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[Union Européenne] nos projets, son futur


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L’exercice militaire annuel de l’Union européenne (MILEX 13) se termine bientôt (le 22 novembre).

 

Conduit par le général Wolfgang Wosolsobe, le chef d’Etat-Major de l’Union européenne (EUMS), cet exercice met en avant un nouveau scénario de gestion de crise. Le focus est mis sur le processus de planification militaire nécessaire pour le déploiement d’un battlegroup européen (aucune troupe n’est développée pour cet exercice car il s’agit essentiellement d’un exercice d’Etat-Major). Mais Milex 2013 inclut aussi une dimension d’assistance humanitaire et le déploiement d’experts civils.

 

L’exercice est d’abord une occasion de tester le Centre opérationnel (OpsCenter) de l’UE situé au sein de l’Etat-Major de l’Union européenne à Bruxelles qui sert d’OHQ sous la direction du général grec Alkiviadis Stefanis. 70 personnes prennent part à la simulation. La moitié vient de l’Etat-Major militaire, l’autre moitié des États membres. Le QG de force (FHQ) est, lui, situé en France au Mont-Valérien (à Suresnes, près de Paris), sous la direction du général français Daniel Grammatico.

 

Suite : http://www.bruxelles2.eu/defense-ue/capacites-milit-%e2%80%93-exercices-ue/les-milis-europeens-en-exercice-milex-2013.html

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L'Union Européenne face à une immigration croissante.

 

Une séance des ministres de la Défense et des Affaires étrangères, lundi 18, au Justus Lipsius (Conseil) ; la réunion de la task force Méditerranée ce mercredi 20 au Berlaymont (Commission européenne) et une partie sommet franco-italien à Rome, etc. la question de l’immigration croissante en Méditerranée prend aujourd’hui de plus en plus de place sur les agendas politiques des dirigeants européens : de la Bulgarie à l’Espagne, en passant par la Slovénie, la Grèce, la France et bien sûr Malte, Chypre et l’Italie qui sont aux « premières loges ». Elle commence aussi à inquiéter des pays, du centre ou du nord de l’Europe, qui voient aussi arriver vers eux les immigrés, notamment de Syrie.

 

Suite : http://www.bruxelles2.eu/securite/frontieres/la-lutte-contre-limmigration-devient-un-sujet-europeen.html

 

Le siège du parlement européen à Strasbourg est effectivement un sujet récurrent dans la politique européenne. Et il devient plus accru avec la crise économique. Année après année, les partisans d’un regroupement du Parlement à Bruxelles gagnent du terrain. Et ce mouvement semble inéluctable. Les autorités françaises ont pris avec retard la mesure du relatif isolement de cette position. 

 

http://www.bruxelles2.eu/europe-pouvoir-traite-de-lisbonne/strasbourg-est-il-toujours-un-symbole-europeen.html

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(AFP) Les Français seraient favorables à un "président de l'Europe" élu au suffrage universel ou une armée commune, mais paradoxalement ils entendent exprimer aux élections européennes de mai leur "méfiance" à l'égard de l'Europe telle qu'elle se construit, selon un sondage.

 

Le sondage Ifop, publié par Sud Ouest Dimanche à six mois du scrutin européen, met en évidence "un rapport paradoxal à la construction européenne", que l'ampleur et la violence de la "crise de l'euro" ont "puissamment contribué à entretenir", selon l'Ifop.

Ainsi, 74% des personnes interrogées disent qu'au moment de voter le 25 mai, elles souhaiteront exprimer "plutôt leur méfiance à l'égard de l'Europe telle qu'elle se construit actuellement", contre 26% désirant plutôt exprimer leur "confiance".

 

De même, une majorité de Français (58%) souhaiteraient, compte tenu de la crise actuelle, "moins d'intégration européenne, et des politiques économiques et budgétaires propres à chaque Etat", contre 42% seulement souhaitant "une intégration européenne renforcée, avec une politique économique et budgétaire unique".

 

Paradoxalement, d'éventuelles avancées de la construction européenne rencontrent une forte adhésion: ainsi "la création d'un poste de ministre de l'Economie et des Finances européen" (66% de favorables, 34% défavorables), la "création d'une armée européenne" (65% de favorables) ou "l'élection d'un président de l'Europe au suffrage universel direct" (61% en faveur).

