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Embuscade à Surobi


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French Army Develops Joint Fire Support Doctrine

By pierre tran

Published: 5 Sep 11:39 EDT (15:39 GMT)

Paris - The French Army is adopting a joint approach in its fire support mission, extending the ability to call in strikes to a lower tactical level, said Col. Jean-Michel Naal of the Center for Doctrine for the Employment of Forces. "This is a real strategic decision," he said.

Under a joint doctrine to be introduced next summer, the Army will boost the number of fire support specialists from 500 to 900, creating specialists for the fire control adviser and the equivalent of joint fire observer. They will call in fire support from air, ground and naval assets.

The specialists will be part of teams forming 30 artillery detachments for liaison, observation and coordination. These detachments will be assigned to each of the 30 Army regiments for training and deployment.

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:lol: :lol: :lol: Aucun respect pour les "vieux" serviteurs  :lol:

Dans de nombreux échanges sur les hélicoptères pour l'Afghanistan, j'ai retrouvé un entrefilet de Guisnel sur la facturation.

Le site de l'état-major des armées nous apprend que l'armée française a loué un Antonov 124 ukrainien pour transporter au Tchad , le 5 juillet, deux hélicoptères Gazelle du 3e Régiment d'hélicoptères de combat d'Étain. Ce transport a coûté environ 300.000 euros, précise-t-on au ministère de la Défense, où l'on ajoute que l'armée de l'air n'était pas en mesure de l'effectuer avec ses propres équipements. Ce problème ne sera réglé qu'avec la livraison des premiers avions de transport de nouvelle génération A400M , qui ne commencera pas avant 2010. Depuis le début de l'année 2008, la société russe de droit allemand Ruslan Salis Gmbh a facturé 18 millions d'euros au gouvernement français, pour soixante vols destinés à emporter du matériel lourd vers les théâtres extérieurs. La plupart des pays européens membres de l'Otan ont recours à des services de ce type, dans le cadre du contrat SALIS .

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Dans de nombreux échanges sur les hélicoptères pour l'Afghanistan, j'ai retrouvé un entrefilet de Guisnel sur la facturation.

Le site de l'état-major des armées nous apprend que l'armée française a loué un Antonov 124 ukrainien pour transporter au Tchad , le 5 juillet, deux hélicoptères Gazelle du 3e Régiment d'hélicoptères de combat d'Étain. Ce transport a coûté environ 300.000 euros, précise-t-on au ministère de la Défense, où l'on ajoute que l'armée de l'air n'était pas en mesure de l'effectuer avec ses propres équipements. Ce problème ne sera réglé qu'avec la livraison des premiers avions de transport de nouvelle génération A400M , qui ne commencera pas avant 2010. Depuis le début de l'année 2008, la société russe de droit allemand Ruslan Salis Gmbh a facturé 18 millions d'euros au gouvernement français, pour soixante vols destinés à emporter du matériel lourd vers les théâtres extérieurs. La plupart des pays européens membres de l'Otan ont recours à des services de ce type, dans le cadre du contrat SALIS .

Intéressante information, j'ai toujours dit qu'apporter du lourd en Afghanistan couterait la peau des fesses... =D

Mais, quel rapport avec le vélo?  Si c'est en rapport avec le 105, pas d'angoisse un C130 en emporte 4 sans problème. On peut même les parachuter direct sur les FOB....  :lol:

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Intéressante information, j'ai toujours dit qu'apporter du lourd en Afghanistan couterait la peau des fesses... =D

Mais, quel rapport avec le vélo?  Si c'est en rapport avec le 105, pas d'angoisse un C130 en emporte 4 sans problème. On peut même les parachuter direct sur les FOB....  :lol:

On a déjà eu une discussion sur l'artillerie française dans la rubrique lancée par Max.  :lol:

On a parlé tous les 2 et avec les autres dans ses nombreuses pages de ce fil sur l'embuscade à Surobi, de déficit capacitaire en aéromobilité.

On a même annoncé que ce serait bien d'envoyer des MO 120 et TRF1 155 supplémentaires et par la suite du CAESAR à la FOB. Et non ! comme semblait le penser en patrouille. Le Caesar a la portée allongée qu'il faut pour faire du CAS si nos troupes le demandent.

Puisqu'il faut y déployer des Cougar/Gazelle Canon/Tigre/Caracal supplémentaires, on va les transporter par les AN124 loués, l'armée de l'air a 550 heures de vols par an en location. Vu que France > Tchad c'est plus court, Istres > KAIA cela va coûter la peau des couilles  :lol:

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Puisqu'il faut y déployer des Cougar/Gazelle Canon/Tigre/Caracal supplémentaires, on va les transporter par les AN124 loués, l'armée de l'air a 550 heures de vols par an en location. Vu que France > Tchad c'est plus court, Istres > KAIA cela va coûter la peau des couilles  :lol:

Négatif, ils vont surement faire comme pour la TF700 : bateau puis pont aérien. C'est le plus logique en termes de coût logistique...

