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[Iran] projet nucléaire et conséquences / Archive


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Je ne serais vraiment pas étonné et j'ai plutot à tendance à croire que l'Iran aide ou finance le Hamas. C'est bon pour eux dans la région.

La relation Hamas-Hezbollah-Iran n'est pas d'une autre nature que la relation Israel-USA.

La résistance du peuple palestiniens  poursuit  depuis plus de 60 ans, périodiquement l’Israël accuse tel ou tel pays qui soutient le peuple palestiniens, d’après vous l’Iran donne combien à Hamas et l’Israël reçoit combien des occidentaux ?  Les occidentaux doivent arrêter de se prendre pour des saints.

Shimon Peres ; il n'y aura jamais de véritable état palestinien car Israël n'aurait plus aucune profondeur

L’Iran a beaucoup aidé l’Israël avant 1979, aujourd’hui il répare ses erreurs de passé.

Voici un article intéressant

Source media israélien ; http://www.haaretz.com/hasen/spages/911655.html

Et voici la traduction

“Ces derniers mois, Israël et l’Iran n’ont cessé jouer au « chat et à la souris ». Il ne s’agit pas du jeu habituel des Renseignements, du Contre-espionnage ou de la sécurisation des zones d’influence. De tels jeux ont eu lieu durant des années. La Communauté du Renseignement israélien tente d’obtenir des informations sur le développement du programme nucléaire Iranien et se prépare au cas où il devrait attaquer l’Iran ; tandis que l’Iran tente de contrecarrer ces efforts.

Mais en parallèle à ce jeu « ordinaire », Israël et l’Iran s’activent fiévreusement dans un domaine entièrement différent :

L’Iran essaye de récupérer des propriétés et des actifs appartenant au Gouvernement israélien et à trois compagnies pétrolières israéliennes à l’étranger ; et Israël essaye de le contrecarrer dans cette opération. Cette affaire est le résultat d’un arbitrage international qui a jugé il y a plus de trois ans que les compagnies pétrolières « Paz », « Sonol », et « Delek » doivent indemniser la « Compagnie pétrolière Nationale iranienne », (« NIOC »), de centaines de millions de dollars.

Dans les années 1970 les trois sociétés appartenaient au Gouvernement iranien, mais depuis lors ont été privatisées. Les compagnies pétrolières concernées ont fait appel de la décision d’arbitrage et tentent de retarder l’exécution de la décision ; et y ont réussi pour le moment.

La « NIOC » n’a pas encore pu obtenir la mise en application de la décision et la réévaluation de la dette. Parallèlement à cette décision la contestation continue toujours à travers deux autres actions menées sur des questions semblables.

Toute cette action s’est déroulée en Europe, (En Suisse et la Hollande) depuis plus de 20 ans, et elle est reliée à l’activité d’une dénommée société « Trans-Asiatic Oil » en tant que « personne morale ».

Il s’agit d’une association ultrasecrète qui fut mise en place entre le Gouvernement israélien et le « NIOC » durant le règne du Shah. Cette association gérait la « Société de Pipeline d’Eilat-Ashkelon », les terminaux d’Eilat et d’Ashkelon, et une énorme flotte de tankers géants pour le transport. Après que le Shah ait été expulsé d’Iran et que Khomeini soit arrivé au pouvoir, en février 1979, la République islamique coupa tous les liens avec Israël et stoppa la livraison du pétrole iranien.

En 1985, la « NIOC » engagea des procès gigantesques (Equivalants aujourd’hui à plusieurs milliards de dollars) contre Israël et les Compagnies pétrolières. Les procès furent jugés dans trois arbitrages séparés. La « NIOC » prétendant qu’Israël lui devait des sommes énormes dans le cadre de leur association.

« Haaretz » a tout d’abord consacré un rapport sur la victoire juridique iranienne en décembre 2006 et aujourd’hui le Professeur Uri Bialer de l’ « Université hébraïque de Jérusalem » publie une étude sur les circonstances de l’établissement de la Trans-Asiatic Oil.

L’étude de Bialer, "Fuel Bridge across the Middle East - Israel, Iran, and the « Eilat-Ashkelon Oil Pipeline »," est basée sur des documents qui ont été déclassifiés des Archives d’état israéliennes et des Archives nationales britanniques, ainsi que d’après des entretiens définissant les valeurs en jeu dans ces affaires. Il fournit un aperçu rare sur un chapitre particulièrement intéressant de l’histoire de l’Etat l’Israël. L’étude a été publiée dans la dernière édition du périodique « Israel Studies ».

