vincenzo
Members-
Compteur de contenus
1 198 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
1
vincenzo a gagné pour la dernière fois le 17 mars 2023
vincenzo a eu le contenu le plus aimé !
Réputation sur la communauté
1 288 ExcellentProfile Information
-
Gender
Male
-
Location
Marseille
-
Pays
France
Visiteurs récents du profil
Le bloc de visiteurs récents est désactivé et il n’est pas visible pour les autres utilisateurs.
-
Apres que ce soit Até, Stardust ou XT, ce sont des personnages "publics", ils ont choisi de faire un "boulot" qui utilise les réseaux sociaux, ils se sont construits une image, ils sont exposés, tout qu'ils leur arrivent, qu'ils sortent comme info est amplifié, c'est le jeu de leur taf, quand ca va tout est rose, mais si tu fais une connerie et que cela se sait, tu risques de prendre des sots de merde dans la gueule...
-
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
vincenzo a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Pourtant il dit ça le Patrushev (2 paragraphes au dessus de celui cité) :"Pour nous, l’enjeu vital reste la protection et le bien-être de nos citoyens et de nos compatriotes à travers le monde. Sur le plan international, il faut absolument mettre un terme à la discrimination que subit la population russe dans une série de territoires, à commencer par les pays Baltes et la Moldavie. Les autorités de ces États continuent à s’enfoncer délibérément dans une crise dramatique, conséquence de leurs actions irréfléchies, tout en persévérant dans leur propagande russophobe." Une des justifications de la guerre au Donbass et de l'OMS c'est bien la discrimination de la langue russe et de la culture russe ainsi que le néo nazisme ukrainien (ici pour moi ce sont les actions irréfléchies et la propagande russophobe) donc oui menace à mots couverts (et à mots couverts je suis gentil) des Pays Baltes -
2023 Guerre de Soukhot
vincenzo a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
Sûrement que l équipe Biden et Trump ont travaillé ensemble, des mois que l équipe Biden négocie, ils ont les contacts les affinités et l arrivée de l équipe trump a du donner un nouveau souffle à tout ça (nouveau souffle à base de je vais tout casser après le 20 janvier) -
Oui et puis il y aura 2 CVN Bush en service... vu qu'ils sont fait un nouveau USS Entreprise, il pourrait nommé un USS Ranger en hommage au 1er PA de la Navy
-
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
vincenzo a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Tres bonne article de Tatarigami sur les principaux problemes critiques de l'armée ukrainienne , à lire vraiment, je vous fait un court résumé mais faut vraiment le lire https://euromaidanpress.com/2025/01/03/why-is-ukraine-losing-ground-deep-analysis-of-military-problems-in-2025/ Probléme n° 1 manque d'infanterie : pour lui il manque 80 000 soldats d'infanterie, ce chiffre permettrait 130 nouveaux bataillons ou porter 200 autres à son plein niveau – pourrait soit arrêter les avancées russes, soit faire de leurs gains territoriaux trop coûteux à tenir. Probleme n° 2 : Defaillance organisationnelle et structurelle du commandement au-dessus du niveau de la brigade, donc soucis pour mener des opérations à grande échelle nécessaires dans une guerre majeure. Ils ont tenté de pallier à cela avec des formations temporaires: OTU (Operational-Tactical Group) et OSUV (Groupe opératif-Stratégie). Mais trop de turn over dans les commandants les rendent trop peu efficace. Probléme n° 3 : comme les russes, trop de faux rapports indiquant que la réelle situation sur le terrain ou l'état des unités,ainsi qu'un manque de responsabilisation des commandants d'unité, cela entraine une lenteur dans les décisions tactiques voir une absence de communication inter unités souvent décisif dans le mauvais sens (ukr) évidemment Problème n° 4 : Le soutien étranger décide souvent du sort des nations combattant des ennemis plus grands. Et en 2023 et 2024, l’aide différée et l’incertitude du soutien ont ébranlé la confiance de la société ukrainienne dans la victoire et dans ses alliés occidentaux. Probleme n° 5 : La communication interne et externe de L'ukr : contre offensive de 