
Mani
Members-
Compteur de contenus
5 457 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
1
Tout ce qui a été posté par Mani
-
Excellent :lol:
-
Londres va donc à nouveau tenter sa chance. La tâche de David Cameron risque néanmoins d’être compliquée par le scandale de corruption qui affecte un autre contrat dans le domaine aéronautique : celui des hélicoptères Finmeccanica fabriqués dans le sud-ouest de l’Angleterre. (AgustaWestland, filiale anglo-italienne) ^-^
-
Chine
Mani a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
Suite à la visite de François Hollande en Inde, certains experts français déclarent qu'une guerre indo-chinoise est plus probable qu'une guerre indo-pakistanaise. Je ne crois pas mais plus alors à une guerre mondiale entre l'Inde, le Pakistan, la Chine, ... avec la participation de leurs alliés. Je vois mal les alliés russe, israélien, américain, ... laissaient tomber l'Inde. :P Enfin, on prétend soutenir la candidature de l’Inde au conseil de sécurité de l’ONU sachant pertinemment que la Chine s’y opposera ! -
Inde : politique intérieure et internationale
Mani a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
Analyse de la visite de François Hollande en Inde. Pour François Gautier, il s'agit d'une visite bâclée et précipitée. "La France n'a pas la patience ni l'humilité de faire des études de marché sérieuses en Inde." La France est le 9ème investisseur étranger et elle est déficitaire au niveau commercial comparer à d'autres investisseurs étrangers alors que le marché est immense. Il critique également la négligence politique vis-à-vis de l'Inde comme un allié sérieux de l'occident dans une région à risques face aux islamistes du Pakistan et de l'Afghanistan. Pour Libin Liu (spécialiste de l'Inde et de la Chine), elle estime aussi que la France doit faire preuve « d'humilité » et éviter à tout prix de « donner des leçons » comme elle le fait « souvent ». Visite de François Hollande en Inde Par Philippe Lecaplain http://www.rfi.fr/emission/20130215-visite-francois-hollande-inde-perspectives-economiques Quelles sont les perspectives économiques franco-indiennes ? 1. Olivier Da Lage, rédacteur en chef à RFI, et co-auteur de Aujourd’hui l’Inde (Casterman, 2012) 2. François Gautier, auteur de Quand l’Inde s’éveille, la France est endormie… (Rocher, 2013) 3. Jean-Joseph Boillot, spécialiste de l’économie indienne, auteur de L’économie de l’Inde (La Découverte). 4. Laura Prasad, secrétaire générale de la IFCCI (Indo-French Chamber of Commerce and Industry). Un petit hors-sujet : Les médias et la presse française commettent des bévues grossières quand ils donnent des informations qui sont ensuite traduites et transmises par la diaspora indienne à des personnalités importantes en Inde. Par exemples, TF1, France 2, ... continuent de citer des villes indiennes sous l’appellation coloniale comme Mumbai par Bombay, Chennai par Madras, ... ce qui choquent pas mal d'Indiens et le considèrent comme du mépris français. A l'ambassade indienne, je m'entendais bien avec le secrétaire qui perfectionnait son français dans nos discussions géopolitiques et économiques. Moi, je lui conseillais de lire des journaux nationaux comme Le Figaro, Le Monde, Libération, ... riche en expressions politiciennes et termes techniques. Un internaute comme Tancrède (très cultivé, un français super excellent, ...) + d'autres sur ce forum lui plairaient certainement dans sa volonté de se perfectionner en français. Évidemment, il écoutait et analysait les informations télévisées dont certaines étaient des clichés sur l'Inde ! En outre, il demandait parfois certaines informations sur le comportement en général des Français sur l'Inde, sur les Indiens en France et, également sur l'intégration et le comportement de la diaspora indienne en France; bref une démarche indirecte un peu à la "Charles Dickens". Fin du hors-sujet. -
Christophe Jaffrelot sur ARTE Journal : "Et ils n'ont pas les moyens de leurs ambitions. Une des raisons pour lesquelles le deal concernant les Rafales est tout de même sacrément entre parenthèses, et rien ne sera signé cette fois-ci, c'est parce que ça coûte très cher et qu'ils n'ont pas les moyens. Le déficit budégtaire de l'Inde est tellement structurel et la croissance a tellement ralenti, qu'ils vont couper dans leur budget de défense, comme tout le monde, faute d'avoir les moyens de leurs ambitions."
