par jour en 2004-2005, contre sans doute 2 700 calories en Chine selon nos calculs. On est donc fort loin du modèle théorique de la transition alimentaire : tout se passe comme si la seconde phase de la transition avait commencé en Inde sans que la première soit achevée : la consommation de céréales baisse déjà, mais la consommation de viande ou de légumes et fruits n'augmente pas proportionnellement en compensation. En 2004-2005, 68 % des calories consommées par les ruraux provenaient encore des céréales, et 56 % pour les citadins.

La tendance est certes évidente, et la consommation de calories chères (viande, fruits et légumes, produits laitiers) va augmenter en Inde avec la croissance économique. Mais, de même que la part des «classes moyennes» ne doit pas être surestimée (moins de 10 % des ménages ont une automobile), de même l'évaluation de la vitesse des transformations alimentaires doit prendre en compte le maintien de la grande pauvreté dans le pays, ainsi que l'attachement aux modèles culturels alimentaires en place : il reste à prouver en effet qu'est valable notre vision ethnocentriste dominante ; tous les peuples du monde doivent-ils vraiment à un moment ou un autre finir par manger comme les Américains ou les Français ?

Résultat : l'Inde a annoncé qu'elle n'importerait pas de blé en 2008. Les deux années précédentes d'importation pourraient n'être que le résultat d'une libéralisation de son commerce interne, étant donné que l'État a désormais perdu son quasi-monopole légal d'achat en gros de céréales et laisse Cargill, l'Australian Wheat Board ou les sociétés indiennes acheter directement aux agriculteurs. Ces importations ne sont pas liées à une augmentation des besoins en céréales. Pour le riz, l'Inde n'a pas cessé d'en exporter ces dernières années. Quant à la Chine, à part la grosse exception du soja (30 millions de tonnes importées en 2007), sa situation commerciale apparaît confortable, et en 2007 elle exporta encore 5 millions de tonnes de maïs, 3 millions de blé et un million de riz.

Même si la tendance sur le long terme (des besoins en céréales croissants) ne fait pas de doute, on voit mal comment l'Inde ou la Chine pourraient être responsables de la flambée actuelle des prix agricoles.

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  • 2 weeks later...

http://www.lemonde.fr/aujourd-hui/article/2008/06/21/il-est-urgent-de-sauver-les-sols_1061230_3238.html?xtor=RSS-3208

Il est urgent de sauver les sols

Daniel Nahon est professeur de géochimie à l'université Paul-Cézanne d'Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône). Grand connaisseur des fragilités de la Terre, il tire la sonnette d'alarme. "Les sols n'en peuvent plus. Nous sommes au bord de l'abîme et, si cela continue, il y aura des famines", s'emporte-t-il. A force de pollution industrielle, de pesticides à hautes doses, d'urbanisation forcenée, d'érosion, de déforestation et d'irrigation mal contrôlée, près d'un quart des terres utilisables dans le monde, en effet, sont déjà dégradées. Et leur proportion par habitant se réduit comme peau de chagrin, quand il faudrait doubler la production agricole, d'ici à 2050, pour nourrir 9 milliards de Terriens.

"Il règne à ce sujet un véritable illettrisme, une méconnaissance de la structure et du fonctionnement des sols, tant chez les politiques que dans les médias, et même chez de nombreux scientifiques, poursuit le géochimiste. Alors qu'il faudrait fournir un véritable effort de guerre pour affronter le défi à venir !" Lassé de l'indifférence quasi générale sur cette question cruciale, Daniel Nahon a publié L'Epuisement de la terre, l'enjeu du XXIe siècle (Odile Jacob). Il y rappelle que le sol cultivable, qui a permis à l'homme de passer du stade de chasseur-cueilleur à l'agriculture, a mis des milliers d'années pour se constituer.

