Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

NUBEALTIUS

Members
  • Compteur de contenus

    2 154
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    4

Tout ce qui a été posté par NUBEALTIUS

  1. Ça faut dire merci à l'ingénieux stratège à la mèche jaunâtre se trouvant dans le bureau oval en train de faire un mini golf
  2. L'avantage avec Erdogi c'est ça capacité à se faire des amis : https://www.trt.net.tr/francais/turquie/2020/09/01/la-turquie-affirme-son-soutien-aux-tatars-de-crimee-1482578
  3. "Recep Tayyip Erdogan avance ses pions en Méditerranée orientale" : http://www.lefigaro.fr/international/recep-tayyip-erdogan-avance-ses-pions-en-mediterranee-orientale-20200901 «Il est temps pour ceux qui se voient dans un miroir grossissant, d’accepter la réalité: l’époque où les impérialistes traçaient les lignes sur les mappemondes est révolue», a ainsi prévenu Hamit Aksoy.
  4. Un transall allemand sous cocarde allemande ça marche aussi ???
  5. Étrangement .... quand on a besoin de redorer son blason "Arrestation du plus haut responsable de l'EI en Turquie" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/arrestation-du-plus-haut-responsable-de-l-ei-en-turquie-20200901
  6. Le problème c'est que cette réthorique est réutilisé à outrance par la diaspora. Entraînant dans sa foulée les mécontents du sytème Laïc a la Française. Il faut quand même avouer qu'Erdogan a de nombreux fan en Europe. L'objectif étant de decridibiliser l'intervention français au sein même de la France
  7. Et je me pose même la question de savoir si ce n'était pas le temps du désarmement des troupes italiennes et leur rapatriement
  8. D'ailleurs il me semble que le traité de Lausanne a un article précisant l'interdiction de survol par un aéronef militaire entre voisin ( Grèce et Turquie) Donc il font appel au droit quand ça les arrange et surtout sans comprendre le texte ...,. https://mjp.univ-perp.fr/traites/1923lausanne.htm
  9. "Méditerranée: Ankara accuse Athènes d'armer une île démilitarisée" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/mediterranee-ankara-accuse-athenes-d-armer-une-ile-demilitarisee-20200831
  10. Bin plus qu'à virer la Turquie de l'OTAN ( je sais c'est un rêve humide .....)
  11. https://www.trt.net.tr/francais/turquie/2020/08/31/reaction-d-ankara-a-athenes-castellorizo-est-une-ile-demilitarisee-selon-le-traite-de-paris-1481939 Ils sont bons les turcs, ils se réfèrent à un traité dont ils ne sont même pas signataire ... https://www.cvce.eu/content/publication/1999/1/1/0eaf4219-d6d9-4c35-935a-6f55327448e7/publishable_fr.pdf
  12. Ce qui explique pourquoi aussi pourquoi les anglais restent bien loin
  13. Ils bougeront le jour ou ils décideront que leurs bases sur Chypre pourrait éventuellement leur donner un bout de ZEE^^^^ En clair les Anglais maintenant hors UE n'interviendrons que pour leurs intérêts
  14. Pas de relativisme mais une sorte de fatalisme. Tant que les US ne décident pas de mettre le Holà avec la Turquie l'OTAN ne bougera pas. Tant que les Us n'aurons pas compris que la Turquie ne protège en rien une partie du flanc Est ça ne bougera pas. Éventuellement si Biden passe et je dis bien éventuellement
  15. Il a intérêt de préparer une bonne vieille feinte sortie des fagots .... sinon il est mort politiquement