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Puisqu'il faut y déployer des Cougar/Gazelle Canon/Tigre/Caracal supplémentaires, on va les transporter par les AN124 loués, l'armée de l'air a 550 heures de vols par an en location. Vu que France > Tchad c'est plus court, Istres > KAIA cela va coûter la peau des couilles

Et pourquoi pas un voyage en deux temps, maritime jusqu'au XXXX puis aérien vers l'Afghanistan comme ce fut déja le cas.

edit: grillé par Fus :lol:

edit 2.mise en conformité TTA et 50+1 ;)

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Et pourquoi pas un voyage en deux temps, maritime jusqu'au EAU puis aérien vers l'Afghanistan comme ce fut déja le cas.

edit: grillé par Fus :lol:

Oui et moi en plus j'ai tenu compte de la circulaire TTA 4720 sur la confidentialité des opérations. J'ai pas donné de noms... :lol:

P4, vous m'en ferez 50... =D

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Négatif, ils vont surement faire comme pour la TF700 : bateau puis pont aérien. C'est le plus logique en termes de coût logistique...

Sealift jusqu'à EAU puis AN124 > KAIA. 2 frais de transport à 2 sociétés différentes.

Autant partir de Mont de Marsan, on prélève 2 Caracal RESCO à Cazeau + CPA + 2 Gazelle Canon EHS ou Tigre HAP à Pau + quelque un GFS ,puis zou....

Au passage quelques MO 120 et TRF1 du 93 BAM + des EOP. 

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Sealift jusqu'à EAU puis AN124 > KAIA. 2 frais de transport à 2 sociétés différentes.

Ca coute que dalle le transport par bateau en container ... CGACGM nous fera ca a l'œil.

Un Caesar ca rentre ... une gazelle ca doit passer aussi quitte a demonter ce qui depasse un peu.

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On vient de faire passer la durée du séjour de nos gars en Afghanistan de 4 à 6 mois, et ça c'est plutôt mieux pour l'efficacité de nos gars là-bas.

Pour l'envoi des matos en renfort le bateau me paraît suffisant, on n'est plus à deux ou trois semaines près.

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A lire ce témoignage paru dans le point sur le blog de JG.

clem Le scandale des matériels français samedi 6 septembre | 15:16

La dictature de la DGA et des industriels n'est pas nouvelle hélas. Lisez donc monsieur Guisnel le chapitre consacré à ce sujet dans le livre que je vous ai envoyé ("L'amère patrie"). Un général de l'ALAT m'a tenu un jour ce propos stupéfiant : "Si nous n'avons pas d'hélicoptère lourd, c'est parce que cela ne correspond pas aux besoins de l'industriel." Si le VAB est aussi mauvais en terrain difficile ou instable (tendance à verser), c'est parce qu'il a été conçu pour être 6X6 et non 4X4. Pour des raisons financières, un (mauvais) choix a été fait entre la capacité amphibie (inutile) et la motricité/portance d'un 6X6 (très utile). Combien de tués déjà par retournement des VAB ? Par contre en Bosnie le VAB s'est révélé d'une bonne protection sur les mines (roue arrachée mais compartiment du personnel intact). Les paras et les alpins (dits "infanterie légère") crachaient sur les VAB mais ils ont été bien contents de les avoir le jour où il ne suffisait plus de patrouiller en jeep débâchée pour disperser des fauteurs de troubles par le froncement d'un demi-sourcil dans quelque république bananière ! A Beyrouth, du temps de la FMSB le VAB a bien servi contre les tirs d'armes légères. Quant au véhicule articulé chenillé BV, pour l'avoir souvent utilisé au Cambodge avec le bataillon néerlandais dans un secteur disons rustique, et alors qu'au départ il fut conçu pour la neige et les marécages, il a fait merveille, étant le seul engin à pouvoir rouler sur les pistes de jungle défoncées par la mousson. Que vaudrait-il sur la rocaille d'Afghanistan ? Les Hollandais disaient que les chenilles étaient fragiles sur sol dur et je les ai souvent vus les réparer ou en changer. Mais je n'ai pas l'expérience nécessaire, peut-être existe-il des chenilles adaptées ? Le véhicule de combat d'infanterie idéal et adapté à toutes les missions et à tous les théâtres d'opérations n'existe sans doute pas ! Et quand bien même, il n'est pas le seul matériel engagé en opérations. Mais cela mérite un développement trop long (entre autres, pourquoi une irresponsable Inspection de l'Infanterie a t-elle toléré le retrait des mortiers ?) Alors gare aux polémiques lancées parfois par des spécialistes de plateaux télé ou même des militaires de bonne foi. Pour éviter les critiques du type "guerre des boutons", je précise que j'ai servi en infanterie motorisée, en para, et un peu en montagne, avec plus de 20 ans dans la troupe (repos!). La vérité est que l'action militaire doit faire face à des menaces très diverses, dans des situations très diverses, nécessitant toute une palette de moyens que nous ne sommes plus capables de nous offrir (tout en entretenant une force nucléaire taboue...).

