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Le Canada et sa place sur la scène internationale


Messages recommandés

Résumé de notre cadre financier de l'accès vers l'indépendance.

http://optionnationale.org/contenu/ON_CF_2014.pdf

 

http://quebec.huffingtonpost.ca/2014/03/26/option-nationale--lindependance-du-quebec-serait-plus-avantageuse-financierement_n_5037034.html

 

Élections 2014 - Option nationale : l'indépendance du Québec serait plus avantageuse financièrement

Option nationale compte réaliser l'indépendance du Québec dans un premier mandat, autour de la troisième année, le temps de rédiger la constitution.
 
Selon ses calculs, même en prenant à sa charge 18,2 pour cent de la dette fédérale, même en établissant la gratuité scolaire, et même sans accroître le fardeau fiscal des Québécois, un Québec indépendant parviendrait à dégager un excédent de 1,08 milliard $ dès la première année après son indépendance.
 
M. Zanetti affirme que le Québec pourrait réaliser maintes économies en éliminant les dédoublements et chevauchements avec le gouvernement fédéral et en récupérant sa part de certains investissements du gouvernement fédéral, dans les sables bitumineux, par exemple. Selon lui, une somme de 375 millions $ pourrait être économisée seulement grâce au rapport d'impôt unique.

 

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J'ai lu avec interêt ce que tu nous a dit, mais je dois avouer que nos arcanes francaises semblent simples.

 

il y a t il des libéraux indépendentistes?

 

Sinon, que donnent les sondages? Merci.

 

(Bon c'est juste pour savoir si il faut prévoir des duvets -44° pour des ingénieurs dassault chez bombardier, nein?)

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Il y a des libéraux autonomistes, mais ils sont très mais très minoritaire. Souvent ils se font accusé par les fédéralistes raicaux majoritaire au PLQ d'être des indépendantistes déguisé. J'en connais un justement...

Les sondages montre que le PLQ et PQ sont à égalité mais non majoritaire. Mais ici avec le système de parlementarisme britanniques, tu peut être majoritaire avec 30% des voies et que voté autrement que la majorité sert a rien à certain endroit. C'est surtout le cas du PLQ ou il y a des circonscriptions qui récolte bon an mal an 85% PLQ, surtout les zones anglo vivant dans la peur du francophone. Nous avons comme blague chez les indépendantistes que le PLQ pourrait présenté un porc avec un drapeau du canada peinturé dessus qu'ils voteront pareil pour. Un mort pourrais se présenté la-bas qu'il serait élu (c'est arrivé...)

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Tien Michael tu as une idée de ce qui est arrivé avec l'idée du PQ de faire de faire des genres de mini référendum pour forcer un gouvernement a faire telle ou telle chose comme par exemple : un système de vote proportionel  ?

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Les référendums d'initiative populaire. Oui je m'en rappel. C'était une proposition de la campagne 2012 en fin de grève étudiante. Tu l'aura bien comprit, c'était juste pour amadouer la gauche étudiantes. 
Mais c'était un bon projet. 25 000 personnes signe une pétition et hop, un référendum sur le sujet. Bien pour un PQ en opposition, trop démocratique pour le PQ au pouvoir. Y vont nous ressortir l'idée à la prochaine campagne qu'ils feront quand ils seront à l'opposition. 

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Les libéraux en ont fait à l'époque une ''campagne de peur' avec les référendum d'initiative populaire, en disant que 25 000 péquistes se mettrait ensemble et hop référendum pour l'indépendance. Nous on en a bien rie, trouver 25000 péquistes qui veulent faire indépendances sans que le parti dise oui est une chose, mais c'est sur que le gars qui part la pétition se fera acheté, intimidé, ostracisé, etc.

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Pour dire que notre cadre financier 2014-2018 qui comprend l'indépendance est homologué par l'ordre des économistes du Québec. Même les fédéralistes en sont surpris. Nous avons entre-autre brisé le fameux argument qu'un Québec indépendant ferait faillite. 

Aussi, un bon résumé de notre parti et de la campagne en cours de la part du Devoir

http://m.ledevoir.com/societe/education/403987/la-galere-d-option-nationale

 

Option nationale a tous les maux des petits partis qui démarrent : il manque de tout. De ressources humaines — le parti compte cinq employés, neuf en campagne électorale —, de moyens financiers — la majorité des candidats ont des budgets de campagne de quelques centaines de dollars, contre 40 000 $ pour les grands partis — et d’attention médiatique. « Surtout des médias nationaux », constate avec dépit M. Zanetti.
 
