Philippe Top-Force Posté(e) le 18 avril 2016 Share Posté(e) le 18 avril 2016 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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Philippe Top-Force Posté(e) le 22 avril 2016 Share Posté(e) le 22 avril 2016 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 25 avril 2016 Share Posté(e) le 25 avril 2016 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 27 avril 2016 Share Posté(e) le 27 avril 2016 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 24 juin 2016 Share Posté(e) le 24 juin 2016 http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/defense-paris-souhaite-garder-sa-relation-strategique-avec-londres-582045.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 26 juin 2016 Share Posté(e) le 26 juin 2016 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 2 juillet 2016 Share Posté(e) le 2 juillet 2016 Ce que change (ou pas) le #Brexit dans notre alliance avec le Royaume Uni http://www.paxaquitania.fr/2016/07/ce-que-change-le-brexit-dans-notre.html?spref=tw Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 21 septembre 2016 Share Posté(e) le 21 septembre 2016 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 16 décembre 2016 Share Posté(e) le 16 décembre 2016 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 3 janvier 2017 Share Posté(e) le 3 janvier 2017 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
prof.566 Posté(e) le 3 janvier 2017 Share Posté(e) le 3 janvier 2017 C'est moi ou le jargon ranco anglais était tout sauf clair? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 1 septembre 2017 Share Posté(e) le 1 septembre 2017 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 1 septembre 2017 Share Posté(e) le 1 septembre 2017 il y a une heure, Philippe Top-Force a dit : Citation Nous devons trouver un successeur au Typhoon, notre avion de combat Ah bon ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 2 septembre 2017 Share Posté(e) le 2 septembre 2017 Le 01/09/2017 à 13:39, Boule75 a dit : Ah bon ? Tout ça c'est à copier en "Armée de l'Air" / Europe / Eurfighter au minimum ... Voir mieux: SCAF et autre Futur avion Franco-Allemand ? Is'nt it ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 4 décembre 2017 Share Posté(e) le 4 décembre 2017 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 8 janvier 2018 Share Posté(e) le 8 janvier 2018 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 19 janvier 2018 Share Posté(e) le 19 janvier 2018 Bientôt 10 ans pour les accords de Lancaster House mais la coopération militaire FR-UK tant vantée reste toujours à la peine - Jetez un œil sur les 13 points approuvés en 2010, trouvez ceux qui sont réalisés ! Moins de 1 sur 2 ! https://www.bruxelles2.eu/2010/11/02/les-13-points-de-laccord-franco-britannique-sur-la-defense/ Par exemple, un non réalisé, l'accord n°3. Porte-avions. Le Royaume-Uni a décidé d’installer des catapultes et des dispositifs d’arrêt sur son futur porte-avions opérationnel. « Ceci permettra aux avions britanniques et français d’opérer à partir des porte-avions des deux pays ». A partir d’une coopération sur un groupe maritime autour du porte-avions Charles de Gaulle, le Royaume-Uni et la France se « doteront, d’ici le début des années 2020, de la capacité à déployer une force aéronavale d’attaque intégrée franco-britannique composée d’éléments des deux pays ». Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 13 juin 2018 Share Posté(e) le 13 juin 2018 Marine nationale et Royal Navy serrent les rangs https://www.meretmarine.com/fr/content/marine-nationale-et-royal-navy-serrent-les-rangs Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 31 août 2018 Share Posté(e) le 31 août 2018 [Note de service] Prévoir de commander deux FREMM ASM supplémentaires, lancer un second PA NPA PA2, et quatre sous-marins Scorpène, plus un lot de missiles de croisière en prévision de Scallop War ou la guerre des coquilles Saint-Jacques. Pourquoi lisez donc ces 2 articles anglo-saxons Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 31 août 2018 Share Posté(e) le 31 août 2018 A mettre en relation avec ça:https://www.letelegramme.fr/economie/peche-et-brexit-le-bras-de-fer-a-debute-15-07-2017-11596789.php Citation À quelques