mgtstrategy Posté(e) le 12 décembre 2021 Share Posté(e) le 12 décembre 2021 Possible de corriger le titre de ce topic et de corriger cette faute qui pique les yeux : uniquement que de la société nexter. Uniquement de la société .... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
penaratahiti Posté(e) le 12 décembre 2021 Share Posté(e) le 12 décembre 2021 (modifié) il y a 33 minutes, mgtstrategy a dit : Possible de corriger le titre de ce topic et de corriger cette faute qui pique les yeux : uniquement que de la société nexter. Uniquement de la société .... C'était peut-être fait exprès pour bien se préserver du HS Modifié le 12 décembre 2021 par penaratahiti 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gargouille Posté(e) le 12 décembre 2021 Share Posté(e) le 12 décembre 2021 Il y a 1 heure, penaratahiti a dit : C'était peut-être fait exprès pour bien se préserver du HS Comme ci ce serait le genre de la maison ! 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rodac Posté(e) le 6 mars 2022 Share Posté(e) le 6 mars 2022 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 6 mars 2022 Share Posté(e) le 6 mars 2022 (modifié) Il y a 3 heures, rodac a dit : Sais-tu d'où vient la machine ? On voit qu'un nom est inscrit sur les capots à la fin de la vidéo, mais impossible de le lire. Edit : machine produite par la société lyonaise TRA-C ? Modifié le 6 mars 2022 par Boule75 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
benne Posté(e) le 8 mars 2022 Share Posté(e) le 8 mars 2022 Le 06/03/2022 à 18:09, Boule75 a dit : Sais-tu d'où vient la machine ? On voit qu'un nom est inscrit sur les capots à la fin de la vidéo, mais impossible de le lire. Edit : machine produite par la société lyonaise TRA-C ? Oui, c'est ça. Ils ont des notamment des applications sur des aciers "durs" utilises pour des panneaux de blindage mais également dans le spatial sur des bases Aluminium peu/pas soudables. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Skw Posté(e) le 11 mai 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 11 mai 2022 Un article sur la canonnerie nexter : Révélation À Bourges, dans la dernière canonnerie de France, Nexter perpétue un savoir-faire dans la conception d'armes Site stratégique pour l’industriel Nexter, la canonnerie de Bourges – la dernière de France – conçoit tous les tubes de moyen et gros calibres qui équipent, notamment, les armées françaises que ce soit sur terre, dans l’air ou sur la mer. Ici, les compétences perpétuent un savoir-faire dans la conception d’armes depuis 1870. La canonnerie de Bourges de Nexter Systems n’est pas du genre à faire des portes ouvertes. « On n’est pas loin de la grande muette », répond en souriant le chef d’établissement Laurent Monzauge. Il faut dire que ce site, qui s’étend sur 62 hectares, en plein centre-ville, dans l’ancien quartier militaire de Lahitolle, est « un point d’importance vitale. » Comprenez que la surveillance est y drastique et qu’un problème local ou national impliquerait une réponse armée rapide. Indispensable à la souveraineté nationale, la canonnerie berruyère de Nexter équipe notamment les armées françaises. C’est la dernière canonnerie à produire en France des canons de moyen et gros calibre. Ici, l’on conçoit et fabrique des canons du 20 mm au 155 mm. Pour les plus gros calibres, qui équipent les chars Leclerc ou les véhicules d’artillerie Caesar et peuvent atteindre près de 10 mètres de longueur, la taille des bâtiments de production est à la mesure des impressionnants tubes d’acier. L’imposant canon de 155 L’imposant canon de 155, fort d’une portée de tir de 40 km et dont un seul obus est capable de détruire un hectare de terrain, nécessite 9 mois de fabrication, contre quatre à cinq mois pour un canon de 20 mm. « À l’arrivée à