Jusqu’au milieu des années 1950, Israël recevait son pétrole d’Union soviétique, du Koweït (alors sous tutelle Britannique) et des compagnies pétrolières internationales. Mais dans les années 1955/1956 ces liens furent coupés et Israël fut forcé de trouver de nouvelles sources pour s’approvisionner. Israël conclut des accords secrets avec l’Iran, puis voulut le définir comme principal fournisseur pétrolier. Par crainte de détériorer ses relations avec le Monde arabe, l’Iran a alors hésité. Mais après la Campagne du Sinaï, en 1956, les Iraniens ont été convaincus et ont consenti à fournir du pétrole à Israël.

Au moyen d’unités de pompage et de conduites "réquisitionnées", (Pour ne pas dire volées), à des sociétés italienne et belges qui exploitaient un gisement de pétrole à Ras Sudar, dans le Sinaï, Israël construisit alors un oléoduc reliant Eilat à Ashkelon. La mise en place de la conduite, de 40 centimètres de diamètre, fut financée par le Baron Edmond de Rothschild. Le projet fut dénommé « Tri-continentale ». A la demande des Iraniens, qui voulaient alors dissimuler leur participation à la vente d’hydrocarbures à Israël à travers une Société commune, les parties établirent une association secrète, la « Fimarco ». Elle fut nregistrée en juillet 1959 au sein de l’abri fiscal du Lichtenstein. L’Iran possédait alors 10 % de l’association. Les tankers transportaient le pétrole d’Iran à Eilat et de là le pétrole était transféré à Ashkelon par le pipeline.

Mais au cours des années les besoins d’Israël augmentèrent et le Ministère des Finances proposa un plan pour remplacer la petite conduite de l’oléoduc par une plus grande, de 40 pouce (106 cm de diamètre) et voulut fonder une vraie compagnie avec l’Iran. La Ministre des Affaires Etrangères Golda Meir, se rendit secrètement à Tehran en août 1965, pour mettre en place le projet avec le Shah et avec Fatollah Nafici, un des directeurs de la « NIOC », et l’organisateur des liens clandestins de la société avec Israël. Pour démontrer le sérieux de ses intentions, Israël avait nommé Felix Shinar, un des organisateur de l’Accord des réparations de guerre avec l’Allemagne, en tant que chef du projet. Il y avait avec lui le député - ministre de la Défense Nationale Tzebi Dinstein, Dov Ben Dror qui dirigeait le marché de l’énergie, et Avigdor Mossad Bauer un responsable des Opérations du Mossad. Pour la « NIOC » le président Manuchar Akbal rejoignit les négociations pour le compte de l’Iran. Les pourparlers eurent lieu en Israël, en Iran et en Suisse.

Selon l’article de Bialer, le tournant positif des pourparlers culmina après la victoire d’Israël dans la Guerre de Six jours et la fermeture du Canal du Suez. Le Shah, qui est alors cité par le nom de code "Landlord" dans la correspondance israélienne, fut convaincu d’établir une association fifty-fifty entre le Gouvernement israélien et la « NIOC ». La société fut dénommée « Trans-Asiatic Oil » et fut enregistrée en Suisse, à la demande de l’Iran, pour cacher son association avec les Israéliens et faire croire qu’il s’agissait d’une société étrangère.

Après que le Shah ait donné son consentement, le principal problème était le financement de l’affaire, que l’on pensait devoir coûter 85 millions de dollars, une somme énorme à cette époque.

Le baron de Rothschild refusa de consolider le projet, alléguant que ce ne serait pas rentable. Mais les iraniens pensèrent qu’il n’avait pas tout dit et qu’il il s’était senti insulté par les représentants israéliens qui l’avaient tenu à l’écart durant environ les deux ans de leurs pourparlers avec l’Iran. Une tentative israélienne d’intéresser le pétrolier milliardaire américain David Rockefeller, le Président de la « Chase Manhattan Bank », échoua de même.

A la fin, grâce à ses relations, Shinar obtint un financement de la « Deutsche Bank », par le truchement de laquelle l’argent des réparations de guerre avait été précédemment transféré en Israël dans les années 1950 et 1960. Shinar et Nafici rencontrèrent à Genève et à Zurich Hermann Josef Abs, alors Président du Conseil de la « Deutsche Bank » et discutèrent des conditions du prêt avec lui.

