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Equipement d'urgence


Philippe Top-Force

Messages recommandés

Ben voyons X 2....

:lol:

Les exemples se comptent a la pelle...chaque fin d'Opex ou d'intervention voit des destructions de munitions par le Materiel qui prefere detruire plutot que de voir des mun' deconditionnees tirees par les unites...ou encore des munitions compatibles cedees gratuitements par des nations alliees (des 40X46 mm par exemple...) detruites car "inconnues" (mon oeil); en revanche, quand il s'agit de mettre des filets anti-chaleur en place sur les theatres pour qu'il ne fasse pas 55°C dans les containers, on attend....et parfois il y a des accidents....et la on reagit...

Enfin, ce n'est pas un concours de longueur de zigounette mais je sais ce que je dis.

HS off en ce qui me concerne.

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HS off en ce qui me concerne.

Pour moi aussi,

votre dernière intervention sur le sujet démontrant une nouvelle fois votre totale ignorance des règles de gestion des munitions au sein de la défense, il est donc inutile de poursuivre.

Juste une dernière remarque. Lorsque vous écrivez ceci,

en revanche, quand il s'agit de mettre des filets anti-chaleur en place sur les theatres pour qu'il ne fasse pas 55°C dans les containers, on attend....et parfois il y a des accidents....et la on reagit...

vos propos sont non seulement mensongers, mais en plus diffamatoires envers mes camarades qui servent un peu partout dans le monde.

Suite en MP (et seulement en MP) si vous le souhaitez.

Fin du HS.

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  • 4 weeks later...

Actuellement, sur le marché européen, le prix des 40x46 comme des 40x53 tourne autour de 120€ TTC pour des HEDP avec des quantités de l'ordre de 1000 munitions. Il est bien évident que pour des quantités supérieures, l'effet de masse fait évoluer le prix vers le bas, mais sûrement pas jusqu'au point de le diviser par deux.

MEN est un cartouchier, pour le 40 mm, voir plutôt du coté de chez Rheinmetall.

Les grenades de 40 mm n'ont jamais posé de problèmes aux industriels français, pour la simple et bonne raison qu'ils ne sont pas intéressés à cette famille de munitions, un peu de la même façon qu'à une époque d'autres industriels n'ont pas cru aux lecteurs laser et aux magnétoscopes. On connaît le résultat...

Si votre ami de chez Jaubert n'a que peu tiré de 40 mm, le problème se situe donc ailleurs.

Les 40 mm haute vitesse n'ont pas été achetées en volume jusqu'à cette acquisition de LGA en urgence. Les prix sont appelés à baisser avec les quantités, et tout le monde s'accorde à dire que moins de 1000 cartouches par arme, c'est peu. Pour les 40 mm basse vitesse, en revanche, les FS des trois armes s'approvisionnent déjà depuis pas mal d'années en grenades autrichiennes Arges, aujourd'hui partie de Rheinmetall. Mais les quantités acquises n'ont jamais dépassé les quelques milliers par ans au total, voire moins certaines années. Il faut probablement mettre cela sur le compte du prix unitaire, certes, mais aussi de la durée nécessaire à la qualification de la cartouche par la DGA, qui est toujours en cours depuis plusieurs années. On peut penser qu'une fois celle-ci acquise, les quantités fournies à nos gars augmenteront.
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Les 40 mm haute vitesse n'ont pas été achetées en volume jusqu'à cette acquisition de LGA en urgence. Les prix sont appelés à baisser avec les quantités, et tout le monde s'accorde à dire que moins de 1000 cartouches par arme, c'est peu. Pour les 40 mm basse vitesse, en revanche, les FS des trois armes s'approvisionnent déjà depuis pas mal d'années en grenades autrichiennes Arges, aujourd'hui partie de Rheinmetall. Mais les quantités acquises n'ont jamais dépassé les quelques milliers par ans au total, voire moins certaines années. Il faut probablement mettre cela sur le compte du prix unitaire, certes, mais aussi de la durée nécessaire à la qualification de la cartouche par la DGA, qui est toujours en cours depuis plusieurs années. On peut penser qu'une fois celle-ci acquise, les quantités fournies à nos gars augmenteront.

Arges, et surtout Nico Pyrotecnik qui appartient aussi à Rheinmetall, un industriel particulièrement intéressant dans le domaine des munitions.

Pour ce qui est de la qualification, la DGA n'avait jusqu'à présent jamais procédé à l'acquisition de grenades de 40mm, il n'y a donc jamais eu de travaux de qualification sur cette munition. D'autre part, lorsque les munitions de ce marché seront qualifiées, cette qualification sera uniquement valable pour les munitions du titulaire du marché et uniquement pour les modèles achetés. En clair, si on achète ailleurs ou si l'on achète un autre modèle chez le même fabriquant, il faudra de nouveau procédé à la qualification. De même, si la définition d'une des munitions achetées change (changement du fournisseur de la poudre propulsive par exemple), la qualification est à refaire.

