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https://www.scmp.com/news/china/politics/article/3115431/china-passes-law-protect-river-yangtze (27 décembre 2020)

La Chine a imposé une interdiction de pêche de 10 ans au début de cette année pour conserver ses stocks de poissons en déclin.

L'interdiction, qui couvrait initialement 332 tronçons du fleuve [Yangtsé], sera étendue à l'ensemble de la voie navigable et à ses principaux affluents l'année prochaine.

Les chiffres du ministère de l'agriculture au début de ce mois montrent qu'environ 231 000 pêcheurs ont renoncé à leurs droits le long du Yangtsé.

Le vice-premier ministre Han Zheng a déclaré en début de semaine qu'une aide accrue devrait être accordée à ces pêcheurs pour les aider à trouver de nouveaux emplois et de nouveaux lieux de vie.

https://www.geo.fr/environnement/les-pecheurs-prives-de-poisson-du-yangtse-contraints-a-la-reconversion-203180 (16 décembre 2020)

Le plus long fleuve d'Asie est le premier contributeur mondial de plastique dans les océans. Les 11 barrages sur son parcours ont perturbé l'écosystème, particulièrement la migration du poisson.

Quatre espèces qui ne vivaient que dans le Yangtsé ont disparu et 61 autres sont menacées, selon un rapport du WWF publié cette année. L'emblématique marsouin aptère (sans nageoire dorsale) n'y existerait plus qu'à quelques centaines de spécimens.

Au début de cette année j'étais allé au cinéma voir ce film qui parle de la vie de ces pêcheurs du Yangtsé :

https://www.youtube.com/watch?v=YLlvPJ4uUqs

Séjour dans les monts Fuchun (bande-annonce)

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https://www.theguardian.com/world/2020/dec/23/china-to-bring-in-law-against-food-waste-with-fines-for-promoting-overeating

Selon le projet de loi soumis mardi au Comité permanent de l'Assemblée populaire nationale, les opérateurs de services de restauration sont passibles de sanctions s'ils incitent ou induisent en erreur les consommateurs à "commander des repas excessifs et à provoquer un gaspillage évident". Les contrevenants recevront un avertissement des autorités locales et seront passibles d'une amende pouvant aller jusqu'à 10 000 yuans (1 140 livres sterling) s'ils ne se conforment pas à la loi.

Elle permettrait également aux restaurants de faire payer aux clients des quantités excessives de restes.

Le projet de loi prévoit également des amendes potentielles pour un diffuseur - radio, TV ou en ligne - qui produit, publie ou diffuse la promotion du gaspillage alimentaire, y compris la surconsommation. Le non-respect d'un avertissement formel par les autorités gouvernementales pouvait entraîner des amendes allant jusqu'à 100 000 yuans et la suspension de l'activité "pour rectification".

Un rapport de l'Académie chinoise des sciences a révélé qu'en 2015, les habitants des grandes villes, dont Pékin et Shanghai, gaspillaient 17 à 18 millions de tonnes de nourriture, soit assez pour nourrir 30 à 50 millions de personnes. Un quart des déchets était constitué d'aliments de base comme le riz et les nouilles, et environ 18 % de viande, selon le rapport.

https://www.theguardian.com/world/2020/dec/24/more-than-50-australian-coal-ships-remain-stranded-off-china-coast-despite-power-blackouts

Plus de 50 navires de charbon australiens sont toujours échoués au large des côtes chinoises, retenus par une interdiction d'importation du gouvernement chinois, malgré le fait que le pays soit confronté à une pénurie de charbon et à l'une des pires pannes d'électricité depuis des années.

La Chine a rejeté les suggestions selon lesquelles son interdiction d'octobre sur le charbon australien a contribué à la pénurie de charbon, mais l'interdiction a été liée à des prix intérieurs plus élevés. Les analystes ont déclaré que dans les circonstances actuelles, tout charbon entrant serait utile.

Des centaines de millions de Chinois ont reçu l'ordre de rationner sévèrement leur consommation d'électricité, notamment en limitant les activités des usines, en arrêtant les ascenseurs dans les tours d'habitation et en interdisant l'utilisation des appareils de chauffage jusqu'à ce que les températures descendent en dessous de 3°C.

Depuis début décembre, les provinces du Zhejiang, du Hunan et du Jiangxi, ainsi que la région autonome de la Mongolie intérieure, ont mis en place des limites de consommation d'électricité, car ces trois provinces ont vu leur consommation augmenter d'une année sur l'autre.

Jusqu'à la fin de l'année, tous les lampadaires et panneaux d'affichage ont été éteints dans la ville de Yiwu, dans le Zhejiang. Les entreprises de Yiwu, considérées comme le plus grand marché de gros du monde, sont limitées à des heures de démarrage plus tardives, ont déclaré les autorités locales.