 

Pour l'Ifop, "la crise très grave que traverse l'Europe a plongé les Français dans une tension paradoxale". L'adhésion à certaines avancées européennes "cohabite avec une propension très forte à jouer la carte du "chacun pour soi", de façon à ne pas être entraîné dans la chute éventuelle d'Etats comme la Grèce, le Portugal ou l'Espagne".

 

L'adage "l'union fait la force", l'idée que la France doit coopérer davantage avec ses partenaires et voisins, a pris une "acuité particulière" aux yeux des Français avec la crise depuis 2008; mais dans le même temps, "la crise a également révélé au grand jour les vices de construction de l'édifice européen", analysent les sondeurs.

 

Le sondage a été réalisé du 13 au 15 novembre via un questionnaire en ligne, sur un échantillon de 1.007 personnes représentatif de la population de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

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L'Union Européenne face à une immigration croissante.

 

Une séance des ministres de la Défense et des Affaires étrangères, lundi 18, au Justus Lipsius (Conseil) ; la réunion de la task force Méditerranée ce mercredi 20 au Berlaymont (Commission européenne) et une partie sommet franco-italien à Rome, etc. la question de l’immigration croissante en Méditerranée prend aujourd’hui de plus en plus de place sur les agendas politiques des dirigeants européens : de la Bulgarie à l’Espagne, en passant par la Slovénie, la Grèce, la France et bien sûr Malte, Chypre et l’Italie qui sont aux « premières loges ». Elle commence aussi à inquiéter des pays, du centre ou du nord de l’Europe, qui voient aussi arriver vers eux les immigrés, notamment de Syrie.

 

Suite : http://www.bruxelles2.eu/securite/frontieres/la-lutte-contre-limmigration-devient-un-sujet-europeen.html

 

Le siège du parlement européen à Strasbourg est effectivement un sujet récurrent dans la politique européenne. Et il devient plus accru avec la crise économique. Année après année, les partisans d’un regroupement du Parlement à Bruxelles gagnent du terrain. Et ce mouvement semble inéluctable. Les autorités françaises ont pris avec retard la mesure du relatif isolement de cette position. 

 

http://www.bruxelles2.eu/europe-pouvoir-traite-de-lisbonne/strasbourg-est-il-toujours-un-symbole-europeen.html

 

 

  On se demande bien dans quel modèle démocratique le législatif a besoin d'être au contact de l'executif car c'est bien ce qui est en jeu avec cette histoire de déménager a Bruxelle le parlement de Strasbourg ... Très drole de modèle politique qu'est cette Europe ...

 

   Et qui doit en dire long au final sur la main mise qu'a la commission sur les députés ... Et des eurodéputés se tirant définitivement a bruxelle n'arrangerait rien en terme d'image : Au + près des lobbies qui ont pignon sur la même avenue que la commission ? (la plupart des grands groupes européens ont des bureaux a Bruxelles spécialement pour le lobbying ... Envoyer les députés la bas pour voter ne peut qu'aggraver le problème

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Le Parlement européen a revendiqué, dans une résolution votée mercredi, le droit de décider lui-même du lieu où il siège. Cette question sensible est aujourd'hui la chasse gardée des Etats membres. La France s'est toujours opposée à l'abandon du siège strasbourgeois malgré le coût faramineux de la navette mensuelle entre Bruxelles et la capitale alsacienne. Le Parlement serait "plus efficace, plus rationnel au niveau des coûts et plus respectueux de l'environnement s'il siégeait en un seul lieu", selon la résolution, adoptée mercredi par 483 voix pour, 141 voix contre et 34 abstentions.

"Le maintien du déplacement mensuel entre Bruxelles et Strasbourg est devenu un symbole négatif pour la majorité des citoyens européens (...), en particulier à une époque où la crise financière a entraîné des coupes importantes et douloureuses dans les dépenses des États membres", estime la majorité des députés.

Les séances plénières du Parlement européen sont organisées quatre jours par mois à Strasbourg. Le reste du temps, les députés travaillent et vivent à Bruxelles, siège de la Commission et de nombreux autres organes européens. Une majorité d'élus se passeraient bien de cette transhumance mensuelle, mais ils se heurtent au véto de la France. 

 

http://www.lalibre.be/actu/international/strasbourg-ou-bruxelles-le-parlement-europeen-veut-decider-lui-meme-de-son-siege-528cd3943570b69ffddd9fac

 

Combien coûte le Parlement européen de Strasbourg ?

