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die kraft

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  1. certes rochambeau thorez a déserté l'armée française pour se planquer a moscou ! mais au fait qui a marchander son retour triomphant en France ? la pilule a être dure a avaler pour ceux qui(communiste ) s'était battu avait souffert dans leur chaire les 5 années d'occupation ...de voir revenir ce personnage donneur de leçon.... mais les communistes on cette particularité qui est d'avaler facilement les couleuvres.et je crois du reste qu'ils ne sont pas les seul il me semble.
  2. zamorana , tu dis a propos des communistes en France :C'est pour ça qu'ils n'ont commencé à résister qu'a partir de 1941, et furent de loin les plus efficaces du fait de leur habitude de la clandestinité et leur organisation. ils furent surtout bien efficaces pour laisser des villages entier a la merci des représailles des troupes allemande qui lassées de se faire harceler n'ont trouver rien de mieux que de s'en prendre a la population locale le sud ouest de la France est parsemé de stèles et de monument qui rappel de douloureux moment (la N89 pour info) guinguoin et son équipe de FTP on laisser de bien tristes souvenir ,les gens du limousin ,dordogne , et les autres département limitrophe en porte les stigmates , et ça pour un piètre résultat cela n'a pas empêché la division das reich de monter en normandie. ni même retardé de façon vitale.moi aussi je pense que le renseignement est plus lucratif que les coups de mains sporadique . il est vrais que pendant ce temps maurice thorez lui résistait vaillamment a moscou dans sa datcha !!!
  3. je ne suis pas de gauche , et surtout pas nostalgique du régime de vichy (ma famille en a trop souffert). mais j aime bien appeler un chat,un chat. un collabo de droite, un collabo de droite,idem pour le collabo de gauche. tien mitterrand qui était le dernier président français socialiste,était aussi ,je reprend ton expression(un lécheur de cul de vieux sénile)...
  4. il est intéressant de noter qu'a propos de collaboration ,ce n'était pas le seul fait de ( l'extrême droite) des hommes de gauche se sont montrer particulièrement zélé a ce sujet . Tous les partis politiques, à l'exception du PCF, exclu du jeu démocratique à cause du pacte germano soviétique, votèrent les pleins pouvoirs à Pétain en juillet 1940. Les parlementaires, issus des élections de 1936, étaient en majorité de gauche. Si l'histoire officielle surestima par la suite l'importance du rôle de Maurras et de l'Action française dans l'entourage de Pétain afin de faire endosser le péché collaborationniste à la droite et à l'extrême droite, ce fut dans le but d'innocenter cette gauche là précisément. Vichy rallia plutôt la droite réactionnaire mais la gauche collaborationniste préféra, elle, rester à Paris. Elle se sentait plus proche des nazis par idéologie quand la droite croyait défendre des intérêts nationaux en soutenant le Maréchal. La collaboration parisienne fut en grande partie le fait d'hommes qui avaient été dans leur jeunesse dreyfusards avant d'être attirés par le pacifisme. L'ambassadeur d'Allemagne, Otto Abetz, dont la mission était d'orienter l'opinion vers la collaboration, sut jouer sur tous ces registres. Au nom de l'anticapitalisme et de l'européanisme, sociaux démocrates, pacifistes, briandistes furent ainsi attirés dans ses filets. Parmi les formations politiques, les radicaux furent, avec Herriot en tête, les principaux artisans du ralliement de la gauche à Vichy, par légalisme. En zone occupée, ils se prêtèrent à un maréchalisme de bon aloi et gardèrent une attitude neutraliste à l'égard des Allemands. Les socialistes ne se montrèrent pas plus courageux. Après l'armistice, l'écrasante majorité des militants, cadres et notables SFIO choisirent d'attendre. Jusqu'en 1941, la gauche occupa le sixième des places au Conseil national, sorte de Parlement-croupion tout juste consultatif, et Laval n'eut aucun mal à confier des portefeuilles ministériels à des syndicalistes ou à d'ex dirigeants de la SFIO. Nombre de maires socialistes, mais aussi d'édiles radicaux et communistes, restèrent en fonction jusqu'en 1944. A la