Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Métal_Hurlant

Members
  • Compteur de contenus

    2 511
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    11

Tout ce qui a été posté par Métal_Hurlant

  1. https://euromaidanpress.com/2022/09/21/ukrainian-army-plans-to-destroy-iranian-made-shahed-136-kamikaze-drones-with-anti-aircraft-guns-air-defense-systems/?swcfpc=1 L’armée ukrainienne prévoit de détruire les drones kamikazes Shahed-136 de fabrication iranienne avec des canons antiaériens et des systèmes de défense aérienne Yurii Ihnat, le porte-parole du commandement de l’armée de l’air, a expliqué que le Shahed 136 est à peine visible sur les radars; c’est une cible aérienne relativement petite qui vole principalement à basse altitude. Il peut être abattu avec différents systèmes de défense aérienne, ou même des armes légères. Mais les meilleures options, dans ce cas, seraient des canons antiaériens ou, par exemple, des systèmes de défense aérienne tels que le ZSU-23-4 Shylka de l’Ukraine ou le Gepard de l’Allemagne. En outre, les drones peuvent être abattus avec des systèmes de guerre électronique.
  2. Une partie de l'article de la célèbre reporter du Monde Florence Aubenas : https://www.lemonde.fr/international/article/2022/09/20/a-prokhody-village-ukrainien-libere-le-chaos-apres-le-retrait-russe_6142423_3210.html A Prokhody, village ukrainien libéré, le chaos après le retrait russe Par Florence Aubenas (Prokhody, Ukraine) - envoyée spéciale Dans la région de Kharkiv, le commandant Andri, businessman, engagé dans les forces pro-ukrainiennes, retrouve son village, où une centaine d’habitants vivent encore, sur 2 500 en temps de paix. C’était l’autoroute de Kharkiv vers Moscou, filant à travers la forêt, la voie royale bordée de restaurants et de cafés. Aujourd’hui, l’asphalte part en lambeaux, comme la peau d’un brûlé, raviné par les chars et les obus. Un blindé léger ukrainien cahote parfois entre les tanks calcinés. Puis le silence retombe, rien ne circule. Depuis sa reconquête par Kiev lors de l’offensive des dernières semaines, cette bande frontalière d’une dizaine de kilomètres a été déclarée « zone de filtration », le 11 septembre. En dehors d’unités militaires, nul ne peut entrer ou sortir : un territoire pris dans la nasse pour vérifier l’identité de tous ceux qui s’y trouvent et débusquer les soldats russes, les saboteurs, mais aussi identifier les Ukrainiens suspects de collaboration. Comme dans d’autres poches libérées de la région, il vient de s’ouvrir ici une époque trouble : celles des règlements de comptes et des changements de camp, au milieu de bourgades décapitées, livrées à elles-mêmes par la guerre, peuplées d’habitants hagards, souvent sans maire, sans police, sans institutions. Plus d’électricité depuis six mois Combattant de la brigade de défense territoriale 113, Andri, 50 ans, n’a pas pu se retenir : il veut voir de ses yeux ce qu’est devenu Velyki Prokhody, son village, sa maison, ses chiens. Le village est en pleine zone de filtration, checkpoint à l’entrée, tenu par cinq soldats lourdement armés. De là, on aperçoit le hameau russe, à 6 kilomètres de l’autre côté de la frontière, des maisons blanches semblables à celles de Velyki Prokhody. Le fourgon blindé d’Andri prend la rue Lénine. Les noms n’ont pas changé depuis l’indépendance de l’Ukraine, en 1991 : le maire était ouvertement prorusse, la moitié du village aussi. Businessman, engagé dans les forces pro-ukrainiennes depuis la guerre dans le Donbass en 2014, Andri dit en riant qu’il était alors « le seul mauvais garçon du coin ». « Peu de gens me soutenaient », ajoute-t-il. Pendant l’occupation de Velyki Prokhody, il est devenu l’homme à abattre, sa tête mise à prix par les militaires russes. Certains l’estimaient à 10 000 dollars (10 000 euros), d’autres à 50 000. Dans le village, des voisins ne le reconnaissent pas en tenue de combat : il doit enlever son casque pour montrer qui il est. « Tu as maigri », dit l’un. Et Lioubov, agricultrice, 75 ans : « Tu as grandi. » A vrai dire, il reste peu de monde ici, une centaine de personnes sur les 2 500 en temps de paix. Tous, ou presque, sont passés en Russie, la voie vers l’Ukraine étant bloquée par la ligne de front. « Ils nous encourageaient à partir en masse », raconte un