Sur WeChat, un partenaire de l'usine a dit à son grossiste qu'ils avaient acheté des lampes de poche pour pouvoir continuer à travailler afin d'expédier les commandes.

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Tiens. Des demandes "politiques" européennes posées comme préalable au traité de protection des investissements (AFP + Le Figaro) :

Citation

L'Union européenne a demandé mardi 29 décembre à Pékin de libérer immédiatement les 12 militants hongkongais arrêtés en août au moment où ils tentaient de quitter l'ancienne colonie britannique de HongKong en bateau à destination de Taïwan, et critiqué leur procès à huis clos entamé lundi en Chine continentale.

«Les accusés n'ont pas pu choisir leurs avocats (...) leur procès n'est pas ouvert (...) Leurs droits à un procès équitable et au respect des procédures n'ont pas été respectés», a dénoncé dans un communiqué distinct un porte-parole de la diplomatie européenne. «Nous demandons la libération immédiate de ces douze personnes et leur retour rapide à Hong Kong», a-t-il conclu.

Ces appels interviennent alors que la Chine et l'UE semblent sur le point de conclure, après sept ans de négociations, un ambitieux accord de protection réciproque des investissements, en dépit des accusations de travail forcé portées contre Pékin et critiques récurrentes sur les violations des droits de l'Homme imputées au régime communiste.

«Les restrictions à la liberté d'expression, d'accès à l'information, l'intimidation et la surveillance de journalistes, comme les détentions, procès et condamnations de défenseurs des droits de l'homme, avocats et intellectuels en Chine ne cessent de croître et demeurent une source de grande préoccupation», observait le premier communiqué de l'UE mardi.

Bruxelles demande également la libération de Zhang Zhan, une «journaliste citoyenne» condamnée à 4 ans de prison lundi, des avocats Yu Wensheng, Li Yuhan et Gao Zhisheng, des cyberdissidents Huang Qi et Wu Gan, du défenseur des droits Ge Jueping (arrêté en 2016 lors du G20 en Chine), de l'écrivain et militant Qin Yongmin, du militant de la langue tibétaine Tashi Wangchuk, du défenseur des droits de l'homme Liu Feiyue, ainsi que de l'intellectuel ouïghour Ilham Tohti.

Ce dernier, condamné à la prison à vie en Chine pour «séparatisme», avait été lauréat en 2019 du prix Sakharov des droits de l'homme décerné par le Parlement européen.

 

P.S. et H.S. : quelqu'un a un autre endroit que le Figaro pour le fil AFP ? Le combo des tartuffes plus-que-limite Zemour+Onfray+qques autres et les articles de commande récurrents (impôts Mauvais / Sarkozy revient !) commencent à me lasser profondément. La mise en valeur des faits divers sanglants signale la même dérive.

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Je ne lis nul part de lien entre cette demande et l'accord en préparation, sans même faire de mauvais esprit.

PS et HS: les qualificatifs sur le Figaro (que je trouve tout à fait nul pour être honnête moi aussi) et les dérives supposées ou tartuffes arbitrairement dénoncés n'apportent rien à la demande de fil AFP.

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https://www.la-croix.com/Monde/En-plein-hiver-Chine-impose-rationnements-delectricite-2020-12-23-1201131702 (23 décembre 2020)

Les parents de Corrie Sun, fonctionnaires à Changsha, capitale du Hunan, lui ont confirmé que « les usines ont dû restreindre leurs activités et que les habitants ont reçu l’ordre de ne pas utiliser leur four électrique ». Les restrictions (coupure de chauffage, d’éclairage public, ascenseurs bloqués) pourraient durer jusqu’au printemps prochain.

Ces rationnements s’expliquent à la fois par un hiver spécialement rigoureux cette année et par la reprise économique qui a vu les usines fonctionner à plein régime. L’exportation des produits manufacturés a augmenté de 21 % par rapport à la même époque l’année dernière.

Les seules exportations vers les États-Unis ont augmenté de 46 % selon les dernières statistiques chinoises.

https://www.la-croix.com/Monde/Asie-et-Oceanie/Le-fleuve-Jaune-coeur-ambitions-ecologiques-Chine-2019-11-05-1201058681 (5 novembre 2019)

À l’Agence française de développement (AFD), une jeune chercheuse, Xiaoting Jin, se montre dubitative. « À ce stade, l’enjeu, c’est de retenir les sols. La biodiversité dans ces massifs reste très pauvre, car on se contente de plantations en monocultures, constate cette spécialiste des écosystèmes. Et pourtant, les promoteurs de ces programmes sont persuadés de faire de l’écologie ! »

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Pour ce "journaliste" de The New York Times, dépenser 700 milliards USD sur les 5 dernières années pour aider les pauvres, soit 1% de produit intérieur bru du pays, n'est pas quelques choses de bien...

"Malheureusement" la Chine n'en dépense pas à la guerre...

