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poti

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  1. poti

    Gripen

    Le voilà: https://www.defesaaereanaval.com.br/aviacao/mais-um-caca-gripen-esta-chegando-ao-brasil
  2. poti

    Gripen

    Il est, c'est pour ça que j'ai dit 11 au Brésil et 10 pour la FAB. Celui qui est dans le centre de recherche pour le Gripen n'a pas de matricule de la FAB. Il sert à l'intégration d'équipements brésiliens et au développement des Gripens comme le travail avec les sous-traitants etc. A terme il sera livré à la FAB. Les journaux disent que le 1er Gripen sorti des usines au Brésil sera livré dans les prochaines semaines. Ca sera le 12ème au Brésil.
  3. poti

    Gripen

    Un 11ème arrive au Brésil et est en cours de transport. Ce sera le 10ème de la FAB et 1 est au centre de tests chez EMBRAER.
  4. Quasiment personne ne se plaint si des narcos sont arrêtés ou tués dans le processus. Mais les USA n'ont pas donné des infos sur certaines de ces attaques. des criminels sont morts? Oui. Mais il y a des pêcheurs colombiens qui sont morts dans une bavure. Je pense que si des avions US tapaient des pêcheurs français (guyanais) par erreur ça ne t'amuserait pas. Et même des narcos français des antilles, sans en parler à la France et limite entrant dans les eaux territoriales françaises. La lutte contre le trafic demande de la coopération (qui n'est pa faisable avec le Venezuela, mais l'est avec la Colombie). Ca ne se fait pas en mode cow-boy.
  5. Voici l'image de l'attaque. La zone verte est haute avec une carrière abandonnée et des bois. Le denivelé entre la hauteur et la partie basse doit avoir au pifometre 250-350m. En bleu clair ce sont les hommes de la police civile dont le CORE. Par le nord les Militaires du RECOM (batalhão de Rondas Especiais e Controle das Multidões) et le bataillon du choque. Par l'ouest et le sud-ouest ont attaqué les deux bataillons "lambda" qui sont responsables de la région. Le BOPE a infiltré de nuit et attendait sur les hauteurs. Ce qui a été appellé "mur du BOPE" car les narcos qui fuyaient se retrouvaient avec le BOPE dans le dos. Dans la vidéo il y a l´image de drone de la police des narcos qui montent vers les bois/hauteurs où les attendent les hommes du BOPE.
  6. De tête je me souviens de 4-5 opérations dans la région et à chaque fois avec 20-30 morts. Mais là il y a 2 agravants: 1. C'est la plus grosse opération de l'hustoire 2. Ils ont embusqué les narcos 3. Des combats ont eu en zone non habitée. Le 3. veut dire que les flics peuvent y aller sans peur de tuer des civils et/ou d'être vus/filmés. Pour l'instant les journalistes ne decomptent pas de civils morts et vu le niveau des combats c'est assez exceptionnel. Il faudra sûrement attendre avant d'avoir des infos plus profondes. Mais il semble evident (vu les audios sortis) que les narcos ont été encerclés dans les bois sans fuite possible et que certains ont été executés. Il faut savoir que le CV a une tradition de combattre durement la police, contrairement aux rivaux de l'ADA qui preferent fuire et ne combattre que des gangs rivaux. Beaucoup de morts venaient d'autres États, il semble que c'était un centre d'entrainement et hub logistique.
  7. Ils ne sont pas rares. C'est juste que la PM a du mal a entrer dans ces quartiers pour faire des arrestations. Elle y va "en bloc". @Hypsen l'opération est monté depuis au moins deux mois. Article paru ce matin, au journal O Dia (traduit par chatgpt) Rio — Les proches des personnes tuées lors de la méga-opération dans les complexes de la Penha et de l’Alemão, dans la zone nord, arrivent sans cesse à l’Institut médico-légal (IML) Afrânio Peixoto, au centre-ville, ce jeudi (30), pour reconnaître et libérer les corps. L’opération la plus meurtrière de l’histoire de Rio a fait 121 morts, et une partie des cadavres a été récupérée par des proches et des habitants des communautés, puis transportée jusqu’à la place São Lucas, sur la route José Rucas, l’une des principales artères de la région. Les familles des suspects tués pendant l’opération attendent la fin des travaux à l’extérieur de l’IML et, très bouleversées, ont dénoncé de supposées violations de la part des policiers. Un groupe de veuves, qui a préféré garder l’anonymat, a confié au journal O DIA qu’elles n’avaient pas encore pu identifier leurs maris en raison de l’état dans lequel les corps avaient été retrouvés dans la zone boisée où, selon la direction de la sécurité, se seraient déroulés la plupart des affrontements. Elles ont déclaré être originaires du Pará et vivre dans le complexe de la Penha depuis trois ans. Les compagnes affirment que certains des hommes tués ont eu des parties du corps mutilées et le visage défiguré. D’autres présentaient également des marques de coups de couteau. Les femmes ont aussi raconté avoir eu du mal à atteindre les corps et que des grenades auraient été trouvées à proximité des cadavres, selon elles pour empêcher les familles d’y accéder. D’autres familles ont déclaré avoir échangé des messages avec les suspects pendant l’opération dans les favelas ; ceux-ci auraient dit vouloir se rendre, mais ont finalement été abattus. Résidente du complexe de la Penha, la microentrepreneuse Tauã Brito a raconté que son fils, Wellington Brito, âgé de 20 ans et impliqué dans le trafic, avait demandé de l’aide car il était pris au piège. Elle dit qu’après avoir