employé. Moscou voulait des images de propagande pour justifier l’invasion du pays, une foule se jetant dans les bras russes pour fuir le « pouvoir fasciste ukrainien ». Des bus spéciaux ont été affrétés, certains habitants sont partis de chez eux avec leur passeport pour tout bagage. Les plus riches ont pu repasser en Ukraine, un périple long et cher, via les pays baltes. Les autres sont toujours bloqués dans des camps. Le maire a décampé le premier, quelques jours avant la guerre. Ici, on le répète : « Il devait savoir ce qui se préparait et nous a abandonnés. » Le village n’a plus d’électricité depuis six mois. Il vous reste 67.14% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés. (voir plus bas le post d'Olivier Isb pour l'intégralité + les photos)
  3. https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/guerre-en-ukraine-le-franchissement-de-la-rivière-oskil-l-une-des-clés-de-la-contre-offensive-de-kiev-dans-l-est/ar-AA121ZpD?ocid=msedgntp&cvid=8f6bcd192aaa49cc9000b9f52e58a80e Guerre en Ukraine : le franchissement de la rivière Oskil, l'une des clés de la contre-offensive de Kiev dans l'Est Ce cours d'eau sépare désormais les deux belligérants, depuis la contre-attaque ukrainienne dans la région de Kharkhiv. Son franchissement, délicat, ouvrirait de nouvelles perspectives militaires dans la région de Louhansk (Donbass). Les forces armées ont passé l'Oskil. Depuis hier [samedi], l'Ukraine contrôle la rive gauche." Le commandement stratégique de l'armée ukrainienne a fait cette annonce, dimanche 18 septembre, en diffusant une vidéo accompagnée d'une musique rock. Sur ces images, un char emprunte un ponton mobile, qui s'enfonce dans l'eau sous son poids. Puis le véhicule poursuit son chemin devant des soldats en rang d'oignons, avant de s'engouffrer sur un chemin de terre ridé par une ornière, qui suggère le passage antérieur d'autres blindés. L'annonce de Kiev a été largement reprise dans la presse internationale, sans grande prudence. "L'armée ukrainienne est douée pour la communication et il ne faut pas s'enflammer", tempère Ulrich Bounat, analyste géopolitique et auteur de La guerre hybride en Ukraine, quelles perspectives ? (éd. du Cygne). A ce stade, il n'y a effectivement pas "véritablement d'images de forces ukrainiennes sur l'autre rive". Et les sources prorusses ou les témoignages de civils ne font pas encore mention de combats. Il n'y a donc "pas assez de recul" pour affirmer que l'Ukraine a massivement franchi l'Oskil. Des missions de reconnaissance ukrainiennes Il n'est pas impossible, en revanche, que "des forces spéciales aient franchi la rivière". De nombreuses informations non vérifiées bruissent depuis plusieurs jours sur les réseaux sociaux. Vendredi, l'unité spéciale Kraken avait notamment revendiqué un franchissement aux environs de Koupiansk. Ce bataillon, distinct de l'armée, est composé de "groupes individuels" engagés sur "des tâches précises", expliquait à Radio France l'un des ses commandants, fin août. Avec, pour spécialité, les missions de reconnaissance. Les images d'une opération amphibie ont également fait surface, avec le débarquement d'une poignée d'hommes. Un cours d'eau constitue un obstacle difficile à franchir pour des troupes. Depuis le 11 septembre, pic de la contre-offensive ukrainienne dans la région de Kharkhiv, la rivière fait office de frontière naturelle entre les deux belligérants. L'armée ukrainienne, de son côté, avait diffusé des images de véhicules russes abandonnés dans la rivière après le retrait. "Cette rivière n'est pas forcément large, mais elle constitue un barrage naturel important", confirme Ulrich Bounat. "Il n'existait que trois ou quatre ponts entre Izioum et Koupiansk, qui ont d'ailleurs été détruits" ou endommagés. "Franchir ce cours d'eau suppose une logistique importante. En le franchissant trop tôt, les forces ukrainiennes risquaient également de se trouver isolées." Ulrich Bounat, analyste géopolitique à franceinfo Les forces russes sont désormais retranchées à l'Est (rive droite) et s'efforcent de consolider leurs positions. Tout l'enjeu pour Kiev est d'établir des têtes de pont sur cette rive, avant d'envisager le lancement d'éventuelles offensives dans la région de Louhansk, nouvel objectif de Volodymyr Zelensky. Le cas échéant, reste à savoir comment