Jobs, Houses and Cows: China’s Costly Drive to Erase Extreme Poverty

https://www.nytimes.com/2020/12/31/world/asia/china-poverty-xi-jinping.html

Citation

China has spent heavily to help its poorest citizens, an approach that few developing countries can afford and even Beijing may struggle to sustain.

By Keith Bradsher, Dec. 31, 2020

JIEYUAN VILLAGE, China — When the Chinese government offered free cows to farmers in Jieyuan, villagers in the remote mountain community were skeptical. They worried officials would ask them to return the cattle later, along with any calves they managed to raise.

But the farmers kept the cows, and the money they brought. Others received small flocks of sheep. Government workers also paved a road into the town, built new houses for the village’s poorest residents and repurposed an old school as a community center.

Jia Huanwen, a 58-year-old farmer in the village in Gansu Province, was given a large cow three years ago that produced two healthy calves. He sold the cow in April for $2,900, as much as he earns in two years growing potatoes, wheat and corn on the terraced, yellow clay hillsides nearby. Now he buys vegetables regularly for his family’s table and medicine for an arthritic knee.

“It was the best cow I’ve ever had,” Mr. Jia said.

The village of Jieyuan is one of many successes of President Xi Jinping’s ambitious pledge to eradicate abject rural poverty by the end of 2020. In just five years, China says it has lifted from extreme poverty over 50 million farmers left behind by breakneck economic growth in cities.

But the village, one of six in Gansu visited by The New York Times without government oversight, is also a testament to the considerable cost of the ruling Communist Party’s approach to poverty alleviation. That approach has relied on massive, possibly unsustainable subsidies to create jobs and build better housing.

Local cadres fanned out to identify impoverished households — defined as living on less than $1.70 a day. They handed out loans, grants and even farm animals to poor villagers. Officials visited residents weekly to check on their progress.

“We’re pretty sure China’s eradication of absolute poverty in rural areas has been successful — given the resources mobilized, we are less sure it is sustainable or cost effective,” said Martin Raiser, the World Bank country director for China.

Beijing poured almost $700 billion in loans and grants into poverty alleviation over the past five years — about 1 percent of each year’s economic output. That excludes large donations by state-owned enterprises like State Grid, a power transmission giant, which put $120 billion into rural electricity upgrades and assigned more than 7,000 employees to work on poverty alleviation projects.

The campaign took on new urgency this year as the country faced devastation from the coronavirus pandemic and severe flooding. One by one, provinces announced they had met their goals. In early December, Mr. Xi declared that China had “achieved a significant victory that impresses the world.”

But Mr. Xi acknowledged further efforts were needed to share wealth more widely. A migrant worker in a coastal factory city can earn as much in a month as a Gansu farmer earns in a year.

Mr. Xi also called for officials to make sure that newly created jobs and aid for the poor did not fade away in the coming years.

Gansu, China’s poorest province, declared in late November that it had lifted its last counties out of poverty. Just a decade ago, poverty in the province was widespread.

Hu Jintao, China’s leader before Mr. Xi, visited people living in simple homes with few furnishings. Villagers ate so many potatoes that local officials were embarrassed when a young girl initially refused to eat yet another one with Mr. Hu in front of television cameras because she was tired of them, according to a cable disclosed by WikiLeaks.

Though many villages are still reachable only by single-lane roads, they are lined with streetlights powered by solar panels. New industrial-scale pig farms, plant nurseries and small factories have sprung up, creating jobs. Workers are building new houses for farmers.

Three years ago, Zhang Jinlu woke in terror when the rain-weakened mud brick walls of his home gave way. Half the roof timbers came crashing down with slabs of dirt, narrowly missing him and his mother.

Officials in Youfang village built a spacious new concrete house for them, complete with new furniture. Mr. Zhang, 69, now receives a monthly stipend of $82 through the poverty program. His original house was rebuilt for him as a storage shed.

“This house used to be dilapidated, and it leaked when it rained,” Mr. Zhang said.

The government helps private factories buy equipment and pay salaries if they hire workers deemed impoverished.

At Tanyue Tongwei Clothing & Accessories Company in southeastern Gansu, about 170 workers, mostly women, sewed school uniforms, T-shirts, down jackets and face masks. Workers said that several dozen employees received extra payments from the poverty alleviation program in addition to their salaries.

Lu Yaming, the company’s legal representative, said Tanyue receives at least $26,000 a year in subsidies from poverty alleviation programs — out of which $500 a year was paid to each of the 17 villagers deemed impoverished.

But the viability of these factories without ongoing aid is far from clear. Until the subsidies arrived, the factory frequently had trouble paying wages on time, Mr. Lu said.

Inevitable questions swirl over whether some families have used personal ties to local officials to qualify for grants. Corruption investigators punished 99,000 people nationwide in connection with poverty relief efforts last year, according to official statistics. At local eateries in communities like Mayingzhen, where a heavily seasoned platter of fried donkey meat costs $7, the talk is all about who received what, and whether they really should have qualified.

