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gargouille

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gargouille a gagné pour la dernière fois le 8 février 2019

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À propos de gargouille

  • Date de naissance 04/12/1962

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    France

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  1. 2 une demi patrouille de 4 F35 donc !
  2. gargouille

    L'Inde

    Tout à fait, tu connais ce qui prévu comme réserve de temps de vol minimum une fois l'avion est en vu du PA pour l'appontage, et ça fait quel poids en kérosène ?
  3. gargouille

    L'Inde

    Ça laisse environ 3t de charge utile, c'est pas si mal c'est presque la moitié de celle d'un EF terrestre. Je pense que c'est structurel, le choc de l'appontage est loin d'être minime.
  4. Écoutes, il y en a ici qui veulent vendre une partie de notre or pour commander plus de trucs, on pourrait bien utiliser un lingot pour plaquer avec l'or un Rafale livré au EAU.
  5. C'est décevant, très déçus de l’apport Belge, ils sont pourtant pas mauvais pour l'habitat ? Après sur le plan esthétique je ne me donnerais pas trop d'importance de cette représentation, il se pourrait bien que ce qui est arrêté ce sont l’architecture du véhicule, son châssis, ses volumes intérieurs, pour la carrosserie ils ont fait au plus simple elle serait traitée plus tard.
  6. gargouille