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Chacun sa partie, à Nico les munitions d'entraînement et les artifices pyro, à Arges les grenades basse vitesse explosives utilisées par la quasi totalité des forces françaises qui utilisent le 40 mm BV. De la bonne came dans les deux cas !

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  • 1 month later...

http://www.assemblee-nationale.fr/13/rap-info/i1790.asp#P1282_32179

Les programmes d’urgence

Certaines opérations extérieures mettent en évidence des besoins en matériels qui n’avaient pas été pris en considération à l’origine. Il s’agit généralement de petits programmes ou de programmes dits de « cohérence », très utiles dans l’accomplissement quotidien des missions, notamment sur le plan de la sécurité des forces, mais qui n’ayant pas un caractère emblématique, sont les premiers à être sacrifiés lorsque surviennent les difficultés budgétaires.

C’est sur le théâtre afghan, le plus dangereux, que se sont fait ressentir les besoins les plus criants. Citons notamment :

– les gilets pare-balle de type 4, plus protecteurs mais aussi plus ergonomiques que ceux de la précédente génération. Tous les soldats français engagés en Afghanistan en sont désormais dotés ;

– les véhicules articulés chenillés (VAC) et les véhicules à haute mobilité (VHM), particulièrement bien adaptés au difficile relief afghan. Réclamés depuis plusieurs années par l’état-major de l’armée de terre, les choix budgétaires n’avaient pas permis de les acquérir jusqu’à présent. C’est dans l’urgence qu’ils ont été commandés aux sociétés qui les commercialisent : l’entreprise finlandaise Hagglünds et la firme singapourienne Bronco ;

– les tourelleaux téléopérés qui sont en cours d’installation sur les véhicules de l’avant blindés (VAB). Ces appareils permettent de manipuler la mitrailleuse, le projecteur et les caméras depuis l’intérieur du véhicule, alors que les opérateurs devaient, jusqu’à présent, sortir la tête hors du blindé, s’exposant dangereusement ;

– les brouilleurs installés sur les véhicules blindés et destinés à intercepter le signal qui déclanche l’explosion des engins explosifs improvisés déposés sur le bord des routes ;

– les engins de détection d’explosifs improvisés de type Buffalo. Ces gros camions blindés, acquis à seulement quelques exemplaires, permettent de manipuler à distance, grâce à un bras téléguidé, les engins suspects se trouvant sur le bord de la route et susceptibles de contenir des explosifs. C’est l’exemple le plus typique de l’achat d’urgence inévitable, les engins explosifs improvisés étant apparus sur le théâtre afghan.

Proposition n° 1 – Mettre en place un indicateur de performance destiné à mesurer le montant des achats réalisés en urgence et le délai entre l’expression du besoin et la délivrance des équipements aux armées sur le théâtre.

Si certains achats réalisés en urgence, comme les chenillettes, auraient pu être anticipés, la plupart des besoins justifiant ces programmes apparaissent en cours d’opération rendant un processus d’acquisition dans l’urgence inévitable.

Les programmes d’achat réalisés dans l’urgence ne permettent pas de réaliser des appels d’offres très élaborés, avec un cahier des charges. L’acheteur est tenu de prendre ce qu’il trouve sur le marché avec une marge de négociation particulièrement réduite compte tenu la nécessité de recevoir l’équipement au plus vite. En 2008, le coût des programmes d’urgence a été estimé à environ 100 millions d’euros. Cette somme n’est pas prise en compte dans le calcul du coût des opérations car le ministère du Budget considère que les équipements en question ont une durée de vie supérieure à l’opération concernée et seront rapatriés à la fin de l’opération pour être réutilisés. Cette conception ne reflète que partiellement la réalité : compte tenu de la durée croissante des opérations extérieures et de l’usure prématurée du matériel qu’elles entraînent, une grande partie des équipements achetés en urgence et fortement sollicités sur des théâtres difficiles ne pourront être redéployés en métropole ou sur un autre théâtre.

Proposition n° 2 – Inclure dans le coût budgétaire des Opex les programmes d’achat de matériel en urgence liés à la situation d’un ou plusieurs théâtres d’opération

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je poste ici parce que je pense que c'est l'endroit le plus approprié, mais libre à un modo de déplacer si je me trompe... (retex-equipement d'urgence-Afghanistan)

Retex complet de toute les armes et équipements légers utilisés en Afghanistan: entre autre, c7a2, c8a1, eotech, iron sight, an/pvs-14, peq-2a, paq-4c, an/pas-13b, camera sophie, NODLR, c9a2, c6, montage triad, c7ct(l'utilisation de silencieux), remington 870, m203m mortier de 60mm, grenade c13(m67), mines à fragmentation c19(claymore), lance roquette m72, Carl gustav, Eryx, bushmaster 25mm(lav3), Browning Hi-power, Sig Sauer p225 etc...

Op ATHENA ROTO 2: The State of Infantry Weapons in Afghanistan by Captain Dale MacPherson

Capt MacPherson outlines the state of weapons employed by Canadian infantrymen in Afghanistan on Op ATHENA

Roto 2. He comments on a broad range of components and accessories for different types of systems and devices,

which are currently available to the Canadian soldier on operations. He expresses views on potential effectiveness of

some of these systems in combat situations. Some systems discussed include: small arms, such as assault rifles;

accessories, such as laser and back-up iron sighting systems; long and short barrel weapons; fragmentation grenade

systems; 60mm mortar; the Browning 9mm pistol; anti-armour systems; and others. Editor, The Bulletin.