While the poverty alleviation program has helped millions of poor people, critics point to the campaign’s rigid definitions. The program assists people classified as extremely poor at some point from 2014 to 2016, without adding others who may have fallen on hard times since then. It also does very little to help poor people in big cities where wages are higher but workers must pay far more for food and rent.

According to the government’s complicated criteria for determining eligibility for aid, anyone who owned a car, had more than $4,600 in assets or had a new or recently rebuilt house was excluded. People hovering just above the government’s poverty line continue to struggle to make ends meet, but are often denied help with housing or other benefits.

Zhang Sumei, a 53-year-old farmer, earns $1,500 a year growing and selling potatoes and had to use her savings to build her home in concrete. She says that she should have qualified for aid for the extremely poor. Farming Gansu’s notoriously infertile soil is hard and difficult.

“In this society, poor families are designated by cadres, and we have nothing,” she said bitterly.

The party’s campaign-style approach also fails to tackle deep-seated problems that disproportionately hurt the poor, including the cost of health care and other gaping holes in China’s emerging social safety net. Villages provide limited health insurance — only 17 percent of the cost of Mr. Jia’s arthritis medicine is covered, for example. Hefty medical bills can ruin families.

Yang Xiaoling, a 48-year-old worker who works at another government-subsidized factory in Gansu, wept uncontrollably as she described the crippling debt she faced after paying medical fees for her husband, who suffered kidney failure.

Three years ago, she borrowed $7,700 at zero interest from a bank affiliated with the poverty alleviation program and was supposed to invest the money in buying livestock. But instead she borrowed more money from relatives and then spent all the money on a kidney transplant and medicine for her husband.

Now the entire loan is due and she has no money to repay it. Follow-up medical treatments for her husband consume her entire salary. So the couple and their three children and her husband’s invalid parents subsist on monthly government poverty assistance payments of less than $50 per person.

“I don’t have the ability to pay it back. I can’t help it,” Ms. Yang sobbed. “I have already borrowed a lot of money, and now no one lends me money.”

Despite the challenges, the poverty relief program may have a long-term political benefit that helps to ensure some of it survives. Gratitude for the program seems to be reinforcing the political power of the party in rural areas.

In Youfang, Mr. Zhang was quick to praise not just the poverty program but also Mr. Xi, comparing him to Mao.

“It is good for the country to have Xi Jinping,” he said, “and the national policy is good.”

Chris Buckley contributed reporting from Sydney. Liu Yi, Amber Wang and Coral Yang contributed research.

Henri K.

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il y a 5 minutes, Henri K. a dit :

Pour ce "journaliste" de The New York Times, dépenser 700 milliards USD sur les 5 dernières années pour aider les pauvres, soit 1% de produit intérieur bru du pays, n'est pas quelques choses de bien...

"Malheureusement" la Chine n'en dépense pas à la guerre...

Jobs, Houses and Cows: China’s Costly Drive to Erase Extreme Poverty

https://www.nytimes.com/2020/12/31/world/asia/china-poverty-xi-jinping.html

Henri K.

Combien les USA dépensent-ils pour les pauvres ? Ça veut dire quoi « dépenser pour les pauvres » ? Parmi les 700M$, l’argent de la corruption qui retourne dans les poches des copains est-il inclut ?

Les vietnamiens, les indiens, les taïwanais et d’autres ont rigolé quand ils ont lu ta dernière phrase : « la Chine ne dépense pas d’argent à la guerre » et se sont rappelé les éléments de langage de ta propagande sur d’autre posts des hélicoptères, des missiles, des installations militaires - tout cela, bien évidemment, financés par les quelques pruneaux qu’ils reste dans les caisses après avoir aidé le bon peuple.

Vous, les chinois pro gouvernement, vous serez vachement plus crédibles quand vous serez transparents, quand vous tabasserait plus les minorités, quand vos ne volerez plus dans les caisses etc. Il ne suffit pas de dire qu’on est gros et fort pour être gros et fort, même si on le dit bien et souvent. Pour être gros et fort, que ce soit utile et qu’on le croit, il faut aussi être transparent et agir. Aujourd’hui, vous êtes juste gros et quand on est gros, on cache qu’on est essoufflé quand on monte un petit escalier.

« you talk the talk, do you walk the walk ? »

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https://www.forbes.com/sites/danielaraya/2019/10/08/the-green-new-deal-jeremy-rifkin-and-the-coming-collapse/ (8 octobre 2019)

Dans le même temps, la Chine reste actuellement le plus grand pollueur de carbone au monde. La Chine brûle la moitié du charbon mondial et a ajouté 40 % de la capacité mondiale de production de charbon depuis 2002. En outre, ses entreprises de la nouvelle route de la soie sont responsables de l'exportation d'un large éventail de projets d'"énergie sale". Il s'agit d'un problème majeur car la nouvelle route de la soie est sur le point d'assurer une grande partie des infrastructures pour le monde en développement. Cependant, malgré la capacité de la Chine à polluer au carbone, Pékin est clairement en train de pivoter vers l'énergie propre. Selon les prévisions, la Chine investira plus de 6 000 milliards de dollars dans la production d'électricité à faible teneur en carbone et dans d'autres technologies énergétiques propres au cours des 20 prochaines années.