Abs était un ancien Nazi : Il avait géré et dirigé les opérations de la banque à l’étranger à compter de 1938. Et après la Deuxième Guerre mondiale il avait été emprisonné pour cela durant plusieurs mois. Apparemment, cependant, cela n’empêcha pas les représentants israéliens de tisser des liens très intimes avec lui.

Début 1968, la banque allemande consentit à prêter à un intérêt très bas 22 millions de dollars de prêt pour financer le projet. Le 29 février 1968 un contrat constituant la société, fut signé. Ses détails exacts sont toujours considérés comme Secret d’état. Le contrat fut approuvé à ce moment-là par le ministre des Finances, Pinhas Sapir, pour le Gouvernement israélien et par Akbal pour la « NIOC ». Le contrat opérationnel fut établi pour une durée de 49 ans.

En 1969, le pipeline entre Eilat et Ashkelon étant achevé, des tankers géants furent achetés pour transporter le pétrole. En décembre 1969, le pétrole iranien commença à couler dans la grande canalisation. Un petit pourcentage de ce pétrole fut affecté à Israël.

L’essentiel fut cependant chargé sur des tankers au terminal d’Ashkelon et envoyé aux consommateurs en Europe, principalement en Roumanie, le seul pays du bloc Soviétique qui continuait à entretenir des liens diplomatiques avec Israël.

En 1970, 162 tankers livrèrent 10 millions de tonnes de pétrole au terminal. Ce fut l’année record du pipeline, mais le but ambitieux des 50 millions de tonnes par an ne fut jamais réalisé.

Fin 1978, avec la chute du Shah, le pétrole arrêta de couler et les liens entre les deux pays se détériorèrent jusqu’à l’hostilité qui les caractérise à ce jour. Le « NIOC » esta alors en justice pour réclamer le paiement des trois derniers mois de livraison du pétrole et pour la valeur des actifs partagés ; ainsi que pour le financement des tankers.

Israël déclara alors que l’argent lui revenait en raison du non- respect des contrats par l’Iran.

Pour l’Iran du Shah, l’initiative avait eu seulement une valeur financière et était par contre un fardeau politique. Mais pour Israël c’était une cause nationale, une autre image initiée par le « Mapai » (Le prédécesseur du « Labor »). Et sa motivation principale était stratégique.

“Trans-Asiatic Oil », qui gère toujours le pipeline, a déclaré à « Haaretz » que la décision d’arbitrage concernait les compagnies pétrolières. Ces dernières, pour leur part, ont refusé de réagir à cet article.

On comprends peut-être mieux ainsi l’insistance d’Isrël à vouloir attaquer, (ou faire attaquer l’Iran) par ses "alliés" américains.

C’est sûr qu’après quelques bombes atomiques il n’y aura plus de dettes envers l’Iran... Ni de jugement international contraignant à les payer.

Finalement, c’est comme d’hab’. Simplement des histoires de gros sous.

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Je voulais créer un autre topic, je balance ici, c'est assez interessant.

Par Paul Joseph Watson, Prison Planet

Des pannes majeures et sans précédent du réseau Internet à travers le Moyen-Orient et en Asie qui surviennent parce que quatre câbles sous-marins Internet ont été coupés de manière inexpliquée, suscitent des soupçons à l'effet qu'un événement majeur aux proportions géopolitique puisse être sur le point de se produire.

Image IPB

Les pannes Internet au Moyen-Orient suscitent des soupçons géopolitiques

Les pannes du réseau Internet ont des effets sur de vastes étendues de l'Asie, du Moyen-Orient et au nord de l'Afrique, après que quatre connexions de câbles sous-marins aient été endommagées. L'Égypte, l'Arabie Saoudite, le Qatar, les Émirats Arabes Unis, le Koweït, le Bahreïn, le Pakistan et l'Inde, ont tous de graves problèmes.

Selon le site « InternetTraffic.com, » l'Iran a été complètement coupé de l'Internet, bien que l'on puisse toujours accéder au blog de Mahmoud Ahmadinejad.

Il mérite d'être souligné qu'Israël et l'Irak ne sont pas affectés par la panne.