les forces ukrainiennes pourront tenir ce cours d'eau. "Tout dépend de la capacité de l'armée russe à reconfigurer ou reformer un front défensif à l'est de la rivière Oskil", a estimé sur franceinfo Edouard Jolly, chercheur à l'Institut de recherche stratégique de l'Ecole militaire (Irsem). Le contour exact d'une future ligne de front est encore incertain, mais les forces russes semblent toutefois constituer des forces à Svatove, écrivait samedi (en anglais) le ministère de la Défense britannique. A une trentaine de kilomètres, donc, à l'est du cours d'eau. "Cette ligne longe la frontière de l'oblast de Louhansk", souligne la même source, alors que la Russie fait de la "libération" du Donbass "l'un des ses objectifs immédiats". "Il n'y a pas beaucoup de villes et d'obstacles naturels" pour arrêter une éventuelle progression ukrainienne entre Svatove et l'Oskil, fait remarquer Ulrich Bounat, ce qui peut également expliquer ce choix plus en retrait. La ville, par ailleurs, est desservie par un axe routier important pour les forces russes (P66) et traversée par une autre rivière, la Krasna. Sans surprise, l'Ukraine mène donc des frappes sur cette localité : elle affirme avoir tué (en ukrainien) 200 soldats russes logés dans un hôtel de la ville, tandis que les autorités séparatistes locales, elles, font état de sept immeubles civils détruits (en ukrainien). De violents combats à Koupiansk et Lyman En attendant, les combats font toujours rage dans la partie est de Koupiansk, ville à cheval sur l'Oskil, avec une poche de résistance russe qui n'a toujours pas cédé depuis la contre-offensive. Les civils tentent toujours de fuir les bombardements, tandis que les pénuries d'eau et d'électricité s'aggravent. Dans le Sud-Est, les affrontements se concentrent à Lyman, ville située sur la rivière Donets et elle aussi coupée en deux. La prise de ce verrou est tout aussi capitale pour ouvrir la route du Donbass. En cas de victoire ukranienne, le front pourrait alors se déplacer rapidement vers Svatove et mettre la P66 à portée de tir ukrainien, estime Ulrich Bounat. Cela risquerait de "couper les approvisionnements provenant de la frontière avec la Russie au Nord" et de "mettre sous pression, à terme, les positions russes à Sloviansk et Severodonetsk". Au vu du contexte, l'annonce de référendums d'adhésion à la Russie, dans les territoires séparatistes de Louhansk et de Donetsk, n'est pas surprenante. Car ces régions, si elles sont intégrées à la fédération russe, bénéficieront à leur tour de la protection nucléaire. De quoi dissuader Kiev d'engager plus loin ses troupes pour reconquérir des parties du Donbass ? Selon Ulrich Bounat, les initiatives référendaires séparatistes, et l'accueil favorable que leur réserve le Kremlin, témoignent en tout cas "des difficultés opérationnelles des forces russes, qui ont perdu l'initiative dans le secteur."
  4. https://www.lemonde.fr/international/live/2022/09/20/guerre-en-ukraine-en-direct-la-russie-signifie-a-la-france-qu-elle-juge-inacceptable-les-livraisons-d-armes-occidentales-a-kiev_6142353_3210.html Washington dénonce les « simulacres » de référendums prévus par la Russie Jake Sullivan, le conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche, a lui aussi réagi à l’annonce de la tenue par les autorités installées par Moscou dans quatre régions d’Ukraine de « référendums » d’annexion par la Russie. « Les Etats-Unis ne reconnaîtront jamais les prétentions de la Russie sur des parties prétendument annexées de l’Ukraine », a déclaré Jake Sullivan lors d’un point presse. Pour lui, ces référendums et l’intention de Moscou de mobiliser davantage de forces en Ukraine témoignent des revers militaires des forces russes qui ont dû de retirer de plusieurs régions qu’elles occupaient depuis février. « Ce ne sont pas des mesures que prendrait un pays sûr de lui », a-t-il noté. « Ce n’est pas montrer sa force, c’est le contraire ». De son côté, le porte-parole du Pentagone, le général Pat Ryder, a souligné que même si Moscou annexait formellement des territoires ukrainiens sur la base de ces scrutins, Washington poursuivrait son soutien militaire à l’Ukraine. « De mon point de vue, c’est juste une opération médiatique destinée à détourner l’attention de la situation difficile dans laquelle l’armée russe se trouve actuellement », a-t-il dit. « Nous continuerons à coopérer avec l’Ukraine et nos partenaires internationaux pour lui apporter le soutien dont elle a besoin pour défendre son territoire », a-t-il conclu. Emmanuel Macron qualifie de « parodie » les référendums annoncés dans les régions séparatistes