 

http://www.bfmtv.com/economie/combien-coute-parlement-europeen-strasbourg-440234.html

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Il y a ceux qui veulent entrer...

 

L'Ukraine a affirmé mercredi continuer de rechercher la signature d'un accord d'association avec l'Union européenne à de meilleures conditions, à la veille du sommet du Partenariat oriental de l'UE à Vilnius.

 

"Je déclare en toute responsabilité que le processus de négociations sur la signature d'un accord d'association se poursuit, et que le travail visant à rapprocher le pays des standards européens ne s'arrête pas un seul jour", a indiqué le Premier ministre ukrainien, Mykola Azarov, en ouvrant la réunion du gouvernement mercredi.

Il s'agit de la première réunion du gouvernement ukrainien depuis l'annonce faite la semaine dernière par M. Azarov sur le rejet par l'Ukraine de cet accord historique entre l'ancienne république soviétique et l'Union européenne.

Le Premier ministre avait alors expliqué la décision du gouvernement "exclusivement par des raisons économiques", en soulignant que celle-ci ne remettait pas en cause l'orientation européenne du pays, avant de reconnaître mardi -- pour la première fois -- que l'Ukraine avait été dissuadée de signer par la Russie. Moscou presse Kiev d'adhérer à l'Union douanière créée par la Russie avec d'autres ex-républiques soviétiques.

 

Suite : http://fr.news.yahoo.com/ukraine-poursuite-préparatifs-vue-dun-accord-lue-085253300.html

 

... et ceux qui veulent sortir.

 

 

David Cameron a exprimé mercredi sa volonté de durcir les conditions d'accès aux prestations sociales en Grande-Bretagne pour les nouveaux immigrés en provenance d'autres pays de l'Union européenne.

Le Premier ministre britannique veut aussi modifier les règles sur la liberté de circulation dans l'UE afin de limiter, dit-il, l'installation d'habitants originaires des pays les plus pauvres dans les pays les plus riches.

Le commissaire européen à l'Emploi et aux Affaires sociales, Laszlo Andor, a critiqué ce qu'il a qualifié de "rhétorique unilatérale".

"Il s'agit d'une réaction disproportionnée et fâcheuse. Nous aurions besoin d'une présentation plus exacte de la réalité, et pas dans une hystérie telle qu'elle se produit quelquefois au Royaume-Uni", a-t-il dit à la radio BBC.

 

Suite : http://fr.news.yahoo.com/londres-veut-lutter-contre-limmigration-en-provenance-lue-095848467.html

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Macédoine : Le petit pays de l’ex-Yougoslavie avait été accepté comme candidat à l'admission en 2005. Nikola Poposki, ministre des Affaires étrangères, en appelle à la France et l'Allemagne pour débloquer le processus.

 

http://www.liberation.fr/monde/2013/11/29/ue-la-macedoine-s-impatiente_962913

 

Le sommet du Partenariat oriental de l’Union européenne s'achève ce vendredi à Vilnius, non sans ambiguïté sur l'intégration des pays de l'est dans l'UE.

 

http://www.liberation.fr/monde/2013/11/29/avec-le-partenariat-oriental-l-europe-avance-ses-pions-a-l-est_962921

 

600766-hollande_au_sommet_du_partenariat

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LONDRES (Reuters) - L'ancien Premier ministre britannique John Major a mis en garde ses compatriotes contre la tentation d'une sortie de l'Union européenne, une décision "désastreuse" qui coûterait selon lui des milliards de livres à la Grande-Bretagne et la laisserait isolée sur la scène internationale.

 

http://fr.news.yahoo.com/quitter-lue-serait-d%C3%A9sastreux-pour-la-grande-bretagne-115944333--finance.html

 

L'un des freins au développement des voitures électriques est l’accès aux points de recharge électriques ou de ravitaillement en hydrogène et gaz naturel. Ainsi, la commission des Transports de l’UE a adopté une proposition de directive qui fixe le nombre d’installation dont doivent disposer les états membres d’ici 2020.

(...) D'ici décembre 2020, les États membres devront disposer d’un nombre minimal de points de recharge pour les véhicules électriques. Chaque pays a son propre objectif. Par exemple, la France devra compter 55 000 points de recharge accessibles au public.