la canonnerie, ce tube pèse 4 tonnes et 1,8 tonne à la fin » après usinage, soudage et assemblage, illustre Laurent Monzauge. Ce canon qui équipe le camion d’artillerie Caesar (lire en encadré ci-dessous) est le fleuron de l’usine berruyère, qui abrite des centres d’usinage dernier cri. En février dernier, le ministère des Armées avait passé un contrat avec Nexter prévoyant la fabrication de 33 canons Caesar nouvelle génération, et la rénovation de 76 de ces engins déjà en service. Le Caesar a été déployé sur de nombreux théâtres d’opérations dans le monde. La canonnerie de Nexter conçoit environ 150 canons par an de tous calibres, qui sont forés ici, à l’exception du 155, percé à la manufacture de Saint-Étienne, dans une filiale du métallurgiste Aubert & Duval. Les canons partent ensuite à l’usine de Roanne (Loire) pour y être assemblés, hormis les 155 et 105 mm. Mais c’est à Bourges qu'ils sont rayés, une opération sensible et unique en France, qui confère au canon la précision souhaitée. Les rayures sont vérifiées à l’œil humain par endoscopie. Si l’industriel répond à la commande de l’armée française, il vend aussi son savoir-faire sur tous les continents. La production de la canonnerie de Bourges, c'est « 50 % France, 50 % export, résume le chef d’établissement Laurent Monzauge. Depuis quelques années, il y a des hauts et des bas. On était en 3x8 jusqu’en janvier. On va redémarrer le travail de nuit. Les commandes de l’État pour Nexter n’ont pas toutes un impact à Bourges, mais on a une visibilité à 18 mois, maximum 24 mois.» Sur terre, en mer ou dans les airs Stratégique, la canonnerie, née en 1870 avec l’école de pyrotechnie, a notamment produit les fameux canons de 75 lors de la Première Guerre mondiale ou de 47 lors de la Seconde Guerre mondiale. Le site de Lahitolle usine des canons qui équipent des véhicules terrestres (VBCI, Jaguar, Caesar…), des aéronefs (avions Rafale de Dassault Aviation, les hélicoptères Tigre d’Airbus Helicopters) mais aussi des navires (Naval group). La canonnerie de Bourges emploie 150 salariés, alors que le groupe Nexter en compte près de 1.200 personnes, entre La Chapelle-Saint-Ursin (Nexter Arrowtech) et le site des Pyramides à Bourges avec ses bureaux d’études armes et munitions (Nexter Systems) où se trouve, non loin de là, le tunnel d’essais de tirs pour les calibres allant jusqu’au 40 mm. Le 155 mm est testé sur le champ de tirs du polygone de la DGATT ou en Suède. Les canons de calibres 40 à 120 mm le sont à Roanne (Loire) ou au Portugal. De Giat Industries en 1990 à Nexter en 2006 – avec l’arrivée des moyens calibres en 2005 auparavant conçus à Tulles (Corrèze) – et un rapprochement en 2020 avec l’Allemand KMW pour former KNDS, l’industriel cultive à Bourges un savoir-faire « multi-employeurs. » La complémentarité est totale entre les différentes installations de Nexter. Et le savoir-faire primordial. « On est dans une passe plus facile, les départs en retraite sont remplacés, on forme les jeunes, la compétence humaine est très importante », insiste Laurent Monzauge. Nexter a 23 postes à pourvoir (principalement cadres et opérateurs « spécialistes »). Mais les mécano-soudeurs sont devenus une denrée rare sur le marché alors que la canonnerie nécessite une grande maîtrise pour le soudage de pièces d’acier à haute limite d’élasticité. Un travail complexe et technique qui perpétue l’histoire de la fabrication d’armes à Bourges vieille de 150 ans. Thomas Migault Pour pouvoir consulter les photos d'accompagnement : https://www.leberry.fr/bourges-18000/actualites/a-bourges-dans-la-derniere-canonnerie-de-france-nexter-perpetue-un-savoir-faire-dans-la-conception-d-armes_14127313/ 3 4 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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