-
Effectivement une tricherie qu'on a effectué. D'ailleurs, sur le panneau on voit une ombre et une main comme ceci :
-
Chine-Japon : dégradation spectaculaire des relations.
Mani a répondu à un(e) sujet de Perry dans Politique etrangère / Relations internationales
L'avantage avec le Premier ministre japonais actuel, sa famille a toujours noué de bons contacts diplomatiques avec l'Inde durant et après la seconde guerre mondiale. Lors de procès de crime de guerre de la seconde guerre mondiale, le juge indien Radhabinod Pal a souvent rendu un verdict clément en faveur des nationalistes japonais comme celui de la famille Shinzo Abe. Le 14 décembre 2006, Singh prononça un discours à la Diète du Japon : « Le jugement du juge Radhabinod Pal après la guerre est encore dans les mémoires au Japon aujourd'hui. Mesdames et messieurs, ce fait reflète la solidité de notre amitié et de notre entraide commune dans les moments critiques de notre histoire». Le 23 août 2007, le premier ministre japonais Shinzō Abe rencontra le fils de Pal, Prasanta, à Calcutta, durant une visite d'un jour dans la ville. Prasanta Pal, aujourd'hui octogénaire, présenta quatre photographies de son père au premier ministre, dont deux qui le montraient avec Nobusuke Kishi. Il tinrent une discussion pendant une demi-heure dans un hôtel de la ville. Sa réponse ne se fait pas attendre : "Abe proposed a "Broader Asia" alliance of democracies as a counterweight to China's growing influence in the realm of economics and military power." =) Récemment, Shinzo Abe appelle le Japon à «ne pas céder» face à la montée des périls et à «l’expansion maritime et territoriale de la Chine». Et suggère que l’archipel élabore une stratégie de sécurité avec l’Australie, l’Inde et les Etats-Unis, avec lesquels ils formeraient un «diamant pour préserver les biens communs maritimes de l’océan Indien à l’ouest du Pacifique». Finalement, comme disait Subhas Chandra Bose dit Netaji : "L'ennemi de mon ennemi est mon ami !" ^-^ Dommage pour la Chine qui préfèrent les terroristes, les intégristes et les djihadistes du Pakistan, de l'Iran, ... O0 -
Chine
Mani a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
Il existe des statistiques d'incursions chinoises en Inde mais sont-elles autant sérieuses au niveau objectivité que celles de la Chine ? En Chine, c'est un sentiment de fierté que de s'infiltrer en Inde et puis de disparaître à la sauvette ! Voyez, on est plus fort que les Indiens ! En Inde, on a déjoué ou repoussé des infiltrations chinoises et même arrêter des espions chinois ?! Ce qui permet de renforcer la frontière de troupes et d'avions depuis quelques années. http://www.bharat-rakshak.com/NEWS/newsrf.php?newsid=19892 - Defence Ministry clears new corps on China border L’Inde bénéficie d'un certain espionnage en Chine (Tibet) mais ne crie pas sur les toits qui sont ces personnes ! Parfois, je me demande si les incursions ne viennent par accident de civils chinois ou indiens voire de Népalais et Bhoutanais dans le secteur pour le commerce, le voyage (pèlerinage), l'immigration, ... et non militaire ? Vu qu'il est difficile de clôturer financièrement des reliefs montagneux avec contrôle humain. :P Enfin, il faut se méfier de la propagande des deux côtés ! =| Je me rappelle dans les années 90 que les troupes chinoises se sont promenées dans l'Arunachal Pradesh sans résistance des soldats indiens dont certains auraient été tués ?! Aucune réaction diplomatique indienne et internationale Or, des gens ont voyagé ou voyagent là-bas sans rencontrer de soldats chinois c'est dire la désinformation :| -
Attention, le ridicule peut également vous tuer en Inde :P
-
La Russie proposera à l'Inde des avions amphibies La Russie est prête à participer à l'appel d'offre que le ministère de l'Intérieur d'Inde se propose de lancer pour l'achat d'avions de patrouille. « Nous proposerons les avions amphibies Beriev Be-200 », a déclaré le directeur général adjoint de la société Rosoboronexport Viktor Komardine. Il a communiqué aux journalistes dans le cadre du salon Aero India 2013 à Bangalore que les équipements des avions seraient précisés au cours des négociations. En 2012, l'Inde a eu un portefeuille de commandes d'armes supérieur à 7 milliards de dollars.
