Histoire des armes
Bien beau travail ; mais qui comme toute les études peut être critiquées. Une arme n’étant qu’un outil elle est crée par la demande des utilisateurs. Avec des freins importants qui sont les limites de la technique de l’époque et le conformisme des EM .
Un exemple la première vraie automitrailleuse était autrichienne et date de 1908 testée lors de grande manœuvre elle donna entière satisfaction. Malheureusement en passant un peut trop prés de l’empereur et de ses généraux elle affolât les chevaux. Moralité elle fut proposée à l’exportation.
Les robots de guerre terrestre datent de la seconde guerre mondiale avec le mini char Goliath filoguidé et un engin de démolition radioguidé qui lui déposait une charge et retournait en arrière. Tous les deux allemands.
Aussi je vous proposerait un découpage plus situé sur l’évolutions des techniques et de la science .
Ainsi je dirais de la préhistoire au 10 é siècle. Il n’y a de rupture que dans le passage des divers stades de la pierre puis au bronze et enfin au fer. L’apparition de l’étrier lui va bouleverser la tactique en donnant la suprématie au cavalier lourd sur le piéton .
La grande peste du 13 va jouer un rôle important en minorant du jour au lendemain les effectifs disponibles. Le soldat devient une denrée coûteuse qu’il faut ménager.
L’apparition de la poudre n’est recevable que dans le sens où la métallurgie progresse par le recours de plus en plus fréquent au charbon de terre et non de bois. Les plus hautes températures donnant des « acier » plus résistants. Sur mer l’apparition du gouvernail d’étanbout et de la toile de bonne qualité sont les seuls points importants.
Le bond suivant c’est l’apparition des platines à silex rendue possible par la mise au point de la « cémentation » de la batterie. Mais ici nous rentrons dans les périodes chaotiques où il est de plus en plus délicat de déterminer si le civil offre au militaire ou le militaire exige du civil
Le bond suivant c’est les guerres de a révolution française et de l’empire. Première guerre préindustrielle rendue possible par le système Vallet de standardisation de pièces.
Puis vient l’age de la vapeur avec la production de masse et le chemin de fer . Ici en une génération l’on passe du fusil à poudre noire chargé par la bouche au fusil à répétition à canon rayé. Quelques années de plus et l’on arrive à la poudre sans fumée. Révolution incommensurable pour la marine qui peut s’affranchir des aléas du vent et s’équiper en lourd l’âge des cuirassés commence.
Vient l’âge du pétrole avions sous-marins fiables accompagnés d’un progrès de la chimie qui va pousser des innovations comme les poudres sans fumées ou les gaz de combat résidus innommables de la teinture industrielle. En fait bien des idées nées à cette époque comme les théories de guerre aérienne de Clément Ader sont recevables. A la condition que le matériel suive ce qui est impossible à ce moment.
Le cycle suivant devient une confusion entre progrès technique, industriel et exigences des militaires. Car sans sombrer dans le qui le premier à fait quoi. Il est bon de se souvenir que les premiers réacteurs sont italiens et datent des années 1930. Que l’opération Paperclip a non seulement couvert les frais de la seconde guerre. Mais est la base de bien de nos inventions du missile filoguidé en passant par le nylon ou le chasseur de nuit embarqué. Et le transistor base de la miniaturisation électronique .
La rupture est le microprocesseur et le laser L’un permettant des calculs fins et rapides dans toutes sortes de domaines. L’autre une recherche sur la lumière et ses applications. Ici j’ai fait au plus court oubliant les convertisseurs bessner ou autre invention.