 

http://www.deplacementspros.com/L-Europe-veut-favoriser-les-voitures-ecolos_a24549.html

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La Géorgie gagne l’Europe..... l’Ossétie s’en détache.

 

La « limite administrative » entre l’Ossétie du Sud et la Géorgie commence à devenir une frontière… Alors qu’à Vilnius, au sommet du Partenariat oriental, la Géorgie célébrait le paraphe de son accord d’association avec l’Union européenne, la mission d’observation de l’Union européenne (EUMM Georgia), présente sur le terrain donnait l’alerte. L’installation de barbelés entre l’Ossétie du Sud et la Géorgie a « repris » de plus belle, affirme-t-elle dans un communiqué publié ce vendredi (29 novembre).

 

http://www.bruxelles2.eu/zones/asie-centrale-georgie-russie-europe-caucase/attention-frontiere-la-georgie-gagne-leurope-lossetie-sen-detache.html

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Frontex, l’agence européenne pour les frontières, doit se doter ce lundi 2 décembre d’un système appelé Eurosur, dont la mission est d’améliorer la coordination de la surveillance des frontières extérieures. 

 

http://www.atlantico.fr/decryptage/eurosur-ue-se-donne-t-elle-vraiment-moyens-lutter-contre-immigration-clandestine-914112.html

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Il y a ceux qui veulent entrer...

 

L'Ukraine a affirmé mercredi continuer de rechercher la signature d'un accord d'association avec l'Union européenne à de meilleures conditions, à la veille du sommet du Partenariat oriental de l'UE à Vilnius.

 

Les Ukrainiens le voudraient peut-être. Voire très probablement.

 

Mais rien de tel ne leur a été proposé ! Il ne s'agit que d'un "accord d'association"... des devoirs sans des droits ?

 

 

 

... et ceux qui veulent sortir.

 

David Cameron a exprimé mercredi sa volonté de durcir les conditions d'accès aux prestations sociales en Grande-Bretagne pour les nouveaux immigrés en provenance d'autres pays de l'Union européenne.

 

Cameron ne veut pas faire sortir le Royaume-Uni de l'UE. Ce sont seulement les citoyens britanniques qui le souhaitent -à une petite majorité.

 

Cameron cherche seulement à utiliser l'euroscepticisme britannique comme levier pour obtenir des réformes de l'UE dans un sens plus ultra-libéral encore. Il est bien conscient de la ligne rouge qu'une sortie de l'UE représenterait pour la City, et il obéira à ses maîtres.

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 Quand les britanniques se seront pris les premiers coups de matraque du processus pour le réferundum d'indépendance écossaise, ils comprendront alors que le seul moyen pour faire revenir en arrière les opinions écossaises sera non plus de l'euroscepticisme tout azimut habituel mais un clair rétropédalage en arrière vers une + forte intégration de la GB vers l'Europe (quand je dis euroscepticisme c'est envers l'UE, pas la monnaie) pour pouvoir mieux bénéficier du potentiel d'aides de développement du panel potentiel de l'Europe des régions ...

 

  Pour l'instant l'euroscepticisme britannique s'est renforcé du fait de la crise, mais aussi de l'aveuglement des anglais notamment ceux un peu trop proche de la finance londonienne quand au potentiel pétrolier du pays ... Sans le pétrole la plupart des analystes économiques se sont mis d'accord sur le fait que la GB aurait ultra souffert de la crise des subprime au point d'en créer une catastrophe nationale et le niveau économique de l'ensemble du pays aurait très clairement décroché en comparaison de la France qui est le meilleur étalon de comparaison vu qu'on est au coude a coude en termes de poids économiques depuis les 30 glorieuses après le grand rattrapage économique post guerre de la France ...

 

  L'un de leur principal problème étant d'avoir une agriculture trop peu développée dans les produits a bonne valeur ajoutée, la ou la France elle se maintient très clairement grace a ce type d'activité ... Du coup leur pétrole est un peu comme notre champagne ... Mais vu les réserves prouvées en mer du Nord : Il va leur faloir ouvrir les yeux sur une nécessité d'urgence de pouvoir remplacer en 20 ans le poids économique du pétrole

 

  Et la l'Europe sera leur seul salut ...