Libération, certains se justifièrent en prétendant avoir de la sorte réussi à protéger leurs administrés des exigences de l'occupant, mais d'autres, plus opportunistes, avaient espéré que l'ordre nouveau serait favorable à leur carrière. Le pouvoir en profita. En mars 1944, une délégation de l'Union des maires de la Seine, majoritairement de gauche, rendit encore visite à Pétain, à Vichy, pour lui réaffirmer sa fidélité. Le parti communiste, lui, attendit un an pour sortir de son neutralisme, et le fit contraint quand Hitler rompit le pacte qui le liait à Staline. Jusqu'en décembre 1940, L'Humanité clandestine ne diffusa aucune consigne antiallemande. Le nom du dictateur nazi n'y apparut pas une seule fois en titre avant juin 1941 et la direction du Parti essaya d'obtenir de l'occupant une autorisation légale de publication. Tout au long de cette année là, la propagande communiste s'en prit surtout à Blum, Pétain et de Gaulle, ces "laquais de l'impérialisme ". Quant au prétendu " appel à la résistance " lancé par le Parti le 10 juillet 1940 - en fait après cette date il ne contenait aucune dénonciation du nazisme, ni aucune incitation à s'opposer à l'occupant. En revanche, les Britanniques, qui étaient alors les seuls à résister à l'Allemagne, y étaient accusés d'être de dangereux fauteurs de guerre. Les députés communistes, emprisonnés en France depuis le début des hostilités, demandèrent pour leur part à être entendus comme témoins à charge devant la cour suprême de Riom qui jugeait la responsabilité de Blum et de Daladier dans la débâcle de 1940 ...
  5. Le 10 mai 1940, las de nous attendre, le caporal Hitler attaque en force, tous les blindés, tous les avions, sur 400 km de front. Bataille féroce : 125 000 morts français en un mois. Plus que durant l’été de 1914. Cette fois le miracle de la Marne est en vacances. Le 13 juin, porte de la Villette, l’Armée allemande entre dans Paris, ville ouverte. Le 20, la Troisième République demande la fin des hostilités, et l’armistice. En mille ans, le vieux pays gaulois, il en avait connu des guerres sur son sol, des invasions, des batailles, des défaites. Mais celle-là... L’Allemagne occupait la France au nord et à l’ouest d’une ligne allant de Genève à Tours, et de Tours à Hendaye. Deux millions de nos soldats - la force vive - étaient prisonniers. Déjà les premiers convois franchissaient le Rhin. Six millions de réfugiés, dont deux millions de Belges, campaient en zone non occupée. En zone occupée se trouvait la quasi-totalité des mines, de l’industrie lourde, des terres à blé. Jusqu’à la paix, tous les jours, nous devions verser 400 millions de francs d’impôt de guerre. Les Allemands se justifiaient en disant que l’impôt de guerre, ils le payaient, de leur sang, en Russie, pour protéger l’Europe, donc la France, de l’Armée Rouge. - Non. Deux mille ponts avaient été détruits. Les bombardements, les combats, le sabotage, le pillage, la retraite et l’exode avaient écrasé et disloqué notre système de transports, sans lequel une nation est un pays mort. Il fallait tout reconstruire, rebâtir, rapidement, sans rien. Devant cette situation naquit la collaboration. Je devrais dire : naquirent les collaborations. Il y eut la collaboration économique (petite minorité) où l’on trouvait des grands bonshommes, comme Louis Renault, et des fripouilles, comme Joinovici, que l’on aurait pu fusiller deux fois, une fois par devant et une fois par derrière, sans lui faire payer la totalité de ses crimes. Il y eut la collaboration idéologique (petite minorité) que transmuaient la peur obsessionnelle d’un retour de la Troisième, un antibolchevisme flamboyant, un antisémitisme certain, hérité de Drumont et réanimé par Céline, le rêve diffus d’un ordre nouveau conduit par l’Homme blanc, et leurs prolongements militaires : LVF, Division Charlemagne, Milice française. Il y eut surtout une collaboration populaire de fait et de survie. L’immense majorité des Français va la pratiquer. Le minerai de fer ou de charbon que les mineurs français arrachent au sous-sol français sert à l’effort de guerre allemand. Georges Marchais, comme des milliers de ses camarades, travaille dans des usines de guerre allemandes. Dans les gares