  5. https://www.lemonde.fr/international/live/2022/09/19/guerre-en-ukraine-en-direct-a-koupiansk-une-poche-de-resistance-russe-dans-la-contre-offensive-ukrainienne_6142205_3210.html A Koupiansk, une poche de résistance russe dans la contre-offensive ukrainienne Dans la région de Kharkiv (nord-est) frontalière de la Russie, les forces ukrainiennes disent avoir repris ce mois-ci des milliers de kilomètres carrés. Mais dans la ville de Koupiansk, un nœud ferroviaire, leur ennemi s’accroche. Les Russes sont retranchés sur l’autre rive de la rivière Oskil qui traverse la ville. Lundi, un flot de civils y cherchait à fuir la ville bombardée et où eau et électricité manquent depuis une semaine, selon des habitants. « C’est impossible de rester là où on habitait. Il y avait des tirs (…) toutes les heures », témoigne, auprès de l’Agence France-Presse, Lioudmila, 56 ans, qui a bravé les combats pour traverser la rivière, depuis la rive est vers la sécurité relative de la rive ouest. « C’est très dur là-bas », résume-t-elle. La plupart des tirs audibles, lundi, provenaient des tanks et de l’artillerie ukrainienne, mais alors qu’une petite unité de soldats de Kiev avançait vers un pont peint aux couleurs rouge-blanc-bleu de la Russie, un échange violent de roquettes et d’obus a éclaté. Les soldats ukrainiens se sont mis à couvert sous un bâtiment en briques éventré, alors qu’un panache de fumée s’élevait dans le ciel au loin. A proximité, un panneau clame : « Nous sommes avec la Russie. Une nation ». Des experts militaires estiment qu’une reconquête ukrainienne de Koupiansk, qui comptait quelque 58 000 habitants avant la guerre, rendrait plus difficile le ravitaillement des forces russes déployées plus au sud pour protéger leurs gains dans le bassin industriel du Donbass, objectif stratégique prioritaire du président russe, Vladimir Poutine. Les troupes ukrainiennes sont désormais omniprésentes dans la ville, embarquées à toute vitesse dans des véhicules civils reconstruits ou marchant en ligne avec des sacs de ravitaillement. Quand Olena les a vus pour la première fois après six mois d’occupation russe, elle a été bouleversée. « J’avais envie de fondre en larmes et de rire en même temps », raconte-t-elle.
  6. https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/moscou-signifie-à-la-france-le-caractère-inacceptable-des-livraisons-d-armes-à-l-ukraine/ar-AA122Qd0?ocid=msedgdhp&pc=U531&cvid=9d7c232c43bf472ea5358338829b6fa5 Moscou signifie à la France le caractère "inacceptable" des livraisons d'armes à l'Ukraine L'annonce a été faite après qu'un vice-ministre a reçu l'ambassadeur français, Pierre Levy. Une mise en garde. La diplomatie russe a signifié mardi à la France le caractère "inacceptable" à ses yeux des livraisons d'armes occidentales à l'Ukraine, des approvisionnements qui ont facilité une contre-offensive ukrainienne. "L'accent a été mis sur le caractère inacceptable de la poursuite du gavage de l'Ukraine avec des armes occidentales, dont françaises, que le régime de Kiev utilise pour bombarder des installations civiles et des infrastructures", a affirmé le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué, après qu'un vice-ministre, Alexandre Grouchko, a reçu l'ambassadeur français, Pierre Levy.
  7. Et après on dira que les russes ne font pas tout pour rechercher la paix !! "...Vladimir Poutine, aujourd'hui en réunion avec les patrons du complexe militaro-industriel, les exhorte à relancer la production d'armes et de munitions, à approvisionner "de toute urgence" les forces armées et à assurer "la substitution à 100% des importations dans ce secteur..."
  8. ?? les ukr font sauter des dizaines de dépôts russes, trucident leur généraux, ect tout ça grâce aux renseignements US (et autres) par contre les radars non, c'est trop grave ?
  9. Sacrés commerçants ces iraniens : d'un côté ils fournissent des drones aux russes, de l'autre des obus aux ukr... (N.B : certains évoquent un pays intermédiaire comme le Pakistan...)
