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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha

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ah oui ?  :lol:

développes un peu stp  :happy:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Stagflation

Quand cette stagflation a été vaincue la croissance est tombée encore plus bas ce qui va dans le sens de Philips. Nous nous trouvons encore dans cette periode d'inflation très faible avec un secteur financier d'une ampleur délirante. (Le prix des actifs ne sont pas comptés dans l'inflation et celle ci ne grignote plus assez les créances, le secteur financier est donc devenu plus rentable).

Tous les gouvernements européens révéraient d'avoir les taux de croissance de la période de "stagflation" des années 70.  Quand tu penses qu'aujourd'hui on se considère sauvés quand le pays connait 0,5% de croissance parce qu'on evite la recession  :lol: .

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En fait lorsque l'on fait tourner la planche à billets c'est la montée des prix qui fait dévaluer l'argent, c'est ça ? Parce que si oui, est-ce que l’État peut essayer de contrôler les prix des produits de base : énergie, alimentation... ?

...  :P  :P ...

"La planche à billets", c'est injecter des liquidités dans un système économique. C'est le surplus de monnaie apporté qui fait que cette dernière, sur le marché des changes, perd de sa valeur. Comme elle perd de sa valeur, les importations coûtent plus chers et on a de l'inflation qui implique 0 croissance.

Pour une économie, comme la notre, importatrice, ce n'est pas une solution très intelligente sauf si l'on associe à la dévaluation un plan majeur de ré-industrialisation avec des objectifs d'exportations liés à des gains de marchés à l'étranger.

Les thèmes de campagne présidentielle de ré-industrialisation et de produire français ont disparu du paysage, volatilisés.

L'état ne peut pas contrôler les prix des produits de base si ces derniers sont des importations (ils le sont pour la plupart directement ou indirectement) car le prix est fixé sur le marché international (offre-demande). Si l'état fixait les prix de vente sur le territoire, et que le prix sur le marché international monte trop, ça voudrait dire que le prix fixé serait subventionné par la dette et donc par le contribuable : l'ensemble de la population doit-elle subventionner la consommation d'essence d'une partie seulement de la population à prix invariants ? (surtout ceux qui n'utilisent pas de véhicules ...)

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ça c'est tout à fait plausible dans un scénario de type "retour au franc".

Avec l'euro, le complexe germano-BCE ne laissera jamais une inflation dépasser 4%.

retour au franc y aura de l'inflation pour sur, mais ca rendra l'economie plus competitive, ne serait ce que par rapport aux allemands

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http://fr.wikipedia.org/wiki/Stagflation

Quand cette stagflation a été vaincue la croissance est tombée encore plus bas ce qui va dans le sens de Philips. Nous nous trouvons encore dans cette periode d'inflation très faible avec un secteur financier d'une ampleur délirante. (Le prix des actifs ne sont pas comptés dans l'inflation et celle ci ne grignote plus assez les créances, le secteur financier est donc devenu plus rentable).

Tous les gouvernements européens révéraient d'avoir les taux de croissance de la période de "stagflation" des années 70.  Quand tu penses qu'aujourd'hui on se considère sauvés quand le pays connait 0,5% de croissance parce qu'on evite la recession  :lol: .

Je savais pour l'exemple des 70's, mais c'est plutot l'exception que la regle. Le choc petrolier y etait pour beaucoup.

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En fait lorsque l'on fait tourner la planche à billets c'est la montée des prix qui fait dévaluer l'argent, c'est ça ? Parce que si oui, est-ce que l’État peut essayer de contrôler les prix des produits de base : énergie, alimentation... ?

bon déjà on parle de planche à billets mais techniquement personne ne le fait, les BC qui vont du QE ou du LTRO ou autre, delestent le systeme financier de titres un peu penibles en echange de cash frais. Si la BCE decidait d'"effacer" la dette souveraine qu'elle a achetee on serait alors dans le phenomene "planche à billets".

Là le probleme c'est que le cash est trop rare, l'argent trop cher (comme la chanson), les devises sont recherchees au point que des BC interviennent sur le FOREX pour empecher le rencherissement de leur monnaie. L'Europe tergiverse mais la Suisse ne s'est pas embetee face à la ruée sur le FS, ils ont promis de fournir autant de FS que les gens voulaient et assurer un cours plancher pour l'euro vs FS. C'est radical, mais les circonstances l'exigent.