françaises, les cheminots français collaborent avec les cheminots allemands, et font rouler des trains français qui transportent en Allemagne du matériel français et, parfois, des déportés. On ne joue pas toujours "La Bataille du Rail"... En composant, imprimant, tirant, diffusant, vendant les journaux collabos, les employés et ouvriers du syndicat du Livre, qui bénéficient des avantages obtenus par le collabo Jean Luchaire (fusillé en février 1946), collaborent autant que les journalistes qui les rédigent. Le cinéma français, dont de nombreux films furent produits par la Continental, firme allemande créée par Goebbels, n’aurait pas atteint l’exceptionnelle réussite qu’il connut sous l’Occupation sans la collaboration. Etc. Sur cette collaboration existentielle, se greffa une collaboration politique, esquissée par pétain à Montoire. Elle cherchait à se servir de la collaboration de sauvegarde pour obtenir des autorités d’occupation l’adoucissement des conditions d’armistice, concernant, notamment, les prisonniers de guerre. Sous des justifications diverses - paysans, Bretons, pères de familles nombreuses, indispensables à la vie économique du pays et à la bonne marche de la collaboration -, l’épouvantable gouvernement de Vichy réussit à en faire rentrer près d’un million en trois ans. Jean-Paul Sartre fut élargi, au mois de mars 1941, en qualité d’infirmier. La France souffrante en avait grand besoin. Il continua à profiter de la collaboration (papier, autorisations diverses), en publiant "L’être et le néant", chez Gallimard, et en faisant représenter deux pièces, "Les mouches" (1942) et "Huis-clos" (1944). Pour amuser les enfants, on retiendra qu’il accepta que "Les Mouches" fussent jouées au Théâtre de la Ville, baptisé ainsi parce qu’il s’appelait Théâtre Sarah-Bernhardt et qu’il ne fallait pas qu’un théâtre portât le nom d’une Juive en 1941. La Libération venue, M. Sartre continua de résister ardemment en traitant les collabos de salauds. Le nom leur est resté.
  6. A vous entendre tous ou du moins certain, il aurait fallu se replier sur l’afn, continuer la guerre là bas (avec quelles ressources ?) planter les millions de français resté au pays avec l’occupant, pour ceux resté au pays pratiquer la (résistance) … Il est facile de dire ceux qui sont resté en France pendant l occupation se sont accoquiné avec l’ennemi mais pendant que CDG était a Londres il fallais bien bouffer faire tourner la machine (les affaires courante) etc. etc. Oui il y a des gens qui se sont compromis avec l’occupant malheureusement et ce dans tout les milieux les tino rossi , arlety ,sacha Guitry,et combien d’autres encore !! Pendant que yves montant chantait devant un parterre d’officier allemand (dans les plaines du far-west) jean Gabin entre autre était en Angleterre prêt a en découdre. Mais ce n’était pas permis a tout le monde de faire de même car la vie de tout les jour était là bien présente .et ce n’est pas le gouvernement de l’époque qui a montré l’exemple en matière de résistance !!À cette époque trouble ils se sont empressés d’aller chercher un vieillard et de lui refiler (le bébé) … Ha !!! Par contre quand le vent a commencer a tourner ça c’est bousculer au portillon pour faire de la résistance !!! La résistance il aurait fallu la faire avant la guerre équiper l’armé avec un matériel digne de ce nom ne pas laisser l’Allemagne se réarmer impunément !!Mais ça c’est une autre histoire nous en France nous avions le front populaire les congés payé les premières vacance a la mer, on disait a cette époque ; les boche ont des tanks mais ils n’on pas de beurre !!! On a simplement oublié de rajouter qu’avec un tank on peu facilement aller chercher le beurre du voisin qui lui n’a pas de tank.et la suite nous le prouva. :O
  7. le gun qui déchire :lol: http://fr.youtube.com/watch?v=IxLmiYiwvus
  8. les bombes perdues , je pense que bien peu de nation vont se vanter de cet état de fait et d'autre part je pense qu 'elles auront fait tout leur possible pour les récupérer, mais cela n'empêche pas que effectivement il y a des bombes (perdue) au fond de certain océans, mais certainement a des profondeurs ou des endroits inaccessible même avec une technologie avancée ...
