Mauser
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Je vais vous dire ce que je sais sur le sujet Nous n’envisagerons pas les chargeurs perpétuels ou le revolvers à 14 coups ou la winchester 1894 utilisée en 1866 Ni le gros matériel Char avions ou le meilleur côtoie le pire En premier lieu Il existe 2 sortes d’armes utilisées au cinéma Des copies : Car lors d’un film d’époque quelle accessoiriste pourrait fournir une poignée de mousquets comme dans le masque de fer avec Di Caprio ? Ou une armure de tournoi ici je n’envisage pas le facteur poids. C’est aussi du sur mesure alors soit l’on choisi l’acteur en fonction du matériel disponible Soit elle est construite en fonction de l’acteur et en alu ou un autre alliage léger Comme les épées et autres armes d’époques. Dans les années 70/80 un artisan français à côté de Brive s’en était fait une spécialité. Un exemple simple le Cid avec C Heston il combat en duel avec une espada épée à deux mains et durant je ne sais combien de temps ? Oui sauf que petite question je suis d’un format un peux plus volumineux et à l’époque en bonne forme physique 5 minute avec une vrai décrochée de la panoplie du château de Foix .M‘ a totalement cassé les bras essayer de jongler avec une MG 42 en la tenant par la crosse. En fait toutes les armes datant d’avant la guerre de 1914/18 sont des copies plus ou moins fidèles Dans le cas d’une bataille napoléonienne le premier rang est équipé de copies à l’identiques. Les autres se contentent d’une ébauche de crosse équipée d’un tube de métal creux et une mise à feux électriques. L’une des questions importantes lors de l’usage des armes à chargement par la bouche c’est la baguette. Oublié dedans elle devient un projectile des plus dangereux Lors de reconstitution de bataille de la guerre de sécession. L’oubli de celle-ci dans le canon a causé des blessés graves. Une firme anglaise Sussex-Armorie proposait des copies fidèles mais inopérantes d’un nombre conséquent d’armes elles sont présentes dans les râteliers des accessoiristes spécialisés Tout comme les armes neutralisées. qui font nombres dans les film de « masse » Les armes transformées Ici la question est très délicate Comment faire fonctionner une arme tout en la rendant inoffensive pour les acteurs ? Le tir à blanc pour les armes à répétition est une solution simple à la condition qu’elle soit assez loin des autres participants A moins de 3-4 M les projections de poudre s’avèrent dangereuses… Un exemple simple dans le choix des armes le 44 qu’utile Yves Montant est équipé dune tôle sur le côté appliqué sur le visage de ? La flamme de la balle à blanc pouvant gravement blesser l’acteur. D’ailleurs si vous faite attention lors de tirs vers un autre acteur Si celui-ci est à moins d’une dizaines de mètres Vous ne verrez jamais de flammes. Je parle ici pour les films avant le numérique. Pour les armes semi automatiques et automatiques la question est plus complexe. L’utilisation d’un bouchon de tir à blanc « défigurant » l’arme il n’est pas question de les utiliser L’un des principes de contournement est de poser le bouchon à l’intérieur du canon. La chose est bien plus facile à décrire qu’à réaliser. Avec une fraiseuse l’on évide le tube puis il est fileté pour recevoir un bouchon vissé à son intérieur Puis vous vous attaquez au fonctionnement de l’arme et ici c’est le grand chambardement Il faut tout revoir ou presque Ressort récupérateur poids de la culasse système d’emprunt des gaz Et la rampe d’alimentation qui ne fonctionne pas si bien avec des cartouches sans balle Pour les mitrailleuses surtout les « grosses » il existe un autre mode de fonctionnement pour faire vrai. Une fois vidées de leurs entrailles elles sont équipées d’un balourd monté sur un axe excentrique mu part un moteur électrique pour restituer un semblant de recul. Pour la flamme en bout de canon C’est une cartouche de gaz avec un allume gaz relié à la détente Si vous faites très attention et c’est assez rare vous pourrez voir la flamme se tordre dans le sens du vent Le plus beau c’est dans un vieux film en noir et blanc sur la bataille des Ardennes L’arme ne « tirant » pas la flamme reste visible en bout de canon. Comme la scène ne dure qu’une seconde elle n’a pas été coupée. Reste des cas comme le tir au RPG qui sont de petits chefs-d’œuvre d’inventivité Pour un film avec A. Delon qui se passe à Lyon le RPG a été refait autours d’une fusée de feu d’artifice Et la séquence tournée en 2ou 3 plans différents puis raccordés . Pour les bandes de MG comme il n’est pas question en France de se balader avec la difficulté est tourné avec des balles plastiques en vente libre à l’époque un coup de bombe à peinture et le tour est joué. Pour les belles flammes lors de tir de nuit c’est simple avec des cartouches à blanc maison chargée à la poudre noire l’on ajoute de l’oxyde de cuivre flamme bleu ou du sel flamme verte.