Il a fallu pour cela que la roche mère se décompose, puis qu'elle soit fertilisée par le lent travail des plantes et des bactéries. Non renouvelable, ce patrimoine devrait être considéré comme un bien mondial à protéger. D'autant plus précieux qu'en l'état actuel de nos connaissances techniques, on ne peut se passer des sols pour les cultures.

Pays riches, pays pauvres, pays émergents : la détérioration des sols touche toutes les régions du globe. Certaines parties de la Chine et de l'Inde connaissent d'importants problèmes d'érosion et de pollution. Au Brésil, les sols gagnés sur la forêt amazonienne s'appauvrissent. Christian Valentin, directeur d'une unité de recherche à l'Institut de recherche pour le développement (IRD), précise que cette dégradation touche plus particulièrement deux régions : les sols sableux du Sahel, très peu fertiles et sensibles à l'érosion éolienne, et les sols de montagne des pays d'Asie du Sud-Est. Dans les deux cas, l'extension des aires cultivées s'est faite aux dépens des jachères, des forêts ou des zones de parcours, éléments protecteurs des sols.

Enrayer ce déclin ? Ici ou là, quelques initiatives vont dans ce sens. Au Burkina Faso, par exemple, une poignée de paysans remettent au goût du jour les techniques agricoles traditionnelles (Le Monde du 18 juin). Mais il en faudrait beaucoup plus pour que les sols se stabilisent. D'autant que, dans ce domaine, l'Europe occidentale, et notamment la France, a aussi du souci à se faire.

Rien que dans l'Hexagone, "l'urbanisation - routes et villes - provoque à elle seule la disparition de 60 000 hectares de bonnes terres arables par an", explique Dominique Arrouays, directeur de l'unité Infosol à l'Institut national de la recherche agronomique (INRA) d'Orléans (Loiret). "Cela représente en dix ans l'équivalent d'un département français !", dit-il. A cela s'ajoute l'érosion, que va inévitablement amplifier la montée en puissance des phénomènes météorologiques extrêmes. Une seule pluie très forte, si elle survient sur une zone en pente, suffit en effet à faire disparaître 50 tonnes de terre... Avec, à terme, un réel danger de désertification.

Face à ce danger croissant, une prise de conscience se fait jour. Mais elle reste bien timide. En novembre 2007, le Parlement européen a adopté une proposition de directive sur la protection des sols, dont la portée a toutefois été amoindrie par une série d'amendements. Les choses sont un peu plus avancées en France, où a été créé, en 2001, le groupement d'intérêt scientifique Sol. Destiné à surveiller la qualité des terres, il a pour but de réaliser un inventaire des sols tous les dix ans pour observer leur évolution, à l'aide d'un maillage systématique du territoire français : 2 000 sites sont déjà en place, et 200 de plus sont prévus d'ici à la fin de l'année. En parallèle sera réalisée une cartographie de la qualité des sols qui devrait être terminée en 2012.

Mais les chercheurs voient déjà plus loin et imaginent d'autres fonctions pour les terres arables. "Jusqu'à présent, celles-ci servaient uniquement de support pour les cultures. Demain, elles devront fournir des services supplémentaires en relation avec la sauvegarde de l'environnement", affirme Guy Richard, directeur de l'unité science du sol à l'INRA d'Orléans. On leur demandera peut-être de lutter contre le réchauffement climatique en piégeant le carbone, de mieux filtrer l'eau, de recycler les déchets urbains ; ou encore de participer au maintien de la biodiversité. Autant de fonctions nouvelles qui pourraient contribuer à un cercle vertueux, puisqu'elles assureraient du même coup la pérennité des sols qui s'y consacreraient.