2022 trop attendu et optimiste qui mettrait fin à la guerre qui a aveuglé l'UKr (ses soutiens) pour se préparer à une guerre longue, la comm du Gouv Ukr quii a fait de l'aide étrangére l'alpha et l'omega de la victoire en mettant sous le tapis les défauts internes (mauvaises préparations des lignes de défenses, faille dans la mobilisation et renouvellement des effectifs) Apres ses analyses, il apporte des solutions : - Reforme du commandement avec le remplacement des généraux issus de la culture soviétique et de ceux en place par loyauté politique au lieu de mérite, de meme pour l'échelle plus basse de commandement ou l'éfficacité opérationnelle doit etre le parametre pour la promotion, evidemment cela prendra du temps à portée ses fruits mais il faut commencer le plus vite possible (car apres 3 ans de guerre trop d'incompétence tue encore trop de soldats) - Amélioration des conditions de l'infanterie de 1ere ligne : des conditions de service établies et des options de démobilisation garanties lorsque votre temps est écoulé, que les soldats doivent être assurés que l'État ne les abandonnera pas après avoir été blessés. - Améloriation des structures de l'armée : comme formées de divisions issues de brigades expérimentées telles que la 3e brigade d'assaut, qui pourrait servir de structure de base pour une division nouvellement établie. Cette approche permettrait à la division d'hériter de la culture de la brigade, de ses pratiques de combat et de ses méthodes d'organisation – les échelonnant à travers une force plus large. Cela signifie également que l'Ukraine devrait cesser immédiatement la formation de nouvelles brigades car pas assez de commandants compétents et expérimentés et ne dilueraient pas l'aide matérielle occidentale - Transformer le système de formation: dans les centres de formation de base de l'armée dee nombreux rapports décrivent les soldats qui passent des semaines dans l'entraînement de base inactif ou pour des tâches non combattantes. Dans d'autres cas, la formation est trop courte, ce qui entraîne trop de temps pour apprendre. Il faut s'inspirer du modèle nombreuses brigades qui ont mis au point de manière indépendante des cours de formation pour faire face à la réalité que la plupart des nouveaux soldats arrivent sans préparation pour le combat. Ces pratiques de formation efficaces et mises au point devraient être systématiquement évaluées puis transposées à l'échelle de l'ensemble de l'armée. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
vincenzo a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
A priori changement chez les Ukr : l'accent sera mis sur l'envoie des recrues dans les brigades expérimentées -
Sortez le pop corn : https://richardhetu.com/2025/01/12/la-citation-du-jour-1529/#more-79063 La citation du jour Richard Hétu 124 commentaires 12/01/2025 « Peter Thiel, David Sacks, Elon Musk sont tous des Sud-Africains blancs. Il devrait retourner en Afrique du Sud. Pourquoi des Sud-Africains, le peuple le plus raciste de la planète, des Sud-Africains blancs, font-ils le moindre commentaire sur ce qui se passe aux États-Unis ? » — Steve Bannon, ancien conseiller de Donald Trump, tirant à boulets rouges sur les « seigneurs de la technologie » qui défendent le visa H-1B dont ils se servent selon lui pour embauche une main d’oeuvre étrangère bon marché au détriment de travailleurs américains. P.S. : Bannon a fait cette déclaration lors d’une entrevue au Corriere della Sera où il a réservé ses commentaires les plus durs à Musk : « Je ferai partir Elon Musk d’ici le jour de l’inauguration. C’est un type vraiment mauvais, un très mauvais type. J’ai fait de ce type une affaire personnelle. Avant, parce qu’il investissait de l’argent, j’étais prêt à le tolérer ; je ne suis plus prêt à le tolérer. »
-
Musk comme Trump commence a revenir sur ses promesses : Elon Musk admet désormais que le Département de l'efficacité gouvernementale (DOGE), qu'il dirige, n'atteindra pas les 2 000 milliards de dollars de réductions budgétaires qu'il avait promises à plusieurs reprises. Dans une interview avec Mark Penn, Musk a déclaré qu'il n'y avait qu'une « bonne chance » de réduire de moitié ce montant.