reçu le message, elle a tenté de le retrouver pour qu’il puisse se rendre à la police, mais qu’elle aurait été empêchée par des agents qui auraient tiré pour bloquer l’accès des proches à la zone boisée. Le jeune homme n’a été retrouvé que dans la nuit, lors des recherches menées par les habitants, mais il était déjà sans vie. Selon la mère, il aurait été tué d’une balle dans la tête et retrouvé avec des coupures de couteau au bras, ainsi que des marques de cordes aux poignets. « C’est quelque chose que je n’aurais jamais imaginé ressentir de ma vie. Il n’y a pas de mots pour décrire la douleur d’une mère qui perd un fils, de regarder son enfant avec la tête éclatée. Ce qui s’est passé là-bas est profondément inhumain », a-t-elle confié. Tauã a ajouté qu’elle n’avait jamais soutenu le choix de Wellington de s’impliquer dans le trafic de drogue et qu’elle essayait de le convaincre de quitter le crime organisé. « En tant que mère, je n’ai jamais approuvé la vie qu’il menait. Je suis une mère noire, célibataire, microentrepreneuse, qui se bat chaque jour pour élever mes deux enfants. Je n’ai jamais soutenu son choix, mais en tant que mère, je ne lui aurais jamais tourné le dos. » Dans leur dernier échange de messages, quelques heures avant sa mort, elle lui avait encore demandé d’abandonner la criminalité et avait prié avec lui pour sa protection. Elle lui avait même proposé qu’ils déménagent pour recommencer une nouvelle vie. « Le gouverneur a donné une interview et a dit que l’opération avait été un succès. Je me pose une question : s’est-il présenté seulement pour cela, pour livrer des corps ? Toute une communauté est détruite, avec des jeunes qui ont perdu leurs parents, amis et frères. Que va-t-il faire de la révolte de ces garçons ? Quel projet va-t-il mettre en place pour changer leur mentalité ? Ou seront-ils les prochains à devenir des cadavres dans la forêt ? » a-t-elle interrogé, qualifiant la méga-opération de « désastre ». « La douleur des mères de ces policiers n’est pas différente de la mienne, car elles sont mères, tout comme moi et toutes les autres mères des corps qui étaient là. Nous avons besoin que les choses changent. Gouverner un État, ce n’est pas seulement entrer dans une favela et ôter des vies, c’est offrir des opportunités, une vision différente de la réalité des favelas — et cela, ils ne le font pas. Pour moi, ce n’était pas une opération réussie, c’était un désastre, une honte. » Un dispositif spécial a été mis en place à l’Institut médico-légal (IML). Jusqu’à présent, environ 80 corps ont subi une autopsie et une partie d’entre eux a été libérée pour être retirée par les familles. Les travaux se poursuivent rapidement afin de conclure les examens. Pendant cette période, l’accueil des familles se fait dans le poste du Detran situé à proximité de l’unité, et les corps sans lien avec l’opération sont temporairement transférés à l’IML de Niterói.
  8. Très clairement ce n’est pas un massacre de civils. C’est un massacre de narcos. Des non narcos sont morts? On en sait rien mais c’est probable. l’opération a été lancé car il y avait 60 mandats d’arrêt contre ses types du CV. Comme ils dominent ces deux quartiers, pour aller chercher les 60 il a fallu une vraie opération de guerre avec 2500 hommes.
  9. Oui, je parlais de narcos. Vraisemblablement la police a embusqué les narcos justement pour épargner des civils. C'est pour ça que le gouverneur parle d'énorme succès, selon lui sans morts civiles. Tous les corps que j'ai vu étaient d'hommes, jeunes, en treillis militaires ou armés. Mais si un gamin était avec son pote narco il a du y passer. Une femme-soldat du CV est morte aussi (la japonaise), mais elle était connue et commandait un secteur du trafic. @collectionneur une grande partie de la population jubile. Les mouvements sociaux se plaignent disant que c'est de l'éxecution mais j'ai le sentiment que c'est un avis minoritaire. Mais c'est dur de trancher. J'imagine que des nouveaux corps vont surgir. Ca a été un carnage. Des 80 arrêtés il n'y a pas Doca qui était le plus recherché et le plus haut placé du CV qui n'est pas en prison.
  10. On parle de 4 policiers morts (2 du BOPE e 2 du CORE) et au moins 117 membres du CV (comando vermelho). Environ 63 personnes ont été arrêtées. Tout a commencé avec une opération pour arrêter 80 membres du CV. La topographie fait que les bidonvilles sont dans les parties basses et les auteurs ont de la forêt (où le CV s'entraîne et possède des bunkers. La police avec près de 2000 hommes a avancé par le bas (en surpassant les barricades), poussant les hommes du CV dans les bois. Le BOPE est entré de nuit dans les bois et les a embusqués. Plus de 70 cadavres ont été trouvés dans les bois, près de 60 dans les combats du bas. Des hommes du CV ont commencé à se rendre un peu partout. Des journalistes signalent que parmis les corps dans les bois il y a eu des exécutions (balle dans la nuque) et un homme à la tête tranchée. Voici une vidéo sans images interdites par les règles du forum. On voit 23 hommes portant des fusils se diriger vers les bois. Les images viennent d'un drone de la Police Militaire. Les hommes du BOPE les attendent.
  11. Vraisemblablement un pêcheur qui avait fait un SOS car son moteur ne marchait plus. Le bateau à la dérive a été interprété comme ayant une trajectoire non conforme par les US qui l'ont canardé. Le pauvre type est mort.
  12. poti