OP ATHENA ROTO 2: THE STATE OF INFANTRY WEAPONS IN

AFGHANISTAN

by Captain Dale MacPherson

INTRODUCTION

Bravo Company (B Coy), First Battalion, Princess Patricia’s Canadian Light Infantry (1 PPCLI), completed a six-month

tour with Operation ATHENA Rotation Two in Afghanistan on 9 February 2005. A mechanized infantry company based

in Edmonton, B Coy represented the largest infantry component of Task Force Kabul (TFK), a seven hundred strong

Canadian task force working with the International Security Assistance Force (ISAF) in Kabul. Employed as the force

protection company for Camp Julien (the main Canadian operating base), B Coy’s responsibilities included camp

security, supervision of various observation posts, the maintenance of a mechanized quick reaction force, the conduct

of regular mounted and dismounted patrols, and a myriad of other general infantry duties. Although the tour was

2 T h e B u l l e t i n

relatively peaceful, it gave a unique opportunity for B Coy

to finally employ some of the finest infantry weapons and

equipment available in the world today. While the poor

state of the Canadian military is a common theme with

political pundits at home, the true state of B Coy’s

weapons in Afghanistan was exceptional. The intent of

this short paper is to outline the current state of weapons,

from small arms to heavy cannons, currently employed by

Canadian infantrymen in Afghanistan. While not a

completely rosy picture, during no other operation in

history have Canadian infantrymen been so well equipped

for combat or peace support operations. This paper will

cover small arms, fragmentation weapons, anti-armour

weapons, and the various accessories that increase their

lethality (especially at night). Although the consensus will

be generally positive, each grouping will also highlight

areas of concern, and focus on weapons and components

that need to be replaced or upgraded. The end state is to

give the reader (especially non-infantry) an accurate and

in-depth look into the state of weapons currently operated

by Canadian infantrymen on operations. As will become

apparent, Canadian infantrymen are the best when

compared to other NATO armies, and possess weapons

that give them the technological advantage to defeat any

conceivable enemy in today’s volatile world.

SMALL ARMS—RIFLES

For the last three hundred years, the centrepiece of any

infantryman was his rifle. B Coy employed three types of

assault rifles during Op ATHENA. Predominately, the

C7A2 was the main rifle carried by most infantrymen in

the company. Recently refurbished by Diamaco in

London, Ontario, the C7A2 incorporated new green

furniture (butt stock, pistol grip, and hand guards), a

telescopic butt, a new cocking handle, an ambidextrous

magazine release, a refurbished C79A2 optic, and a Triad

mount. Overall, soldiers remained confident with the

proven design of the rifle, its accuracy, and solid

dependability. Nevertheless, four main gripes remain.

The C79A2 sight has always been controversial within the

infantry. Although an excellent optic, many soldiers lack

confidence in its flimsy mount, and most have

experienced sight failure during prolonged firing on both

static ranges and challenging live-fire ranges. Although

the refurbished A2 sight seems more robust, only time will

tell if it will retain its “zero” during rugged infantry

operations. The second universal complaint is about the

inferior Triad mount. With more items being attached to

the modern rifle (which will be discussed below), most

armies have adopted a rail interface system that replaces

the traditional hand guards along the barrel. Items, such

as flashlights, laser aiming systems, and pistol grips, can

be added at different points on the rifle at the discretion of

the soldier. The Triad mount reduces these options to two

and forces soldiers to mount these devices only at the end

of the barrel. This makes the rifle front heavy and reduces

the freedom a soldier has to configure his weapon as he

sees fit. The third complaint is about the extended

cocking handle. Not only does this accessory make

readying the weapon more

difficult (by inadvertently pulling

the level to the right), but also,

the extended level catches on all

manners of equipment and

clothing. The final complaint is

about the continued use of the

20-inch barrel. From B Coy’s

experience in Afghanistan, long

barrels make operations in

confined areas (e.g. either inside

armoured vehicles or during

urban operations) difficult.

Although the long barrel offers

excellent ballistic performance

for the 5.56 mm SS109 round,

the high performance of today’s

ammunition allows for

comparable performance from

shorter and more manoeuvrable

barrels.

Addressing the issue of the long barrel, B Coy became

the first infantry company in Canada to be issued the new

16-inch heavy barrel. Arriving to the company as simply

an upper receiver, it was married-up with the standard

C7A2 lower receiver and was well received by soldiers.

The shorter weapon proved a huge asset when

negotiating the tight corridors of Kabul’s streets and the

ballistic performance equalled the 20-inch barrel on the

range. Although 4 inches seems minor to laymen, it was

greatly appreciated by the lucky infantrymen who carried

Under the command of Sgt Costa, soldiers of B Coy prepare to conduct

a night dismounted patrol in Kabul.