jours de la reprise des négociations sur le Brexit, les professionnels de la pêche craignent de perdre un tiers de leur chiffre d'affaires et de leurs emplois. Ils espèrent préserver un accès aux eaux britanniques et une gestion partagée, en contrepartie de l'ouverture du marché européen aux pêches de Sa Majesté. La négociation avec Londres commence à peine que les hostilités sont déjà lancées sur le terrain... maritime. En dénonçant le 2 juillet la convention de Londres sur les zones côtières, le gouvernement de Theresa May vient de rappeler que son pays possède un trésor qu'il négociera chèrement : la bande de 200 milles de la Zone économique exclusive sur laquelle elle va récupérer une pleine souveraineté en mars 2019, quand le Royaume-Uni sortira de l'Union européenne. Cette perspective inquiète au plus haut point les pêcheries du Sud du Channel et de la rive orientale de la mer du Nord où, en moyenne, un tiers des captures, donc des emplois, seraient menacés, selon les professionnels. « À nos conditions » Un « hard Brexit » aurait en effet un double impact négatif : outre la perte de l'accès à une zone immense (voir la carte), les pêcheries européennes verraient la ressource qui leur est allouée dans le cadre de la politique commune de la pêche réduite à concurrence des quotas britanniques. « Les navires pêchant près des côtes françaises, et pas uniquement ceux travaillant dans les eaux du Royaume-Uni, seront aussi touchés puisque nous partageons plus de cent quotas avec les Britanniques », explique Gérard Romiti, président du Comité national des pêches et des élevages marins (CNPEM). Certains ports pourraient perdre jusqu'à 90 % de leurs ressources, juge une source industrielle. Côté britannique, on pavoise. En septembre, le chef de la fédération des pêches écossais, Bertie Amstrong, a déclaré lors d'une audition parlementaire qu'il n'avait rien contre le fait de partager les eaux britanniques avec d'autres pêcheurs européens mais que cela serait « à nos conditions ». Les professionnels s'estimaient depuis longtemps mal servis lors des attributions annuelles de captures autorisées, estimant que les quotas actuels sont le fruit d'un compromis obsolète passé lors des négociations d'adhésion du Royaume-Uni en 1973. Le CNPEM et plusieurs autres associations danoise, belge, néerlandaise, finlandaise se sont réunies au sein d'une « alliance des pêcheries européennes » (Eufa). Présidée par le Néerlandais Gerald van Balsfoort et représentant 3.500 bateaux, 18.000 pêcheurs et 21 milliards de chiffre d'affaires, elle fait partie des rares lobbys à avoir réussi jusqu'à présent à rencontrer le négociateur en chef du Brexit pour l'Union européenne, Michel Barnier. « Pas en situation de spéculer » À Paris, le ministère s'emploierait activement à évaluer précisément l'impact sur chaque pêcherie d'un « hard Brexit ». Il n'a pas souhaité répondre à nos questions. L'heure de discuter de la manière de préserver un accès aux eaux britanniques et une gestion partagée des ressources, en contrepartie d'une ouverture du marché européen aux exportations de produits de la mer britanniques, n'a, quoi qu'il en soit, pas encore sonné. « Nous ne sommes pas en situation de spéculer sur les différentes possibilités et options », a déclaré hier une source européenne. Les négociations du Brexit qui reprennent lundi à Bruxelles porteront en effet uniquement sur la circulation des personnes, l'Irlande et le solde de la contribution britannique au budget européen, pas sur les relations futures. Et avec ça: http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2018/08/31/20002-20180831ARTFIG00009-craintes-d-une-nouvelle-bataille-navale-entre-francais-et-anglais.php Citation [...] VIDÉO - Après des affrontements entre des bateaux français et anglais autour d'un gisement de coquilles Saint-Jacques, les autorités demandent que les pêcheurs soient soumis aux mêmes lois pour éviter de nouvelles rixes. Le ministre de l'Agriculture a annoncé une réunion la semaine prochaine entre les différents acteurs du conflit. Les pêcheurs britanniques et français vont-ils parvenir à un arrangement? Alors que les craintes d'une nouvelle bataille navale entre les pêcheurs anglais et français se font de plus en plus fortes, le