-
[Budget de défense Asie]
Mani a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Economie et défense
L'Inde, ce marché gigantesque qui fait rêver tous les industriels de l'armement Bienvenue sur l'un des premiers marchés mondiaux de la défense ! La compétition y est vive ; alors ne soyez pas pressé et pensez à coopérer. C'est ainsi que l'on peut résumer le message de l'Inde aux fournisseurs d'armements du monde entier alors que s'est ouvert, mercredi 6 février, à Bangalore (Etat du Karnataka), le neuvième Salon Aero India. Tous les industriels d'une trentaine de pays participent à cette manifestation. Chacun y va de ses propositions pour des marchés où l'unité de contrat est le milliard de dollars mais où le temps de la décision s'étire plus qu'ailleurs. La demande militaire est élevée dans cette région du monde. Les relations de l'Inde sont tendues avec le Pakistan et la Chine. Par ailleurs, Pékin a engagé d'importants programmes d'armement. New Delhi cherche donc aujourd'hui à se mettre à niveau, notamment en se dotant d'une industrie performante. Il est vrai que l'Inde importe près de 70 % de ses équipements. Entre 2006 et 2010, le pays a d'ailleurs surpassé la Chine, devenant le premier importateur d'armements et manifestant ainsi sa "volonté de moderniser ses forces armées et de remplacer son matériel vieillissant", souligne une étude du cabinet PwC. "C'est le seul pays de la zone qui, de par sa taille et son importance, peut résister à la Chine en lui faisant contrepoids, garantissant ainsi une certaine stabilité, explique un expert militaire. L'Inde a donc le soutien implicite des Américains, des Européens et des Russes, prêts à coopérer pour l'aider à se doter d'une industrie lui permettant de réduire le fossé avec son voisin." PARTENAIRES LOCAUX Les négociations de contrats comportent donc comme compensation (offset) une forte part d'équipements à réaliser sur place – entre 30 % et 50 % du contrat – ou des transferts technologiques. Il faut alors trouver des partenaires locaux capables de les produire. Si, depuis 2004, New Dehli a favorisé le développement d'une industrie privée de la défense pour pallier les difficultés que rencontrent les arsenaux publics, "le processus avance très lentement en raison, notamment, de nombreux obstacles réglementaires", reconnaît Guillaume Rochard, associé aéronautique et défense chez PwC. Autre source de difficulté, le processus administratif et bureaucratique très complexe et très long. Le groupe britannique BAE a attendu plus de vingt ans pour se voir notifier, au début des années 2000, un contrat d'avions Hawk. Et que dire des marchés annulés après avoir été annoncés, en raison du recours d'un concurrent ? Ce fut le cas pour les 197 hélicoptères Fennec d'Eurocopter en 2007 ou encore pour les avions ravitailleurs d'Airbus en 2008. Dans les deux cas, la compétition a été relancée et Airbus est à nouveau seul en piste. "Nous sommes plus confiants que lors du Salon précédent voici deux ans, car beaucoup de dossiers sont arrivés à maturité", relève Yves Guillaume responsable pour l'Inde d'EADS. LA COMPÉTITION EST RUDE Les opportunités sont nombreuses mais la compétition est rude. Le fabricant