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Applications militaires des nouvelles technologies


alexandreVBCI

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Cela veut dire que on peu imaginé des mini armurerie ou garage mobile par exemple ,avec deux ou trois machine (imprimante 3D ,et fraiseuse en fonction des pièces a faire) dans quelque année et ainsi rendre même le plus petit pays autosuffisant dans certain domaine stratégique (pièce d'usure ,etc..)

 

Pour un producteur ayant une ne serait ce qu'artisanale, des machine outils numériques feront un meilleure boulot pour moins cher.

 

Les imprimante 3D pour de la production c'est surtout utile si on conçoit des pièce de forme difficilement usinable ou si on a vraiment pas la place d'installer quelques machines outils numériques.

 

Le gros problème des imprimantes 3D c'est qu'il va être très très compliqué de gérer le qualité mécanique du produit fini. Entre une pièce forgée, et la même produit a l'imprimante, la résistance mécanique se sera du simple au centuple!

 

La tenu mécanique d'une piece métallique est lié a tout un tas de paramètre, la qualité du matériaux de base, mais aussi la manière dont il a été travaillé, les outils, les traitement thermique, chimique.

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Donc une fois de plus Star Trek était visionnaire avec le synthétiseur de nourriture

 

Star Trek a été visionnaire sur beaucoup de chose:

 

- Téléphone portable

- oreillete

- smartphone

- écran tactile

- Imprimante 3D/Nanofabricateur (utilisé/théorisé)

- Holodeck (théorisé)

- Téléportation (experimenté)

- Distorsion (théorisé)

 

 

Justement une des forces des imprimantes 3D pourrait être les nanotechnologies, ou il est impossible pour nos machines outils actuellesd'y parvenir.

Alors qu'avec une imprimante qui dépose couches d'atomes par couches d'atomes on aurait un précision des milliers de fois supérieur à ce que peuvent faire nos machines actuelles (en plus avec une matière bien plus pure et uniforme car chaque atome est contrôlé et bien placé), qui malmènent la matière pour obtenir quelque chose (en la rabotant, la cisaillant etc.).

C'est ça la force de ces engins, atteindre des limites de précision et de complexité qui aujourd'hui nous sont impossible !

 

Ça c'est exactement le Nanofabricateur ou assembleur moléculaire imaginée par Eric Drexler le pére de la nanotechnologie. C'est l'imprimante 3D ultime capable de fabriquer tous les objets quelqu'il soit en les assemblant atome par atome. Les atomes composant tout objet quelqu'il soit.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Assembleur_mol%C3%A9culaire

http://www.youtube.com/watch?v=TZZmhVEeZ4U

Modifié par stormshadow
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Donc une fois de plus Star Trek était visionnaire avec le synthétiseur de nourriture :D

 

Et donc au delà de la production industrielle, c'est une possibilité de nourrir la planète.

 

Attention aux effets de bord.

 

 

:lol:

 

Remarque si on relie une imprimante 3D à une cartouche de steak artificiel (qui se crée à l'infini tant qu'on alimente les cellules pour qu'elles se divisent), on pourrait imprimer du hamburger à la chaine

...

J'ai bien envie de voir l'imprimante 3D arriver à maturité, mais pas toujours <_<

Modifié par Drakene
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  • 2 weeks later...

Un consortium français parvient à développer un Wifi sous-marin.

 

Un système de Wifi optique. Voilà une avancée technologique qui pourrait engendrer une petite révolution dans l’exploitation de drones sous-marins, tant dans le secteur civil que militaire. Elle permet, en effet, de diffuser sans liaison filaire des données lourdes, comme des vidéos, ce qui n’est pas possible aujourd’hui sous la surface de l'eau.