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Un peu plus de fissures dans la cuirasse?? :oops:

Angela perd la main sur ses troupes..

http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/actu/0202219398282-la-finlande-se-prepare-a-un-eclatement-de-la-zone-euro-353713.php

L'Autriche demande la création d'un mécanisme permettant d'exclure un pays de la zone euro. La Finlande étudie pour sa part le scénario d'un éclatement de la monnaie unique.

La Finlande se prépare à un éclatement

Les dirigeants européens doivent se préparer à la possibilité d'un éclatement de la zone euro, comme le fait déjà la Finlande, affirme pour sa part le ministre des Affaires étrangères finlandais Erkki Tuomioja, dans un entretien publié vendredi dans la presse britannique.

« Nous devons nous préparer ouvertement à la possibilité d'un éclatement de la zone euro », déclare M. Tuomioja, selon des propos rapportés par le quotidien conservateur The Daily Telegraph. « C'est quelque chose que personne ne préconise en Finlande, pas même le parti des Vrais Finlandais (droite nationaliste), sans parler du gouvernement. Mais nous devons nous tenir prêts », ajoute le ministre social-démocrate. Selon lui, les dirigeants finlandais ont ainsi préparé des « plans pratiques pour faire face à toute éventualité ».

« Il y a un consensus sur le fait qu'un éclatement de la zone euro coûterait plus cher à court ou moyen terme que de continuer à gérer la crise. Mais un éclatement ne signifierait pas la fin de l'Union européenne, cela pourrait au contraire permettre à l'UE de mieux fonctionner », poursuit M. Tuomioja.

La Finlande est le dernier pays de la zone euro à avoir la meilleure note d'endettement possible (« AAA ») avec une perspective stable chez les trois grandes agences de notation internationales.

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Un peu plus de fissures dans la cuirasse?? :oops:

Angela perd la main sur ses troupes..

http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/actu/0202219398282-la-finlande-se-prepare-a-un-eclatement-de-la-zone-euro-353713.php

L'Autriche demande la création d'un mécanisme permettant d'exclure un pays de la zone euro. La Finlande étudie pour sa part le scénario d'un éclatement de la monnaie unique.

C'est normale...

La solidarité européenne ne va pas marcher sans fin.

Tout les pays riches ont pensé que l'aide à la grece serait provisoire et durant un temps limité, histoire que ce pays assainisse ses comptes.

Et puis, ces pays s'aperçoivent que la dette grec est un tonneau des danaïdes, c'est à dire plus ils donnent de l'aide plus ils s'aperçoivent que l'argent donné n'est pas suffisant et qu'il en faudra encore et encore vus que la grec a truqué tout ses comptes publics.

Et ce qui leur fait le plus mal à admettre je pense, c'est qu'ils se sont aperçu que la grece ne pourra JAMAIS rembourser ses dettes !

Bref, ce sont des milliards investis à fond perdus !

Pour ces pays d'europe du nord, adepte de la rigueur budgétaire, et d'un contrôle stricte des dépénses, effectivement  pour eux, ça ne passe pas.

Investir et s'endetter pour son industrie et ses infrastructure public et sociale, c'est bien et sain pour l'économie locale, mais investir pour payer les dettes d'un pays tiers qui a flambé sans limite depuis son entrée à la zone euro et qui s'est payé des J.O histoire montrer à la face du monde que l'on est un pays moderne et prospère, là je comprend que ça fout les boules. :lol:

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Noter que la Finlande assume une part non négligeable de son commerce avec la Russie et que c'était déjà, il me semble, le cas du temps de l'URSS. L'euro n'est pas pour ce pays quelque chose de structurel mais une cerise sur le gâteau.

Tout les pays riches ont pensé que l'aide à la grece serait provisoire et durant un temps limité, histoire que ce pays assainisse ses comptes.

Et puis, ces pays s'aperçoivent que la dette grec est un tonneau des danaïdes, c'est à dire plus ils donnent de l'aide plus ils s'aperçoivent que l'argent donné n'est pas suffisant et qu'il en faudra encore et encore vus que la grec a truqué tout ses comptes publics.