Pour piéger le carbone, il faudra éviter les labours profonds qui fragmentent le sol, accélèrent la décomposition des matières organiques et libèrent du gaz carbonique. Cela nécessitera de réduire le travail de la terre, qui sera réalisé sur une profondeur plus faible : on se contentera par exemple de semis directs, qui ne nécessitent qu'un grattage en surface pour introduire la graine. "Plutôt que le laisser tout nu entre deux récoltes, on cherchera également à maintenir une couverture permanente du sol", ajoute Guy Richard. Ce qui lui permettra de lutter contre certaines maladies et contre la pollution - à l'instar de ce que l'on observe avec les plantations de moutarde qui, organisées entre les périodes de culture du blé et du maïs, permettent de piéger les nitrates provenant de la décomposition végétale après récolte.

Apprendra-t-on également, dans un avenir proche, à orienter l'activité microbienne des sols afin d'améliorer la filtration de l'eau ? A analyser les terres pour repérer les plus propices au recyclage des déchets ? Dans tous ces domaines, les recherches doivent encore être poursuivies. Mais il est aussi des solutions plus classiques pour préserver les sols. Diminuer les pesticides, laisser sur place les débris végétaux, étudier le paysage pour limiter l'érosion en fonction du relief... Des solutions qui ne demandent pas d'efforts gigantesques, mais simplement un peu plus d'égards vis-à-vis de ce manteau d'arlequin qui nous fait vivre. Même si, pensent les plus alarmistes, les meilleures mesures de protection ne suffiront pas à nourrir l'humanité d'ici à 2050.

Pour relever ce défi, "plusieurs sauts technologiques majeurs seront nécessaires", estime Daniel Nahon. Et l'on ne pourra éviter, selon lui, l'utilisation des plantes transgéniques. Les seules à permettre les cultures sur les sols arides et salés, malheureusement de plus en plus nombreux.

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http://blog.wired.com/defense/2008/06/environmental-g.html

Nation's Spies: Climate Change Could Spark War

Environmental groups have been warning for years that global climate change could make already-tense parts of the world even worse, and even spark new whole new conflicts. Now, the nation's spies are saying pretty much the same thing.   

The U.S. intelligence community has finished up its classified assessment of how our changing weather patterns to could contribute to "political instability around the world, the collapse of governments and the creation of terrorist safe havens," Inside Defense reports. Congress was briefed on the report last week. And on Wednesday, leading spies -- including National Intelligence Council chairman Dr. Thomas Fingar and Energy Department intelligence chief Rolf Mowatt-Larsen -- will testify on the Hill about the 58-page document, "The National Security Implications of Global Climate Change Through 2030."

          

In addition to examining how weather could add stress to governments with a weak grip on power... the authors mulled a spectrum of second- and third-order consequences for Washington policymakers to consider -- including indirect security concerns like impacts on economies, energy, social unrest and migration.

Foreign-policy concerns were also weighed, including how flooding, rising water levels or drought might create humanitarian crises. Also examined was how extreme weather events could challenge the response capabilities of governments around the world.

          

La suite -> http://blog.wired.com/defense/2008/06/environmental-g.html

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  • 3 weeks later...

Résumé en français pour les non anglophone ? Les SR US pensent que l'on va se battre pour les terres arables ?

Oooops dsl j'avais pas vu la reponse avant :)

Je reposte des article et je traduit

Donc ici en francais le pourquoi du comment le petrole et les principal matiere premiere montent.

http://www.leblogfinance.com/2008/07/le-ptrole-expri.html

En gros c'est la perte de valeur des monnaie papier qui induit c'est apparente montée brutale, lié donc a la fois au contexte réserve/production/consommation mais aussi aux dépreciation des differente monnaie suite aux politique pour le moins laxiste des Banque centrale et du systeme financier en général.


L'article précédent.

Le changement climatique pourrait déclencher des guerres.

Les groupes environnementaux ont prévenu depuis des année que l'état du monde pourrait empirer avec l'avènement du changement climatique global et le déclenchement de conflit complètement nouveaux. Maintenant ce sont les services de renseignement nationaux qui disent a peu prés la même chose.

La communauté du renseignement US a fini son evaluation des effet du changement climatique sur l'aggravation d"instabilité politique partout dans le monde, l'effondrement de gouvernements et par là, la creation de refuge pour terroriste".

