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  1. Je ne sais pas si ça a déjà été mentionné sur ce fil mais les ukrainiens (et les Russes) sont aussi très actifs dans le domaine des véhicules (à roue) autonomes L'article du Monde décrit l'essor des robots terrestres sans pilote dans l'armée ukrainienne depuis l'été 2025, utilisé pour pallier le manque d'effectifs humains. Ils assurent des missions cruciales telles que le ravitaillement des positions avancées, l’évacuation médicale, la reconnaissance, la pose de mines et les attaques-suicides. Grâce à leur petite taille et leur moteur électrique, ils permettent de réduire les pertes humaines en remplaçant les chauffeurs exposés (grosse source de perte). Les unités ukrainiennes, notamment la brigade Roubij, développent et améliorent ces robots à proximité du front pour mieux répondre aux conditions du terrain (brouillages ennemis). Si ça se trouve, ils vont y arriver avant Tesla Renault devrait les aider. (A moins qu’il ne le fasse déjà )
  2. Je n’ai pas parlé de déployer quoi que ce soit, mais de ballons d’ essais. Si le Kremlin n’est pas d’ accord, ça ne me poserait aucun problème qu’on discute. Une négociation où chacune des parties aurait à perdre ou à gagner, c’est un classique de la politique étrangère et de la diplomatie. Et accessoirement, rien ne dit que les polonais accepteraient. Quand Macron a évoqué le déploiement de Rafales, il a été très clair sur le fait qu’ils resteraient sous commandement français. Pas sûr que ça enthousiasmerait le président polonais et son parti ( ils n’accepteraient ça que des américains )
  3. Là où ça peut devenir intéressant, ça serait si le déploiement temporaire s’éternisait un peu et que Macron se remettait à parler de déployer des Rafales dotés de la Bombe À. Pas pour concrétiser, mais pour lancer un nouveau ballon d’essai et voir comment les Polonais (et les russes) accueilleraient l’idée.
  4. Si les diplomates iraniens étaient taquins, ils proposeraient aux américains d’accueillir les négociations avec le Hamas. Très peu de chance que ça soit accepté, mais ça leur permettrait de se poser en « partisans de la paix et de l’harmonie » En attendant, et pour recoller au sujet, Israël illustre de plus en plus la maxime d’un de ses anciens ambassadeurs : « génie tactique et bêtise stratégique »
  5. À mon avis, l’élément le plus susceptible de rassurer les investisseurs à court terme. Si lors d’un des prochains vols Starship commençait à mettre en orbite des charges utiles, comme des satellites Starlink, ça serait de bon augure.
  6. Ce que tu écris implique que les réarmements polonais et allemands tels qu’ils ont été décidés (gros efforts sur les blindés) sont en partie inutiles. (Sauf s’il s’agit pour Berlin de redémarrer son économie avec une relance keynésienne qui ne dit pas son nom)
  7. L’Allemagne ne pourrait elle pas proposer de créer un collectif ? Par exemple de formaliser et d’officialiser l’Europe de La Défense?
  8. Et accessoirement, des soldats pour quoi faire? Il a suffi que le chancelier évoque la possibilité d’envoyer des troupes en Ukraine pour déclencher une polémique Je ne me rappelle pas qu’il y ait eu ce genre de réaction pour l’envoi de troupe en Afghanistan, mais il est vrai que les réminiscences historiques n’étaient pas les mêmes.
  9. Tu réalises que le même mécanisme pourrait très bien s’appliquer à l’Ukraine, si jamais le cessez le feu figeait les lignes de front dans la situation actuelle ? Le « petit goût de revanche » entre la France et l’Allemagne a joué un rôle non négligeable dans les deux dernières guerres mondiales, avec des millions de morts à la clé. Pour que ça s’arrête il a fallu des dirigeants de l’envergure d’Adenauer et De Gaulle, un parrain américain et la menace soviétique. Sans oublier que Paris et Berlin ont alors accepté de discuter d’égal à égal. Il faudrait que Poutine et Zelensky se rencontrent pour discuter entre chefs d’état, pour que je commence à être un peu moins pessimiste sur le conflit. Et pour le moment, ce n’est pas Zelensky qui pose problème sur ce point.