  16. Pour bien commencer des négociations il faut toujours commencer par flatter les parties adverses : "Erdogan s'en prend à Macron et aux dirigeants grecs, «cupides et incompétents»" : http://www.lefigaro.fr/international/erdogan-s-en-prend-a-macron-et-aux-dirigeants-grecs-cupides-et-incompetents-20200830 «Le peuple grec accepte-t-il ce qui risque de lui arriver à cause de ses dirigeants cupides et incompétents ?», a d'abord lancé Erdogan lors d'une cérémonie de remises de diplômes à des officiers à Ankara. «Le peuple français sait-il le prix qu'il devra payer à cause de ses dirigeants cupides et incompétents ?», a-t-il ajouté. «Lorsqu'il s'agit de combattre, nous n'hésitons pas à donner des martyrs (...) La question est la suivante: ceux qui s'érigent contre nous en Méditerranée et (au Proche-Orient) sont-ils prêts aux mêmes sacrifices ?», a déclaré Erdogan. «À nos ennemis, nous disons 'chiche !'», Ankara, qui se montre inflexible face aux menaces de sanctions européennes, a par ailleurs annoncé samedi de nouvelles manoeuvres militaires au nord de l'île de Chypre. Et le vice-président turc Fuat Oktay a mis en garde le même jour contre toute extension des eaux territoriales grecques à 12 milles marins, contre six actuellement. Ce serait un «casus belli», a-t-il déclaré. J'ai hâte de voir comment nos amis Allemands vont réussir à mener à terme leur mission de Médiation. Ça va se régler en milliards d'Euro, comme au temps des pirates Ottomans
  17. De même je connaissais clause escalatoire mais utilisé ainsi ça me fait bizarre
  18. "Mediterranée: Florence Parly déplore le «comportement escalatoire» de la Turquie" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/mediterranee-paris-deplore-le-comportement-escalatoire-de-la-turquie-20200830
  19. Tout s'explique Ankara agi en sous main pour tirer les marrons du feu....
  20. C'est d'ailleurs ce qui c'est passé entre la France et l'Angleterre De plus contrairement à la propagande turc une ZEE n'entrave en rien la libre circulation des navires ( même des navires militaire, à la condition bien sur que ces derniers ne soient pas dans une attitude agressive )
  21. "Démonstration de force en Méditerranée orientale" : http://www.lefigaro.fr/international/tensions-navales-en-mediterranee-orientale-20200827 Côté français, il faudra compter une frégate, un hélicoptère, trois avions Rafale ; pour l’Italie, une frégate ; pour Chypre, un patrouilleur ; pour la Grèce, une frégate et des moyens héliportés. L’exercice militaire conjoint des quatre armées a commencé jeudi et se déroulera ce vendredi en mer Méditerranée orientale, au sud de Chypre, là où la Turquie veut étendre son influence. Les quatre pays européens ont choisi d’opérer une démonstration de force. Ils se déploient non loin des navires turcs qui sillonnent la zone pour accompagner leurs bateaux d’exploration gazière, comme l’Oruç Reis, bâtiment sismique dont la mission, prévue jusqu’au 27 août, a été étendue, hier, jusqu’au 1er septembre. Récemment, il était entouré de neuf navires militaires, indique-t-on au ministère des Armées, comme une nouvelle preuve d’agressivité. La Grèce dénonce cette présence dans une zone maritime qu’elle revendique. La politique turque du fait accompli et de prédation des ressources du sous-sol a provoqué la colère d’Athènes et l’inquiétude des Européens. Le risque d’escalade est proche entre les deux pays voisins et hostiles. En ayant choisi clairement son camp, la France met en garde la Turquie. «Notre message est simple: priorité au dialogue, à la coopération et à la diplomatie pour que la Méditerranée orientale soit un espace de stabilité et de respect du droit international», a commenté sobrement jeudi la ministre française des Armées, Florence Parly. «Elle ne doit pas être un terrain de jeu des ambitions de certains ; c’est un bien commun», a-t-elle insisté sur Twitter. L’exercice militaire conjoint, baptisé «Evnomia», était prévu «depuis le mois de mars», promet-on au ministère des Armées, tout en reconnaissant, pince-sans-rire, «un certain sens de l’à-propos». Il intervient après des semaines de tensions croissantes qui ont aussi impliqué la France. En juin, la frégate Le Courbet avait été illuminée, c’est-à-dire visée par les radars de tir turcs. Le geste avait conduit Paris à protester, en vain, au sein de l’OTAN, contre le comportement du soi-disant allié. La France s’était ensuite