français de missiles MBDA – il a emporté, en 2012, un contrat d'un milliard d'euros pour 500 missiles MICA destinés aux Mirage 2000 indiens, le plus important contrat d'armement engrangé en France pour l'année écoulée – dénombre trente discussions en cours. "L'Inde sera, dans quelques années, notre premier client à l'export", pronostique Antoine Bouvier, PDG du deuxième missilier mondial – quand 60 % des exportations sont aujourd'hui à destination des pays du Golfe. Si les Russes, fournisseurs historiques, restent dominants devant les Israéliens, Américains et Européens montent en puissance. Pour preuve, leur présence dans les diverses compétitions en cours ou attendues pour les hélicoptères. "Nous avons pour avantage cinquante ans de coopération industrielle avec la fabrication et l'entretien des 600 Cheetah et Chetak", relève Norbert Ducrot, vice-président Asie d'Eurocopter. Le montant de ces divers appels d'offres approche les 12 milliards de dollars (8,8 milliards d'euros). Autant que le contrat Rafale. Chez Dassault Aviation, on se montre serein sur l'avancée des négociations menées depuis un an concernant les 126 avions – elles concernent en particulier les transferts de productions. Les propos des officiels indiens sont encourageants. "Les bons vins français mettent du temps à parvenir à maturité ; il en est de même pour les bons contrats, a affirmé, à la mi-janvier, lors de son passage à Paris le ministre indien des affaires étrangères, Salman Khurshid. Attendez un petit peu que le bouchon saute et vous aurez un bon vin à goûter !" La visite en Inde de François Hollande, la semaine prochaine, devrait donner une nouvelle impulsion. Mais il n'est pas le seul chef de gouvernement à se rendre à New Delhi. Le président russe, Vladimir Poutine, y était en décembre 2012 et le premier ministre britannique, David Cameron, est annoncé. Dominique Gallois - Bangalore (Inde) -
Certains généraux et civils indiens n'ont pas oublié la défaite de 1962 et l'agression gratuite de Mao. Sans compter son soutien implicite au Pakistan c'est-à-dire à son terrorisme international ! S'il devait avoir une guerre avec la Chine autant la perdre avec honneur et dignité avec des armes nucléaires, bactériologiques et chimiques. Le peuple chinois s'apercevra que la colère du peuple indien sera pire que celle du Japon. L'humanité y perdra !
-
Ce sera officiel ! ^-^ Quoi de plus logique quand les gouvernements sont de gauche ! Après on ne pourra plus revenir en arrière. Car les élections législatives indiennes approchent en 2014.
-
INDE • Un nouveau missile rejoint l'arsenal du pays The Hindu présente le nouveau venu de la technologie de la défense indienne : le missile Agni VI capable d'atteindre un objectif à 6 000 km. "C'est un grand pas pour l'Inde", précise le quotidien en ajoutant que l'engin peut contenir de multiples ogives nucléaires. "Un exploit de la recherche militaire du pays", raconte le journal. Le processus de conception et de construction est fini, mais la date de son premier lancement n'a pas été déterminée. En 2012, l'Inde a fait des essais avec les petits frères d'Agni VI, des missiles à plus faible portée ne contenant qu'une seule ogive nucléaire.