« Stephan Beckert, analyste à TeleGeography, une entreprise de recherche et de consultation sur des questions relatives au réseau Internet mondial, dit que les câbles endommagés représentent pour l'ensemble la majorité des communications internationales entre l'Europe et le Moyen-Orient, » tel que rapporté par CNN.

Les officiels disent que la cause derrière le sectionnement des câbles demeure inconnue, mais la deuxième plus grande entreprise de télécommunications des Émirats Arabes Unis a déclaré que les câbles ont été coupés parce que des navires laissaient traîner leurs ancres.

S'agit-il d'un [signe] précurseur visant à jeter le voile sur un événement imminent qui doit se dérouler au Moyen-Orient?

« Quelles sont les chances? Qui en profite? Se demande-t-on sur le blog "Crimes and Corruptions." Voyons voir. Le rapprochement iranien: « Ces derniers mois ont apporté de nombreux signes de rapprochement entre l'Iran et l'Egypte. »

« Quelle nation ne souhaite pas un tel rapprochement et qui, à la fois, possède des sous-marins qui peuvent couper les câbles? Pourquoi faire ça? Par vengeance et entre-temps les affaires commerciales sur le net en sont fortement affectées [NDT : transactions boursières et financières incluses]. Ou serait-ce plutôt une mise en scène pour autre chose? Notez que le réseau Internet fonctionne très bien en Israël. »

Sur le site «WhatReallyHappened.com [Nom d'un site Internet qui signifie en français : Que s'est-il réellement produit], Mike Rivero souligne que le mystérieux sabotage du câble pourrait présager une autre croisade impérialiste des néocons.

« Le plus gros problème rencontré par l'administration Bush en Irak était les images en provenance d'Internet qui montraient les horreurs commises sur le peuple iraquien et le dévoilement des mensonges du gouvernement à propos de Saddam, » écrit-il.

« Je suis profondément préoccupé par le fait que le sectionnement des câble sous-marins est destiné à empêcher le monde de voir quelque chose qui est sur le point de se produire, autrement que par la propagande des médias contrôlés par le gouvernement. »

DE belles hypotheses mais en ce qui me concerne je trouve l'idée pas mal dans le cas de bombardement d'"un pays. On coupe les cables et on envoie les missiles, personne ne voit, personne ne sait dans les premieres heures ce qui se passe.

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pour le blog de Mahmoud Ahmadinejad il doit se trouver sur un site (serveur hors Iran) ou sur un site miroir en cas de panne

De plus je connais bien l'importance de la Fibre Optique, elle est plus efficace en transmission que les satellites.

A surveiller de très près !!

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moui c'est vrai que c'est pas le moment de develloper une fusée, même si le rapport americain dit le contraire sur le problème du nucleaire, ca fait pas avancer le shmilbick cette histoire  :-[

Je les comprends pas, normalement il sont capable de savoir si tel ou tel genre de missile capable d'atteindre l'espace est capable oui ou non d'emporter des ogives nucléaires...

En tout cas, en peut dire que l'Iran fait de trés gros progrès, d'ailleurs je me demande comment...

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en fait c'est le hezbollah qui aide le hamas, je vois mal des pasdarans a gaza  =D

Je sais pas, car les brigades izzdine-al-qassam ont annoncé que 2000 fondamentalistes égyptiens sont passés à Gaza pour les aider à combattre, gràce à la brèche qu'ils ont faite à Rafah. Donc pourquoi pas ?

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@collectionneur

Les sites comme iran-manif, iran-resiste, Conseil national de la résistance iranienne (CNRI) ne sont pas fiables, très souvent ils publient de façon grossière les événements en iran. Comme disait Yves montant « ils ont des mauvaises réponses aux vraies questions ».quoique dès fois ils ont des répons aux questions qu’ils n’existent pas.     

Personnellement je ne voix pas ce que veut dire ce site (sauf si selon lui ce n’était qu’un mis en scène), j’ai regardé en directe lundi matin le lancement de la fusée et j’ai rien constaté anormal.

Cette fusée n’emporte pas de satellite, pour lancement avec un satellite il faut attendre jusqu’à fin mai ou début juin 2008.

LA vache, les mecs sont à 100 metres du pas de tir et n'ont pas peur

Probablement il s’agit Shahab-3D (et non Ariane 5 ou Soyouz) qui nous en parle depuis plus d’un an avec une portée de 3000 à 3500km, dès fois les yeux sont trompeurs, surtout en TV.