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 Quand les britanniques se seront pris les premiers coups de matraque du processus pour le réferundum d'indépendance écossaise, ils comprendront alors que le seul moyen pour faire revenir en arrière les opinions écossaises sera non plus de l'euroscepticisme tout azimut habituel mais un clair rétropédalage en arrière vers une + forte intégration de la GB vers l'Europe (quand je dis euroscepticisme c'est envers l'UE, pas la monnaie) pour pouvoir mieux bénéficier du potentiel d'aides de développement du panel potentiel de l'Europe des régions ...

 

  Pour l'instant l'euroscepticisme britannique s'est renforcé du fait de la crise, mais aussi de l'aveuglement des anglais notamment ceux un peu trop proche de la finance londonienne quand au potentiel pétrolier du pays ... Sans le pétrole la plupart des analystes économiques se sont mis d'accord sur le fait que la GB aurait ultra souffert de la crise des subprime au point d'en créer une catastrophe nationale et le niveau économique de l'ensemble du pays aurait très clairement décroché en comparaison de la France qui est le meilleur étalon de comparaison vu qu'on est au coude a coude en termes de poids économiques depuis les 30 glorieuses après le grand rattrapage économique post guerre de la France ...

 

  L'un de leur principal problème étant d'avoir une agriculture trop peu développée dans les produits a bonne valeur ajoutée, la ou la France elle se maintient très clairement grace a ce type d'activité ... Du coup leur pétrole est un peu comme notre champagne ... Mais vu les réserves prouvées en mer du Nord : Il va leur faloir ouvrir les yeux sur une nécessité d'urgence de pouvoir remplacer en 20 ans le poids économique du pétrole

 

  Et la l'Europe sera leur seul salut ...

 

Je n'ai pas forcément la même analyse que toi sur la désirabilité de l'appartenance à l'UE, mais je ne souhaite pas relancer ce débat.

Je commente juste un seul point, mais un point important :

 

Une nation qui a montré au cours des siècles autant de talents que la nation britannique, qui dispose aujourd'hui d'autant de ressources, n'a pas un et un seul choix possible, dont elle devrait attendre son "seul salut"

 

La Suisse est petite par rapport à la Grande-Bretagne, l'Islande est minuscule, aucune n'a de ressources minières notables, et pourtant elles tiennent debout seules et font leurs propres choix.

 

Hors d'Europe, et dans des environnements pour certains autrement plus difficiles, des nations comme la Corée du Sud, Taiwan - et faut-il le rappeler, Israël ! - n'ont aucunement besoin de rejoindre une quelconque union, ni un troupeau quelconque, pour être des nations très développées et très prospères. Et toutes sont objectivement plus faibles que le Royaume-Uni.

 

Les Britanniques feront leur choix librement, soit qu'ils restent dans l'UE, soit qu'ils en sortent.

 

Tout comme les Français, soit dit en passant.

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J'ai vu passer cette info nulle part:

http://www.ttu.fr/lemat-et-la-construction-du-rens-europeen/

 

La France et le RU se rapproche sur la collaboration en matiere de renseignement militaire. Vue la proximite des anglois avec l'uncle sam, j'ai peur que ca n'arrange pas l'impermeabilite de nos systemes de renseignement par rapport aux services US.

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J'ai vu passer cette info nulle part:

http://www.ttu.fr/lemat-et-la-construction-du-rens-europeen/

 

La France et le RU se rapproche sur la collaboration en matiere de renseignement militaire. Vue la proximite des anglois avec l'uncle sam, j'ai peur que ca n'arrange pas l'impermeabilite de nos systemes de renseignement par rapport aux services US.

 

Déjà fait...

 

http://www.air-defense.net/forum/topic/11243-usa/?p=715584

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En 2012, la bicyclette devance la voiture dans toute l'Union européenne, sauf en Belgique et au Luxembourg (données non disponibles pour Malte), selon les chiffres de Coliped, l'association européenne de l'industrie du cycle, et de l'association des constructeurs automobiles européens (ACEA). Cela tient surtout à l'effondrement depuis plusieurs années des ventes de voitures à cause de la crise qui frappe l'Europe, un véritable "Carmageddon", comme le dit le patron de Fiat, Sergio Marchionne.

 

http://www.lepoint.fr/auto-addict/actualites/l-europe-fait-sa-velorution-sous-l-effet-de-la-crise-03-12-2013-1764512_683.php

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Les Britanniques feront leur choix librement, soit qu'ils restent dans l'UE, soit qu'ils en sortent.