-
Opérations au Mali
Mani a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
Si, d'être sales gueules ! >:( -
Inde : politique intérieure et internationale
Mani a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
Législatives de 2014 : un choix diabolique Courrier international L'hebdomadaire indien a fait fort pour sa une datée du 4 février (et sortie le 26 janvier) et consacrée aux grands rivaux des prochaines législatives de mai 2014. Sous le titre "l'alternative diabolique", elle montre d'un côté Narendra Modi, le ministre en chef du Gujarat, habillé en uniforme de la milice nationaliste hindoue et posant sur un amas d'ossements. Modi vient d'être réélu à son poste régional et il est pressenti pour devenir le premier ministrable du Bharatiya Janata Party (Parti du peuple hindou, parti nationaliste hindou dans l'opposition au niveau national depuis 2004). L'homme politique est accusé d'avoir été le cerveau des pogroms anti-musulmans faisant plusieurs milliers de morts en 2002. En face de lui, on distingue trois générations de la famille Nehru-Gandhi. On devine, tout en bas, les cheveux de l'ancienne Premier ministre Indira Gandhi. Sur ces épaules, son fils Rajiv - lui aussi ancien Premier ministre- porte à son tour sa femme, Sonia, présidente du Parti du Congrès. Elle soutient leur fils, Rahul. Ce dernier vient d'accéder à la vice-présidence du Parti. Il devrait mener la campagne de 2014 et sera à son tour Premier ministre si sa formation l'emporte. "Une alternative diabolique" donc entre un assassin et le dernier rejeton d'une dynastie dont le seul mérite serait d'être bien né. -
Opérations au Mali
Mani a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
Nos snipers vont pourvoir se perfectionner et les abattre comme des lapins via des hélicoptères forcément ou drones. -
La Russie et l'Inde développent un avion d'un type nouveau La Voix de la Russie Les ingénieurs d'études russes et indiens ont entamé à Moscou le développement d’un nouvel avion de transport polyvalent MTA (Multirole Transport Aircraft). Le contrat ad hoc a été signé le 12 octobre 2012 entre la compagnie aéronautique russe OAK-Avions de transport, le groupe indien HAL et l'entreprise mixte russo-indienne MTAL (Multirole Transport Aircraft Ltd). Plusieurs systèmes requièrent un développement : aérodynamique, fiabilité, manoeuvrabilité, systèmes hydrauliques, équipements de bord. Ce sera un avion absolument nouveau. Il aura une charge utile maximale de 20 t, une vitesse de croisière de 800 km/h et un rayon d'action de 2 700 km. Il pourra être exploité dans toutes les régions du globe, dans différentes conditions climatiques et météorologiques. Il sera capable d’effectuer des décollages et des atterrissages courts sur des pistes non préparées et servira à transporter des frets et des équipements techniques. Il est prévu d'en construire au moins 200 : 100 appareils pour les forces aériennes de Russie, 45 pour les forces aériennes de l'Inde et plusieurs dizaines pour les ventes dans des pays tiers. L'Inde s'efforce de développer ses propres technologies et sa propre industrie aéronautique. Si les avionneurs américains et européens proposent d'acheter des appareils finis, la Russie est prête à communiquer ses technologies et à créer des sociétés de production mixtes basées sur ces dernières. L'entreprise mixte russo-indienne BrahMos construisant des missiles de croisière est un bon exemple d'une telle coopération. La vitesse de ces missiles est trois fois supérieure à celle de tout autre missile de croisière au monde. En outre, la Russie et l'Inde développent conjointement l'avion de chasse de cinquième génération FGFA. Une entreprise mixte d'assemblage sous licence des Soukhoï Su-30MKI est créée en Inde. Le nouveau projet d'avion de transport moyen complète cette liste, dit l'expert russe Rouslan Poukhov : « Ce programme liera pour de longues années les forces aériennes russes et indiennes, l'industrie russe et l'industrie indienne. Je pense qu'il constituera une contribution de plus à la création d’un espace militaro-technique commun et que dans l'avenir nous aurons d’avantage de projets de ce type». Le projet est financé 50 à 50 par les parties russe et indienne. Le siège de la nouvelle entreprise mixte sera implanté en Inde. Une filiale russe sera ouverte à Moscou. Les travaux dans le cadre de ce contrat doivent s'achever dans 10 mois. Le premier vol de l'avion MTA est prévu pour 2016-2017 et sa construction en série doit commencer en 2019. A terme il sera vendu sur le marché international. Le nouvel avion de transport peut devenir une alternative aux C-130 Hercules américains et aux An-12 et An-26russes.