C7A2 with 16 inch barrel,

EOTech Site, PEQ2A

Laser, and detached

SureFire. This C7 was

also painted arid to assist

in camouflage in desert

regions of Kabul.

May 2006 3

them. The general consensus of the company was that

all infantrymen should carry the 16-inch barrel (as in the

United States Army). The third rifle carried by B Coy was

the older C8A1. Mounting an even shorter 14.5-inch

barrel, the C8A1 was predominately carried by LAV III

drivers, who required a short rifle for mounting and

dismounting vehicles in an emergency. The C8A1s

(along with the new 16inch upper receiver) mounted the

Weaver flattop rail on the upper receiver (same as the

C7A2). This allowed for the same sighting systems to be

mounted on all three rifles (as discussed below).

SMALL ARMS—SIGHTING SYSTEMS

Sighting systems for the C7 family of rifles have also

improved greatly. Although the majority of the rifles were

mounted with the C79A2 optic, the company was also

issued the excellent EOTech close quarter battle sight.

Utilizing a holographic red dot projected on a glass

screen, the EOTech allowed close targets to be engaged

much quicker than traditional iron sights or the C79A2. In

addition, keeping both eyes open, shooters could identify,

discriminate, aim, engage within a few seconds, and allow

for complete peripheral vision. Although issued in small

numbers for Op ATHENA, the EOTech sights were in such

great demands that each infantryman should be issued

with the system. Using the analogy of the toolbox,

soldiers could choose the best sight for the mission (i.e.

long range fire with the C79A2, close quarter fighting with

the EOTech). Modern optics aside, the army still has yet

to produce a dependable back-up iron sight. As with most

glass optics, especially those that are dependent upon

batteries, the possibility of malfunction exists. Upon

failure in the heat of battle, a soldier could quickly attach

the iron sight to the Weaver mount and continue the fight.

The earlier plastic version back-up sights were cheap and

prone to break with the slightest abuse. A more robust

metal iron sight is needed immediately, and could be

easily purchased off the civilian market (as many soldiers

chose to do on their own).

The greatest leap forward for small arms is their ability to

be fired accurately at night. Each soldier in B Coy was

issued the AN/PVS-14 monocular night vision goggle and

the PEQ-2A or PAQ-4C laser-aiming device. Mounted on

the rifle (via the Triad or rail interface system), the PAQ

laser aiming device projects an infrared (IR) laser beam

(invisible to the naked eye), which is zeroed to the

trajectory of the round. Seen through the AN/PVS-14, the

PAQ laser beam allows soldiers to accurately engage

targets out to a hundred meters in complete darkness. In

the past, soldiers were forced to fire randomly at the

general area of the enemy because their traditional sights

were useless at night (although the C79 offered some

aiming at twilight hours). This is no longer the case. With

this system, Canadian soldiers not only own the night (as

the enemy doesn’t have similar capabilities), but they can

fire accurately while remaining completely undetected

(other than blast from the muzzle). While the PAC-4C

offered a single “eye-safe” laser beam, the 2A system

gave commanders the ability to designate targets with a

stronger laser beam, one that could project different laser

symbols on a target area at a greater distance. This

system was excellent—commanders could designate

targets at the objective—with the enemy completely

oblivious to what was going on. The only other option

demanded for the PAQ and PEQ systems is the ability to

generate a visible laser during daylight operations. This

capability would give the shooter another aiming option

and provide a huge degree of deterrence. Experience

from other units proves that belligerent individuals

capitulate much quicker when a red laser dot is placed on

their chest. This is a simple and effective way to resolve

disputes without having to rely upon lethal force.

More sophisticated than the AN/PVS-14 and PEQ-2A /

PAQ-4C systems was the AN/PAS-13B thermal sight.

The advantage of thermal over IR sights at night was the

fact that you needed no ambient light for the thermal

sights to be effective. Measuring the slightest

temperature differences, thermal sights are nearly

impossible to defeat through camouflage (although some

strategies do exist). The AN/PAS-13B mounted on the

standard Weaver rail and zeroed like any traditional sight

offers accurate fire to 300 m in complete darkness.

Shooting aside, the sight also served as an excellent night

observation device. Although the AN/PVS-14 had limited

range, the AN/PVS-13B could be used in observation

posts to cover large distances (through magnification),

mimicking the equally sophisticated SOPHIE thermal

binocular or older NODLR thermal system. Given its

enormous cost and recent arrival on the market, B Coy

possessed very few AN/PAS-13Bs in Afghanistan.

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continuation:

However, given the system’s excellent ability to engage

targets and to act as an observation aid at night, B Coy

advocates a distribution of at least one system per

The C7CT with suppressor—reducing both sound and blast. All small

arms should have the same capability.

C7A2 with AN/PVS-13B thermal weapon sight. It offered accurate fire

and observation in complete darkness.

4 T h e B u l l e t i n

infantry section.