 

C'est le 21 novembre, à l’occasion du forum  DGA Innovation, qui s’est déroulé sur le site de l’Ecole polytechnique de Palaiseau, que la société marseillaise Subsea Tech et ses partenaires ont dévoilé le projet Lamparo. Celui-ci a pour objectif de développer un système de communication optique sous-marine à fort débit, permettant à un drone en immersion de communiquer avec son bateau-mère ou avec un autre AUV (Autonomous Underwater Vehicle). Cela en eaux claires ou turbides. « Le but est de démontrer en environnement sous-marin la faisabilité d’un équivalent sous-marin du Wifi, avec des performances comparables au Wifi terrestre en termes de débit, de portée, de latence et d’adaptation automatique aux conditions environnementales », expliquent les porteurs du projet.

 

Suite : http://www.meretmarine.com/fr/content/drones-un-consortium-francais-parvient-developper-un-wifi-sous-marin

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  • 2 months later...
  • 3 weeks later...

Imaginé par la société française Crossject, ce système révolutionnaire de traitement par injection sous cutané va ravir toutes les personnes qui ont les piqûres en horreur. Grâce à son système ultra-avancé, Zeneo permet d’injecter un produit sous la peau sans causer chez le patient la moindre douleur ou appréhension de l'aiguille.

Article et vidéo : http://www.gentside.com/sant%e9/avec-zeneo-dites-adieu-a-votre-peur-des-piqures_art59158.html

 

Voila un système qui pourrait être très utile et plus pratique pour les infirmiers en opex. 

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  • 3 weeks later...

Et si l’on pouvait profiter d’un système comme Google Earth, en vidéo, à la demande, et en direct live ? Telle est la promesse de SkyBox Imaging.

 

Depuis 2009, cette startup s’emploie à concevoir de petits satellites – 120 kg pour seulement 60x60x90 cm -, à développer leurs logiciels et à mettre sur pied leur infrastructure pour proposer un système d’imagerie satellite vidéo à la demande aux particuliers.

 

Pour l’heure, un seul de ces satellites est actuellement en activité (lancé l’année dernière), 13 seront bientôt produits et lancés entre 2015 et 2016. SkyBox Imaging en prévoit 24 pour quadriller la surface du globe, 24h/24, et permettre à tout un chacun de surveiller… ce qu’il veut, ou presque. La résolution offerte permettrait par exemple d’observer les allées et venues sur un parking.

 

La vidéo : http://www.gizmodo.fr/2014/03/08/google-earth-direct-bientot.html

 

D'autres : 

http://www.youtube.com/watch?v=BsW6IGc4tt0

 

http://www.youtube.com/watch?v=fCrB1t8MncY

Modifié par alexandreVBCI
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  • 3 weeks later...
  • 2 weeks later...

Il reste encore à trouver des applications militaires pour le prochain produit « high tech » qui arrivera bientôt sur le marché : la « Google Glass », c’est à dire une paire de lunettes à réalité augmentée, équipée d’une caméra intégrée et d’un micro, capable de se connecter par la voix à Internet via Wi-Fi ou Bluetooth et pourvue de mini-écrans sur les verres où s’affichent des informations.

 

Pour le moment, ces « Google Glass » sont réservées à un groupe restreint d’ »explorateurs », dont le groupe d’évaluation BATMAN (Battlefield Air Targeting Man-Aided (K)nowledge) du 711th Human Performance Wing de l’US Air Force, basé à Wright-Patterson. Ce dernier s’en est procuré deux exemplaires, moyennant 1.500 dollars la paire.

Ainsi, le lieutenant Anthony Eastin a confié au site spécialisé Ventubeat.com que ces Google Glass ont des caractéristiques très intéressantes d’un point de vue militaire, dont « le faible besoin en énergie et en espace de programmation ». En outre, elles « n’entravent pas la vision » et permettent d’avoir un accès rapide à l’information.

L’équipe BATMAN travaille également au développement de programmes pour adapter ces Google Glass aux contraintes militaires. « L’objectif est de créer des logiciels à des fins de recherche pour les projets futurs », a expliqué le lieutenant Eastin.
L’une des applications de ces lunettes pourrait concerner les contrôleurs aériens avancés, qui guident depuis le sol les frappes aériennes. Un autre permettrait de faciliter les opérations de recherche et de sauvetage.