Le congres a été informé de ce rapport la semaine derniere. Et mercredi, les chefs des service de renseignement ont approuvé le rapport. de 58 pages "Les implications de sécurité national lié au changement climatique global vers 2030".

En plus d'examiner comment le climat pourrait fragiliser les gouvernement qui manque de pouvoir/légitimité ... les auteurs ont établi un spectre de conséquence de second et troisième ordre a destination des politicien de Washington. Incluant la sécurité indirect comme l'impact sur l'économie, l'énergie, les mouvement sociaux et les migration.

Les probleme de politique étrangère ont aussi été soupesé, notamment comment la monté des eaux, les inondations ou sècheresse vont créer des désastre humanitaire. Il ont aussi étudié comment les évènements climatiques pourrait dépasser les cpacit de reponse des gouvernements.

"Le changement climatique est un multiplieur de menace dans les region les plus instable."

"c'est comme gratter un allumette sur des brindille."

Il suffit penser aux combats pour l'acces a l'eau au moyen orient et en afrique, ou l'exacerbation des tension du fait des ouragans ou tsunami en asie.

Le document aurait du être déclassifié, mais les recommandation politique - les les alerte a propos des zone a probleme - était de plus en plus détaillé.

Généralement, le climat de la terre change et il a tjrs changé, c'est une évidence. Nous voulons vraiment comprendre les evenment climatique extreme parce qu'ils sont tres important comme facteur de risque pour notre infrastructure.

Le rapport est estampillé confidentiel, la plus basse classification. Et il est probable que le document soit disponible prochainement.

On commence a reparler de geoengeneering

... bla bla ...

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Merci, donc de nouveau par rapport aux précédentes alarmes des services spécialisé sur le sujet.

Rien de nouveau sur le fond ... la nouveauté c'est que les conséquences "societales" du changement climatique sont désormais acquises et qu'on s'y prépare en haut lieu et pas seulement chez les ecolos. Que cela attrait aussi a la défense et que le document est pour le moment classifié.

En gros on commence a prendre les choses au sérieux, et les rapports dans ce sens se multiplie. On a eu le même genre de rapport plus alarmiste aux UK suite aux graves inondations.

C'est d'ailleurs étonnant que le LBSLD n'aborde pas trop le sujet niveau défense mais plus coté sécurité civile.

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J'avais posté, il y a des années, ce commentaire publié sur le site des SR Canadiens sur le sujet en 2004, même si pour ce pays un ''réchauffement'' n'a pas de méfaits (culture dans des zones actuellement gelé, passage libre pour la navigation), il y a le risque de ''réfugiés écologique'' et pour les autres ''puissantes émergentes'' comme la Chine, cela risque d'être désastreux :

http://www.csis-scrs.gc.ca/pblctns/cmmntr/cm86-fra.asp

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  • 3 years later...

http://www.lemonde.fr/planete/article/2011/11/29/pour-les-agriculteurs-ressemer-sa-propre-recolte-sera-interdit-ou-taxe_1610778_3244.html

Dans le champ de l'agriculture, l'usage libre et gratuit des graines ne sera bientôt plus qu'un doux souvenir rappelant des méthodes paysannes d'un autre temps. Surnommées "semences de ferme", ces graines étaient jusqu'alors sélectionnées par les agriculteurs au sein de leurs propres récoltes et replantées l'année suivante.

Depuis plusieurs décennies, ces pratiques n'allaient déjà plus de soi lorsque ces semences étaient protégées par un Certificat d'obtention végétale (COV) – à savoir le droit de propriété des "obtenteurs" de l'espèce. Ressemer ces graines était théoriquement interdit. Mais cet usage demeurait, dans les faits, largement toléré en France. Il est désormais strictement réglementé par une proposition de loi UMP adoptée lundi 28 novembre par le Parlement.