  9. mort de rire le pére kalash qui pleure son brevet ....il a pas mal au cul lui au moins !!!! lui qui copier le stg allemand pour en faire l ak47 ....moi je me marre doucement ....
  10. Les munitions à l'uranium n'ont rien à voir avec la Bombe Atomique. Ce sont des balles et des obus en uranium appauvri. L'uranium appauvri est un déchet de l'industrie nucléaire. De l'uranium naturel on extrait une petite proportion d'uranium 235, très radioactif, destiné aux centrales. Que reste-t-il ? De l'uranium 238, presque non-radioactif. Cet uranium 238, d'un point de vue balistique, a des avantages de taille : Très forte densité, comparable et supérieure à celle du plomb. Métal infiniment plus dur que le plomb et très solide, comparable au fer. Point de fusion élevé. C'est un "déchet", donc il ne coûte rien. Les projectiles à l'uranium sont de longs et fins cylindres d'uranium taillés à l'avant en une pointe effilée et munis à l'arrière d'un empennage comme une flèche. Ils sont souvent lancés à la vitesse maximale permise par les canons de chars ou d'avion, plus de 1 km/s. Comme ils sont beaucoup plus fins que le diamètre intérieur des canons, ils sont sertis dans un "sabot" en aluminium, qui a le bon diamètre et qui éclate à la sortie du canon pour libérer la flèche en uranium. Quand ces sortes de flèches percutent l'objectif, plusieurs phénomènes assurent la pénétration : La vitesse du projectile empêche la déformation globale du blindage. Il est incapable "d'encaisser", il n'a pas le temps de se donner sur une surface suffisamment grande. La solidité de l'uranium et sa densité très élevée font que la surface de contact entre le projectile et le blindage reste très petite. L'énergie de l'impact se concentre sur une zone minuscule. La pointe du projectile se comprime sous le choc au point de se vaporiser. Le point de fusion élevé assure que la température soit suffisamment élevée pour vaporiser tout ce qui se trouve sur son chemin. La flèche s'érode en pénétrant, mais elle conserve un avant en forme de pointe. Elle s'auto-aiguise. Aucun blindage connu ne résiste aux obus à l'uranium. Des chars pourtant modernes sont traversés de part en part en passant par les zones les plus fortement blindées. Les jets de matières et de métal vaporisés autour des zones de pénétration sont comparables à l'explosion d'une charge explosive. Il est inutile d'ajouter de l'explosif aux obus à l'uranium. Le premier hic réside dans cette vaporisation qui a lieu là où le projectile percute sa cible ou tout autre objet, par exemple sur une simple pierre. Il se forme un nuage aérosol d'uranium autour du point d'impact. Si les projectiles à l'uranium se comportaient comme des projectiles conventionnels, s'ils s'aplatissaient simplement comme le font les balles en plomb, la toxicité de l'uranium ne poserait pas trop de problèmes. Avoir une bloc d'uranium sur son bureau n'est pas un grand danger, tant qu'on ne le lèche pas. Tout le problème vient du fait qu'une partie de l'uranium des projectiles est vaporisé à l'impact et que cette poussière d'uranium est ensuite massivement absorbé par les voies respiratoires des personnes proches du lieu d'impact. Elles se dépose dans les poumons puis s'infiltre lentement dans l'organisme. Une autre voie d'absorption sont les éclats d'uranium qui se figent dans les personnes qui entourent ou qui occupent le véhicule. Là aussi l'uranium va lentement diffuser dans l'organisme. L'uranium est un métal toxique. Il se fixe dans plusieurs organes du corps. Les conséquences en sont des problèmes rénaux (des aiguilles se forment dans les reins), des douleurs osseuses (l'uranium se fixe préférentiellement près des articulations), des pertes de mémoire, des perturbations du système nerveux. Suivant la dose absorbée, les conséquences peuvent être marginales ou très graves. Pour un soldat qui a respiré le nuage formé à la suite d'un impact, elles sont très graves. Elles sont graves pour des personnes qui inspectent des carcasses de véhicules détruits et respirent les poussières sans protection. L'uranium 238 est peut-être "faiblement radioactif", mais il est radioactif (8000 désintégrations d'atomes par seconde pour un gramme d'uranium 238). Les personnes qui ont respiré de l'uranium 238 présentent après plusieurs mois ou plusieurs années les problèmes typiquement liés à une irradiation : cancers, enfants handicapés... les vétérans de la guerre du golf connaissent le problème ....et comme dit la chanson de dutronc : on nous cache tout ...on nous dit rien ..... :O
  11. die kraft

    brochette russe

    en résumé: les cons ça ose tout ...c'est d'ailleurs a ça qu'on les reconnais :O
  12. dans les aigles attaque la cerise sur le gâteau c'est un soldat américain déguisé en soldat allemand !! vous me direz ,ben oui et alors !! mais le dit soldat américain est un soldat de couleur !! sans parler de la fuite en delta plane ...