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ç'est quoi la précision pour l'artillerie ? ça dépend du calibre ?

Je ne suis pas artilleur mais l'artillerie d'aujourd'hui est très précise. Maintenant pour le calibre ce n'est pas je pense un facteur de précision, mais la distance ou l'obus est envoyé l'est certainement beaucoup plus, les vents en altitude selon les distances doivent peut-être un peu jouer sur la précision. Il faudrait un artilleur pour nous donner les rens.

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ç'est quoi la précision pour l'artillerie ? ça dépend du calibre ?

on peut qualifier un tir précis avec un impact dans un diamètre de 40-50 mètres pour un tir de 155 à 12-15 kms. Mais cela se faisait "de mon temps" en deux fois; c'est à dire des tirs solo afin d'affiner les corrdonnées puis un tir "d'éfficacité" ordonné à toute la batterie (par exemple) quand le tir était jugé satisfaisant en terme de précision.
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@fusilier, @trimix

je vois pas en quoi la decence et le respect pour ceux qui sont tombés (personne n'en a le monopole) empêchent de parler TACTIQUE.

je dis simplement que réduire Surobi à des pbs de matos, ça me paraît réducteur. Si Carmin avait bénéficié d'appuis solides, on aurait sûrement limité les dégâts. Quant à faire une reco à pied avec un niveau élevé de risque potentiel, je maintiens que ça relève d'une façon de faire... rudimentaire.

mais mon point de vue n'a aucune importance, j'espère simplement que ça fera réfléchir ceux dont c'est le boulot de réfléchir à la tactique, au dispositif, etc. On doit pas manquer d'officiers pour ça, non?

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je dis simplement que réduire Surobi à des pbs de matos, ça me paraît réducteur.

De ce point de vue et ce qui me concerne, tu preches un convaincu... Il suffit de voir le nombre de fois ou je me suis fait traiter "d'archaique"... :lol:

Quant à faire une reco à pied avec un niveau élevé de risque potentiel, je maintiens que ça relève d'une façon de faire... rudimentaire.

Ben quand les véhicules ne passent plus, qu'il n'y a plus de route, il ne reste plus que le "pedibus". Et alors on tombe soit sur une problèmatique "matos" (hélicos, drones, etc..)  soit sur une problèmatique tactique.

D'une manière générale "théorique" on peut toujours dire, qu'il y a des modes opératoires plus ou moins "rustiques" de faire ça à pied. Mais, c'est là ou ça devient compliqué d'en parler, faute d'infos suffisantes...

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@fusilier, @trimix

je dis simplement que réduire Surobi à des pbs de matos, ça me paraît réducteur. Si Carmin avait bénéficié d'appuis solides, on aurait sûrement limité les dégâts. Quant à faire une reco à pied avec un niveau élevé de risque potentiel, je maintiens que ça relève d'une façon de faire... rudimentaire.

Il y a une chose à ne pas oublier. Tout ce qui est VTC, VBC, VCI etc... Ils ont pour but à l'origine de transporter le combattant en securité contre la petite ferraille du champs de bataille ( munition de petit calibre, éclats, certaine mines) à ecouter certain ils faudrait les employer à tout bout de champ voir même debouler direct avec au sein du dispositif ennemi. Non, ça peut aller de 1000 à 50 selon le type de terrain et le contexte, les derniers mètres appartiennent à l'infanterie. L'armement plus lourd embarqué servant à l'appui. Idem pour les helycos, ils ne se poseront jamais sur un obectif suceptible d'être occupé par l'adversaire. Aussi rudimentaire que cela puisse parraître ce sera toujours comme ça.

Quelque soit le transport, on ne l'envoi pas comme cela au hasard si la zone à aborder représente des risques. Idem pour les chars, à Surobi à quoi auraient-ils servis sur un terrain comme ça, à rien. Dans une configuration pareil l'infanterie est la meilleur arme et avec tout les risques qui en découlent.

Ce sont les tactiques, l'entrainement et l'équipement du soldat qui feront toute la diférence. Ensuite adapter le renseignement ( reco, surveillance et l'observation) les transports et les types d'appuis adaptés pour apporter une efficacité maximum aux troupes engagées. Les Retex sur les guerre antérieur, les arcaïques seraient d'un grand secour, n'en deplaise à Brigitte, mais les Américains si je me rappelle utilisaient des ânes pour le surplus de poid en montagne, vachement techno comme moyen ;)

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Je rajoute un témoignage d'un blessé. Il cite un nom qui malheureusement n'aurait pas du etre indiqué mais bon...