Although B Coy preferred to operate totally within the IR

spectrum when patrolling at night (relying on no visible

light), every soldier was still issued the SureFire tactical

flashlight. Simply a robust flashlight that could be

mounted on the Triad mount, the SureFire emitted a

powerful visual light with a press of a switch on the rifle’s

hand guards. Although using white light would

compromise both the AN/PVS-14 (blinding the system)

and ruin the soldier’s night vision, the SureFire offered the

option of a bright source of visible light when required to

identify targets inside confined spaces (e.g. houses or

caves), or during peace support activities (e.g. operating

a vehicle check point at night). However, an IR filter was

also available for the SureFire, which would only

illuminate an area with IR light (thus assisting the

AN/PVS-14 in detecting targets). With the fear of

fratricide or collateral damage, soldiers need the ability to

quickly illuminate a target with both visual and IR light,

and at present, there exists no better system than the

SureFire tactical light.

SMALL ARMS—MACHINE GUNS

With respect to section support weapons, the C9A2 was

equally refurbished, sporting a shorter barrel, rail interface

system, and telescopic butt. This balanced the machine

gun’s enormous firepower into a more wieldier weapon

system. Although the telescopic butt and shorter barrel

allowed for better manoeuvrability in complex terrain,

gunners could also revert back to the 20-inch barrel within

seconds when longer range fire was required (B Coy

gunners always carried both barrels). The rail interface

system permitted the mounting of both the PAQ laser and

SureFire light, giving gunners equal capability to

equivalent riflemen. When more firepower was required,

B Coy continued to employ the venerable C6 General

Purpose Machine Gun. With a sturdy design that has

lasted fifty years, the C6 continued to be the anchor for

any defensive position, vehicle checkpoint, or main

access point. When required, the sustained fire of 7.62

mm ammunition was more than sufficient in stopping any

dismounted attack or lightly skinned vehicle, with rates of

fire exceeding 1,000 rounds per minute (through rapid

barrel change). Nevertheless, there is still a requirement

for a rail interface system to mount the PAQ laser and

SureFire light, giving machine gunners the same night

fighting capability as C9 gunners. With these capabilities,

the C6 will remain the cornerstone for small arms

firepower inside the infantry platoon.

SMALL ARMS—SUPPRESSION

Although Canadian small arms have advanced

tremendously in the last few years, one last hurdle

remains. Suppressing all small arm systems, from 5.56

mm to 7.62 mm, should be the next major priority for

infantry weapon systems. Currently, firing both rifles and

machine guns produces an enormous amount of blast

and sound. Such fire, while saying nothing of deafening

the operator (especially in complex terrain), also clearly

gives away the position of the shooter and his weapon.

While an infantryman can remain nearly invisible at night

(fighting in the thermal or IR spectrum), as soon as he

starts firing, the muzzle blast will quickly draw the

attention of the enemy (and undoubtedly counter-fire).

Suppression systems exist today that can be quickly

attached to various barrels, making the weapon both

harder to locate during engagements and preserve the

shooter’s hearing. The utility of such as system was

proven in Afghanistan with the C7 custom tactical (C7 CT)

5.56 mm silenced rifle. Although adding six inches to the

overall length of the rifle (although shorter silencers are

available), B Coy was clearly impressed by the numerous

advantages silenced weapons offer. Easy to mount, the

modern silencer can remain within the soldier’s pack,

added or removed dependent upon the mission. Such an

inexpensive system would greatly increase the capability

of Canadian infantryman and should be purchased

immediately in mass.

SMALL ARMS—SHOTGUNS

High power rifles and machine guns aside, B Coy also

employed the trusty shotgun. Using the Remington 870

pump action shotgun, this specialized weapon offered a

combination of superior close-quarter combat (ranges

under 50 m) and door breaching capability. Using

buckshot, B Coy had the option of destroying door hinges

when conducting dynamic entries, an excellent option

when dislodging determined enemy defenders within

complex terrain. B Coy also kept shotguns handy when

dealing with wild animals, common in Kabul. Although not

authorized for Op ATHENA Roto 2, non-lethal munitions

also existed in theatre, including beanbag rounds and

rubber “flechettes,” which also existed for the M203

grenade launcher. Excellent for dealing with a hostile

crowd, non-lethal munitions offered commanders the

choice of neutralizing instigators without having to use

lethal force. At that time, however, the Canadian Forces

were still in the throes of resolving issues of rules of

engagements with respect to non-lethal munitions.

May 2006 5

FRAGMENTATION

WEAPONS

W h e n

s i t u a t i o n s

d e m a n d e d

more firepower

than small

arms could

deliver, B Coy

possessed a

number of

fragmentation weapons. At the section level, the M203

(mounted on the C7A2) remained the most accessible

and potent. Firing a 40 mm fragmentation grenade to 300

m, the M203 could quickly suppress an enemy advance

with accurate fire. For longer-range fire, each platoon

possessed the venerable 60 mm mortar. Old, heavy, and

rudimentary, no other weapon system in the platoon could

saturate an enemy position with fragmentation bombs at

2,000 m more than the dependable 60 mm mortar.