  10. "...Des mercenaires russes Wagner vêtus d'uniformes ukrainiens (camouflage MM-14) dans une sous-station électrique récemment capturée près de Vesela Dolyna, #Donetsk Oblast...."
  11. Cette fois c'est officiel, et c'est va surement accélérer les opérations côté ukr : https://www.lemonde.fr/international/live/2022/09/20/guerre-en-ukraine-en-direct-liz-truss-la-premiere-ministre-britannique-reitere-son-soutien-a-l-ukraine_6142353_3210.html Un référendum d’annexion de la région de Kherson par la Russie, fixé du 23 au 27 septembre Vladimir Saldo, le chef de l’administration d’occupation, a annoncé sur Telegram qu’un référendum d’annexion par la Russie de la région de Kherson, dans le sud de l’Ukraine, en grande partie sous le contrôle des troupes de Moscou, a été fixé du 23 au 27 septembre « conformément au décret ». L’annonce survient peu après que les régions séparatistes prorusses du Donbass (Est) ont annoncé un scrutin similaire aux mêmes dates. Un référendum d’annexion d’une quatrième région par la Russie, celle de Zaporijia, fixé du 23 au 27 septembre Outre les régions qui ont annoncé mardi les dates du référendum, les autorités d’occupation russes dans la région de Zaporijia (Sud) ont, elles aussi, fait part de leur volonté d’un rattachement à la Russie. Kiev promet de « liquider » la « menace » russe, après l’annonce de l’organisation de référendums d’annexion par Moscou « L’Ukraine va régler la question russe. La menace ne peut être liquidée que par la force », a écrit sur Telegram le chef de l’administration présidentielle ukrainienne, Andriy Yermak, après l’annonce de l’organisation de référendums d’annexion par Moscou des régions séparatistes de Donetsk et de Louhansk, dans l’Est. M. Yermak a également dénoncé un « chantage » de la part de Moscou motivé par « la peur de la défaite ».
  12. https://www.msn.com/fr-fr/finance/economie/face-à-la-contre-offensive-ukrainienne-la-débâcle-de-la-communication-russe/ar-AA120Yh6?ocid=msedgdhp&pc=U531&cvid=58a3f31339e949db93ecf2df1cc4f43e Face à la contre-offensive ukrainienne, la débâcle de la communication russe extrait : Depuis quelques jours, les images de territoires reconquis par les forces ukrainiennes déferlent sur les blogs, mais aussi sur les réseaux sociaux. Si certains d'entre eux sont bloqués en Russie, de nombreux habitants savent contourner ces blocages. Bien que le Kremlin ait tenté de bloquer l'accès aux informations objectives sur l'invasion de l'Ukraine, il lui est néanmoins difficile de nier la réalité de faits vérifiables. Dans ce contexte, les médias russes ont adopté un discours qui semblait flotter, faute de ligne directrice claire. À titre d'exemple, le 11 septembre, la Rossiyskaya Gazeta, un organe de presse connu pour sa proximité avec le pouvoir, tentait de minimiser les gains ukrainiens. La manœuvre était assez malhabile, car si l'article encensait une opération menée par un hélicoptère MI-25 russe pour interdire le passage d'un fleuve aux forces ukrainiennes, il suffisait aux lecteurs de consulter une carte pour s'apercevoir que le lieu même de cette opération était situé à l'arrière des territoires préalablement contrôlés par la Russie.
  13. "...Le site Web de Wagner a été piraté : "L'armée informatique ukrainienne ici. Nous avons maintenant les données personnelles de votre site Web. Bienvenue en Ukraine. On vous attend..." https://twitter.com/IAPonomarenko/status/1571956058200969217
  14. "...Le principal propagandiste de la télévision d'État russe appelle à des mesures plus strictes pour empêcher de nouvelles retraites militaires : des procès sur place "pour les traîtres, les déserteurs et tous ceux qui ont peur". Il semble assez irrité par la situation avec les drones. Le chef de RT intervient pour féliciter le gouvernement..."