"Sur les quelque 5 000 variétés de plantes cultivées dans le commerce, 1 600 sont protégées par un COV. Ces dernières représentent 99 % des variétés cultivées par les agriculteurs", explique Delphine Guey, du Groupement national interprofessionnel des semences (GNIS). Or, environ la moitié des céréales cultivées étaient jusqu'ici ressemées par les agriculteurs, selon la CNDSF (Coordination nationale pour la défense des semences fermières). Presque toujours illégalement, donc. Mais le temps de "l'incertitude juridique" semble révolu : pour le ministre de l'agriculture, Bruno Le Maire, ces semences "ne peuvent pas être libres de droit, comme elles le sont aujourd'hui".

    Ce qui change

En fait, la proposition de loi du sénateur UMP Christian Demuynck transpose un règlement européen de 1994 sur la protection des obtentions végétales, jusqu'ici nullement en vigueur en France. Conséquence : les semences de ferme, jusqu'ici tolérées, sont désormais légalisées... à condition de verser une "rémunération aux titulaires des COV" – à savoir aux entreprises de semenciers –, "afin que soit poursuivi le financement des efforts de recherche et que les ressources génétiques continuent d'être améliorées", dit le texte de loi. En sont exemptés les petits agriculteurs produisant moins de 92 tonnes de céréales.

Depuis 2001, cette taxe est appliquée pour une seule espèce : le blé tendre. Nommée "contribution volontaire obligatoire", elle est empochée par l'interprofession des semenciers. L'agriculteur doit payer 50 centimes par tonne de blé lors de la livraison de sa récolte. Ce système devrait donc être étendu à 21 espèces, dont la liste reste ouverte, assure Xavier Beulin, président de la FNSEA (Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles), sur le site du syndicat.

En somme, pour Guy Kastler, délégué général du réseau Semences paysannes et membre de la Confédération paysanne, "pour la moitié des espèces cultivées – le soja, les fruits, les légumes… –, il est interdit de réutiliser ses propres graines, et pour l'autre moitié – céréales et plantes fourragères –, il faut payer pour ressemer."

    Vers une privatisation des semences ?

Plusieurs associations écologistes et paysannes craignent ainsi une mainmise accrue de la filière semencière sur l'accès aux graines, via un droit de propriété étendu aux récoltes et aux graines qui en sont issues. Avec la taxe, "même les agriculteurs qui se passent des semences commerciales doivent payer pour ces semences", déplore Guy Kastler. Le militant redoute que la part des semences de ferme ne s'amenuise, à mesure que ces dernières deviennent plus chères et donc moins intéressantes pour l'agriculteur. Entre cette taxe et l'interdiction de ressemer ses propres graines, l'agriculteur est de plus en plus incité, non plus à produire, mais à acheter ses semences. D'où la crainte d'une dépendance accrue aux entreprises semencières.

Mais du point de vue de Xavier Beulin, la contribution de tous à la recherche sur les espèces cultivées se justifie, dans la mesure où même les semences de ferme en sont généralement issues. Dressant un parallèle avec la loi Hadopi visant à "protéger les créateurs" de films et de musique, le président de la FNSEA estime qu'il est "normal que [ceux qui utilisent des semences fermières] participent aussi au financement de la création variétale, puisqu'ils en bénéficient". Opposé à cet argumentaire, le syndicat Coordination rurale relève sur son site que Xavier Beulin n'est pas seulement à la tête du premier syndicat agricole. Il dirige aussi le groupe Sofiprotéol, "qui détient des participations dans plusieurs grands groupes semenciers français (Euralis Semences, Limagrain...)".

    Vers une perte de biodiversité ?

Autre crainte : l'impact de cette mesure sur la diversité agricole. Certes, ressemer une même variété – presque toujours issue de la recherche – n'accroît pas, a priori, la biodiversité. D'autant que "pour les grandes cultures, aucune variété utilisée n'est le fruit d'une conservation ancestrale ; toutes ont été développées grâce à la création variétale", souligne Xavier Beulin.