-
Marché mondial ,futures acquisitions et ventes d'hélicoptères militaires
Mani a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Hélicoptères militaires
Hélicoptères : l’Inde lance un appel d’offres pour 6 mds USD L'Inde s'apprête à lancer l'appel d'offres le plus important du monde pour l'achat d'hélicoptères polyvalents embarqués à hauteur de 6 milliards de dollars, a annoncé la presse indienne qui se réfère aux forces navales du pays. La Russie n'a pas évoqué son intention de participer au concours, mais les experts sont certains qu'elle a des chances de le remporter. Selon les médias les forces navales indiennes ont déjà demandé aux principaux constructeurs mondiaux d'octroyer l'information technique sur leurs hélicoptères de ce type. L’étape suivante sera celle de l'examen des propositions concrètes relatives aux fournitures du matériel. Au total, les militaires indiens se proposent d'acheter 120 hélicoptères embarqués de pointe destinés à mener des opérations anti-sous-marins, à détruire des cibles maritimes de surface et immergées, ainsi qu'à appuyer les actions des troupes spéciales. L'appel d'offres doit être disputé par les principaux constructeurs d'hélicoptères mondiaux, notamment Eurocopter et Sikorsky. Rosoboronexport n'a pas encore annoncé son intention d'entrer en lice. Néanmoins la Russie a des propositions à faire à son partenaire traditionnel dans le domaine militaro-technique. Notamment les hélicoptères du constructeur Kamov, note Mikhaïl Khodarenok, membre du Conseil public près la commission militaro-industrielle du gouvernement russe. Cela concerne les Ka-27 de versions différentes et les Ka-52 capables de se poser sur le pont de navires. Il est difficile d'évaluer leurs chances. Mais il est hors de doute que la Russie doit participer à cet appel d'offres car elle est bien positionnée pour l’emporter. A l'heure actuelle les forces navales indiennes sont dotées d'hélicoptères obsolètes King achetés dans les années 1980. C'est pourquoi renouveler du parc est une tâche pressante étant donné que New Delhi se propose d'augmenter le nombre de navires de guerre et d'étendre de cette façon la zone de responsabilité de sa marine. La modernisation et l'accroissement du potentiel militaire de l'Inde provoque l’exacerbation de la concurrence pour cet immense marché des armements. L'ambassadeur d'Inde à Moscou Ajai Malhotra estime que la Russie est confrontée à la puissante rivalité des producteurs d'armes des autres pays. Ces derniers temps, la Russie a perdu plusieurs appels d'offres. Néanmoins le domaine militaire reste un axe majeur du partenariat stratégique russo-indien. New Delhi continue de considérer la Russie comme un des fournisseurs les plus fiables dont les produits répondent aux besoins de la défense de l'Inde. L'armée indienne exploite des centaines d'avions et d'hélicoptères russes, des sous-marins et autre matériel de fabrication russe. Moscou et New Delhi ont récemment conclu des accords de fourniture d'hélicoptères Mi-17B-5 et de composantes pour la production des Soukhoï Su-30 MKI à hauteur de près de 3 milliards de dollars. Précédemment l'Inde avait acheté 230 chasseurs de cette version pour 8,5 milliards de dollars. Cela veut dire que les perspectives sont impressionnantes, estime Viktor Mourakhovski, rédacteur en chef de la revue Arsenal de la Patrie. « Nous optons pour des formes nouvelles de partenariat militaro-technique, à savoir la production conjointe et les accords de compensation sur le transfert de technologies de certaines armes et munitions. Cela diffère des opérations d'achat-vente traditionnelles. Nous ne pratiquons ce mode de coopération avec aucun autre pays sauf l'Inde ». La Russie et l'Inde considèrent le développement de projets conjoints comme un axe majeur. L'entreprise russo-indienne BrahMos produit avec succès depuis 15 ans les missiles supersoniques éponymes. Les parties projettent d'étendre cette expérience à des domaines connexes. La modernisation des navires de guerre indiens sur les chantiers navals russes rencontre des échos positifs. Ainsi, le 29 janvier le sous-marin indien Sindhurakshak rééquipé à Severodvinsk a mis le cap sur l'Inde par la route maritime du Nord, escorté par des brise-glaces russes. -