  13. die kraft

    ORAN 5 juillet 1962

    pour ce qui est des massacres d'oran et des pieds noir qui n'avait pas encore fuit l'algérie il est vrais que la presse française s'est montrée d'une discrétion de violette a cet égard , quand aux ordres du vieillard de l'élysé au sujet des pieds noir harkis et autre compromis par sa politique il n'en avait que faire ,quand on lui dit que avec l'indépendance des gens aller souffrir il répondit : hé bien il souffrirons !! moi qui es vécu ses événements j'étais à ALGER j'avais 15ans croyez moi je n'oublierais jamais ces moments là .. imaginez un instants la même chose en France tout ce qui n'est pas français doit quitter le pays sur le champ !!! ben oui quoi la valise ou le cercueil ... je n'ose même pas y penser !!! a cette époque les patos n'avait qu une idée en tète la guerre d'algérie finie et les vacances en vue le reste ...basta !!!! alors vous pensez bien que les pieds noir massacrés les harkis et tout le tintouin !!!! vive la France !!!!
  14. indigène =)ce film devrait se nommer plus tôt indigeste ;/ remplis de clichés antis tout ce qu'on veux ...la seul chose c'est qu il faut rendre hommage aux soldats des troupes coloniales qui se sont sacrifiés pour la France ,qui elles les a plus ou moins laissés tomber ...autre chose quand je vois dans indigène le sieur debouz avec un flingot !!!! je pouffe!!!comment fait il pour tirer et autre chose la colo recrute un gars qui a un bras en moins et l'envoie au front ??bof pourquoi pas .... :rolleyes:
  15. quel est la différence entre le fascisme et le communisme ??? =D pour ma part ses deux idéologies se ressemble voir s'assemble (pacte de non agression entre staline et hitler) =D
  16. http://www.dailymotion.com/related/3558256/video/x82oe_sporttireur/1 des vidéos de cette arme au recul impressionnant il en existe une flopée !!! =D
  17. je suis peut étre mauvaise langue mais il me semble que les nord coréennes ( photos du haut ) ben comme dirait kersauson , elles sont bandantes comme un sac de riz !!!
  18. il est certain que dans le genre gestapiste on fait difficilement pire .... hé oui mais en France le communisme c'est bien vu c'est une idéologie qu il ne faut pas blâmer ,c'est pas comme le fascisme !!!!!! qui lui est autre chose de pire etc etc , d'ailleurs j 'aimerais bien que l'on m'explique que le communisme ce n'est pas du fascisme parce que moi je m'y perd dans tout ça !!!