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1 Maximilien empereur du Mexique 2Amiral russe défait par les japonais dans le détroit de Tsushima Je ne trouve plus son nom 3 Le renard gris Canaris Une facile Ma femme devint folle et faisait construire plusieurs pièces par jour En mémoire des morts que mes armes avaient causées
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Vos personnages favoris de l'histoire militaire
Mauser a répondu à un(e) sujet de Suchet dans Histoire militaire
Au fait pour Jeanne d'Arc juste une remarque Cherchez l'homme sans son connétable Gilles de Rais Elle n'est qu'un porte drapeau . -
Comme la majorité des armes russes n'y cherchez pas autre chose que du solide et fiable Pour les look Ils sont les premiers mais en bas du tableau Par contre ce qui rend le TT si bien c'est sa munition Quasiment aussi performante qu'une 9 PARA mais bien plus agréable à tirer à mon avis . Remarquez je suis un nostalgique du C96 et du 06 Suisse Le 7.65 para 7.63 Mauser et 7.62 Tokarev étant des munitions proche ou carrément interchangeables dans le sens 7.63/7.62 Pour le cran de sécurité ? je n'en avais jamais entendu parler Ne serrait ce pas une de ses légende de stand ?
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Euh le cuirassés chauffaient à quoi ? En 39/45 En 1906 oui il est question de charbon Mais dés 1910 il est question de pétrole Pour le Chambrun c'est un répétiteur d'ordre Ce qui est ordonné sur la passerelle est transmis aux machines qui répètent l'ordre en passerelle pour l'aperçus
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Sur du matériel soviétique Mig et ??? Les rogatons du régime socialiste
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Non pour le PA ce sont des catapultes à vapeur Pour les cuirassés et croiseurs un booster à poudre noire Qui ne devrait pas marcher d'après certaines lois de physique . Pour la barre remplacée par un boîtier J'ai déjà vu dans le civil sur le bateau d'un ami Dans ce cas il y avait deux boutons pour la barre un pour donner une inclinaison bâbord et l'autre tribord Deux fois deux autres pour les moteurs Plus ou moins vite par bord et deux fois deux autres pour les inverseurs équivalent de marche avant ou arrière Alors sur un cuirassé à 4 hélices vous multipliez soit 4 fois gaz et inverseurs Un truc à se melanger les pinceaux
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Juste une question qu'entedez vous par fusil de précision ? Car il existe au moins deux interpétation du terme Soit l'arme réglementaire mais avec un canon sélectionné et une lunette plus un appui joue dans certains cas Soit une arme concue pour le sniping dés son origine
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Je suppose que par barre à poussoir vous parlez des catapultes ? Le principe est simple l'hydravion repose sur un chariot lié à un gros piston Propulsé par une charge de poudre en conflit total avec une loi de physique qui voudrait que l'engin explose . Ainsi l'avion atteint une vitesse suffisante pour décoller .
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Il me semble que les français aussi avaient testé un mini avion sur le Surcouf Sous toutes réserves
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Le prêt des étendard est bien réel . Pour ce qui est des pilotes ? Vaste question comme il est question d'un appareil embarqué assez spécifique Il faudrait connaître le temps entre l'arrivée des avions et la première mission Et savoir aussi le temps pour un pilote de savoir se servir de l'engin .
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Les quadrimoteurs Piaggio ont été les seuls avions à attaquer gibraltar depuis l'Italie .Mais je crois que les italiens en avaient une vingtaine en tout
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Pour l'Italie n'oubliez jamais que G. Dhouet apôtre de la suprématie aérienne a fait grand tord à la théorie du PA Les motoristes n'ayant pu fournir des engins assez puissants pour équiper une flotte aérienne digne de ce nom Que l'un des principaux amiraux italiens dont le nom m'échappe Il faut que je retrouve son livre est l'auteur de la théorie de l'Italie PA inoculable Pour les radars allemands ils étaient moins fiables que ceux des anglais mais la télémétrie bien supérieure . Un autre facteur à prendre en compte et que je ne connais pas l'entraînement des deux flottes était il comparable ou non
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Mais elle n'avait même pas envisagée le cas du porte avion estimant à tord que la position de l'Italie et les avions torpilleur SM suffisait Pour le cap Matapan Si j'ai bonne mémoire c'est déroulée de nuit A cette époque seul les gros navires anglais possédaient des radars ....