Et quand on galère, la solidarité prend tout son sens. Pour aider une candidate dans Ungava qui avait besoin de l’original d’une lettre d’accréditation du chef d’ON approuvée par le DGE la veille de la remise de son dossier au directeur de scrutin, un membre a fait la route de Québec jusqu’à Roberval, puis un autre a pris là le relais pour emmener la précieuse missive jusqu’à Chibougamau, en pleine nuit et en pleine tempête. « C’est comme ça chez nous », laisse tomber M. Dubois.

 

 

 

 

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Vendredi soir, donc little trolling : A la suite d'élections truquées, des FS inconnues mais francophones avec un fort accent européen envahissent le Quebec pour protéger les populations francophones. Et sous quinzaine organisent un référendum... Comme en crimée?

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De Gaule envisageait de faire entrer le Québec dans le DOM/TOM.

 

J'y crois pas trop là par contre,

Après sa petite phrase au Québec De Gaulle était déjà considéré comme persona non gratas au Canada, alors j'image pas la chose avec ce genre d'initiative. En plus, Alain Peyrefitte ne fait aucune allusion de cette proposition dans ses écrits.

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Pas sur que ce soit le choix des Quebecois mais bon, un bon vieux référendum à la Poutine, avec de gentils miliciens cagoulés protégeant les votants avec des HK 416...

 

comparons se qui est comparable et je trouve que sa fait beaucoup de Criméens pour quand même  ;)

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pas dur, il suffira d'écrire les bulletins de vote en francais uniquement...

 

ben ils parlent tous russes en crimée .

 

moi de toute façon je me désigne Roi de La Galice vu que personne ne réclame le trône  et j'ai déjà un terrain en Galice =D 

 

faut juste que je rameute la foule pour mettre dehors les castillans  :happy:

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Texte de mon collègue Robert Moreau
 
Vous savez ce qui peut être le plus difficile à endurer pour un enseignant d’histoire, c’est de constater que l’histoire se répète inlassablement. Le débat des chefs d’hier soir à TVA (qui à mon avis n’était pas du tout un débat mais plutôt un vulgaire combat d’image et de propos aérés où les idées étaient absentes) j’ai pu voir réapparaître les mêmes arguments et complexes d’infériorité qui paralysaient  les Québécois dans les années 1950 : le syndrome du colonisé.
 
La principale anecdote du débat qui illustre bien ce syndrome est lorsque Philippe Couillard expliquait l’importance du bilinguisme en utilisant l’exemple de l’ouvrier en usine qui doit absolument parler l’anglais au cas où un investisseur des États-Unis ou du Royaume-Uni ait des questions à lui poser.
 
C’est comme si le fait de parler français était une maladie, un handicape, une honte épouvantable dans ce monde où la « bisness » se passe « in english ».  Je pose la question à tous les Couillard de ce monde : Est-ce que les ouvriers allemands ont ce même complexe en Allemagne ?  Et les ouvriers italiens en Italie ? Bien sur que  non, puisqu’il s’agit de pays indépendants où leur affirmation nationale est établie depuis longtemps.
 
En écoutant Couillard utiliser cet argument méprisant, je réentendais la voix de ma mère me raconter ce qu’elle a vécu à l’époque, lorsqu’elle travaillait comme préposée téléphoniste à la Boutique Morgan. Après avoir entendu ma mère et ses collègues parler entre eux en français, le propriétaire anglophone a dit ceci : « English should be spoken in this store. If I hear another word of French, you are fired »  - Rue Sainte-Catherine, Montréal, Québec, 1957.
 
Pourquoi, encore aujourd’hui, il y a des Québécois comme Couillard qui trouvent honteux le fait d’imposer et de protéger la langue française au Québec ? Oui, il est fondamental de maîtriser plus d’une langue. Mais si j’apprends une autre langue, c’est pour pouvoir communiquer et échanger avec d’autre nation. Ce n’est surtout pas pour cacher ma propre langue car elle n’est malheureusement pas celle de la « bisness ». L’ouvrier québécois n’a pas à avoir honte de répondre à l’investisseur des États-Unis en français, car il est chez lui.
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Les référendums d'initiative populaire. Oui je m'en rappel. C'était une proposition de la campagne 2012 en fin de grève étudiante. Tu l'aura bien comprit, c'était juste pour amadouer la gauche étudiantes. 

Mais c'était un bon projet. 25 000 personnes signe une pétition et hop, un référendum sur le sujet. Bien pour un PQ en opposition, trop démocratique pour le PQ au pouvoir. Y vont nous ressortir l'idée à la prochaine campagne qu'ils feront quand ils seront à l'opposition. 

 

Marrant on a eu à peu près la même chose en France (sous le même nom) se basant sur l'exemple Suisse.