    L'Inde

    https://youtu.be/eLg2zHEkbAQ Je mets le texte : Chaviro Rotantacha Chamipataro Rogriapatacha Des figues, des bananes, des noix. Des noix, des bananes, des figues... Tout le monde y pue, Il sent la charogne. Y a que le Grand Babu Qui sent l'eau de Cologne Tout le monde y pue, Il fait mal au coeur. Y a que le Grand Babu Qu'a la bonne odeur. Chaviro Rotantacha Chamipataro Rogriapatacha.... (des figues, des bananes, des nois...) Je connaissais pas.
  7. Par ce que vous préféreriez un budget à l'heure à la Zarko/Morin bis ! Critiquer les budgets de la défense sous les présidences du PR vous êtes un peu des ingrats. Là c'est se sera peut être juste qu'un décalage, certes le PR a sa part de responsabilité mais aussi les autres partis qui pour la plupart pensent soit élection, soit amnistie !
  8. Pour le 321 MPA, c'est peut être différent ça revient à la partie française.
  9. ET si le retour de DA comme quoi le résultat du travail demandé à Airbus ds n'est pas au niveau, c'est pire, ils ne sauraient même pas bien faire... !
  10. Un marché qui va peut être se fermer, et hop : https://www.opex360.com/2025/12/18/coup-dur-pour-leurodrone-la-marine-allemande-va-se-procurer-des-drones-americains-mq-9b-seaguardian/
  11. Voici, sans mise en page et avant lecture : « Chacun se refile le mistigri » : le projet SCAF d'avion du futur au… 12–15 minutes 17 heures, jeudi 11 décembre. A Berlin, dans la grande cour du ministère allemand de la Défense, Boris Pistorius souhaite la bienvenue en français à son homologue, Catherine Vautrin. Debout sur un petit podium rouge dans la nuit noire, les deux ministres écoutent « La Marseillaise » et l'hymne national allemand, déposent une gerbe, puis filent dans les étages, accompagnés d'une flopée de militaires en uniforme. Le temps presse. Il s'agit de trouver une solution au conflit sur le système de combat aérien du futur (SCAF), un projet franco-allemand clé mais au point mort depuis l'été. Certains espèrent encore que le président Emmanuel Macron et le chancelier Friedrich Merz trouveront une solution en marge du Conseil européen qui se tient ces mercredi et jeudi. Ce n'est pas gagné. Une mystérieuse hégémonie à 80 % Après la rencontre, Catherine Vautrin récite un refrain maintes fois prononcé : « Nous avons la volonté de poursuivre le travail commun sur le SCAF pour disposer d'un avion et d'un système de combat aérien du futur en 2040 et d'étudier les conditions de passage dans une nouvelle phase de développement d'un démonstrateur. » A ce stade, ces conditions ne sont clairement pas réunies ! La querelle entre Dassault et Airbus a même franchi un cap la semaine dernière, avec la lettre envoyée par le syndicat allemand IG Metall, appelant à exclure Dassault du projet. Ce dernier réclame une nouvelle gouvernance, qui lui donne clairement le leadership sur la composante principale du SCAF, l'avion de combat, avant de lancer la construction d'un prototype. Officiellement maître d'oeuvre de l'avion de combat, Dassault doit faire avec un partenaire, Airbus, qui revendique une coopération strictement partagée entre les trois pays du programme. Dassault aurait 33 % du projet et Airbus, présent en Allemagne et en Espagne, 66 %. Tout a basculé l'été dernier. Quand une lettre spécialisée allemande, le site Hartpunkt, dévoile que Dassault revendique une participation de 80 % dans le projet d'avion de combat du futur. « La volonté désormais clairement exprimée de Dassault d'être responsable de l'architecture des systèmes et d'avoir l'autorité exclusive de conception pour le chasseur de nouvelle génération n'est, à notre avis, plus compatible avec l'idée de coopération », dénonce aussitôt la Fédération allemande des industries aéronautiques, spatiales, de défense et de sécurité (BDLI). La révélation de Hartpunkt fait tant de bruit que Sébastien Lecornu, alors ministre de la Défense, organise fin juillet une visite chez son alter ego, Boris Pistorius, dans sa ville natale à Osnabrück. Il fait beau. Les deux hommes s'entendent bien. Ils ont reçu la même mission, l'un d'Emmanuel Macron, l'autre de Friedrich Merz : évaluer une perspective réaliste de coopération future. VIDEO - Le NGF : l'avion de clash entre la France et l'Allemagne terms.loading De retour vers l'aéroport de Villacoublay, Sébastien Lecornu semble rasséréné. Boris Pistorius l'a rassuré sur trois points. L'Allemagne laissera à la France la liberté d'exporter le nouvel avion. Elle partage la même vision du calendrier : avoir un avion opérationnel en 2040. Et elle est d'accord pour un avion relativement léger. Sur ce dernier point toutefois, le ministre allemand se contente de minimiser le problème : « Les obstacles ne sont pas insurmontables. » Ils existent pourtant. On comprend alors qu'en dépit d'un travail de trois ans, les ingénieurs d'Airbus et de Dassault, réunis à Saint-Cloud chez l'avionneur français, n'ont pas atterri complètement sur un modèle commun. Sur une demi-douzaine d'architectures d'avions de sixième génération étudiées, il en reste encore deux. « Elles ne sont pas très éloignées, on pourrait s'entendre », avoue-t-on chez Airbus. Si on va vers deux modèles d'avion, il n'y aura pas de SCAF. Un dirigeant de Safran Berlin souhaite un avion de supériorité aérienne, puissant, lourd et capable de déployer un essaim de drones. Paris a besoin d'un modèle compatible avec son futur porte-avions, manoeuvrant, rapide, assez agile pour exécuter sa mission nucléaire. Le NGF (New Generation Fighter) version allemande pèserait donc 2 à 3 tonnes de plus que la version française. Or, le poids est déterminant. « Dans l'avion du futur, le point critique passe par le moteur », confirment aux « Echos » plusieurs généraux de l'armée de l'air. Safran s'est réparti la tâche avec le motoriste allemand MTU. L'équipementier aéronautique français doit développer d'abord seul le moteur M88 à poussée augmentée pour le Rafale F5, puis en tirer parti pour le SCAF. « MTU est incapable de faire un moteur militaire seul, surtout si l'avion est lourd. Si on va vers deux modèles d'avion, il n'y aura pas de SCAF », prédit un dirigeant de Safran. Le mois d'août passe. A la rentrée, le PDG de Dassault Aviation, Eric Trappier, affirme n'avoir jamais demandé 80 % de la charge du travail du futur avion, sans plus d'explications. En audition au Parlement, il se montre par contre de plus en plus offensif et ne cesse de répéter qu'il faut un responsable, un architecte - bref, un pilote dans l'avion -, et qu'il ne croit pas « au co-co-co » - la co-décision à trois - pour décider de la technique nécessaire à un avion de très haut niveau. « Je souhaite que le meilleur athlète dirige, pas qu'il fasse tout », déclare-t-il. Airbus, de son côté, continue à prétendre que Dassault