  10. Si déjà, ils réussissent le vol jusqu’à la mise en orbite, personnellement, je considérerai que c’est un succès. SpaceX nous a habitué à nous focaliser sur la récupération des étages, ce qui fait qu’on oublie parfois que la mise en orbite d’une charge utile de 100 tonnes constitue en soi un exploit. Et ce, même si dans un premier temps le lanceur employé n’était pas réutilisable.
  11. J’ai découvert qu’il existait des avions de coordination pour traiter les incendies. Il y a peut être quelque chose à creuser dans les 3-5 ans à venir, pour évaluer la capacité d’un drone à remplir cette fonction ? Avant d’en arriver à déléguer une fonction aussi délicate que le largage sur feu, autant acquérir un premier socle de connaissances et tacher de se doter d’une plate-forme plus simple à mettre en œuvre.
  12. @Cunégonde , pour aller dans le sens de @Teenytoon , j'ai moi aussi été quelque peu surpris par le traitement médiatique du problème des canadairs: avant tout des généralités polémiques sur le budget alloué à ces avions et sur l'impact qu'aura la politique d'austérité du gouvernement vis à vis de l'achat des nouveaux canadairs. J'ai entendu une fois une remarque comme quoi les nouveaux appareils commandés (au niveau européen. Une vingtaine d'un coup. Parfois ça sert de se regrouper) n'arriveront qu'en 2026-2028. Et personnellement , je suis circonspect sur les dates annoncées: la compagnie de Havilland Canada qui doit se charger de fabriquer les nouveaux modèles n'a jamais assemblé ce type d'engin avant. Je crains qu'il ne faille déverminer sérieusement l'appareil avant de le faire intervenir dans des conditions aussi drastiques qu'un largage sur feu. Par contre quelques minutes de recherches m'ont permis de découvrir que la DGSCGC avait établi une nouvelle feuille de route avec Sabena Technics, chargé de la maintenance, ce qui semble avoir amélioré la disponibilité des Canadairs français , par rapport à 2024. C'est moins glamour et peut-être plus difficile à comprendre pour le spectateur, mais c'est peut être la raison qui a permis à la France de mettre à disposition deux appareils pour aider l'Espagne. Pour finir sur une note plus positive: Je ne sais pas ce que ça vaut, mais si ça peut aider les guetteurs et leur faire gagner quelques minutes, c'est toujours ça de pris.
  13. L’article est en espagnol, mais (comme pour un article récent en italien) grâce a la trad automatique, voilà ce que j’ai pu en comprendre : Au delà des criailleries sur la « dépendance » vis-à-vis de la France (c’est tellement mieux de dépendre des USA de Trump ) , il semble que l’Espagne regarde plus du côté de Paris que de Washington. Ou Berlin
  14. C’est peut être la « stratégie du fou » comme Nixon ou Trump? Ça fonctionne tellement bien …
  15. L’article est en italien, mais grâce a la trad automatique, voilà ce que j’ai pu en comprendre : le texte analyse la montée des tensions stratégiques dans le Pacifique occidental en 2025 : alors que les États-Unis, sous Trump, tentent de réintégrer la Russie à l’Occident pour isoler la Chine, Pékin renforce ses capacités navales, multiplie les exercices avec Moscou et cherche à garantir ses accès maritimes face à un « encerclement » d’alliés américains, notamment via le développement de sa flotte et de son arsenal missile. La région est marquée par des exercices militaires massifs impliquant de nombreux pays (États-Unis, Australie, Japon, alliés européens), la modernisation des armements, et une compétition accrue pour le contrôle des chaînes d’îles stratégiques, alors que le risque d’escalade militaire autour de Taïwan et en mer de Chine ne cesse de croître, dans un contexte de rivalité globale Chine-États-Unis et d’insécurité grandissante pour les puissances régionales comme l’Australie et le Japon
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