ministre de l'Agriculture a tenu à rassurer, ce vendredi matin. «Je me suis entretenu hier avec mon homologue britannique», a-t-il affirmé au micro d'Europe 1. «Nous avons condamné ces actes violents. Nous souhaitons que l'esprit de responsabilité revienne». Le ministre français de l'Agriculture a indiqué qu'une réunion entre les pêcheurs des deux pays, aura lieu «la semaine prochaine avec les industriels pour faire en sorte de trouver les bases d'un accord qui permette de revenir à une situation apaisée». «J'ai demandéde faire en sorte que les pêcheurs ne viennent pas sous la ligne Barfleur-Antifer, c'est-à-dire la zone où se sont passés ces heurts», a-t-il ajouté. [...] Les Britanniques ont finalement quitté les lieux mais rien ne les empêche de revenir. De fait, les Anglais sont autorisés à venir pêcher la coquille Saint-Jacques sur ces lieux, contrairement aux Français. Les pêcheurs normands n'ont, eux, pas le droit de pêcher la coquille entre le 15 mai et le 1er octobre afin de permettre la reproduction pendant l'été. De nombreux observateurs pointent le déséquilibre de la législation et estiment que les deux parties devraient être soumises au même calendrier. Dans le cas contraire, les querelles entre Français et britanniques vont persister. [...] «Les Français», a-t-il reconnu, «ont été assez virulents, mais ils ont des petits bateaux (comparé aux navires britanniques); les Anglais les ont abordés (...) Il y a quand même deux bateaux qui ont failli chavirer, il a failli y avoir des blessés, voire un drame. La réaction anglaise est complètement disproportionnée par rapport à la revendication française. Si, en tant que patrons pêcheurs, ils n'arrivent pas à comprendre pourquoi des petits bateaux sont aussi motivés pour défendre leur territoire, pour moi ce sont des imbéciles». Pour les bateaux normands, l'enjeu économique est très important. «Certains bateaux réalisent l'intégralité de leur chiffre d'affaires grâce à la coquille Saint-Jacques», indique un mareyeur normand. [...] «La France a une gestion particulière de la coquille Saint-Jacques. La législation n'est pas européenne et la Grande-Bretagne ne dispose pas des mêmes règles qu'en France», indique Mathieu Colleter, océanographe pour l'association Bloom qui œuvre pour la conservation marine. «Il s'agit d'un problème récurrent», ajoute le spécialiste qui préconise une législation européenne. «On risque de voir de plus en plus de conflits avec le réchauffement climatique, la raréfaction des espèces et le déplacement de certaines populations de poissons», affirme le scientifique. Et aussi ça: Citation «Open bar» «On ne veut pas les empêcher de pêcher. Mais qu'ils attendent au moins le 1er octobre pour qu'on partage ça ensemble!» Dimitri Rogoff, président du comité régional des pêches de Normandie. Les pêcheurs normands qui n'ont le droit de pêcher la coquille que du 1er octobre au 15 mai, demandent aux Britanniques, dont la pêche n'est pas réglementée dans le temps, de respecter le même calendrier au large des côtes françaises. «Pour les Britanniques, c'est open bar: ils pêchent quand ils veulent, où ils veulent et autant qu'ils veulent», dénonce Dimitri Rogoff. «On ne veut pas les empêcher de pêcher. Mais qu'ils attendent au moins le 1er octobre pour qu'on partage ça ensemble!», lance-t-il. Cela fait une quinzaine d'années que les relations sont tendues entre pêcheurs de coquilles Saint-Jacques des deux côtés de la Manche. Car «depuis quinze ans, les pêcheurs anglais, écossais et irlandais ont augmenté leur effort de pêche de façon considérable», souligne Dimitri Rogoff. Quelque 70 bateaux britanniques et Irlandais pêchent la coquille au large des côtes françaises, selon lui. Des accords annuels avaient été conclus ces cinq dernières années pour apaiser les relations mais les Français ont refusé de les signer cette année, du fait d'un «point de blocage». Les pêcheurs normands dénoncent en outre un deux poids deux mesures pour la taille des flottes, la pêche côté français se pratiquant de manière artisanale sur 300 bateaux d'une quinzaine de mètres en moyenne, alors que les Britanniques exercent une pêche industrielle sur des bâtiments de plus de 30 mètres, dont le plus gros peut surgeler les coquilles à bord. «La