Au final notre "referendum populaire" doit, du moins la dernière fois que 'avais vérifié, compter un nombre non négligeable (plusieurs dizaines) de député. Dans le genre "j'enterre l'idée mais je garde le nom" elle était pas mal, et toujours en vigueur ^^.

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Intervention partisane flagrante dans le processus électorale de la part d'un porte parole du DGEQ. Le DGEQ est bombardé d'appel à la démission et à l'annulation de l'élection. 
Rappelons que le DGE du Québec est issu d'une nomination partisane du PLQ.
Beaucoup de scandale commence à s'accumulé dans cette élection. Rejet de candidature valide, explosion d'inscription au vote de résident hors Québec, déclaration partisane. 

http://www.vigile.net/Le-DGEQ-doit-demissionner
 

 
Le geste de Denis Dion était donc malicieux et il entache de façon irréparable la crédibilité de l’institution du DGEQ et du détenteur de la charge, en l’occurrence Me Jacques Drouin. Devant la gravité des faits, les deux n’ont d’autre choix que de démissionner.
 
Et en fait, la faute commise est si grave qu’elle pourrait même justifier l’annulation du scrutin !
 
Il faut en effet comprendre que le DGEQ est garant de l’intégrité du processus démocratique au Québec. Quand son porte-parole intervient de façon aussi manifestement partisane dans le processus électoral, c’est, bien au-delà de son intégrité personnelle, celle de toute l’institution qui se trouve remise en question.
 
Se fiant sur l’autorité de la source, tout électeur serait parfaitement justifié de penser que, malgré le démenti apporté par le DGEQ, son porte-parole reflétait bien la situation dans laquelle allait se trouver l’organisme au lendemain de l’élection d’un gouvernement péquiste majoritaire, et que le porte-parole avait tout simplement eu le malheur d’exprimer tout haut ce à quoi tout le monde se préparait à l’intérieur de la boîte. 

 

 

Modifié par Michael Guay
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post de pic dans indian defence... Ca pourrait vous interesser...

 

French may be a beautiful language, but few would argue it’s the most useful, and almost nobody would argue it’s the language of the future. John McWhorter spoke for many when he wrote an immediately viral piece titled, “Let’s Stop Pretending That French Is an Important Language,” attacking New York City’s bilingual education programs.
Here’s the thing: the data suggests that French language just might be the language of the future.
French isn’t mostly spoken by French people, and hasn’t been for a long time now. The language is growing fast, and growing in the fastest-growing areas of the world, particularly sub-Saharan Africa. The latest projection is that French will be spoken by 750 million people by 2050.
A study by investment bank Natixis even suggests that by that time, French could be the most-spoken language in the world, ahead of English and even Mandarin.
7106536.jpg 
French is still a fast-growing, global language. The other mooted language of the future, Mandarin, despite being excruciatingly hard to learn for most Westerners, will probably not be that given China’s certain demographic slide. Meanwhile, French will be present on all continents, and particularly predominant in a continent that, by 2050, should be a fast-growing economic powerhouse–Africa.

Modifié par prof.566
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http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/dossiers/elections-quebecoises/201403/28/01-4752518-heritage-du-printemps-erable-les-jeunes-se-lancent-en-politique.php

 

(Québec) Les 18 à 29 ans n'ont jamais été aussi nombreux sur les bulletins de vote. En 2012, les jeunes sont sortis massivement dans les rues pour protester contre le gouvernement. Deux ans plus tard, ils aspirent à le former.

 

Avec 190 représentants, soit 23,3 % des 815 candidatures à travers la province, les 18 à 29 ans ont surpassé en nombre les quinquagénaires qui formaient la masse critique des candidats depuis 2007. En 2005 et en 1998, année où le Directeur général des élections du Québec a commencé à dresser le profil des aspirants députés, les 40 à 49 ans dominaient. 
 
Ainsi, pour la première fois en 20 ans, les candidats qui nous sourient sur les pancartes électorales ont un peu moins de rides et de cheveux gris. Pour l'ex-président de la Fédération étudiante collégiale du Québec et plus jeune député élu à l'Assemblée nationale, Léo Bureau-Blouin, il ne fait aucun doute qu'il s'agit d'une conséquence directe du printemps étudiant, une hypothèse qui est partagée par tous les intervenants consultés par Le Soleil. «Il y a eu un éveil, une prise de conscience», avance celui souvent désigné comme modèle d'engagement par ses pairs. 

 

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Alors que le PLQ mènent dans les sondages, l'UPAC s’apprête a mettre 11 haut libéraux sous arrêt dont plusieurs seront des députés élus et l'ancien premier ministre Jean Charest. 