Superbe les images ! =)
-
Bonne nouvelle pour le Rafale: Hollande sera en Inde mi-février EXCLUSIF Le chef de l'Etat est attendu pour une visite officielle de deux jours à Dehli et Bombay. En ligne de mire : la vente du Rafale à l'armée indienne. Le sprint final est lancé. François Hollande devrait effectuer une visite officielle en Inde les 14 et 15 février prochains, a-t-on appris de sources concordantes. Cette visite à Dehli et Bombay, cinq jours après le salon Aero India, le grand raout de l’aéronautique en Inde, s’annonce d’ores et déjà décisive pour accélérer, voire boucler- les négociations exclusives entre Dassault Aviation et le ministère de la défense indien, entamées il y a un an. "L’échéance semble un peu proche pour une signature définitive du contrat Rafale, mais l’Inde pourrait annoncer des avancées dans les négociations, assure-t-on de très bonne source. Il faut en tout cas avoir signé avant fin juin. Après, la campagne électorale risque de repousser les échéances aux calendes grecques." Contrer l'offensive de Cameron en faveur de l'Eurofighter Typhoon Le camp français a tout intérêt à battre le fer tant qu’il est chaud : une visite du premier ministre David Cameron, toujours de source industrielle, est prévue deux jours après le départ de François Hollande. Le chef du gouvernement britannique ne devrait pas se priver de pousser encore l’Eurofighter Typhoon, pourtant éliminé par l’armée de l’air indienne en finale de la compétition face au Rafale l’année dernière. Cameron avait déjà montré ses talents de VRP en novembre dernier aux Emirats Arabes Unis, avec une incroyable danse du ventre pour tenter d’imposer le Typhoon, développé par EADS, BAE Systems et Finmeccanica, face au Rafale, théoriquement en négociations exclusives avec Abu Dhabi. Un contrat évalué à 10 voire 20 milliards de dollars Un contrat définitif sur le contrat indien dit MMRCA, que les Indiens surnomment "Mother of all deals" (la mère de tous les contrats), serait un superbe coup pour le camp français dans la plus grande compétition récente sur le segment des chasseurs, qui avait vu l’élimination des chasseurs russes (MiG-35), américains (F-16, F-18), suédois (Gripen) et européen (Eurofighter Typhoon). Le contrat indien en poche (estimé entre 10 et 20 milliards de dollars), Dassault verrait sa crédibilité renforcée auprès des autres grands prospects, Emirats Arabes Unis et Brésil en tête. Le contrat Rafale n’est pas la seule compétition intéressant les groupes français et européen. Eurocopter, avec son hélicoptère Fennec, est en finale face au russe Kamov pour un contrat géant de 197 hélicoptères de reconnaissance et de surveillance, dont 64 pour l’armée de l’air et 133 pour l’armée de terre, destiné à remplacer notamment les antiques Cheetah. Les offres ont été remises au ministère de la défense indien, les deux industriels n’attendent plus que l’ouverture des enveloppes. Le missilier MBDA espère également des avancées sur une trentaine de contrats, dont l’armement des chasseurs Jaguar rénovés de l’armée de l’air et le programme Maitri de missiles sol-air, en collaboration avec l’agence de défense indienne DRDO (Defence Research and Development Organisation). Vendre le Rafale à l'Inde serait une victoire industrielle et diplomatique majeure Le groupe nucléaire français Areva est également en négociation avec l’Inde pour la construction de deux EPR, discussions qualifiées d’ "extrêmement dures "par le PDG d’Areva Luc Oursel en novembre dernier. François Hollande a beau assurer que son rôle n’est pas celui d’un VRP des armements français, il avait déjà réussi à relancer début janvier, comme l’avait dévoilé La Tribune, les négociations entre Dassault et Abu Dhabi pour la vente de 60 appareils. Le contrat indien serait une victoire industrielle et diplomatique majeure pour une équipe de France de l’export qui en a bien besoin.