  19. Georges Boudarel (1926-2003) fut un universitaire français, membre du parti communiste français, maître de conférences à l'Université de Paris VII-Jussieu. Il fut l'objet en 1991 d'une plainte pour crimes contre l'humanité déposée par d'anciens prisonniers français d'un camp vietminh où il avait été commissaire politique au début des années 50. De juin 1952 à février 1954, Georges Boudarel était le commissaire politique du Viêt-minh, et à ce titre était chargé de la rééducation idéologique des militaires français prisonniers dans des camps de brousse( "Rééducation" que l'on peut apparenter plus à la torture psychologique qu'à une quelconque remise à plat éducative). Le 7 février 1953, Georges Boudarel avait été envoyé par le Vietminh au camp 113, situé au Nord Tonkin dans la région de Ha-Giang, où il était chargé de l'instruction politique de prisonniers français. Avec cruauté selon les témoins, il appliqua sur ses compatriotes la méthode d'avilissement par la faim, la déchéance physique, l'endoctrinement politique et la délation entre détenus. Durant l'année de son intervention au camp 113, sur 320 prisonniers français, 278 périrent. Pendant les huit années que dure la Guerre d'Indochine, les forces de l'Union française déplorèrent 76 000 morts au combat parmi lesquels 2 000 officiers. Elles perdirent également 37 000 prisonniers dont 16 000 Vietnamiens. Sur ces 37 000 prisonniers, 10 750 seulement furent libérés (parmi eux, figurait Jean-Jacques Beucler). Après la défaite de Diên Biên Phu, sur les 4 436 hommes blessés durant la bataille, 858 avaient été évacués par la Croix-Rouge. Les 3 578 autres soldats, jugés aptes à la captivité, selon les critères viêt-minh, avaient été transportés vers des camps de concentration. Les 400 prisonniers valides avaient dû rejoindre à pied leur camp situé à près de 600 kilomètres. Le « Convoi 42 » perdit 83 hommes au cours de la longue marche (250 hommes reposent dans les fondrières de l'effroyable « Camp 42 »). Moins de 70 recouvrent la liberté en septembre 1954. Tous les prisonniers souffrirent des marches forcées, des privations de nourriture, et de l'absence de soins, ce qui avait favorisé l'apparition de maladies : paludisme, dysenterie, tuberculose, dénutrition, affection neuropsychiatriques… qui ont souvent entraîné leur mort. Ces hommes ne bénéficièrent pas de l'application de la Convention de Genève, puisqu'aux yeux des soldats viêt-minh, ils n'étaient pas des prisonniers de guerre, mais les « instruments aveugles » du colonialisme et du capitalisme. Boudarel se déclara finalement déçu par l'évolution du régime communiste à la suite des excès de la réforme agraire et des purges de 1955-1956 dans le Nord, et se réfugia à Prague. Condamné à mort pour insoumission et désertion, il regagne néanmoins la France après avoir bénéficié de la loi d'amnistie du 18 juin 1966. Il se fait alors historien du Vietnam et prend position contre le régime de Hanoï. Il dirige aussi la publication d'un ouvrage critique sur le régime vietnamien et devient maître de conférences à Jussieu. Quelques années plus tard, se préoccupant de sa retraite, il demanda la validation de ses « loyaux services » du 19 décembre 1950 au 30 septembre 1967, en indiquant pour la période 1951-1954 : « Voyage d'études en Extrême-Orient » et pour celle de 1955 à 1958 : « professeur de français à l'école de pédagogie de Hanoi ». Les premiers ennuis de Boudarel Le 13 février 1991, lors d'un colloque au Sénat sur le Vietnam auquel Boudarel participe, il est apostrophé par Jean-Jacques Beucler (président du Comité d'entente des anciens d'Indochine, ancien secrétaire d'État à la défense puis aux anciens combattants de 1977 à 1978, ancien officier et prisonnier du camp N° 1 au Tonkin) qui, au nom d'anciens prisonniers, exprime « son plus profond mépris » à l'historien. « Vous avez du sang sur les mains. Votre présence à cette tribune est indécente ». La polémique se poursuivit avec un témoignage écrit de Claude Baylé (prisonnier au camp 113), relatant les conditions de détention de soldats épuisés et affamés, pris dans le filet des séances d'autocritique dont l'objet était la dénonciation de ses propres camarades et l'approbation de tout ce que voulait l'administration du camp. Boudarel trouve néanmoins des défenseurs, surtout dans les rangs de la gauche, parmi les anciens thuriféraires du régime nord-vietnamien, comme Jean Lacouture. Pour eux, les geôliers souffraient aussi de restrictions (aliments, médicaments) presque aussi sévèrement que leurs prisonniers du fait d'un blocus