Et ce qui leur fait le plus mal à admettre je pense, c'est qu'ils se sont aperçu que la grece ne pourra JAMAIS rembourser ses dettes !

Bref, ce sont des milliards investis à fond perdus !

C'était connu dès le départ ça. L'argent versé servait à gagner du temps afin de trouver une solution macro-économique au niveau européen et de donner une politique économique à une zone monétaire afin de résorber le problème structurel des Etats européens, tous. Ce qu'on a toujours pas fait...

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Le déni de réalité?

http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/actu/0202220556157-endettement-deficit-croissance-pierre-moscovici-garde-le-cap-pour-2013-353853.php

Dans un entretien au Journal du Dimanche le ministre de l'économie réaffirme l'objectif de déficit à 3 % du PIB en 2013 et estime qu'une révision de la prévision de croissance n'est « pas d'actualité ».

Mais pour parvenir à maintenir le cap, les ministre de l'économie sait bien qu'il faut un minimum de croissance. Etalors que l'Insee vient d'annoncer que l'économie de l'Hexagone était en stagnation depuis 9 mois et que certains experts jugent que le scénario économique du gouvernement est mis à mal, le ministre ne change pas le cap fixé dans le cadre du budget pour 2013 (1,2%).

« Dès lors que nous sommes capables de relancer la dynamique en Europe et en France, nous avons un réel potentiel de croissance en 2013 » affirme-t-il, assurant que la révision à la baisse de la prévision officielle n'est « pas d'actualité » et jugeant qu'une faible hausse du PIB l'an prochain n'est « pas une fatalité ».

A la FRANcaise.. :oops:, sortez vos masques ça va enfumer sévère à la rentrée!

« Des réformes de structure, à la française, stimuleront la croissance » ajoute-t-il en affirmant à l'adresse de ceux qui à gauche s'inquiéteraient, que le « principe d'action » du gouvernement « est et sera toujours la justice sociale ». Sur le plan national, le gouvernement veut « soutenir l'activité par une politique économique active, notamment en faveur du pouvoir d'achat, du logement et de l'investissement des entreprises », ajoute le ministre.

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La Grèce « doit rester dans la zone euro » ou elle plongera dans une pauvreté inédite, a affirmé dimanche le ministre grec des Finances Yannis Stournaras, avant une semaine d'entretiens cruciaux entre le Premier ministre et des responsables de l'Union européenne. « Nous devons survivre et demeurer au sein de la zone euro, parce que c'est l'unique choix qui peut nous protéger d'une pauvreté que nous n'avons encore jamais connue », a déclaré Yannis Stournaras au journal local « Vima tis Kyriakis ».

http://www.latribune.fr/actualites/economie/union-europeenne/20120819trib000715067/la-grece-doit-rester-dans-la-zone-euro-martele-le-ministre-des-finances-grec.html

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Les langues se délient:

Grèce: sortie "gérable" mais "chère"

20/08/2012 | Mise à jour : 10:30

Jörg Asmussen, membre du directoire de la Banque centrale européenne (BCE) a estimé qu'une sortie de la Grèce de la zone euro serait "gérable", mais qu'elle serait "très coûteuse", dans une interview publiée lundi par le quotidien allemand Frankfurter Rundschau. "Une sortie de la Grèce serait gérable", mais "elle serait accompagnée par une perte de croissance et un chômage en hausse, et serait très couteuse. En Grèce, dans toute l'Europe, et également en Allemagne", a-t-il estimé.

Jörg Asmussen a ajouté qu'Athènes avait sa place au sein de la zone euro, et que son maintien était "entre ses mains". "Je suis toujours étonné de voir avec quelle inconscience certains spéculent sur une sortie et le mépris avec lequel on parle des membres de la maison européenne", a-t-il encore poursuivi. Lundi, le ministre allemand des Affaires étrangères, Guido Westerwelle, doit s'entretenir à Berlin avec son homologue grec, Dimitris Avramopoulos, avant une rencontre vendredi dans la capitale allemande entre la chancelière Angela Merkel et le Premier ministre Antonis Samaras.