coquille en Normandie, c'est le produit phare, une ressource primordiale, un sujet très sensible», souligne Dimitri Rogoff. ... En gros les anglois viennent pêcher à quelque encablures de la ligne des 12 miles (ligne de pêche) française, en plus dans la zone économique exclusive, tout en profitant d'une énième avanie de l'Europe qui ne respecte pas les lois françaises imposées à NOS pêcheurs en la matière, en se disant qu'il faut qu'ils engrangent un max avant le Brexit car bientôt ils ne pourront probablement plus s'il y a accord bipartite, mettant ainsi en danger de petits pêcheurs français qui doivent prochainement ouvrir la saison pour les Saint-Jacques. Ce genre de conflits autour des zones de pêches ont mené à des choses très sérieuse en extrême orient. Il serait avisé de la part des pêcheurs anglais de ne pas trop tenter leur chance. Et au gouvernement britannique de ne pas trop les soutenir quand ils décident de jouer au plus con. e Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kotai Posté(e) le 31 août 2018 Share Posté(e) le 31 août 2018 Attend, ce sont les français qui partent à l'abordage mais se plaignent que les anglois aient la pus grosses? Et en plus ce n'est pas la faute de l'anglois mais de l'europe et de ses décisions.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 31 août 2018 Share Posté(e) le 31 août 2018 il y a une heure, kotai a dit : Attend, ce sont les français qui partent à l'abordage mais se plaignent que les anglois aient la pus grosses? Et en plus ce n'est pas la faute de l'anglois mais de l'europe et de ses décisions.... Les pêcheurs français se plaignent de ne pas pouvoir pêcher dans leurs eaux. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 31 août 2018 Share Posté(e) le 31 août 2018 Il y a 2 heures, kotai a dit : Attend, ce sont les français qui partent à l'abordage mais se plaignent que les anglois aient la pus grosses? Et en plus ce n'est pas la faute de l'anglois mais de l'europe et de ses décisions.... Deux secondes. 1: les français sont contraints par LA LOI FRANÇAISE de laisser les coquilles se reproduire pendant l'été plutôt que de les pêcher. Visiblement l'Europe s'en tape. 2: forts de cette débilité française visant à protéger l'environnement (parce que ça sert à rien comme on sait) et parce qu'ils n'y sont pas astreints par l'Europe qui, par ailleurs, autorise la pêche électrique, ce que même la CHINE a interdit, des énormes entreprises de pêche, qui pourraient tout aussi bien pêcher autre chose car leurs navires sont conçus pour la haute mer, viennent piller la ressource halieutique française parce que la Saint Jacques ça rapporte des €€€ et des £££. 3: de PETITS pêcheurs artisanaux français qui font LA TOTALITÉ de leur chiffre d'affaire sur la Saint Jacques s'énervent de l'usage abusif que font les patrons pêcheurs anglais des facilités que leur accorde l'Europe, car il n'y a pas eu d'accord cette année, qui s'apparentent à une tentative de destruction de l'activité économique des pêcheurs français locaux, qui ne réclament même pas l'expulsion des pêcheurs anglais, mais que ceux-ci soient astreints aux mêmes règles qu'eux sur la date d'ouverture de la pêche à la Saint Jacques. Et non les français ne sont pas partis à l'abordage. Ils ont enserré les anglais dans un dispositif pour les contraindre à quitter la zone de pêche puis les ont escortés hors de celle-ci. Les anglais ont alors éperonné les petits bateaux français dans leurs gros navires. En gros il y a un côté avec des pêcheurs responsables qui vivent autour d'une activité, et un autre avec des fils de pute qui sont là pour piller une ressource. Le jour où la ressource a été pillée, les premiers mettent la clé sous la porte. Les seconds retourneront piller autre chose. Pour enfoncer le clou: Les dates et zones de pêche ouverte, en France ça ressemble à ça pour NOS pêcheurs: Pour les anglais ces restrictions n'existent pas. Donc ils peuvent venir à la limite des 12 miles de la côte française, dans notre ZEE, et piller comme ils l'entendent. Tu commences à comprendre ou tu as vraiment besoin que des pêcheurs français viennent eux-même te l'expliquer? 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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