Although the bipod mount, which allows for sustained and

accurate fire, is old and growing increasingly unstable, the

60 mm mortar is still a critical weapon system in the

platoon’s arsenal (especially given the fact it can also fire

smoke and illumination rounds). For the close fight, each

soldier carried the effective C13 fragmentation grenade,

formally known as the M67. Excellent for clearing

bunkers or reinforced buildings, soldiers remained

cautious of the deadly effects of the C13, especially if

used improperly in open terrain. Nevertheless, no other

system is guaranteed to neutralize a determined enemy

held-up within a confined space than the simple lob of a

grenade. For defensive positions, B Coy employed the

extremely effective C19 Command-Detonated Defensive

Weapon (Claymore). Siting the system along dangerous

approaches, the C19 provided sections and platoons the

additional firepower required to defeat any ground

assault. Although carried by the company, their

employment was restricted by the task force commander.

ANTI-ARMOUR WEAPONS

With respect to anti-armour weapons, B Coy maintained a

three-layer approach (light, medium, and heavy). Short

range continued to be dominated by the M72 disposable

rocket. Readily available in the LAV III carriers or patrol

packs, the M72 was perfect for neutralizing most armour

threats in theatre. As each section carried two, the M72

could also be employed against bunkers or enemy

soldiers in the open. If a heavier threat materialized, the

84 mm Carl Gustav rocket was the main system for

medium engagements (regularly carried in the Pl HQ LAV

III). Firing both standard and rocket assisted munitions,

the Carl Gustav was more than capable destroying all

known armour threats that existed in Afghanistan.

Although normally stored with the Company

Quartermaster Sergeant (CQMS), the company also kept

available the Eryx short-range guided missile system.

With a range of only 600 m (insufficient by most opinions),

the Eryx warhead was considered overkill with respect to

any potential armour threat in theatre. Rockets and

missiles aside, the main anti-armour system B Coy

employed was the 25 mm “chain gun” canon mounted in

the LAV III turret. Firing armour piercing and frangible

ammunition, the 25 mm gun could destroy any armoured

vehicle out to 2,200 m. As B Coy operated the LAV III on

most operations, the sections, platoons, and the company

always had a dependable, accurate, and deadly heavy

cannon available. Fully stabilized, an experienced gunner

could engage targets during either high-speed pursuits or

withdrawals. No other military in theatre (including ISAF)

possessed such an effective weapon system, and it was

the cornerstone of B Coy’s overall firepower in

Afghanistan.

THE CASE FOR THE PISTOL

Over the years, the Browning Hi-Power 9 mm pistol has

become old and obsolete. Designed in the 1930s and

produced in the 1950s, many suffer from repeated

stoppages (especially when forced to use decrepit

magazines), and are not equipped with night sights (such

as tritium sights). It is urgent that the Army replace this

system with a more modern pistol. In the meantime,

however, while some advocate that the utility of the pistol

is over, B Coy issued as many as possible to its soldiers

during Op ATHENA (and would have issued more if stock

was available). The pistol serves many important

functions. Firstly, it allows for a readily available weapon

if the soldier’s main rifle, or machine gun, fails in combat.

When face-to-face with the enemy, every soldier’s fear is

that his main weapon will fail either through a stoppage or

once all rounds are expended. Having a dependable

pistol, mounted in a quick draw holster, provides an

immediate back-up that every infantrymen needs. The

pistol also offers a short weapon when moving through

extremely confined spaces commonly found in complex

terrain, such as attics or sewers, or when fighting from

vehicles. Currently, the Browning 9 mm pistol is the most

disappointing weapon in theatre, and while the Military

Police have been issued new SIG-Sauer P225 9 mm

pistols, the rest of the Army continues to be plagued by an

old and obsolete weapon. B Coy clearly advocates the

issue of a modern 9 mm pistol, preferably double-action,

equipped with night sights, and mounted in a specifically

designed retention/quick draw holster. To offer no less to

combat soldiers is simply unacceptable.

CONCLUSION

B Coy’s deployment to Afghanistan gave its soldiers

access to some of the most sophisticated weapons and

equipment available in the army today. While the

C7A2 with 16 inch heavy barrel, mounting an

M203, EOTech sight, and a PAQ4A laser sight.

40mm ammo bandoleer below.

6 T h e B u l l e t i n

combination of refurbished weapons, night vision

equipment, and sophisticated sights offered unparalleled

capability (especially in relation to the enemy), the fact

remains that most of this equipment does not exist back

in Canada. While some of these systems will slowly be

introduced throughout the entire Canadian Army, more

resources must be invested now to ensure all Canadian

infantrymen possess the same capabilities as B Coy did

during Op ATHENA. As for the deficiencies highlighted

above, all are within reason and should be addressed as

soon as possible, especially the Browning pistol and Triad

mount. While the author may advocate that the

equipment of today’s Canadian infantrymen are second to

none, that still does not diminish the fact that we still have

away to go. Ensuring our soldiers possess the best

possible weapons will ensure both mission success and

the safe return of all of our soldiers when the battle is

over.

Capt MacPherson was 2IC B Coy, and was deployed on

Op ATHENA Roto 2 to Afghanistan from July 2004 to

February 2005.

http://armyapp.forces.gc.ca/allc-clra/Downloads/bulletin/TheBulletinVol12No3eng.pdf

voilà...