 

Sauf que le patron de Goldman Sachs, qui se fait lui l'écho de la communauté financière, a annoncé publiquement la semaine dernière que si l'Angleterre votait par référendum la sortie de l'Europe, il déménagerait à Paris ou Francfort (ce qui veut dire que tous les autres aussi); et sans la place financière de Londres, l'Angleterre n'a pour ainsi dire pas d'économie, et ce d'autant plus qu'en plus du départ de l'industrie financière, disparaît aussi l'ensemble des activités économiques liées à la position du pays comme "porte d'entrée" pour l'Europe (entre autre l'implantation, comme en Irlande, de nombreux sièges, plates formes commerciales et logistiques). Annonce faite dans un contexte où l'opinion en faveur du maintien dans l'UE tourne entre 20 et 30%, contre une sortie recueillant entre 50 et 60% (à prendre avec des pincettes cependant car les proportions sur ce dernier point ne semblent pas dans les mêmes eaux que les opinions défavorables à l'égard de l'UE, qui sont un peu plus basses, même si nettement supérieures aux opinions défavorables).

 

Il est amusant de constater, cependant, la tendance des britanniques à favoriser une "vision" plus en phase avec une image "mondialisée" du pays et les rapports avec "l'anglosphère", quand un tel mouvement par rapport à l'UE leur ferait perdre une bonne part de leur attractivité, de leur capacité de négo et de leur intérêt avec cette même "anglosphère". On se demande par exemple quelle attitude auraient les USA à l'égard d'une Gibi n'ayant plus le ticket d'entrée dans les instances dirigeantes du continent, surtout à une heure où, comme d'autres, ils perdent en plus de leur capacité en tant qu'allié militaire. Mais l'attitude persiste, surtout à droite, tant chez les extrêmes tarés/idéologiques sans arguments fondés comme Farage que chez un Cameron maintenant qu'il aura un deal permettant d'avoir le beurre, l'argent du beurre et le sourire de la crémière.

Modifié par Tancrède
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Lol pour le président de GS parlant de se barrer. Premièrement je ne sais pas ce que vaut la parole de Goldman Sachs, mais sûrement pas grand chose. Secondo on a bien vu ce qu' a fait Carlos Goshn qui disait il y  a quelques années que si la GB ne rentrait pas dans l'euro ils délocaliseraient en europe. Résultat aujourd'hui nissan n'a  cessé d'investir en Angleterre malgré les rodomontades de carlos et n'a jamais eu autant d'employés en GB. En plus quand on voit que des groupes comme BNP depuis peu délocalisent une bonne part de leurs salles de marché en Angleterre (avec obligation de passer au régime anglais pour les traders), alors qu'ils ont du prendre le risque de sortie... GS restera en GB car la GB continuera de loin d'être la plus compétitive par rapport à Paris ou Francfort, pendant que l'europe adoptera des lois anti finance. La suisse a beau être en dehors de l'europe, côté place financière ça roule encore...le CEO de GS prend peut-être en compte des considérations géo-politiques (les USA veulent s'assurer que la GB reste dans l'europe pour que l'UE reste une zone de libre échange par ex) du coup, il faut faire peur à l'électeur.

Modifié par gerole
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Sauf que le patron de Goldman Sachs, qui se fait lui l'écho de la communauté financière, a annoncé publiquement la semaine dernière que si l'Angleterre votait par référendum la sortie de l'Europe, il déménagerait à Paris ou Francfort (ce qui veut dire que tous les autres aussi)

 

Ceci dit, d'autres figues de la City ont déclaré que ce ne serait pas un problème arguant de l'expérience britannique en matière de gestion d'une grande place financière. Je me demande à quel point le patron de GS le pense vraiment et à quel point ce commentaire sert à faire pression sur le gouvernement britannique pour d'autres raisons (en somme un chantage classique à la délocalisation).