Toutefois, ressemer sa récolte peut entraîner des variations dans l'espèce, et donc favoriser cette biodiversité, nuance Guy Kastler. "Des caractères nouveaux apparaissent, permettant à la plante d'être mieux adaptée au sol, au climat, aux conditions locales. Il est alors possible de réduire les engrais et les pesticides. A l'inverse, les semenciers adaptent les plantes aux engrais et aux pesticides, qui sont partout les mêmes." Ils tendraient donc plutôt à créer de l'uniformité dans les plantes, où qu'elles soient cultivées.

    Vers le régime du brevet ?

Le COV est, en France, une alternative au brevet sur le vivant, en vigueur aux Etats-Unis par exemple. Ce droit de propriété intellectuelle est détenu par les entreprises ayant obtenu, par la recherche, les espèces cultivées, et qui jouissent donc du monopole de la vente des semences de cette espèce avant qu'elle ne tombe dans le domaine public – comme c'est le cas d'environ 450 d'entre elles en France. D'aucuns, comme Guy Kastler, craignent un glissement vers ce régime du brevet, en limitant le droit des agriculteurs d'utiliser librement les semences protégées.

Toutefois, à la différence du COV, le brevet interdit complètement aux agriculteurs de ressemer leur récolte, indemnités ou pas, note Delphine Guey. C'est le cas des variétés OGM de la firme américaine Monsanto qui, selon Marie-Monique Robin dans le documentaire Le Monde selon Monsanto, a même créé une sorte de "police des semences" spécialisée dans la traque des agriculteurs semant ou échangeant illégalement les graines qu'ils récoltent.

Autre différence avec le brevet, le COV permet aux obtenteurs d'utiliser librement une variété protégée pour utiliser ses ressources génétiques et en sélectionner de nouvelles. Ainsi, travailler sur un gène d'une espèce ne permet pas de la breveter et donc de se l'approprier totalement. Une distinction qui a permis, selon Delphine Guey, de préserver une diversité d'entreprises semencières françaises. Et donc de laisser aux agriculteurs un plus ample choix d'espèces à leur disposition. Toutefois, si le brevet des espèces vivantes n'est pas de mise en France, le brevetage des gènes des plantes y est, lui, de plus en plus pratiqué.

Angela Bolis

A quand l'interdiction de cultiver son propre jardin :lol:

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Cette loi est hallucinante. Je me demande comment Monsanto et les autres lobbys ont réussi à faire passer un truc pareil sans que la FNSE ou les autres groupement d'intérêts d'agriculteurs aient réagis.

Ha non en fait en allant sur le site de la FNSEA il y a un argumentaire tarabiscoté en faveur de la loi  :rolleyes:

http://www.fnsea.fr/toutes-les-thematiques/l-agriculture-acteur-economique/conjoncture/articles/les-agriculteurs-doivent-disposer-de-semences-a-la-hauteur-de-leurs-ambitions

Interview de Xavier Beulin, président de la FNSEA,

sur les semences de ferme

La proposition de loi relative aux certificats d'obtention végétale, en cours de discussion à l'Assemblée Nationale, relance le débat sur les semences de ferme. Xavier Beulin, président de la FNSEA, explique qu'il y va de l'avenir de l'agriculture française et de la capacité des agriculteurs à disposer d'un potentiel de semences et de génétique à la hauteur de leurs ambitions en matière de compétitivité, de volume, de qualité et donc de revenu.

On entend dire que la proposition de loi sur les certificats d'obtention végétale va conduire à l'interdiction des semences de ferme, qu'en pensez-vous ?

C'est tout le contraire ! Aujourd'hui, les agriculteurs qui utilisent des semences de ferme à partir de variétés protégées nationalement s'exposent à des contentieux. Il faut mettre un terme à cette insécurité juridique car la FNSEA revendique, depuis toujours, le droit ancestral des agriculteurs à pouvoir utiliser le produit de leur récolte comme semences. La proposition de loi légalise l'utilisation des semences de ferme. Les agriculteurs auront donc toujours le choix.