Si les États-Unis espèrent conserver leur importance au XXIe siècle, ils devront intensifier considérablement leurs efforts. La nouvelle route de la soie devrait couvrir 76 pays répartis sur quatre continents, représentant un tiers du PIB mondial, un quart de l'ensemble des biens échangés et plus de 60 % de la population mondiale. Aux États-Unis, la production d'énergie à partir de sources renouvelables est désormais supérieure à celle du charbon. C'est un signe positif. Mais la Chine reste le premier investisseur dans les énergies renouvelables, avec près d'un tiers du total mondial. Malgré le fait que les énergies renouvelables représentent une proportion relativement faible de la production mondiale d'électricité, la croissance accélérée de l'innovation dans le domaine des technologies propres devrait redessiner la carte géopolitique du XXIe siècle.

Entre temps on a aussi appris que la nouvelle route de la soie avait du plomb dans l'aile : 

Le 12/12/2020 à 13:20, Wallaby a dit :

https://www.ft.com/content/d9bd8059-d05c-4e6f-968b-1672241ec1f6 China pulls back from the world: rethinking Xi’s ‘project of the century’ (11 décembre 2020)

Les prêts chinois à l'étranger ont fortement diminué dans le cadre d'une réévaluation de l'initiative de Nouvelle route de la Soie.

Selon les données publiées cette semaine, la réalité s'écarte fortement du scénario de M. Xi. Ce qui a été conçu comme le plus grand programme de développement au monde se mêle à ce qui pourrait devenir la première crise de la dette extérieure de la Chine. Les prêts des institutions financières chinoises qui conduisent la nouvelle route de la soie, ainsi que le soutien bilatéral aux gouvernements, sont tombés d'une falaise, et Pékin se retrouve embourbé dans des renégociations de la dette avec une multitude de pays.

"Tout cela fait partie de l'apprentissage de la Chine en tant que puissance montante", déclare M. Hillman, chercheur principal au sein du laboratoire d'idées CSIS basé à Washington. "Elle a pris un modèle imparfait qui semblait fonctionner chez elle, en construisant de grands projets d'infrastructure, et a essayé avec orgueil de l'appliquer à l'étranger".

Les données qui décrivent la situation difficile de la Chine proviennent de chercheurs de l'université de Boston qui tiennent une base de données indépendante sur le financement du développement de la Chine à l'étranger. Ils ont découvert que les prêts de la Banque de développement de Chine et de la Banque d'import-export de Chine se sont effondrés, passant d'un pic de 75 milliards de dollars en 2016 à seulement 4 milliards de dollars l'année dernière.

Entre 2008 et 2019, les deux banques chinoises ont prêté 462 milliards de dollars, soit un peu moins que les 467 milliards de dollars accordés par la Banque mondiale, selon les données de l'Université de Boston. Certaines années, les prêts accordés par les banques chinoises étaient presque équivalents à ceux accordés par les six institutions financières multilatérales du monde entier, qui, avec la Banque mondiale, comprennent la Banque asiatique de développement, la Banque interaméricaine de développement, la Banque européenne d'investissement, la Banque européenne pour la reconstruction et le développement et la Banque africaine de développement.

"Dans les médias nationaux chinois, la fréquence du sujet [Nouvelle route de la Soie] a beaucoup diminué ces dernières années, en partie pour minimiser les ambitions d'expansion de la Chine à l'étranger", déclare le professeur Chen [Chen Zhiwu de l'université de Hong Kong].

 

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https://www.youtube.com/watch?v=H6RlWqL2W8Y

17 avril 2018. Jessica Duhon. Vidéo de 9 minutes. J'ai passé un an dans un lycée à Anshan, Liaoning, en Chine (鞍山市第三中学) et c'est ce que font les étudiants là-bas au quotidien.

On notera la prise en compte des rythmes biologiques avec exercice physique le matin et sieste l'après-midi.

https://www.youtube.com/watch?v=PNZ-u21kVCI

4 mars 2018. Jared. Chinese High School Student VS. Western High School Student

Caricature de 4 minutes qui compare la discipline quasi-militaire dans les lycées chinois avec le laxisme occidental.

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Jack Ma en disgrâce ?

https://time.com/5926062/jack-ma/ (4 janvier 2020)

Puis, à la fin de la semaine dernière, Ma a été remplacée par un autre cadre d'Alibaba pour le dernier épisode télévisé d'un concours de talents commerciaux qu'il dirigeait, sa photo ayant été retirée de la galerie des juges. Ma n'a pas été vu en public depuis au moins deux mois. Un porte-parole d'Alibaba a refusé de commenter ses déplacements lorsqu'il a été contacté par Time.