veut 80 % du travail. En fait, selon l'enquête des « Echos », le malentendu sur les 80 % vient des réponses adressées par Dassault à un questionnaire de la Combat Project Team, l'équipe de militaires et d'ingénieurs qui surveillent l'avancée des travaux du SCAF. Dans ce courrier, l'avionneur français déclare qu'il peut fournir jusqu'à 80 % des pièces du prototype à réaliser. Ce courrier technique n'avait cependant aucune vocation à être divulgué. Airbus est coincé par des accords de propriété intellectuelle avec BAE Systems. Une source au fait du travail accompli « Dans le futur prototype, chacun doit apporter une part des équipements. Par exemple, Safran apportera le moteur M88. Les Espagnols ont répondu présent comme ils pouvaient, mais Airbus Allemagne, non. Airbus est coincé par des accords de propriété intellectuelle avec BAE Systems sur l'Eurofighter, qui les empêche de contribuer », explique une source au fait du travail accompli. A Saint-Cloud, les relations entre les ingénieurs d'Airbus et de Dassault se sont dégradées. « C'est exact, Airbus n'apporte pas grand-chose », confirme un autre expert. Entre-temps, le mal est fait. Les revendications du PDG de Dassault Aviation, Eric Trappier, sur la gouvernance du projet ont contribué à enflammer les discussions. Photo ERIC PIERMONT/AFP Chacun est persuadé en Allemagne que Dassault veut 80 % du projet. « Je n'ai jamais su si les politiques français soutenaient vraiment cette exigence de 80 %. Nous n'avons jamais reçu de signal clair en la matière », explique aux « Echos » un député de la coalition au pouvoir. A Paris, agacé, Eric Trappier voit rouge, monte le ton et refuse de rencontrer « l'Allemand », Michael Schoelhorn, patron d'Airbus Defense and Space. Dans ce contexte inflammable, Emmanuel Macron et Friedrich Merz demandent à leurs généraux de remonter au créneau. Le 5 novembre au Sénat, le chef d'état-major des armées, le général Fabien Mandon, promet que « les responsables militaires français, allemands et espagnols sont tous d'accord sur le besoin ». La hiérarchie militaire allemande, elle, ne répond pas. « Les politiques accusent les industriels qui accusent les militaires, chacun se refile le mistigri », s'amuse un haut gradé. Ainsi passent les semaines. Sans rencontre, sans dialogue. Les dirigeants d'Airbus et de Dassault ne se parlent plus. La balle est dans le camp allemand, estime Dassault, qui mène un combat existentiel. Que deviendrait Dassault Aviation, si elle se contentait de construire un tiers d'avion ? « On ne peut pas demander à Dassault de se suicider, il lui faut 51 % du pilier 1 du programme, sachant qu'Airbus domine sur d'autres piliers, comme les drones et le cloud de combat », résume un proche du groupe. L'idée ne convainc pas tout le monde. « L'intérêt industriel de Dassault est contradictoire avec l'intérêt national. L'intérêt national, défini par le politique, c'est de faire un programme en coopération, à la fois pour une question de symbole politique, mais aussi pour que cela soit moins cher », explique Olivier Schmitt, professeur et directeur de recherche au Royal Danish Defence College. Des plans B à l'étude Berlin étudie les plans B. L'Allemagne doit-elle rejoindre le projet d'avion de sixième génération concurrent, le GCAP, piloté par BAE Systems avec Leonardo et Mitsubishi Industrie, qui associe le Royaume-Uni, l'Italie et le Japon ? Le ministre de la Défense italien s'est prononcé favorablement, mais BAE Systems sera encore plus féroce que Dassault dans la répartition du travail. Airbus regarde aussi du côté de la Suède, qui a confié à Saab un contrat d'études pour concevoir son propre avion de sixième génération d'ici à la fin 2027. Pour le syndicat IG Metall, l'Allemagne, qui va investir massivement dans la défense, doit en profiter pour redevenir un leader de l'aéronautique de défense avec ses industries nationales. D'autant que cette situation de crise conforte les préjugés d'une partie des élus et des industriels allemands. « Il existe une méfiance très profonde du côté allemand, sur la capacité de coopération de l'industrie française d'armement. Et Dassault n'a pas fait grand-chose, voire rien, pour dissiper cette méfiance », explique un député allemand de l'opposition. Outre-Rhin, on doute surtout de la capacité de la France à financer seule un chasseur de nouvelle génération, et on craint le potentiel résultat des élections en France, où les partis extrême tapent à boulet rouge contre le SCAF. « Pour nous, ce qui est important c'est de prendre une décision. Ce que nous ne voulons pas, c'est qu'on ait peur de mettre fin à cette coopération pour des raisons politiques alors que les entreprises ne coopèrent pas », dit un autre député. Plusieurs scénarios sur la table A ce stade, tous les scénarios peuvent encore s'écrire. La rupture : chacun reprend ses billes et développe ses projets selon ses besoins et son calendrier. Un autre scénario existe dans lequel on temporise et on continue à discuter. La guerre en Ukraine a modifié la hiérarchie des urgences militaires, faisant d'ailleurs naître d'autres projets de coopération franco-allemande, notamment dans la défense spatiale ou les frappes à longue portée. Il y a aussi, et enfin, la voie du compromis, peu glorieux. Sauver certains piliers du programme comme l'interopérabilité, le cloud de combat, l'adaptation des drones et des missiles, quitte à laisser Airbus et Dassault développer des prototypes différents. « L'évolution du contexte géopolitique exige de privilégier de véritables projets industriels fondés sur les perspectives de commandes tant nationales qu'à l'exportation, plutôt que de grands programmes initiés par les Etats pour mutualiser des investissements comme c'était le cas dans la période de réduction drastique des budgets militaires », soulignent les sénateurs Pascal Allizard et Hélène Conway-Mouret dans un rapport récent sur la base industrielle et technologique de défense européenne.
  12. Il faudra le rebaptiser : SCA2F Système de Combat Aérien du Futur Français (ou Français du Futur). SavoirFer propose SCAF², c'est bien mieux.
  13. gargouille

    [Rafale]

    Comme c'est pas dans le style de ta chaine, vas y balances ici !
  14. Oui mais des femmes ingénieuses chez Dassault https://www.ensea.fr/ecole/notre-reseau/parcours-et-temoignages/face-aux-defis-detre-une-femme-ingenieure-dans-un-secteur-domine-par-les-hommes-cest-la-confiance-en https://www.sudouest.fr/economie/aeronautique/dassault-aviation-nous-prevoyons-1-000-recrutements-dont-la-moitie-en-nouvelle-aquitaine-18737892.php
  15. gargouille

    L'Inde

    Patrick, il y a des fois le moment le plus plaisant c'est les préliminaires, après t'es des fois déçus .
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