=)

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L’armée de terre détient 356 brouilleurs pour les VAB plus 90 pour les VBL, dont respectivement 325 et 74 sont opérationnels. La différence s’explique par la nécessité de recalage mensuel, avec achats de filtres, destinés à assurer une compatibilité avec l’utilisation des postes radio.

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  • 5 weeks later...

http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2008-09-10/pour-l-afghanistan-l-armee-francaise-se-fournit-en-urgence-a-l/1648/0/272837

L'armée de terre s'est essentiellement fournie à l'étranger, depuis le début de l'année, pour acheter dans l'urgence les équipements collectifs et matériels de protection au profit des forces terrestres françaises déployées en Afghanistan. Le tout pour 108 millions d'euros, environ.

- 72 tourelleaux téléopérés pour Véhicules de l'avant blindés, fournis par la société Kongsberg (Norvège) et installés par Renault Trucks Defense , filiale du groupe suédois Volvo. Le chiffre précédemment annoncé était de 60 exemplaires , pour 20 millions d'euros. Ces équipements seront livrés entre novembre 2008 et avril 2009. Le tourelleau est équipé d'une mitrailleuse de 12,7 mm M151 et permet au servant de l'arme de tirer de l'intérieur du véhicule.

- Blindage de cabine pour 22 camions Scania (Suède) et 31 GBC 180 Renault Trucks Defense

- 1.000 supports de casque pour équipement de vision nocturne OB 70. 400 ont déjà été livrés.

- 5 véhicules Buffalo protégés contre les mines de la société américaine Force protection . Livraison en octobre 2008.

- 135 nouveaux brouilleurs anti-IED (Improvised Explosives Devices, pour engins explosifs bricolés), venant s'ajouter au 191 de différents modèles déjà présents sur le théâtre d'opérations afghan. 76 sont actuellement en cours de transfert.

- 300 pistolets automatiques PAMAS G1 (fabriqués en France sous licence italienne Beretta) cédés en urgence par la gendarmerie nationale.

- 50 postes de radio américains PRC-117

- 150 kits de protection Last Armor , filiale du groupe britannique Qinetiq pour les véhicules logistiques autres que les Scania et les GBC 180.

- 50 protections latérales pour les Véhicules blindés légers VBL .

- Équipements TAC-P (Tactical Air Control party) , dont 24 illuminateurs laser, 10 caméras, 15 pointeurs.

- Phares infrarouges et pointeurs lasers pour armes de petit calibre

- 20 lance-grenades MK-19 produits par General Dynamics , et 20.000 munitions.

- Filtres antibrouillages pour les radios PR4G de Thales, qui ne pouvaient pas fonctionner quand les brouilleurs anti-IED étaient mis en route.

La liste des équipements nécessaires en urgence n'est pas close, et les fleurons de la technologie française que sont les canons Caesar et les hélicoptères de combat Tigre partiront pour l'Afghanistan "quand leurs expérimentations opérationnelles seront terminées", dit l'armée de terre sans davantage de précisions.

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les fleurons de la technologie française que sont les canons Caesar et les hélicoptères de combat Tigre partiront pour l'Afghanistan "quand leurs expérimentations opérationnelles seront terminées", dit l'armée de terre sans davantage de précisions.

Ils sont en retard concernant cette info…
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ça me fait quand même bizarre de voir qu'on achète du matos étranger pour l'armée. J'ai trop cette image de on fait tout car on est dépendant de personne.

M'enfin bon, si l'armée s'y retrouve, pourquoi pas. De plus ça donnera de la réflexion à nos industriels.

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ça me fait quand même bizarre de voir qu'on achète du matos étranger pour l'armée. J'ai trop cette image de on fait tout car on est dépendant de personne.

M'enfin bon, si l'armée s'y retrouve, pourquoi pas. De plus ça donnera de la réflexion à nos industriels.

Il ne faudrait pas tout confondre l'ami CVS, entre un achat en urgence opérationnelle et sur étagère avec un programme majeur national dont dépend la BITD comme un SNA/PA2/Frégate/Hélicoptère de combat/avion de combat/Missile de croisière et un achat annexe "d'un petit programme" comme l'achat d'aide à la visée pour notre FAMAS, de sangle, de poignet,....qui ne va pas nous faire perdre notre vision d'indépendance ou de souveraineté. ;) Acheter rapidement pour en équiper nos troupes promptement d'un PA Glock/Hk 226 ou une MiniMi 12.7 qui existent déjà par ailleurs sur le marché, est pragmatique. Développer une nouvelle mitrailleuse serait absurde.

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Il ne faudrait pas tout confondre l'ami CVS, entre un achat en urgence opérationnelle et sur étagère avec un programme majeur national

C'est vrai.

Est-ce que c'était la même chose il y a 20 ou 30 ans, un tel pragmatisme ?

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Délégation Générale pour l’Armement (DGA) has awarded an order for 20 additional units of VAB TOP armored vehicles to Renault Trucks Defense, to meet the requirements of the units in operational urgency.