Oui mais cette légalisation s'accompagne d'une contrepartie qui est la rémunération de la recherche. Cette rémunération est-elle selon vous nécessaire ?

La création variétale est longue et coûteuse. Il faut d'abord se poser la question de l'intérêt d'avoir en France une recherche dynamique qui met au point de nouvelles variétés. Il ne fait aucun doute que les agriculteurs ont besoin de variétés adaptées aux évolutions du marché. Si depuis les années 70 la France a multiplié par deux son rendement en blé, par exemple, c'est bien grâce à la sélection génétique : aujourd'hui nous atteignons en moyenne entre 70 et 75 quintaux par hectare. Mais la création variétale, ce n'est pas uniquement l'augmentation des rendements. L'agriculture doit répondre à plusieurs défis : en termes de diminution des intrants, de tolérance aux maladies, de résistance au stress hydrique ou de qualités nutritionnelles. Sur tous ces aspects les agriculteurs savent bien que les variétés actuelles n'ont rien à voir avec celles d'il y a 20 ans ou même 10 ans.

La rémunération des obtenteurs ne va-t-elle pas se traduire par des charges supplémentaires pour les exploitants ?

C'est le même sujet que le téléchargement de films et autres musiques et chansons, le parlement a voté la loi Hadopi afin de protéger les créateurs. N'est-il pas juste de rétablir une certaine équité entre ceux qui choisissent d'acheter les variétés directement auprès des obtenteurs et des distributeurs, et ceux qui préfèrent les reproduire avec des semences fermières ? Il est normal que ces derniers participent aussi au financement de la création variétale puisqu'ils en bénéficient. Mais attention : pas à n'importe quel prix ! La FNSEA jouera pleinement son rôle dans les négociations qui s'ouvriront pour que la contribution soit équitable et acceptable par les agriculteurs. Il faut bien comprendre que la proposition de loi permet aux producteurs de négocier les modalités de fixation de rémunération des obtenteurs, en particulier dans un cadre interprofessionnel. Aujourd'hui, personne ne peut préjuger des résultats de ces négociations, et donc tous les chiffres alarmistes colportés par d'autres syndicats n'ont aucun fondement.

Est-il vrai que la proposition de loi a notamment pour objectif de taxer à l'hectare les éleveurs qui auto-consomment leur production ?

Je reconnais bien là, l'instrumentalisation du débat par certains syndicats afin d'opposer les éleveurs et les céréaliers. Non seulement c'est absurde mais en plus c'est totalement faux. Encore une fois, c'est dans un cadre interprofessionnel avec les représentants des agriculteurs, céréaliers et éleveurs, que les négociations auront lieu. Prenons l'exemple de l'accord interprofessionnel conclu en 2001 sur le blé tendre. C'est un bon exemple de ce qui pourrait se produire demain pour d'autres espèces. Cet accord prévoit que tout agriculteur qui livre sa récolte de blé tendre chez un organisme collecteur verse une contribution de 5 centimes d'euro par quintal de blé livré. Pour ceux qui utilisent des semences certifiées, cette contribution leur est remboursée à hauteur de 2 euros par quintal de semences achetées. Sont exonérés les agriculteurs vendant moins de 92 tonnes et un agriculteur autoconsommant toute sa production ne paie pas de rémunération à l'obtenteur dont il utilise la variété.

Est-il vrai que la proposition de loi ne reconnaît le droit d'utiliser les semences de ferme que pour 21 espèces, renforçant l'interdiction sur les autres ?

Le régime d'autorisation des semences de ferme ne concerne à l'origine que 21 espèces. Toutefois, le texte en l'état offre la possibilité d'ouvrir le dispositif à d'autres espèces. Je pense, pour ma part, qu'il serait bon d'inclure dans la liste les cultures intermédiaires pièges à nitrates (CIPAN), semées après les récoltes de céréales - en général en août ou en septembre - et désormais utilisées à grande échelle dans notre pays. Je ne pense pas que cela pose le moindre problème.