imposé par le corps expéditionnaire français. Toujours selon eux, la France était la première "responsable" de ces morts car, en ne déclarant pas la guerre, elle se privait de l'application des conventions de Genève et de l'intervention de la Croix-Rouge internationale. Enfin, argument ultime, les accusateurs de Boudarel sont accusés de "frayer" avec l'extrême droite. Ainsi, Pierre Vidal-Naquet, dans une interview au Monde le 23 mars 1991 refuse de "cautionner, la chasse à l'homme qui est en train de se dérouler" alors que la justice, pour sa part, déboute Boudarel de l'instance en référé qu'il avait engagé pour obtenir le retrait de certains passages de la préface de "Prisonnier au camp 113", signée par Jean-Jacques Beucler, dont le sous-titre ("Le camp de Boudarel"). La procédure de plainte pour crimes contre l'humanité ... La même année 1991, Wladislas Sobanski, sergent des Troupes Coloniales, dépose avec l'ANAPI (Association Nationale des Anciens Prisonniers et Internés d'Indochine) représentée par son président, le Général Yves de Sesmaisons, une plainte pour « crime contre l'humanité » à l'encontre de Georges Boudarel, avec constitution de partie civile entre les mains du Doyen des Juges d'Instruction de Paris. Ils dénoncent ses agissements qui, en tant que commissaire politique adjoint au commandant du camp 113 en 1953, l'auraient rendu responsable de la persécution et de la mort de nombreux prisonniers français. Au vu de cette plainte, le Procureur de la République de Paris prend des réquisitions de refus d'informer fondées sur l'article 30 de la loi n° 66-409 du 18 juin 1966, portant amnistie. Le juge d'instruction émet une ordonnance estimant que les actes énoncés par les parties civiles, à les supposer établis, sont constitutifs de crimes contre l'humanité, selon l'article C-6 du statut du tribunal Militaire International de Nuremberg, annexé à l'accord de Londres du 8 août 1945, et à ce titre imprescriptibles. Il décide donc, contrairement aux décisions du Parquet, d'informer sur la plainte aux fins d'établir si les comportements reprochés à Georges Boudarel par les parties civiles pouvaient être qualifiés de crimes contre l'humanité qui ne peuvent concerner que ceux commis par les nazis et leurs complices. http://www.denistouret.net/textes/Daoudal.html Statuant sur l'appel interjeté le 13 septembre 1991 par le Ministère public, un arrêt de la Chambre d'accusation de la Cour d'appel de Paris qualifie, à l'appui de cette plainte, les faits susceptibles d'être reprochés à Georges Boudarel de crimes contre l'humanité, mais admet que la loi d'Amnistie du 18 juin 1966 leur est applicable et que, par l'effet de cette amnistie, l'action publique est éteinte de sorte qu'il n'y a pas lieu d'informer. Elle confirme ainsi la bonne foi des plaignants. Il en résulte que ces faits ont été tenus pour amnistiés, sans que la Cour de Cassation ne se pose la question de savoir s'ils pouvaient, eu égard à leur nature, être englobés dans une amnistie. C'est ainsi que Georges Boudarel a échappé aux poursuites engagées contre lui sur plainte avec constitution de partie civile de ses victimes, du chef de crimes contre l'humanité. Georges Boudarel est mort des suites d'une longue maladie le vendredi 26 décembre 2003 à l'âge de 77 ans.
  20. le probléme des banlieux !!!! click clik ..........boum.. plus de problèmes ... quand les peuples cesse d'estimer ils cessent d'obéir. (rivarol )
  21. il me semble aussi que poutine était au KGB du temps du communisme ?? donc ce n'est pas un tendre du reste les tchétchénes le savent !! vladimir !!! pour faire la vaisselle !!!oops !!
  22. les contres mesure sont du type 14 juillet !!!
  23. salut valdimir !! mais dis moi tu es coincé de la braguette toi ?? il n'est pas question de prouver quoi que ce soit mais simplement de parler (en photo) des femmes soldates moi je trouve la gente féminine militaire très agréable a regarder elles sont toutes aussi charmante les unes que les autres, maintenant il est vrai que ce n'est pas le défilé de la gay pride!!
  24. die kraft

    les armes et le cinéma

    tout a fait d'accord avec toi mauser!!! en france les armes font peur !!! ben oui ,salauds de pauvres des fois qu ils se rebellerait !!! la législation sur les armes ne sert qu'a empêcher les honnêtes gens de se procurer un arme en toute légalité elle amplifie le trafic d'armes a l'heure actuel rien de plus facile de se procurer une ak47,un rpg ou autre...il suffit d'avoir la bonne somme en liquide ...
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