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https://chinamediaproject.org/2020/12/18/a-toilet-revolution-security-and-privacy/ (18 décembre 2020)

En novembre, deux mois seulement après la publication "largement ignorée", en septembre, d'un nouveau projet de loi sur la sécurité des données, une affaire qui a fait date a statué qu'il était illégal pour le zoo de la ville de Hangzhou de collecter des données biométriques faciales des visiteurs sans leur consentement. De plus, les médias chinois ont récemment fait état d'une hausse de l'utilisation généralisée et injustifiée de technologies telles que la reconnaissance faciale. La nouvelle, fin novembre, selon laquelle des sociétés immobilières collectaient secrètement des informations sur leurs clients grâce à la reconnaissance faciale a suscité une colère générale.

Plusieurs villes, dont Tianjin et Nankin, ont déjà ordonné des restrictions sur les applications publiques de la technologie de reconnaissance faciale, en réponse à l'inquiétude croissante du public. Dans une enquête publiée il y a un an par le Southern Metropolis Daily de Guangzhou, plus de 70 % des personnes interrogées ont exprimé leur inquiétude quant à la possibilité de fuite et d'abus des données biométriques personnelles recueillies par la technologie de reconnaissance faciale dans les lieux publics.

Modifié par Wallaby
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Le réalisateur japonais Ryo Takeuchi (たけうちりょう), qui parle couramment chinois et habite à Nanjing, a réalisé un documentaire de 30 minutes intitulé "Ere post-pendémie" sur comment les Chinois ont combattu le COVID-19 à travers plusieurs cas d'études.

Il a été motivé par un courrier qu'il a reçu, où un ami lui demande : "Comment les Chinois ont fait ?"

A voir :

https://www.youtube.com/watch?v=J7qbY_dfHcM

Henri K.

Modifié par Henri K.
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Citation

À Hong-Kong, 1 logement vendu sur 8 est un nano-appartement… et ce sont des familles qui y vivent

En quelques années, le nombre de nano-appartements (de 24 m² ou moins) a explosé à Hong Kong, où l’immobilier est considéré comme le plus cher du monde. Malgré les plaintes de plusieurs associations, les autorités locales ne comptent pas légiférer pour limiter la construction de ces minuscules logements.

En 2010, seuls 0,02% des logements vendus à Hong Kong étaient des nano-appartements. Dix ans plus tard, d’après les calculs de l’ONG Liber Research Community, le taux est monté à 12,9%. En 2019, plus d’un logement vendu sur huit était donc un appartement de 24 m² ou moins. Les données pour 2020 ne sont pas encore connues, mais l’association pense que le boom a continué, indique le South China Morning Post.

La Liber Research Community a analysé 8.550 nano-appartements, construits entre 2010 et 2019. Aucun d’entre eux ne possédait à la fois une cuisine ouverte et une chambre séparée. Pire, 70% d’entre eux n’ont aucune fenêtre dans la salle de bains. Notons que 80% de ces nano-appartements disposent d’un petit balcon, ce qui fait gonfler leur prix sans pour autant augmenter leur surface habitable.

Pour s’acheter un nano-appartement, il faut débourser plusieurs millions de dollars de Hong Kong, soit plusieurs centaines de milliers d’euros. Les plus chers se vendent à 5 millions de HKD. C’est plus de 500.000 euros. Autant dire que ce ne sont pas (du tout) les personnes les plus pauvres qui les achètent.

"Nous avons remarqué qu’il y a une certaine demande de la part des petites familles et des jeunes aspirants propriétaire", a confirmé Henderson Land Development, le promoteur numéro un des nano-appartements hongkongais.

Les personnes aux revenus les plus modestes doivent, elles, se contenter de ‘maisons cercueils’, dont la superficie va de 1 à 9 m². On estime que 200.000 personnes habitent actuellement dans ce type de logement.

La Liber Research Community pointe les autorités du doigt. L’ONG estime qu’elles sont responsables de la situation. Pour résoudre le problème du manque de terrains constructibles par rapport à l’accroissement de la population, elles ont voté une loi obligeant les promoteurs à construire un certain nombre – élevé – d’appartements sur chaque terrain acheté. Le gouvernement a également assoupli des réglementations relatives à la superficie et aux facilités des logements.

Face à cette demande, le Bureau de développement, l’organisme en charge de l’urbanisme hongkongais, a répondu qu’il ne comptait pas imposer dans un futur proche de nouvelles réglementations visant à limiter l’essor des nano-appartements. Il dit préférer prioriser ce type d’appartement, qui satisfait tout de même les besoin de base des habitants, plutôt que de miser sur la construction de logements comportant de plus grands espaces de vie. Les autorités ne se concentreront sur cette seconde catégorie que sur le long terme, une fois que la pénurie de terrains se sera atténuée.