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Le savoir faire et les infrastructures sont suffisamment disponibles sur le continent pour que ce ne soit pas un grand problème de transition, sans même compter les structures déjà en place et certains avantages particuliers à d'autres places de marché (par exemple, l'arbitrage à Paris), plus la capacité de lobbying. Le vrai truc est simplement qu'aucune institution financière ne peut avoir son activité de marché hors d'Europe, ce que visiblement beaucoup ont du mal à piger. Si une frontière se remet à exister dans la Manche, une énorme part de l'attractivité de Londres en tant que place financière disparaîtra: il restera des activités financières à Londres, mais c'est un pan majeur, sinon même LE pan majeur de la place qui devra déménager. La seule réserve possible est la négociation d'un deal de libre-échange, et plus exactement de ses spécifications dans les domaines concernés, et dans ce cas de figure, on ne voit strictement aucune raison pour laquelle Paris et Berlin (plus sans doute la Hollande et l'Italie) feraient la moindre fleur en la matière aux Anglais, surtout une fleur de cette taille avec autant à récupérer dans l'histoire.... Seule vraie inconnue dans ce domaine: l'effort de lobbying en la matière que les poids lourds de la finance sont prêts à faire pour éviter le déménagement (pas une opération si lourde qu'on croit) en aménageant l'éventuel traité qui régira alors les rapports économiques entre une Gibi nouvellement "indépendante" et l'UE. Ca reste possible, mais ce genre d'effort de lobbying coûtera cher (du fric, du temps, de l'incertitude et beaucoup de "bargaining chips") sans qu'il soit dit qu'il en vaille la peine (comparé aux conditions que Berlin, Paris et d'autres seraient sans doute prêts à offrir pour récupérer autant d'activité que possible). Autre inconnue éventuelle: le rôle que les USA pourraient jouer pour garder leur "cheval de Troie" tel quel (mais il y a du remplacement possible, l'Angleterre est pour eux de moindre valeur qu'avant, le résultat ne vaudra peut-être pas la peine).

 

Les quelques échos du landerneau financier de Londres m'ont laissé entendre que ça bavarde et s'agite beaucoup, et que la sortie du patron de Goldman Sachs n'est pas juste une menace creuse, justement, même s'il y a évidemment une dose de ça dans cette annonce, comme toujours. Mais il ne serait pas sorti là-dessus s'il s'agissait uniquement de ça: depuis l'annonce du référendum, les financiers et milieux d'affaires en général se fendent de sorties sur l'intérêt de l'UE et tout le bastringue des risques d'en sortir, et de ce qu'eux-mêmes feraient ou devraient faire si ça arrivait. Ici, faire une annonce aussi directe, mettant en valeur cette simple alternative, relève de bien plus.

Modifié par Tancrède
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Article intéressant de Evans-Pritchard sur l'éloignement progressif de la France et de l'Allemagne, et sur ce qu'il interprète comme des signes d'une libération de la parole à Paris envers Berlin.

 

La conclusion est particulièrement intéressante, et Evans-Pritchard finit par rhabiller pour l'hiver à la fois les Europhiles et les Eurosceptiques. Avant tout les partisans britanniques de la sortie ou du maintien du RU dans l'UE, une question dont il considère qu'elle appartient au passé car "l'UE n'existe plus dans son ancienne forme"

 

En somme, cet Eurosceptique de toujours considère que la question est déjà tranchée, les nations se réaffirment progressivement, et il n'y a plus d'intérêt pour la Grande-Bretagne à sortir.

 

 

My point is not that Jacques Attali is right or wrong. What interests me as an political anthropologist is that he is saying such things, and that they are no longer hushed up by the French media as violations of the Élysée Treaty spirit. We are watching the historic French nation come out of slumber and subservience at long last, as it was always bound to do once its (justifiable) Gallic pride was hurt and interests were deeply threatened. This is the new fact on the ground.

 

My own view is that Germany has another five years or so of illusory hegemony in Europe before it all gives way to demographic fundamentals. The younger Entente of France and Britain will take the lead again, buttressed by the high fertility Nordic bloc.

 

This is why I regard the Brit-Brit internal debate over EU exit and the costs and benefits of withdrawal as stale, narrow, and ill-informed. The CBI's attempt to put a figure on it is laughable. The great EU fight over the locus of democracy, and whether or not the ancient nation states are or are not the proper foundation of European societies. A penny here or there is a squalid distraction. Even if it could be shown that the EU enhances British GDP – and it cannot be shown because there are too many political and economic variables – it would not make the slightest difference.

 

The strategic landscape is changing before our eyes. The EU no longer exists in its old form. The contours seem frozen in the imagination of British Euro-sceptics and British europhiles (usually even more provincial). They are both arguing over 20th Century issues that no longer have any meaning.

 

Sorry to offend everybody at once. Bad habit, to be sure.

 

 

Discutable, mais donnant à penser.

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