Joint hier par téléphone, Vincent Paul donne son témoignage sur l'embuscade du 18 août. « Tout s'est passé si vite. C'était rapide et brutal. On n'a pas eu le temps de réfléchir. Juste après, j'ai eu comme un trou noir, le vide. »

Le jeune parachutiste sedanais n'aurait pas dû se trouver dans le groupe de tête mais il marchait vite et les a rejoints. « Parvenus aux trois quarts de la colline, nous avons entendu un tir de sommation et juste après un cri de berger. C'était un signal. Aussitôt, les tirs ont fusé depuis la ligne de crête où l'on apercevait les chapeaux de Massoud (NDLR : les toques des talibans). Nous sommes restés en poste pendant une heure, une heure et demie. J'ai vu que deux collègues n'étaient pas bien mais on m'a dit de descendre.

Le caporal-chef Grégoire était déjà parti devant, et j'avais son fusil qu'il avait dû poser pour s'occuper d'un blessé. Il n'avait plus que des grenades. C'est alors que j'ai vu huit talibans remonter dans notre direction. Nous avions été encerclés.

Je me suis terré dans un coin d'ombre et j'ai entendu un cri. Je n'ai rien vu mais j'ai compris qu'ils venaient d'égorger l'un des nôtres. Avant, ils avaient fait une prière. Mais aucun autre militaire français n'a été tué à l'arme blanche », confirme-t-il.

C'est seulement de retour à Kaboul que Vincent Paul a identifié le soldat parmi les dix militaires tués : il s'agissait du caporal-chef Grégoire. Huit hommes de sa section ont perdu la vie dans cette embuscade, et quarante et un du côté des talibans qui, d'après lui, étaient une centaine embusqués sur cette zone.

Le jeune Sedanais n'a pas encore surmonté le choc psychologique : « Je ne dors pas très bien », avoue-t-il, ajoutant qu'il « pense fort aux familles des victimes ».

Pour autant, Vincent Paul ne se sent pas concerné par le débat politique autour du bien-fondé de l'intervention de la France. Pour lui, la question ne se pose pas : « C'est une bonne mission. Nous nous sommes entraînés intensivement pour cela, pas pour des manœuvres. S'il faut repartir, j'irais naturellement. Mais à mon avis, ce qui se passe là-bas ne s'arrêtera pas ».

Article complet : http://www.lunion.presse.fr/index.php/cms/13/article/174440/

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Et la grosse bertha.....Oui ça va je connais la sortie...( en plus mon epouse veut me couper les tifs... :lol:)

a pluche

Çà a quand même une portée de plus de 100 km, un temps de vol inférieur à 10mm et en plus la technologie le rend plus précis. ;)

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Il y a une chose à ne pas oublier. Tout ce qui est VTC, VBC, VCI etc... Ils ont pour but à l'origine de transporter le combattant en securité contre la petite ferraille du champs de bataille ( munition de petit calibre, éclats, certaine mines) à ecouter certain ils faudrait les employer à tout bout de champ voir même debouler direct avec au sein du dispositif ennemi. Non, ça peut aller de 1000 à 50 selon le type de terrain et le contexte, les derniers mètres appartiennent à l'infanterie. L'armement plus lourd embarqué servant à l'appui. Idem pour les helycos, ils ne se poseront jamais sur un obectif suceptible d'être occupé par l'adversaire. Aussi rudimentaire que cela puisse parraître ce sera toujours comme ça.

Quelque soit le transport, on ne l'envoi pas comme cela au hasard si la zone à aborder représente des risques. Idem pour les chars, à Surobi à quoi auraient-ils servis sur un terrain comme ça, à rien. Dans une configuration pareil l'infanterie est la meilleur arme et avec tout les risques qui en découlent.

Ce sont les tactiques, l'entrainement et l'équipement du soldat qui feront toute la diférence. Ensuite adapter le renseignement ( reco, surveillance et l'observation) les transports et les types d'appuis adaptés pour apporter une efficacité maximum aux troupes engagées. Les Retex sur les guerre antérieur, les arcaïques seraient d'un grand secour, n'en deplaise à Brigitte, mais les Américains si je me rappelle utilisaient des ânes pour le surplus de poid en montagne, vachement techno comme moyen ;)

Il existe ce que l'on appelle une reconnaissance en force, le dispositif est une force mécanisée et blindée. C'est ce qui manque actuellement dans le dispositif français, des moyens lourds.

Tu connais pas l'âne OGM???

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