-
Je suis d'accord évidemment avec ce que tu dis, c'est ce que dit Jean Eric Braana dont j'ai partagé l'article plus haut : "Cependant, si cette stratégie lui permet de consolider sa base électorale et de s’imposer sur la scène internationale, elle pose également des questions sur la stabilité à long terme des relations mondiales. L’imprévisibilité peut être une arme redoutable, mais elle reste un jeu dangereux dans un monde où les équilibres sont déjà fragiles." Apres comme déja dit, Trump il parle beaucoup mais la réalité le rattrape : pendant la campagne : je vais faire baisser les prix de vos courses comme jamais, une interview de lui il y a une dizaine de jours : ce sera plus compliqué à faire, Sur l'ukraine je vais faire la paix en 24 h, j'ai vu passer un truc ce matin l'envoyé spécial de Trump pour l’Ukraine, Keith Kellogg, a dit qu'il espérait la paix en 100jours...
-
https://www.linkedin.com/pulse/le-show-de-trump-super-bonimenteur-jean-eric-branaa-o9rke/ : Quelle cacophonie depuis quelques heures ! Il a suffi que Trump tweete une carte avec le drapeau US qui recouvre le territoire canadien pour que les esprits s'échauffent et que des individus habituellement posés s'égarent sur des chemins tortueux et dissertent sur un 51ᵉ État, sur une "nouvelle doctrine" trumpiste qui, d'isolationniste serait subitement devenue impérialiste, sur ses velléités à envahir et annexer le Panama ou le Groenland. Des émissions entières ont été organisées autour de ces dangers et les experts en ... (en quoi d'ailleurs ?) sont venus expliquer combien nous devions avoir peur. Quelle farce ! Depuis son entrée en politique, Donald Trump a cultivé une image d’homme d’affaires audacieux et de négociateur hors pair. Dans son livre The Art of the Deal, il expose des principes clés pour dominer ses adversaires, notamment en créant un sentiment de danger et d’imprévisibilité. Aujourd’hui, alors qu'il nourrit des ambitions pour un éventuel retour à la présidence, Trump semble appliquer ces mêmes stratégies à l’échelle géopolitique mondiale. En laissant entendre qu'il pourrait annexer le Panama, acheter le Groenland ou faire du Canada le 51ᵉ État des États-Unis, Trump déstabilise ses adversaires tout en renforçant son image d’homme fort. Il tente de créer un énorme brouillard qui va recouvrir et bousculer les équilibres géopolitiques. Mais ces stratégies sont-elles de simples coups de bluff, ou préfigurent-elles un bouleversement réel de l’ordre mondial ? Créer l’illusion d’un danger imminent L’imprévisibilité est une arme puissante dans la politique internationale, et Trump l’utilise avec une maîtrise qui rappelle les principes de son livre. En 2019, lorsqu'il évoque publiquement l’achat du Groenland à travers une série de tweets et de déclarations, il ne s’agit pas seulement d’une boutade. Cette proposition, qualifiée de farfelue par beaucoup, a perturbé les relations diplomatiques entre les États-Unis et le Danemark, tout en attirant l’attention sur l’importance stratégique de l’Arctique. Cela lui a permis aussi d'attirer l'attention du monde sur ce bout de la planète, alors qu'il développait son attaque contre la Chine et faisait grimper les droits de douanes. Une gesticulation géniale qui a brouillé les cartes de façon magistrale ! De manière similaire, les rumeurs récentes selon lesquelles Trump pourrait annexer le Panama sont un rappel de la domination historique des États-Unis sur le canal de Panama. Bien que ces affirmations soient hautement improbables, elles ravivent des souvenirs de l’impérialisme américain et suscitent des tensions en Amérique latine. En semant le doute, Trump contraint ses adversaires à réagir à des scénarios hypothétiques, distrayant l’attention de questions plus concrètes. Il invite à oublier qu'il doit régler des questions énormes dès le 20 janvier, selon ses promesses : la paix en Ukraine en 24h, le renvoi de 11 millions d'immigrants, la fin de l'inflation, l'enfer au Proche-Orient... Pendant que l'on blablate sur l'Ukraine, le Groenland ou le Canada, on ne parle plus des fondamentaux de la campagne Trump, précisément ceux pour lesquels les électeurs américains l'ont élu. Exploiter les faiblesses et semer le doute Trump réussi également à exploiter les divisions internes de ses adversaires pour les affaiblir. En