Following the contract notified in April 2008 and concerning 588 VAB with remote weapon stations providing effective protection of the soldiers, the DGA has placed an order of 20 additional VAB TOP units to Renault Trucks Defense upon the request of the French army.

This order is following the 60 VAB TOP delivered to the forces and deployed for operational urgency procedure.

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  • 2 weeks later...

Je le place ici.

"Sagem : 450 jumelles infrarouges multifonctions pour l’Armée française"

8 septembre 09 - Communiqué Sagem.

La Délégation Générale pour l’Armement (DGA) vient de notifier à Sagem (Groupe Safran) une commande de 450 jumelles infrarouges multifonctions JIM LR (Long Range) pour l’armée française. La commande comprend également 430 moniteurs tactiques portables MEPS 08P et 90 systèmes de télé-opération ROSS, ainsi que les rechanges pour la maintenance dans les forces. Les matériels seront livrés au cours du 1er semestre 2010.

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http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2008-09-10/pour-l-afghanistan-l-armee-francaise-se-fournit-en-urgence-a-l/1648/0/272837

L'armée de terre s'est essentiellement fournie à l'étranger, depuis le début de l'année, pour acheter dans l'urgence les équipements collectifs et matériels de protection au profit des forces terrestres françaises déployées en Afghanistan. Le tout pour 108 millions d'euros, environ.

- 72 tourelleaux téléopérés pour Véhicules de l'avant blindés, fournis par la société Kongsberg (Norvège) et installés par Renault Trucks Defense , filiale du groupe suédois Volvo. Le chiffre précédemment annoncé était de 60 exemplaires , pour 20 millions d'euros. Ces équipements seront livrés entre novembre 2008 et avril 2009. Le tourelleau est équipé d'une mitrailleuse de 12,7 mm M151 et permet au servant de l'arme de tirer de l'intérieur du véhicule.

- Blindage de cabine pour 22 camions Scania (Suède) et 31 GBC 180 Renault Trucks Defense

- 1.000 supports de casque pour équipement de vision nocturne OB 70. 400 ont déjà été livrés.

- 5 véhicules Buffalo protégés contre les mines de la société américaine Force protection . Livraison en octobre 2008.

- 135 nouveaux brouilleurs anti-IED (Improvised Explosives Devices, pour engins explosifs bricolés), venant s'ajouter au 191 de différents modèles déjà présents sur le théâtre d'opérations afghan. 76 sont actuellement en cours de transfert.

- 300 pistolets automatiques PAMAS G1 (fabriqués en France sous licence italienne Beretta) cédés en urgence par la gendarmerie nationale.

- 50 postes de radio américains PRC-117

- 150 kits de protection Last Armor , filiale du groupe britannique Qinetiq pour les véhicules logistiques autres que les Scania et les GBC 180.

- 50 protections latérales pour les Véhicules blindés légers VBL .

- Équipements TAC-P (Tactical Air Control party) , dont 24 illuminateurs laser, 10 caméras, 15 pointeurs.

- Phares infrarouges et pointeurs lasers pour armes de petit calibre

- 20 lance-grenades MK-19 produits par General Dynamics , et 20.000 munitions.

- Filtres antibrouillages pour les radios PR4G de Thales, qui ne pouvaient pas fonctionner quand les brouilleurs anti-IED étaient mis en route.

La liste des équipements nécessaires en urgence n'est pas close, et les fleurons de la technologie française que sont les canons Caesar et les hélicoptères de combat Tigre partiront pour l'Afghanistan "quand leurs expérimentations opérationnelles seront terminées", dit l'armée de terre sans davantage de précisions.

Dans le genre je vends la peau de l'ours avant de l'avoir tué... les Mk19, pressentis un peu vite, ont finalement laissé la place à des GMG !

Sinon est-ce que quelqu'un sait ce qu'ils entendent par des "phares infrarouges et pointeurs lasers pour armes de petit calibre" ? Ca me semble pas clair... du PIRAT peut-être mais les phares infrarouges ?

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Ok, je n'y avais pas pensé. Peut-être parce que d'une part les FS n'ont pas particulièrement bénéficié des largesses des plans d'urgence liés à l'Afgha (il n'y a qu'à se souvenir que les LGA venaient d'une expression de besoin Marine et qu'au final, la régulière sera servie et eux non, ou peu) et que d'autre part je ne crois pas que des AN-PEQ/2 ou autres ATPIAL aient été achetés pour équiper les Famas. J'ai bien entendu parler de recherches pour les 12,7 mais je ne sais pas si cela a débouché sur l'achat d'ISM ou d'autre chose.

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Dans un autre registre j'aime bien les "300 MAS G1 cédés en urgence par la Gendarmerie". Dans la mesure où ils trainaient sur une étagère, ça n'a pas du être trop dur ni coûter trop cher... et ça n'a rien d'idiot dans la mesure ou les MAS remplaceront avantageusement les MAC50 pour pas grand chose. S'il y en a qui cassent, il en restera toujours en stock chez nos amis gendarmes...

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