  15. Il y a 3 mois de cela, c'était exactement l'inverse : Severodonetsk tombait aux mains des russes et beaucoup (dont moi) pensaient que le reste du Dombass allait y passer. Finalement le front s'est stabilisé et force est de constater que les ukr cachaient bien leur jeu. Il apparait de plus en plus évident qu'ils ont sacrifié une partie de leur troupe pour préparer et former des unités pour reconquérir le terrain perdu... Et ça marche pour l'instant
  16. Un article de Forbes (traduction automatique) : https://www.forbes.com/sites/davidaxe/2022/09/18/russia-has-no-reserves-left-as-ukrainian-troops-surround-a-key-eastern-town/?sh=468e4553126d La Russie n’a plus de réserves alors que les troupes ukrainiennes encerclent une ville clé de l’est David Axe (Forbes) Le 27 mai a été un jour sombre pour l’Ukraine. C’était le jour où Lyman, la dernière ville libre au nord du fleuve Donets dans la région du Donbass, dans l’est de l’Ukraine, est finalement tombée aux mains des forces russes. La capture de Lyman a aidé l’armée russe à consolider sa position dans le Donbass et à sécuriser les lignes d’approvisionnement dans toute la région. Lyman était un domino. En tombant, il a renversé Severodonetsk, la dernière ville libre à l’est des Donets. Et comme Severodonetsk est tombé, il a renversé Lysychansk, sa ville jumelle de l’autre côté de la rivière. Près de quatre mois plus tard, les dominos tombent dans la direction opposée. Une contre-offensive ukrainienne qui a débuté à l’est de Kharkiv, la deuxième ville d’Ukraine à 100 miles au nord-ouest de Lyman, en deux semaines grisantes, a libéré un millier de miles carrés du nord-est de l’Ukraine. Fuyant une douzaine de brigades ukrainiennes enthousiastes, les forces russes de l’oblast de Kharkiv – y compris la 1re armée de chars de la Garde, autrefois d’élite – ont fui vers l’est de l’autre côté de la rivière Oskil, laissant derrière elles des centaines de véhicules et potentiellement des milliers de victimes. L’élan des Ukrainiens, pondéré par un soutien aérien et d’artillerie agressif, les a transportés sur une courte distance à travers l’Oskil et vers le sud vers Lyman. Maintenant, plusieurs des brigades de Kiev – un mélange de parachutistes et de territoriaux – se rapprochent également de Lyman d’une direction différente. C’est un nœud coulant proverbial pour les Russes de la ville. L’Institut pour l’étude de la guerre à Washington, D.C., a expliqué ce qui est en jeu. « De nouvelles avancées ukrainiennes vers l’est le long de la rive nord de la rivière Siverskyi Donets pourraient rendre les positions russes autour de Lyman intenables et ouvrir les approches de Lysychansk et finalement de Severodonetsk. » Les Russes, en d’autres termes, pourraient bientôt perdre une grande partie du territoire qu’ils ont passé l’été – et une grande partie de leur puissance de combat – à capturer. La disposition des forces dans et autour de Lyman favorise les attaquants. Pas plus tard que la semaine dernière, un analyste n’a placé que quatre bataillons russes dans la région, principalement de l’infanterie motorisée. Un bataillon peut n’avoir que quelques centaines de soldats de première ligne. Une brigade comprend généralement plusieurs bataillons. La propre évaluation d’ISW est encore moins favorable pour les Russes. « Les défenseurs russes de Lyman semblent toujours être constitués en grande partie de ... les réservistes et les restes d’unités gravement endommagées dans la contre-offensive de l’oblast de Kharkiv », a déclaré le groupe de réflexion. Pire encore, « les Russes ne semblent pas diriger des renforts d’ailleurs sur le théâtre vers ces zones », a ajouté ISW. Ce dernier point ne devrait pas surprendre. La contre-offensive de Kharkiv à son apogée il y a une semaine a consumé un bataillon russe tous les jours. La 1re armée de chars de la Garde a perdu au moins la moitié de ses quelque 200 chars T-80 alors qu’elle se retirait sur l’Oskil. Peut-être le plus embarrassant pour Moscou, le 3e corps d’armée de réserve – que le Kremlin a eu du mal à former cet été – s’est rendu à Kharkiv dans une tentative désespérée de ralentir l’attaque ukrainienne, a rapidement perdu quelques escarmouches puis a rejoint la retraite russe plus large. C’est-à-dire qu’il n’y a pas de réserves pour renforcer la garnison de Lyman parce que le Kremlin a déjà dépensé la majeure partie de ses réserves – le 3e AC – dans un effort infructueux pour arrêter la contre-attaque ukrainienne initiale. La Russie est à court de jeunes hommes en bonne santé et d’équipements modernes et ne peut plus supporter de nouvelles unités efficaces. Du moins pas rapidement. La garnison russe de Lyman est en infériorité numérique, de plus en plus isolée – et seule. Il y a fort à parier que les troupes russes occupant Lysychansk et Severodonetsk surveillent de près la deuxième bataille de Lyman. Après tout, ils sont les prochains.