 

http://fr.video.canoe.tv/archive/source/agence-qmi/point-de-presse-de-jean-francois-lisee-et-pierre-duchesne/3435268942001

 


 

Voici la possible liste. Elle proviens de sources médiatiques internes sachant qu'il y a un interdit de publication ordonné jusqu'à la fin de l'élection...
 

- Beauchamp,
- Charest,
- Courchesne,
- Fournier,
- Bachand,
- Moreau,
- Hamad,
- Normandeau,
- Boulet,
- Whissel,
- Tomassi
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http://quebec.huffingtonpost.ca/2014/04/04/interdit-de-publication-avant-l-election_n_5089910.html

 

Des documents de l'UPAC sur le PLQ resteront secrets pendant la campagne

L'avocate de l'ancien ministre libéral Marc-Yvan Côté a obtenu que de nouveaux documents d'enquête policière concernant le Parti libéral du Québec (PLQ) restent secrets jusqu'après les élections provinciales de lundi.

 
Des documents de l'Unité permanente anticorruption (UPAC) sur le Parti libéral du Québec ne seront pas dévoilés avant le scrutin du 7 avril. Le chef Philippe Couillard ne croit pas que cela empêchera les Québécois de faire un choix éclairé.
 
« Tous les éléments sont connus, on a été très transparent. J'ai été très transparent », a-t-il lors d'un point de presse à Saint-Jérôme, dans les Laurentides vendredi.
 
« Vous comprendrez qu'on ne peut pas intervenir dans ce que les cours et les tribunaux décident, notamment les enquêtes policières indépendantes », précise-t-il.
 
Fin février, l'UPAC a mené une perquisition chez l'ancien ministre libéral Marc-Yvan Côté, qui a été responsable du développement des affaires chez la firme de génie-conseil Roche de 1994 à 2005. Radio-Canada et Le Soleil ont demandé en mars la levée des scellées sur les documents ayant permis d'obtenir le mandat de perquisition à sa résidence de Baie-Saint-Paul, dans Charlevoix.
 
La dénonciation sera au cœur d'un débat devant la cour le 11 avril prochain. En attendant, les médias ne peuvent pas révéler son contenu.

 

 

http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-quebecoise/201404/05/01-4754868-upac-le-pq-somme-le-plq-didentifier-les-11-personnes-visees-par-une-enquete.php

 

UPAC: le PQ somme le PLQ d'identifier les 11 personnes visées par une enquête

Le Parti québécois demande au chef du Parti libéral du Québec, Philippe Couillard, de dévoiler l'identité des «onze personnes» visées par l'enquête «Projet Lierre» menée par l'Unité permanente anticorruption (UPAC), qui s'intéresse entre autres à un système de financement occulte qui aurait existé lorsque les libéraux étaient au pouvoir.
 
À deux jours du scrutin, deux ministres sortants du gouvernement Marois, Jean-François Lisée et Pierre Duchesne, ont martelé, lors d'un point de presse qui s'est tenu à la permanence du parti, que «les Québécois (avaient) le droit de connaître» cette information avant d'aller voter. 
 
«Onze personnes non identifiées auraient été impliquées dans un système de financement occulte en échange de contrats publics, alors que le Parti libéral de Jean Charest était au pouvoir», a rappelé M. Duchesne, se référant à des reportages publiés en novembre dernier par plusieurs médias, dont La Presse, qui avait obtenu copie de documents judiciaires fortement caviardés.

 

 

 

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Un attaché militaire russe expulsé du Canada

http://www.lorientlejour.com/article/862335/un-attache-militaire-russe-expulse-du-canada-.html

 

Les autorités canadiennes ont enjoint mardi un diplomate russe, attaché militaire adjoint à l'ambassade d'Ottawa, de quitter le pays, sur fond de tensions autour de la situation en Ukraine.

En poste depuis moins d'un an dans la capitale fédérale, le Lieutenant-Colonel Yury Bezler a reçu l'ordre de quitter le Canada d'ici deux semaines, selon le quotidien Ottawa Citizen et la télévision publique CBC, citant des sources anonymes.

 

Le Canada, un pays où réside une forte communauté ukrainienne, a été l'un des membres du G7 les plus virulents dans la riposte diplomatique contre la Russie depuis le début de cette crise.

Neuf militaires russes, sans accréditation diplomatique, ont déjà été expulsés du pays, tandis que l'armée de l'air canadienne mène actuellement un "exercice d'entraînement majeur" dans le Grand Nord où s'aventurent de temps à autres des bombardiers stratégiques russes.

 

Ils ne vont pas de main morte au Canada. Je me demande si Poutine pourrait taquiner le Canada sur des revendications territoriales de l’Arctique ou petites provocations diplomatiques comme des arrestations de pêcheurs canadiens, des ressortissants canadiens en Russie ou expulsions, ...

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