Selon les médias grecs, Samaras devrait parler d'un allongement des délais afin que la Grèce puisse procéder aux réductions budgétaires drastiques, en échange de sa prochaine tranche d'aide, mais n'irait pas jusqu'à en faire la demande officielle. Dans un entretien lundi à la radio Deutschlandfunk, le secrétaire d'Etat au ministère allemand des Finances, Steffen Kampeter, a répété la position allemande sur un éventuel sursis supplémentaire à la Grèce en matière d'économies budgétaires: attendre le rapport des bailleurs de fonds (UE, FMI, BCE) prévu pour la mi-septembre.

Il a douché les espoirs d'une grande annonce lors de la rencontre entre Mme Merkel et Antonis Samaras. "Il ne va pas y avoir de décision bilatérale vendredi", a dit M. Kampeter, "mais des décisions de façon ordonnée, juste et transparente au niveau européen". Selon le quotidien allemand Bild, dans son édition de lundi, des concessions pourraient être accordées à la Grèce, mais seulement dans le cadre temporel déjà prévu dans le plan d'aide.

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Faites tourner la planchette!

http://www.latribune.fr/actualites/economie/union-europeenne/20120820trib000715196/la-bce-sort-son-bazooka-pour-limiter-les-ecarts-de-taux.html

Selon Der Spiegel, la Banque centrale européenne (BCE) envisage de fixer des limites entre les taux au sein de la zone euro qui déclencheront son intervention automatique et illimitée sur les marchés.

Extrait :

La question de l'inflation

On se dirige donc vers une sortie de crise par une intervention massive de la BCE. Une politique qui n'est cependant pas sans conséquence : elle ne sera possible que par l'émission massive de monnaie. Qu'adviendra-t-il de ces liquidités ? Le calcul de Mario Draghi, c'est qu'elles ne seront pas reversées dans le circuit économique puisque les Etats concernés continueront à mener des politiques d'austérité à tendance déflationniste, ce qui brisera la tendance inflationniste de l'émission monétaire. Mais il y a fort à parier que l'euro sera néanmoins touché par ce recours à la planche à billet. Or, une dévaluation de fait de l'euro, si elle peut aider à la relance des exportations, sera également source de tensions inflationnistes. Comme le note les analystes d'Octo Finances, "il faut espérer qu'il n'y ait pas de défiance envers l'euro". Et de résumer la situation : "la BCE lie le sort de l'Espagne et de l'Italie à celui de l'Allemagne. Tous les pays se sauveront ensemble ou tomberont ensemble. Son attitude est logique, mais elle fait trembler".

Bref les enfants va falloir raquer pour les sudistes fauchés!

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Faites tourner la planchette!

http://www.latribune.fr/actualites/economie/union-europeenne/20120820trib000715196/la-bce-sort-son-bazooka-pour-limiter-les-ecarts-de-taux.html

Selon Der Spiegel, la Banque centrale européenne (BCE) envisage de fixer des limites entre les taux au sein de la zone euro qui déclencheront son intervention automatique et illimitée sur les marchés.

Extrait :

Bref les enfants va falloir raquer pour les sudistes fauchés!

Oh mon Dieu, comme tu dis ça, quelle brutalité...  :-X T'as pas honte?  :| Ce n'est pas leur faute, ils ne savaient pas, ce sont les gouvernants les fautifs et pas le peuple, qui lui est blanc comme neige et ne fraude jamais, etc etc.  :lol:

Blague à part c'est un très mauvais signal, on aurait mieux fait de sortir la Grèce, seulement la Grèce, pour l'exemple.

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Ya comme de la cacophonie, et ça joue pas mal sur les mots, et les virgules..etc!

http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/actu/0202221830339-la-tension-monte-d-un-cran-entre-berlin-et-la-bce-354110.php

L'Allemagne a tué dans l'oeuf lundi les espoirs de grandes annonces sur la crise de la dette lors de rencontres au sommet prévues cette semaine à Berlin, et lancé un avertissement sans frais à la BCE sur des éventuels projets d'achats d'obligations d'Etat.

extrait :

« Point de vue théorique très problématique »

Autre indice d'un durcissement de ton à Berlin, le porte-parole du ministère des Finances a fait lundi une entorse inhabituelle à la règle qui veut qu'en Allemagne, la politique monétaire ne fasse l'objet d'aucun commentaire du gouvernement.