    L'Inde

    Le ministre de la défense du Brésil Múcio est à New Delhi avec Alckmin le vice-président. De ce qui circule le Kc390 est au centre des négociations. L'Inde désire aussi des ERJ-145 qui ne se fabriquent plus, pour leur AEW. Le Brésil discute l'achat de batteries de Akash-NG (missile anti-aérien). Le ministre a aussi parlé d'une coopération pour la maintenance des scorpène brésiliens et indiens. Attendons de voir, le commandant de l'Exercito avait négocié des Akash-NG l'année dernière mais les indiens veulent l'utilisation de leurs radars alors que le Brésil veut les adapter aux Bradar nationaux. Mais vu que les discussions sont passées au niveau d'au-dessus (Lula, Modi) il est possible que les impasses soient surmontées. Si tout avance ça peut-être un gros coup pour le Kc395.
  13. Ca fait un peu comme l'énergie russe, un jeu de la chaise. Il y en a un qui sort et un autre qui entre. Les embargos de nos jours semblent bien moins efficaces qu'il y a 30 ou 40 ans. A l'époque si les occidentaux (+ les acolytes) boudaient un pays, celui-ci était fichu car ça voulait dire que 75% du PIB mondial te boudait. Aujourd'hui avec d'un côté les USA (et les occidentaux) de l'autre la Chine (et ses acolytes Russie, Iran, Corée du Nord) plus un troisième bloc de non alignés (Inde, Brésil, Afrique du Sud) ça devient tout de suite dur de casser une économie car celle-ci peut se tourner vers l'autre bloc (plus les non alignés). D'une certaine façon c'est un gros changement de la géopolitique mondiale. Et j'ai l'impréssion qu'aussi bien la Chine que les USA sont trop gros pour être cassés. Ce ne sont ni l'Irak de Sadam Hussein ou Cuba de Castro, il y a une autre envergure.
  14. Les USA ont quand même des options dans le moyen terme. Mais j'imagine déjà des tensions et guerres dans l'avenir pour l'accès aux terres rares (le Groenland est dans le colimateur).
  15. poti

    Gripen

    La capacité de production du Gripen E augmente:
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