MSN.com

 

Modifié par Kiriyama
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Il y a 5 heures, Kiriyama a dit :

Les personnes aux revenus les plus modestes doivent, elles, se contenter de ‘maisons cercueils’, dont la superficie va de 1 à 9 m². On estime que 200.000 personnes habitent actuellement dans ce type de logement.

 

matrixnet.gif

Vivement la matrice...

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https://www.taiwannews.com.tw/en/news/4093806 (4 janvier 2021)

Le dernier post de Ma sur les médias sociaux a été mis en ligne le 17 octobre, lorsqu'il a publié sur sa page Weibo une photo d'un échange d'idées sur l'éducation avec 100 principes provenant d'écoles primaires et secondaires célèbres en Chine. La fin abrupte de ses posts sur Weibo est considérée par certains comme suspecte, car il avait auparavant téléchargé plusieurs posts chaque mois.

Le gouvernement chinois a une longue histoire de mesures impitoyables contre ses détracteurs nationaux. En mars dernier, le magnat de l'immobilier Ren Zhiqiang (任志強) a disparu après avoir traité le président chinois Xi Jinping (習近平) de "clown" pour sa mauvaise gestion de l'épidémie de coronavirus de Wuhan.

Six mois plus tard, il a "avoué volontairement et sincèrement" des crimes de corruption et a été condamné à 18 ans de prison. De plus, en janvier 2017, le financier milliardaire et propriétaire de Tomorrow Holding, Xiao Jianhua (肖建華), a été enlevé dans sa chambre d'hôtel à Hong Kong et emmené en Chine. En septembre 2018, le South China Morning Post a annoncé qu'il serait jugé à Shanghai pour "manipulation des marchés boursiers et des marchés à terme" et "offre de pots-de-vin au nom d'institutions".

Je me demande ce que va devenir la ligne éditoriale du South China Morning Post maintenant que son propriétaire Jack Ma a "disparu".

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https://www.francetvinfo.fr/monde/chine/chine-un-ex-grand-patron-condamne-a-mort-une-premiere-depuis-2016_4245423.html#xtatc=INT-1

Chine : un ex-grand patron condamné à mort, une première depuis 2016

Lai Xiaomin, ancien patron du conglomérat financier China Huarong, a été notamment reconnu coupable de corruption, pour avoir obtenu 215 millions d'euros de pots-de-vin et tenté d'en obtenir 13 millions supplémentaires (et de bigamie :huh:)

 

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http://www.slate.fr/story/195560/ren-zhiqiang-millardaire-dissident-xi-jinping-condamne-prison-pekin-chine-clown-critique-parti-communiste (1er octobre 2020)

Mais, depuis 2012, Ren Zhiqiang est devenu célèbre grâce à son activité de blogueur sur deux sites, Sina Weibo et Tencent Weibo. Il est suivi par 38 millions d'abonné·es, ce qui est considérable même dans un pays d'1,4 milliard de personnes. Il critique régulièrement le pouvoir communiste, ce qui lui vaut le surnom de «dapao» («le canon»). Mais en 2016, il va aller trop loin.

Cette année-là, le président Xi Jinping visite les locaux de la CCTV, la télévision centrale à Pékin, puis ceux de l'agence de presse Chine nouvelle et rappelle sa vision des médias: leur rôle est de «protéger l'autorité du parti» et les informations qu'ils donnent doivent donc être conformes à la ligne fixée par le parti. Ren Zhiqiang commente ces visites en écrivant: «Cessez d'utiliser l'argent des contribuables pour une information qui ne leur sert à rien.» Aussitôt, l'Administration du cyberespace chinois estime qu'il y a là une «publication d'informations illégales» et les comptes de Ren Zhiqiang sur Sina et Tencent sont supprimés pour une durée d'un an.

Par rapport à cette sanction de 2016, ce que publie Ren Zhiqiang en 2020 apparaît, aux yeux des dirigeants chinois, comme une grave récidive. Il est donc placé officiellement, en avril, sous enquête pour «graves violation de la discipline et de la loi», la formule qu'utilise la justice chinoise pour viser des malversations financières.

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https://insideclimatenews.org/news/20112019/china-ramps-coal-power-despite-pressure-cut-emissions/ (20 novembre 2019)

La Chine est sur le point d'ajouter de nouvelles centrales électriques au charbon équivalant à la capacité totale de l'Union européenne afin de stimuler son économie en ralentissement, malgré la pression mondiale exercée sur le plus grand consommateur d'énergie au monde pour qu'il limite ses émissions de carbone.

Dans tout le pays, 148 gigawatts de centrales au charbon sont en cours de construction ou sur le point de commencer, selon un rapport de Global Energy Monitor, un groupe à but non lucratif qui surveille les centrales au charbon. La capacité actuelle de l'ensemble du parc charbonnier de l'UE est de 149 GW.