L’US Air Force n’est pas la seule à s’intéresser aux lunettes dites « intelligentes ». La marine américaine mène également un projet similaire mais avec une autre approche. L’Office of Naval Research a confié à l’entreprise Vuzix le soin de concevoir le même type de produit mais spécialement conçu pour les opérations navales. Et cela avec une enveloppe de 680.000 dollars.

 

http://www.opex360.com/2014/04/12/lus-air-force-teste-les-google-glass/

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Le Sony A7s est un appareil photo numérique plein format, capable de filmer en 4K et offrant une sensibilité maximale de 409 600 ISO. Autant vous dire qu'avec une telle capacité, l'appareil est très capable de voir dans le noir.

La preuve en vidéo et c'est impressionnant.

 

http://www.youtube.com/watch?v=XgbUgNiHfXM

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 C'est 409.000(sensibilité étendue par voie logicielle comme tu le dis) en photo aussi et a pleine résolution, comme le D4S chez Nikon .....qui lui ne fait pas de 4K.

Le traitement/lissage numérique est activé au choix en JPEG, si tu fais du RAW il n'y a aucun traitement interne, tu peux débruiter avec ta recette perso qui te donnera un bien meilleur résultat vu que tu peux utiliser des algorithmes bien plus puissants que ce que peut supporter un proco d'APN.....comme le traitement PRIME de DXO9 ( cocorico !) qui te pousse les  cœurs d'un i7 extreme a 100% pendant trois minutes.

On peut espérer des 52000 ISO propres et ça c'est déjà une performance sans compter que Sony annonce une dynamique record alors qu'ils sont déjà les maitres dans ce domaine avec leurs capteurs Exmor.

 

Et aucun des deux ne voit dans le noir car leur AF, et de course l'AF dans le cas du D4S ne voit plus rien.

Modifié par fool
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Une équipe du CNRS a testé avec succès sur des rats une méthode de collage à base de nanoparticules. Celle-ci pourrait servir à terme à réparer des organes ou refermer des plaies humaines.

 

Utiliser un bâton de glu pour combler une plaie... Ce n'est pas un conseil à reproduire chez soi mais l'idée colle bien à la démonstration des chercheurs du CNRS. L'équipe de Ludwik Leibler du laboratoire "Matière molle et chimie" (CNRS/ESPCI ParisTech) a prouvé l'efficacité d'une solution aqueuse de nanoparticules (silice, oxydes de fer) pour refermer des plaies et suturer des organes mous. Dans des expériences in vivo sur des rats, les Français ont découvert l'incroyable potentiel de ce qui pourrait devenir le pansement du futur.

Le principe des colles de nanoparticules est simple : "des nanoparticules contenues dans une solution étalée sur des surfaces à coller se lient au réseau moléculaire du gel (ou du tissu), phénomène appelé adsorption, et, dans le même temps, le gel (ou le tissu) lie les particules entre elles", explique le CNRS dans un communiqué.

Restait à vérifier l'adhérence de cette "nano-solution". Ils ont d'abord testé cette colle sur une plaie ouverte. Appliquée au pinceau, la solution a permis de refermer la peau rapidement "jusqu'à cicatrisation complète, sans inflammation ni nécrose". La cicatrice était quasiment invisible.

Plus rapide, plus "propre", la méthode a de quoi scotcher sur place les habitués des traditionnels points de suture.

 

Suite : http://www.topsante.com/medecine/medecine-divers/hopital/une-colle-de-nanoparticules-pour-reparer-des-organes-57243

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Dans un documentaire sur la bataille d'Azaincourt que j'ai vue hier, on voit des médecins appliquer sur de graves blessures, une substance gélatineuse à base de blanc d'oeuf et de poils de lapins :rolleyes:

Modifié par Divos
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  • 5 months later...
  • 2 weeks later...

 

Ce que l'article oublie de dire c'est que l'eau est beaucoup plus pauvre en O2 que l'air (30 à 60 fois moins) et que l'appareil devra "filtrer" une énorme quantité d'eau (plusieurs centaines de litres par min !) si l'on veut "extraire" suffisamment d'O2 pour maintenir le plongeur en vie. 

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  • 5 weeks later...

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