  17. https://www.lemonde.fr/international/article/2022/09/19/face-a-l-azerbaidjan-l-armenie-annonce-plus-de-200-morts-parmi-ses-soldats-apres-la-reprise-des-affrontements_6142294_3210.html Face à l’Azerbaïdjan, l’Arménie annonce plus de 200 morts parmi ses soldats depuis la reprise des affrontements Côté azerbaïdjanais, le bilan est à ce jour de 79 militaires tués, selon Bakou, depuis le début des affrontements qui ont éclaté mardi 13 septembre dans une escalade inédite depuis 2020. Le Monde avec AFP En une semaine seulement, la reprise des affrontements entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan affiche déjà un lourd bilan. Plus de 200 militaires arméniens ont été tués depuis le 13 septembre dans les pires affrontements frontaliers depuis la guerre de 2020. Le bilan est « de 207 [morts], dont trois civils », a précisé le Conseil de sécurité arménien, lundi 19 septembre, ajoutant que « deux civils sont portés disparus, 293 militaires et trois civils sont blessés ». Vingt soldats ont été faits prisonniers par l’armée azerbaïdjanaise, selon la même source. Cela porte à près de 300 le nombre de morts dans les deux camps. Côté azerbaïdjanais, le bilan est à ce jour de 79 militaires tués, selon Bakou. Il s’agit d’une escalade inédite depuis 2020, menaçant de torpiller un processus de paix fragile entre les deux pays rivaux du Caucase qui partagent près de 1 000 kilomètres de frontière. Rapprochement entre Erevan et Washington Les chefs des diplomaties arménienne et azerbaïdjanaise doivent se rencontrer lundi à New York, à l’initiative du secrétaire d’Etat américain, Antony Blinken. Dimanche, en visite à Erevan, la présidente de la Chambre des représentants américaine, Nancy Pelosi, avait condamné les attaques « illégales » de Bakou. Son déplacement dans la capitale arménienne marquait un nouveau signe de rapprochement entre Washington et Erevan, alors que le Kremlin, médiateur traditionnel dans cette région, est très occupé par les difficultés de son offensive militaire en Ukraine.
  18. traduction : Des centaines de soldats russes ont été capturés lors de la récente offensive ukrainienne dans l'oblast de Kharkiv, a déclaré Zelenskyy à Reuters. Cependant, a-t-il confirmé, la Russie a toujours plus de prisonniers de guerre que l'Ukraine, la tâche est de continuer et d'échanger tous les Ukrainiens voilà deux informations intéressantes - Malgré l'ampleur considérable de la contre-attaque ukr et du nombreux matériel russe perdu (détruit et surtout abandonné), comment interpréter le fait qu'il y ait eu aussi peu de prisonniers ? On peut aussi déduire qu'il y a eu relativement peu de tués, dans le cas contraire les ukr auraient fait des communiqués triomphants sur le sujet - Depuis le début de l'opération spéciale il y a eu plus de prisonniers ukr que de prisonniers russes. C'est contre-intuitif non ?
  19. Traduction automatique : La percée russe en Asie n’aura pas lieu de sitôt – une telle conclusion peut être tirée de l’examen analytique de la Banque centrale consacré aux problèmes des exportateurs russes 10% des entreprises russes exportatrices de produits de base dans le cadre de la fermeture des marchés occidentaux ont arrêté toutes les livraisons à l’exportation, 20% ont perdu une partie des contrats d’exportation, 15% des entreprises ont réussi à remplacer complètement les contreparties occidentales, et 40% ont déclaré que rien n’avait changé dans leur commerce d’exportation, – telles sont les données d’une enquête à grande échelle de la Banque centrale. Potentiellement, le volume du marché asiatique peut accueillir une part importante des exportations de produits de base russes, selon les analystes. Cependant, les obstacles les plus importants sur cette voie sont l’éloignement géographique (ce qui est particulièrement important pour l’industrie forestière et du travail du bois, dont les exportations de la partie européenne étaient presque entièrement orientées vers l’Ouest), la faible capacité de l’infrastructure russe à l’est et au sud, ainsi qu’un rouble trop fort et, un exemple d’auto-tir administratif, l’obligation des autorités russes d’effectuer des paiements pour les fournitures d’exportation en monnaies nationales. tandis que tous les grands commerces internationaux se font en dollars et en euros. Après l’imposition de sanctions, 45% des entreprises engagées dans l’exportation de matières premières ont connu des difficultés (peut-être plus - 14% des entreprises interrogées n’ont pas indiqué qu’elles n’avaient