multipliant les déclarations audacieuses et les provocations, il oblige les dirigeants étrangers à réagir de manière défensive, parfois au détriment de leur propre crédibilité. Lors de ses interactions avec l’Union européenne, par exemple, Trump a été habile à tirer parti des tensions entre les pays membres pour affaiblir leur unité face aux États-Unis. Dans le cas du Groenland, ses déclarations ont déstabilisé le Danemark, qui s’est retrouvé contraint de justifier sa souveraineté sur ce territoire face à un allié de l’OTAN. Ce type de stratégie permet à Trump de détourner l’attention des questions domestiques et de renforcer son image d’acteur géopolitique imprévisible et puissant. L’idée que le Canada pourrait devenir le 51ᵉ État est un autre exemple de la façon dont Trump utilise des stratégies symboliques pour susciter la controverse. Bien que cette proposition semble absurde, elle touche une corde sensible auprès de certains conservateurs américains, qui considèrent les ressources naturelles du Canada et son système de santé comme des atouts potentiels pour les États-Unis. Pour le Canada, ces déclarations, même implicites, soulèvent des questions sur sa souveraineté et sa relation avec son puissant voisin du sud. En 2018, Trump avait déjà utilisé des menaces de droits de douane pour obtenir des concessions lors de la renégociation de l’ALENA, préfigurant une stratégie visant à affaiblir la position de ses partenaires. Une stratégie réfléchie ou une escalade risquée ? Ces stratégies sont-elles le résultat d’une approche calculée, ou simplement d’un style chaotique ? On peut estimer que Trump utilise ces tactiques pour renforcer son image auprès de son électorat, en présentant les États-Unis comme une puissance dominante capable de dicter les règles du jeu mondial. Cependant, ces approches risquent de dégrader les relations diplomatiques à long terme et de provoquer des conflits inutiles. Ce qui est certain, c’est que Trump s’appuie sur des principes clés de son livre The Art of the Deal : Créer un sentiment de danger pour obtenir des concessions ; Désarmer ses adversaires par l’imprévisibilité ; Exploiter les failles et les divisions pour renforcer sa position. Ces principes, efficaces dans le monde des affaires, sont toutefois plus risqués lorsqu’ils sont appliqués à la géopolitique, où les conséquences d’une erreur de calcul peuvent être immenses. Ce qu'il faut retenir pour ne pas se perdre dans l'idiotie et les débats sans queue ni tête En insinuant qu'il pourrait annexer des territoires stratégiques ou réorganiser les relations internationales à sa guise, Donald Trump bouleverse les codes de la diplomatie traditionnelle. Cette approche, qui combine imprévisibilité, provocation et manipulation, reflète sa vision du leadership comme une série de transactions dominées par le plus audacieux. Cependant, si cette stratégie lui permet de consolider sa base électorale et de s’imposer sur la scène internationale, elle pose également des questions sur la stabilité à long terme des relations mondiales. L’imprévisibilité peut être une arme redoutable, mais elle reste un jeu dangereux dans un monde où les équilibres sont déjà fragiles. Le plus sage reste Antony Blinken qui a résumé tout mon article avec une simple phrase : Jusqu'au 20 janvier, Trump n'est pas au pouvoir et n'est qu'un simple citoyen qui, comme nous tous, n'a que le pouvoir de la parole.
-
Goya dit aussi dans son article que l 'Adt va manquer de canon mitrailleur notamment avec le Griffon, canon mitrailleur qui ont marqué leur utilité en Ukr...
-
@Brian ça troll dur :
-
Oui il crie toujours tres fort le Donald, la position maximaliste et qui font peur avant les négos pour pouvoir tirer quelque chose à son avantage. Et puis les médias ne parlent plus du début d'incendie qu'il y avait entre les Ultras Maga et Musk&cie pour les visas des diplômés étrangers, tout bénef pour le Don...
-
Royaume-Uni
vincenzo a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
On attends la réponse de Musk, ça va être drôle je sens ... -
Royaume-Uni
vincenzo a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
on dirait bien, Musk ressemble de plus en plus au méchant de certains vieux Bond : le génie mégalo milliardaire qui sait mieux que quiconque ce qui est bon pour le monde...