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Avez vous les cotes de ces deux 6mm ? Je n'en trouve pas trace dans les tables CIP . Et les pressions admissibles . Ce sont les seuls facteurs qui conditionne l'organisation d'une arme
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Officiellement la France aurait prête ou louer des super étendard à l'Irak durant la guerre Iran Irak Le choses étant ce qu'elles sont je vois mal les pilotes irakiens accomplir des missions avec des exocets quelques jours aprés avoir touchés ces avions . Pour le reste vous en concluez ce que vous voulez
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Merci pour les précisions C'est vrai que ces grosses scies à viande ne m'intéresse que pour la complexité du mécanisme hérité de la Gatling . Par contre rechambrer du 7.62 en 223 Impossible c'est une arme nouvelle à construire En armurerie rechambrer une arme c'est dans le cas le plus commun modifier la chambre de l'arme en l'agrandissant Par exemple passer du 223 au 222 Rem Mag Il est possible sur certaines arme de raccourcir la chambre 30 US carabine en 30 Short Mais dans le cas d'un passage 7.62 en 223 Il faut changer la tête de culasse le diamètre des culots étant différent Et changer le tube le calibre aussi . Mais sur une chose aussi complexe qu'un mécanisme de ce type Je crois bien que si l'on change l'un des facteurs l'on est face à une cascade de problèmes . Vous avez déjà réglé une bonne veille 12.7 imaginez la question multiplié par 6 fois ....
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Ce n'est pas à méditer ou une hypothèse c'est une constatation stratégique anglaise fort vielle de la flotte qui existe Ne jamais négliger que les anglais devaient être présent sur TOUTES les mers du globe et en force... Alors que les allemands n'avaient qu'à se préoccuper des atterrages anglais Pour le coût de l'épouvantail songez à la réciproque combien pour neutraliser le Tirpitz ?
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D'autant plus que le 223 n'est pas que la munition des FA elle est aussi utilisée dans les MG de diversesses sortes comme les minimim ou les vulcan sur hélicoptères.¨ Pensez à l'intendance cauchemar des américains au Vietnam où il n'était pas rare qu'une section utilise 6 calibres différents
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Treuil de Beaulieu ou DE Reyffe tout deux amis de Napoléon 3 et créateurs l'un d'un système d'arme l'autre du canon à balle ancêtre de la mitrailleuse
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C'est à lui que je pensais et à sa compagnie de construction aéronautique dont aucun prototypes n'a jamais été adoptés par l'USAF
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Et si sur deux modèles le Reichvolver allemand des années 1870/80 et sur le S&W MD 13 dit Sassia destiné à la police française
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Je ne suis pas l'un des hommes les plus riche du monde en son temps pilote et producteur de cinéma Dont les avions n'ont jamais dépassé le stade du proto ? je n'arrive pas à me souvenir de son nom
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Principes de bases sur la cinématique des armes
Mauser a répondu à un(e) sujet de Mauser dans Demandes d'articles
Principe de fonctionnement des armes V La munition ou cartouche. Elle n’est pas récente l’idée de réunir dans un seul ensemble le propulsif et le projectile est attribuée à Gustave Adolphe roi de Suède et grand capitaine. Les premières armes avaient un cycle de tir assez long. L’arquebusier devait introduire la poudre dans son arme puis forcer sa balle de plomb avec un calepin dans le tube Une fois ceci fait il armait son chien et dégageait le couvre bassinet il épinglait la lumière. En passant une fine tige de métal pour la déboucher puis versait du pulvérin (poudre noire très fine) dedans Une fois ceci fait il pouvait tirer. Ne parlons même pas des armes à rouets qui devaient être remontées à chaque tir. La cartouche papier elle réunissait la charge de poudre nécessaire à la fois au tir mais aussi à l’amorçage. Dés cet instant la manœuvre devient plus simple le soldat sort sa cartouche de sa giberne mort la base du cylindre de papier et verse un peut de poudre dans son bassinet Puis il enfourne le tout dans le canon. Ce qui va provoquer 2 réactions Les « objecteurs » se font arracher les dents de devant devenant ainsi impropre au service. Et un certains nombres de soldats vont élargir la lumière de leurs armes Comme cela pas question d’ouvrir le bassinet et d’y verser de la poudre Ils arrachait le cul de la cartouche et bourrait le tout dans le tube après un bon coup de crosse sur le sol et le bassinet se garnissait. Très théoriquement car les bassinets vides ou ceux dont la lumière cédait arrosant le soldat de coté étaient nombreux. Le système va atteindre des sommets