Quand la Russie suspecte l'Iran sur son nucléaire.

Il faut voir comment les choses sont faites.

Par exemple : les USA sont en difficulté vis-à-vis leur bouclier anti-missile en Europe, et hop Iran tir un missile pour justifier les USA, assez souvent on rend de ce genre service entre faux ennemi pour chatouiller le faux ami

Au moins une chose que les américains apprécient chez République Islamique d’Iran, qu’ils aussi anti-russe que les américains.

Le camarade putin est en colère par ce que ses ambitions imaginaires en Iran sont stoppées de façon très nette (main mise sur les gisements hydrocarbure, avoir une base aéronaval en golfe Persique, le contrat 20 milliard de dollar pour les équipements militaires et etc.) d’autant plus que les iraniens vont devenir un rival pour les russes en matière d’exportation du gaz naturel vers l’Europe (Le projet de gazoduc Nabucco).

Les iraniens n’ont pas apprécié le coupeur du gaz Turkmène sur l’ordre de Kremlin et les pro- russe en Iran se font très petit. Camarade Putin a oublié la devise de la révolution iraniennes « ni este ni ouest »     

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WASHINGTON (AFP) - Le commandant d'un navire de guerre américain avait donné l'ordre de tirer sur une vedette iranienne dans le détroit d'Ormuz début janvier, mais le bateau a détourné sa course juste à temps, a révélé mercredi le chef d'état-major de l'armée américaine, Michael Mullen.

Aucun tir n'a eu lieu lors de la confrontation navale qui a opposé les marines américaine et iranienne dans le Golfe le 6 janvier dernier, quand des vedettes iraniennes se sont approchées à grande vitesse de trois bâtiments de guerre américains qui transitaient par le détroit d'Ormuz.

Mais, selon l'amiral Michael Mullen, l'un des commandants en charge "avait littéralement donné l'ordre de tirer et il s'est avéré que l'une des vedettes a fait demi-tour simultanément".

Il a ajouté que les Etats-Unis souhaitaient éviter les erreurs, mais devaient se fier au jugement des officiers sur le terrain.

"De mon point de vue, il est sage de se fier à leur jugement comme nous l'avons fait l'autre jour", a-t-il dit à la commission des forces armées de la Chambre des représentants.

Le secrétaire à la Défense Robert Gates a donné des consignes aux forces armées américaines peu après sa prise de fonctions, leur demandant de ne pas provoquer les Iraniens.

"Je voulais m'assurer que nous ne faisions pas de provocation, et que nous opérions dans les limites, à la fois là où nos avions volaient et où nos bateaux croisaient", a-t-il dit.

En même temps, "les Iraniens ne peuvent pas se faire d'illusions sur les conséquences du fait d'essayer d'attaquer un de nos bateaux", a-t-il ajouté.

Une certaine confusion s'est fait jour sur l'étendue et la gravité de la confrontation dans le détroit d'Ormuz. Selon Téhéran, ce que les Etats-Unis ont qualifié de "provocation" n'était qu'un contrôle de routine sans la moindre menace à l'égard des bâtiments américains

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En tout cas, en peut dire que l'Iran fait de trés gros progrès, d'ailleurs je me demande comment...

Actuellement il y a une grande conférence scientifique à l’Université technique de Kharazmi 

Cette année il y a beaucoup chercheur iraniens qui résident aux États-unis ont participé à cette conférance, notamment Professeur ISLAMI (Lauréats 2005 de NASA).

D'après une étude du Massachusetts Institue of Technology, les scientifiques iraniens aux États-unis possèdent ou contrôlent plus de 880 milliards de US$ (source wikipedia)

Devinez le reste

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@jeanmi

Tout le monde dans la région sait que l’incident du 6 janvier 2008 était un mis en scène par deux parties pour que le voyage de Mr BUSH en MO passe bien et il arrive de vendre encore plus des armes (un bonus pour son départ de la maison blanche), et pour ton article, tu n’a jamais demandé pourquoi les américains ont révélé de telle affaire un mois plus tard ? N'oublie pas US NAVY a mis une sérieuse doute sur l’origine de menace et pour « Le commandant d'un navire de guerre américain avait donné l'ordre de tirer sur une vedette iranienne dans le détroit d'Ormuz début janvier », il ne faut imaginer que les choses vont faire si facilement.

Ni USA ni IRAN ne cherchent un affrontement militaire

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