-
Submarine missile test a step towards a 4000-kilometer missile By Ajai Shukla Business Standard, 29th Jan 13 Even in the visually spectacular field of missile testing, the sight of a submarine-launched missile breaking through the surface is a breathtaking one. On Sunday, Defence R&D Organisation (DRDO) scientists cheered excitedly as their indigenous, submarine-launched ballistic missile (SLBM) leapt out of the water, its rocket motor fired soon after clearing the surface, and it soared off in a while plume to accurately strike a target 700 kilometres away. To nobody’s surprise, the underwater launch went exactly according to plan. This missile, called in turn the K-15, the Shaurya, and now the B-05, had already been launched 10 times from under water and thrice from land. This exacting test schedule is designed for assurance, since this is a missile that cannot afford to fail. Until a better one is developed, this will be the backbone of India’s underwater nuclear deterrence. That means that it will arm the INS Arihant, India’s first and only nuclear-armed ballistic missile submarine, or SSBN. Tipped with nuclear warheads, the K-15 will be launched from the Arihant only after a nuclear attack on India. New Delhi’s “no-first-use” nuclear policy prohibits the pre-emptive use of nuclear weapons. That means that India’s land-based and air-based nuclear weaponry, such as the Agni-series of missiles, might already have been destroyed by a pre-emptive enemy nuclear attack. The Arihant, and the B-05 missiles that it carries, are far more difficult to tackle, since they lurk underwater in complete secrecy. The underwater leg of the nuclear triad (land-launched, air-launched and submarine-launched weapons) has always been regarded as the most survivable. It is the ultimate currency of a nuclear exchange. Going by what the DRDO said about its own test, the B-05 is well up to the task. “The Missile, developed by DRDO, was launched from a pontoon and was tested for the full range. It met all the mission objectives. The parameters of the vehicle were monitored by radar all through the trajectory and terminal events took place exactly as envisaged,” said an MoD release on Sunday. The B-05 (or K-15, or Shaurya) is no ordinary ballistic missile. Top DRDO scientists briefed Business Standard that it is not a ballistic missile at all. It could better be characterised as a hypersonic cruise missile, since it remains within the earth’s atmosphere. A ballistic missile suffers from inherent disadvantages, since it is a relatively crude device, akin to a stone that is lobbed upwards, propelled by a rocket. After the rocket burns out, gravity comes into play, pulling the missile warhead down towards the target. Buffeted by wind and re-entry forces, accuracy is a problem; and, since the ballistic missile’s path is entirely predictable, shooting it down is relatively easy. The Shaurya has overcome most of these issues. Its solid-fuel, two-stage rocket accelerates the missile to six times the speed of sound before it reaches an altitude of 40 kilometers (125,000 feet), after which it levels out and cruises towards the target, powered by its onboard fuel. In contrast to conventional ballistic missiles that cannot correct their course midway, the Shaurya is an intelligent missile. Onboard navigation computers kick in near the target, guiding the missile to the target and eliminating errors that inevitably creep in during its turbulent journey. “I would say the Shaurya is a hybrid propulsion missile”, says Dr VK Saraswat, the DRDO chief, talking to Business Standard in 2010. “Like a ballistic missile, it is powered by solid fuel. And, like a cruise missile, it can guide itself right up to the target.” Making the B-05 even more survivable is its ability to manoeuvre, following a twisting path to the target that makes it very difficult to shoot it down. In contrast, a ballistic missile is predictable; its trajectory gives away its target and its path to it. The problem with the B-05 (or K-15, or Shaurya) remains its relatively short range of just 750 kilometres. While it could reach major cities in most countries if it were launched from just off the coast, that would necessitate a perilous submarine journey to the vicinity of the coastline. Therefore, the DRDO is also developing a longer-range missile, dubbed the K-4, which will have a range of almost 4000 kilometers. An Indian SSBN that is armed with the K-4 missile would be able to strike most likely targets from a safe patrol location in the Bay of Bengal.
-
ça va arriver mon cher Thomas ! ^-^ Patience ;)
-
Surtout avec l'Inde, moi, j'aurai opté "Air & curry". Heureusement que les décideurs indiens (militaires, ingénieurs et politiques) ne lisent pas les propos d'internautes, de politiciens non-indiens, ... car ils feraient capoter nombre de contrats à mon avis.
-
Effectivement, je confirme par une expérience d'une collègue qui a dit à mon directeur que le matériel (logistique) était lourd, sur ça, il a répondu : "Tu sais pourtant monter un homme durant des soirées ou nuits, non ? !" :lol: Elle a tiqué et sourit avec une certaine gêne ^-^ OK, je sors --> [ ]