pas connu de difficultés, mais ne l’ont pas précisé), et seulement un tiers d’entre elles ont résolu leurs problèmes à la fin de l’été. Cela découle d’une étude basée sur une enquête menée auprès de 14 000 entreprises et publiée dans le cadre de la revue de septembre de la Banque centrale « Économie régionale ». Situation des approvisionnements à l’exportation, août 2022, % du nombre d’entreprises exportatrices interrogées La réorientation la plus réussie a lieu parmi les exportateurs de biens énergétiques - en août, les anciens acheteurs qui refusaient de fournir ont été complètement remplacés. La situation la plus difficile concerne les entreprises exportatrices de métaux: seulement 18% d’entre elles n’ont signalé aucun problème, 29% ont pu remplacer partiellement les acheteurs et 12% ne le pouvaient pas du tout. La situation est similaire pour les exportateurs de bois et de produits connexes : 9 % des entreprises ont cessé d’exporter et 43 % n’ont réussi à remplacer que partiellement les consommateurs précédents. Pour les producteurs de bois, le principal problème est le transport : une trop longue épaule logistique les prive en fait de compétitivité sur les marchés asiatiques. Les producteurs de métaux réussissent mieux à trouver de nouveaux acheteurs: 35% d’entre eux ont déjà complètement remplacé leurs contreparties européennes par des contreparties asiatiques, malgré la nécessité problématique de passer à des règlements en monnaies nationales. Ces succès sont dus à l’énorme capacité du marché asiatique par rapport au volume réel des exportations russes. En 2019, les importations de métaux vers l’Asie dans son ensemble se sont élevées à environ 1,8 milliard de tonnes et les exportations de la Russie n’ont que légèrement dépassé 50 millions de tonnes, note la revue. La capacité limitée des voies d’approvisionnement vers l’est et le sud (y compris la capacité des pipelines) entraîne leur congestion, ainsi qu’une augmentation des prix du transport maritime et ferroviaire. « La capacité portuaire totale actuelle dans la partie européenne de la Russie est nettement plus élevée que dans la partie asiatique », écrivent les auteurs de la revue. Mais maintenant, ces capacités sont inactives et il est impossible de faire passer les marchandises russes par les couloirs de transport orientaux. Cela s’applique au chemin de fer et à la capacité combinée des gazoducs et des oléoducs, qui ont également été construits pendant des décennies pour les marchés européens haut de gamme. Par conséquent, la logistique et le transport restent un casse-tête pour les exportateurs (y compris dans le secteur de l’énergie), qui doivent désormais vendre leurs produits à prix réduit. En outre, une complexité supplémentaire en matière de transport et de logistique est le refus des entreprises de conteneurs de travailler avec la Russie. En conséquence, la hausse des coûts logistiques est particulièrement sensible pour les entreprises russes et a un impact aigu sur la compétitivité de leurs produits. La plupart des exportateurs éprouvent des difficultés à remplacer les équipements importés: il n’y a souvent pas d’analogues ou ils sont de qualité inférieure, les billets de banque centrale. Cela empêche notamment les entreprises d’adapter leurs produits aux besoins de nouveaux clients. Enfin, outre les exigences des autorités russes de commercer avec les contreparties en monnaies nationales, auxquelles ces contreparties elles-mêmes ne sont absolument pas préparées, presque tous les exportateurs, à l’exception des ingénieurs électriciens, sont sous la pression du renforcement excessif du rouble. Ainsi, malgré le fait que la capacité des marchés asiatiques leur permette potentiellement de leur vendre des exportations de produits de base russes, en réalité, il ne sera pas possible de le faire dans un proche avenir. Cela prendra du temps, des investissements importants dans de nouvelles infrastructures (malgré le fait que dans l’ouest du pays, l’infrastructure pour ce volume de matières premières existe déjà) et une adaptation aux nouvelles conditions commerciales, où la Russie sera privée de presque tous les marchés premium.
  20. Hello les amis me revoilou ! J'étais en Italie : Rome, Naples, Pompéi... Superbe voyage gâché par ces maudits contrôleurs du ciel qui m'ont bloqués dans un hôtel loin de tout... Bon passons... Quelles sont les nouvelles du front ? Les russes ont lancés leur attaque finale vers Kramatorsk ? Les ukr plient le genou ?
×
×
  • Créer...