Que pensez-vous de l'idée que les semences de ferme seraient plus intéressantes que les semences certifiées, sur le plan économique ou environnemental ?

Une étude de l'interprofession des semences (le GNIS) montre que, toutes choses égales par ailleurs, s'il n'y avait pas eu de progrès génétique depuis 1989, la production de blé tendre en 2009 aurait été de 13% inférieure au niveau effectivement atteint. Par ailleurs, il faut aussi tenir compte de la valorisation de l'augmentation de la qualité de la collecte. Aujourd'hui les blés panifiables supérieurs représentent 80% des surfaces. Tarir le financement de la recherche ne pourra que nuire à la pérennité économique des productions végétales.

Sur le plan environnemental, je ne vois pas en quoi la reproduction à l'identique d'une variété à la ferme serait un facteur de biodiversité ! Pour les grandes cultures, aucune variété utilisée n'est le fruit d'une conservation ancestrale ; toutes ont été développées grâce à la création variétale. Qu'il y ait un débat sur la biodiversité dans le cadre des suites du Grenelle de l'environnement, c'est un fait, mais cela n'a rien à voir avec les semences de ferme. Par ailleurs, concernant les traitements, les stations industrielles mettent en œuvre des contrôles précis de la dose appliquée sur les semences.

L'argument souvent avancé par les opposants à la proposition de loi est qu'elle rendra les agriculteurs complètement dépendant des firmes privées ?

Là encore c'est tout le contraire. Si nous ne nous battons pas pour préserver le pôle semencier français, nous risquons, dans une ou deux décennies, de nous réveiller en faisant le constat amer qu'il ne reste que quatre ou cinq producteurs de semences au monde, soit anglo-saxons, soit chinois. La proposition de loi me semble aller dans le bon sens en évitant demain d'être pieds et poings liés face à ces multinationales dont certaines d'entre elles n'aspirent qu'à une seule chose, breveter leur génétique ! Enfin rappelons que la création variétale française implique 23.000 agriculteurs multiplicateurs de semences pour un chiffre d'affaires d'environ 2 milliards d'euros.

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Cette loi est hallucinante. Je me demande comment Monsanto et les autres lobbys ont réussi à faire passer un truc pareil sans que la FNSE ou les autres groupement d'intérêts d'agriculteurs aient réagis.

Ha non en fait en allant sur le site de la FNSEA il y a un argumentaire tarabiscoté en faveur de la loi  :rolleyes:

http://www.fnsea.fr/toutes-les-thematiques/l-agriculture-acteur-economique/conjoncture/articles/les-agriculteurs-doivent-disposer-de-semences-a-la-hauteur-de-leurs-ambitions

Pas mieux! Va falloir relancer les jacqueries!

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Cette loi est hallucinante. Je me demande comment Monsanto et les autres lobbys ont réussi à faire passer un truc pareil sans que la FNSE ou les autres groupement d'intérêts d'agriculteurs aient réagis.

Ha non en fait en allant sur le site de la FNSEA il y a un argumentaire tarabiscoté en faveur de la loi  :rolleyes:

La FNSEA c'est un gang de céréaliers vivant sur le dos de la collectivité via la PAC, un puissant lobby complice de l'industrie phytosanitaire et des équipementier, qui les arrose de leur pognon en échange d'une part des subvention :lol:

En meme temps quand un seul bonhomme exploite plus de 500ha dans les plaine de l'ile de France, c'est pas vraiment un "paysan" mais plus le seigneur du comté :lol: Le plus amusant c'est que meme les paysan au RSA se voit comme ca ... forcément les syndicats paysan suive la bonne veille doctrine qu'on leur vend, surtout que laplupart font ca essentiellement pour pouvoir faire une carriere politique a l'UMP apres.

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