juste avant la révolution avec des armes standardisées et de même calibre Il n’existait plus qu’une cartouche pour toutes les armes française excepté la carabine rayée. Il fallait alors « saigner » la cartouche car entre le fusil d’infanterie le mousqueton de cavalerie et le pistolet vous comprenez bien que les charges différaient. .L’opération consistait à jeter une part de la poudre la cartouche étant prévue pour le fusil 1777. Pour l’anecdote le silex français du val de Loire était classé matériel « stratégique » A l’époque sa contrebande était punissable de mort Pour la balle en plomb. Elle pouvait certaines fois remplacée par n’importe quoi le baron Larrey chirurgien des plus connus de l’époque rapporte le cas d’une femme blessée par une bille de marbre lors des émeutes parisienne La phase suivante va porter sur 2 volets distincts La recherche de la précision en rayant les canons Et la mise à feu avec l’apparition des amorces au fulminate de mercure et à l’azoture de plomb. Pour la précision l’écueil c’est l’encrassement du aux résidus de poudre ce qui explique assez facilement la profondeur des rayures des armes de l’époque. Une autre solution était les rayures en cheveux d’anges. Très fines et nombreuse jusqu'à 18/20 sur certains pistolets Mais le prix et la complexité de l’usinage en faisaient des armes rares : Pistolet Lepage d’état major à double canon en est un exemple La première astuce réside dans la chambre ardente. En fait l’on restreint la base du tube formant ainsi un épaulement sur le quel l’on écrase la balle. Certes elle est déformée et pas de façons égale mais elle prend les rayures. La précision n’est pas formidable mais largement suffisante n’oublions pas qu’a cette époque l’on se fusillait en rang serrés à 100 mètres alors un officier debout sur son cheval. . Un autre système est la carabine à TIGE. Ici le principe est inverse l’on écrase la balle sur une tige fixée à la base de la culasse l’érosion est telle que la chose est vite abandonnée L’étape suivante du travail sur la balle va résider à essayer d’obtenir une expansion de sa base au départ du coup. Se sont les balles Minée, Tamisier ou des chasseurs d’Orléans. Le principe et simple elle sont à base creuse la pression exercée par la colonne de gaz va ouvrir la jupe de l’ogive Expansion aidée dans certains cas par la présence à la base d’une rondelle de cuivre ou de bois. Les chasseurs de chamois bavarois mais je crois bien qu’il n’étaient pas les seuls avaient trouvé une astuce simple un clou de charpentier enfoncé dans la balle la partie plate tournée vers la poudre. Durant la même période la chimie de « masse » va révolutionner la mise à feu. Le vif argent ou fulminate de mercure était connu mais de la à le produire en masse… L’apparition des capsules amorces va révolutionner la balistique. En un seul jour il est possible d’obtenir une mise à feu régulière (presque). Le nombre de facteurs à prendre en considération étant des plus importants et aléatoires. Mais c’est la possibilité de créer le colt Ou les carabines Berdan à la précision pouvant permettre de neutraliser une équipe de servants d’un canon à âme lisse. Dans le même temps ou presque deux inventeurs vont battre les cartes et ils sont tous les deux FRANÇAIS. Lefaucheux va inventer la cartouche à broche. Principe si simple qu’il en devient génial l’amorce est compartimentée à la base de la cartouche Juste pour l’anecdote le premier revolver double action à cartouches métalliques était français et fabriqué par Lefaucheux. . Le percuteur qui est une broche faisant saille posait la question primordiale de la sécurité au point que les premières cartouches testées par l’armée française ont été jetées du haut du donjon de Vincennes pour vérifier la sécurité. Désolé mais je n’ai pas les résultats des testes mais comme l’armé a été utilisé par la marine française…. Flobert lui va inventer l’amorçage annulaire la composition mercurique étant centrifugée dans le bourrelet de la cartouche Avec un inconvénient de taille la base de la douille (étui) Se doit d’être très malléable pour obtenir un écrasement suffisant à la mise à feu Et c’est à ce point que s’exerce la pression la plus importante. Puis vont arriver les amorçages Boxer et Berdan L’amorçage Boxer est anglais et se caractérise par un évent central L’amorce possédant son enclume Bizarrement il serra le système américain. L’amorçage Berdan lui est caractérisé par deux ou trois évents entourant une enclume faisant partie de la douille Il est américain d’origine et deviendra le système classique européen. Quant je dits classique il est question de majoritaire. De nos jour le principe Boxer est largement majoritaire en Europe sauf peut être chez les militaires. Stop ou encore -
Mais si Remarquez les israéliens avaient rencontré ce genre de problème avec le chargeur du Galii ou de l'Uzi je ne me souviens plus