retirée de la mission de surveillance maritime «Sea Guardian». La coopération militaire accrue entre Paris, Athènes et les autres puissances méditerranéennes se veut une réponse à ces provocations turques. Mais elle n’a pas dissuadé le président Recep Tayyip Erdogan. «Nous invitons nos homologues à se garder de toute erreur qui ouvrirait la voie à leur ruine», a-t-il menacé. Mi-août, deux navires turcs et grecs étaient entrés en collision. Et en réplique aux manœuvres navales des marines européennes, la Turquie a affirmé mercredi sur les réseaux sociaux avoir participé à un exercice conjoint avec un destroyer américain. La nouvelle a fait bondir au ministère des Armées où l’on met en garde contre la stratégie de communication turque - les navires turc et américain se sont seulement croisés en mer en effectuant la manœuvre de rigueur. «Quand des excès sont commis, il faut montrer qu’il y a des limites», indique-t-on au ministère des Armées, en assurant vouloir réaffirmer notamment le principe de liberté de navigation en Méditerranée. «Il y a une volonté de ces pays de renforcer leur présence et de réaffirmer le droit international», dit-on. L’exercice «n’est pas escalatoire», ajoute-t-on, en usant d’un néologisme peu convaincant. Il intervient au lendemain d’une tentative de médiation menée par l’Allemagne entre la Grèce et la Turquie. Berlin, comme d’autres États européens ou les États-Unis, ne partage pas la logique de démonstration de force de Paris. «La moindre étincelle peut conduire à une catastrophe», a déclaré mardi le ministre des Affaires étrangères allemand, Heiko Maas, en espérant ramener les protagonistes à la table du dialogue. Dans une position d’équilibre, il a mis en garde contre toutes les provocations de part et d’autre. Jeudi, à l’ouverture d’une réunion des Vingt-Sept de l’UE à Berlin, Heiko Maas a réaffirmé que les manœuvres en Méditerranée orientale «doivent cesser». «Nous avons besoin d’une solution diplomatique à ce conflit, a-t-il ajouté, et personne ne veut le résoudre avec des bateaux de guerre.» Athènes campe sur une ligne dure face à Ankara, qui a perdu toute crédibilité à ses yeux. «Nos forces armées restent sur le qui-vive», a lancé le premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis devant son Parlement. «La Grèce est aussi forte sur le terrain qu’elle l’est dans le dialogue», a-t-il prévenu. Côté turc, le bon vouloir n’est que de façade. «La Turquie est prête à un dialogue sans conditions préalables en vue d’un partage équitable», a commenté le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, au cours d’une conférence de presse. «Mais ce n’est pas possible si la Grèce pose des conditions préalables», a-t-il ajouté avant de rappeler les revendications de son pays en Méditerranée. Et, jeudi, la Turquie a annoncé que sa marine mènerait des «exercices de tir», le 1er et le 2 septembre, au large d’Iskenderun, dans une zone située au nord-est de l’île de Chypre. Mercredi à Berlin, les ministres de la Défense européens se sont retrouvés pour une réunion informelle. «Nous avons besoin de la médiation de l’Allemagne», expliquait-on au ministère des Armées en récusant toute divergence d’approche entre Paris et Berlin. «Nous avons besoin de reconstruire un agenda positif avec la Turquie», insistait-on. L’objectif semble toutefois lointain. «Les parties ne vont pas s’asseoir à la même table alors que des bâtiments de guerre se font face», a regretté jeudi le ministre allemand des Affaires étrangères.
  22. Peut être mais dans tout les cas les décision prise lors du conseil de l'Europe devront etre votés encommission europeenne et au conseil de l'Union européenne. Donc si mesure de rétorsion envers la Turquie se sera pas de suite. Donc au final Heiko mass voulait négocier mais sans prendre de mesure contraire aux intérêts turques ?
×
×
  • Créer...