Si la Banque centrale européenne (BCE) déterminait des écarts maximum de taux d'emprunt entre pays européens, au-delà desquels elle interviendrait en achetant en masse des obligations publiques, cela serait « d'un point de vue théorique très problématique », a-t-il dit.

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retour au franc y aura de l'inflation pour sur, mais ca rendra l'economie plus competitive, ne serait ce que par rapport aux allemands

Encore faut-il avoir une industrie prête à aller à la bagarre sur les exportations.

Quand je vois PSA qui ferme Aulnay et qui dans le même temps va faire produire ses modèles à Opel pour le marché allemand, je doute que les co***** de capitaine d'industrie que l'on se paie (très cher) soient en phase avec une telle stratégie monétaire.

Par ailleurs, je doute qu'une flambée du prix des importations rende notre industrie compétitive (hors aspect structurel précédemment énoncé). Cette hausse sera répercutée sur le prix des produits finaux comme excuse pour faire plus de marge sur le marché national et à l'export.

La vrai compétitivité, c'est la fiscalité allemande : taxes sur les entreprises divisées par deux et impôt sur le revenu multiplié par trois (pour une tranche d'IR à 10%, pour les autres tranches on garde la progressivité).  :oops:

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Selon Der Spiegel, la Banque centrale européenne (BCE) envisage de fixer des limites entre les taux au sein de la zone euro qui déclencheront son intervention automatique et illimitée sur les marchés.

Comment ça une intervention illimitée ? De l'argent illimité ?  :rolleyes:

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Les chinois sont stratèges, ils essaieront d'enfoncer toutes les portes, et plus ya de mauvaise foi et mieux ca passe.

Comment ça une intervention illimitée ? De l'argent illimité ?  :rolleyes:

Illimitée dans la mesure ou les taux du marché ne rentreraient pas dans la fourchette de taux définie par la BCE.

Alors la BCE rachèterait des obligations souveraines pour maintenir les taux à niveau autant qu'il faudra, donc c'est théoriquement illimité du moins c'est la BCE qui le déclare...

Aprés la qualité du bilan de la BCE c'est autre chose.. :oops:...et quant à la valeur de l'EURO.. :oops:

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Grèce : Habitués à ne pas payer leurs impôts, sur l'île d'Hydra, un contrôle fiscal déclenche des émeutes.

Tout a commencé vendredi soir, quand la brigade de la haute délinquance financière a voulu contrôler un restaurateur de bord de mer soupçonné de ne pas émettre de factures à ses clients. Le gérant des lieux a refusé de s'exécuter, affirmant qu'il comptait le faire par la suite tout en insultant copieusement les «Rambo de l'impôt». Interpellé et transféré au commissariat, le restaurateur est devenu un symbole sur l'île. Pour le soutenir, nombre de commerçants ont non seulement établi un barrage devant le poste de police mais en prime interrompu le trafic des bateaux pour Athènes, afin d'empêcher son transfert vers la capitale. Ils ont même réussi à couper l'approvisionnement en courant et en eau du poste de police pendant toute la nuit. L'État a dû dépêcher des unités de brigade antiémeute d'Athènes en renfort. Elles sont arrivées à bon port, grâce à des navettes de la marine grecque, mais de légères échauffourées ont éclaté avec des habitants de l'île.

Et ça continue ... : http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2012/08/20/20002-20120820ARTFIG00455-sur-l-ile-d-hydra-un-controle-fiscal-declenche-des-emeutes.php

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Faites tourner la planchette!

http://www.latribune.fr/actualites/economie/union-europeenne/20120820trib000715196/la-bce-sort-son-bazooka-pour-limiter-les-ecarts-de-taux.html

Selon Der Spiegel, la Banque centrale européenne (BCE) envisage de fixer des limites entre les taux au sein de la zone euro qui déclencheront son intervention automatique et illimitée sur les marchés.

Extrait :

Bref les enfants va falloir raquer pour les sudistes fauchés!

Excellente nouvelle, ça serait le minimum !

Et je ne vois pas où il est question de raquer, c'est une intervention monétaire de la BCE et non un mécanisme de solidarité fiscale intra-européen.

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