Alors que le reste du monde a largement réduit sa capacité de production d'électricité au charbon au cours des deux dernières années, la Chine construit tellement de nouvelles centrales au charbon qu'elle fait plus que compenser le déclin observé ailleurs.

Les inquiétudes concernant la pollution de l'air et le surinvestissement dans le charbon ont incité la Chine à suspendre la construction de centaines de centrales au charbon en 2016. Mais beaucoup ont été relancées depuis, car Pékin cherche à stimuler une économie dont la croissance est la plus faible depuis le début des années 1990.

Les émissions de gaz à effet de serre du pays augmentent progressivement depuis 2016 et ont atteint un niveau record l'année dernière.

https://www.ft.com/content/be1250c6-0c4d-11ea-b2d6-9bf4d1957a67 (Climate change: how China moved from leader to laggard, 25 novembre 2019)

"L'élan général sur les questions de climat et d'environnement a diminué [en Chine]", déclare Li Shuo, conseiller principal en politique mondiale à Greenpeace. Le changement climatique est devenu une priorité moindre pour Pékin. "Il y a moins de place pour l'agenda vert", dit-il.

L'investissement de la Chine dans les énergies renouvelables a chuté de 39 % au cours du premier semestre de cette année [2019], par rapport à la même période en 2018, selon les données de Bloomberg New Energy Finance. Pékin a retiré les subventions pour les projets de panneaux solaires au milieu de l'année dernière, et réduit celles pour l'énergie éolienne, provoquant un changement brutal.

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Il y a 9 heures, Wallaby a dit :

https://insideclimatenews.org/news/20112019/china-ramps-coal-power-despite-pressure-cut-emissions/ (20 novembre 2019)

La Chine est sur le point d'ajouter de nouvelles centrales électriques au charbon équivalant à la capacité totale de l'Union européenne afin de stimuler son économie en ralentissement, malgré la pression mondiale exercée sur le plus grand consommateur d'énergie au monde pour qu'il limite ses émissions de carbone.

Dans tout le pays, 148 gigawatts de centrales au charbon sont en cours de construction ou sur le point de commencer, selon un rapport de Global Energy Monitor, un groupe à but non lucratif qui surveille les centrales au charbon. La capacité actuelle de l'ensemble du parc charbonnier de l'UE est de 149 GW.

Alors que le reste du monde a largement réduit sa capacité de production d'électricité au charbon au cours des deux dernières années, la Chine construit tellement de nouvelles centrales au charbon qu'elle fait plus que compenser le déclin observé ailleurs.

Les inquiétudes concernant la pollution de l'air et le surinvestissement dans le charbon ont incité la Chine à suspendre la construction de centaines de centrales au charbon en 2016. Mais beaucoup ont été relancées depuis, car Pékin cherche à stimuler une économie dont la croissance est la plus faible depuis le début des années 1990.

Les émissions de gaz à effet de serre du pays augmentent progressivement depuis 2016 et ont atteint un niveau record l'année dernière.

https://www.ft.com/content/be1250c6-0c4d-11ea-b2d6-9bf4d1957a67 (Climate change: how China moved from leader to laggard, 25 novembre 2019)

"L'élan général sur les questions de climat et d'environnement a diminué [en Chine]", déclare Li Shuo, conseiller principal en politique mondiale à Greenpeace. Le changement climatique est devenu une priorité moindre pour Pékin. "Il y a moins de place pour l'agenda vert", dit-il.

L'investissement de la Chine dans les énergies renouvelables a chuté de 39 % au cours du premier semestre de cette année [2019], par rapport à la même période en 2018, selon les données de Bloomberg New Energy Finance. Pékin a retiré les subventions pour les projets de panneaux solaires au milieu de l'année dernière, et réduit celles pour l'énergie éolienne, provoquant un changement brutal.

C'est le même pays qui était champion des déplacements "verts" (à vélo) et qui s'est épris d'une boulimie de bagnoles. Espérons que les nouvelles centrales seront moins polluantes que les anciennes (on peut rêver, non ?).

Il y a 6 heures, Henri K. a dit :

Un journaliste de BBC à Pékin il y a 3 jours :

https://youtu.be/udr4CMj2Cb0

Et ?? C'est vraiment de la propagande à 2 balles (je parle de ton message, pas du "reportage", qui aurait pu être fait à Paris aussi...).

Merci aussi pour la jolie réécriture historique ("annule et remplace" ! Eh bien voyons...) et défensive de l'histoire de l'OMS et de la COVID-19, qui omet aimablement certaines des communications outrageusement maladroites (pour être gentil) de l'organisation début 2020 ; j'ai un bon souvenir du message disant que les masques, bon, ça ne servait probablement à rien pour les bien portants, et de celui rappelant qu'on était vraiment pas certains que ça se transmettait d'homme à homme. Ceux là ont fait du mal.

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