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Conflit du Sahara Occidental


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<des preuves ou c'est juste du trolling qui est punissable sur ce forum ?>

ce n'est pas du trolling c'est des rumeurs, il y qu'a voir dans ces vidéos comment il vante le Maroc et dénigre l'Algérie

en tout cas ce qui est sur c'est qu'il porte pas l'Algérie dans son coeur

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Laurent Fabius a-t-il fait une inflexion de la position française sur la question sahraouie ?

Le chef de la diplomatie française estime que l'objectif de relancer le partenariat franco-algérien est « pleinement atteint ». Outre les relations entre Paris et Alger, les dossiers internationaux ont également été abordés pendant cette visite. La situation en Syrie, au Mali, ainsi que la délicate question du Sahara occidental. L'Algérie soutient le front Polisario qui revendique l'indépendance de cette ancienne colonie espagnole occupée depuis une trentaine d'années par le Maroc.

A Alger, Laurent Fabius s'est bien gardé de faire référence au plan d'autonomie marocain proposé par Rabat pour régler la question du Sahara occidental. Le ministre français des Affaires étrangères a simplement précisé que la position française était celle défendue par les Nations unies.

En mai dernier, le souverain marocain était le premier visiteur reçu à l'Elysée par François Hollande tout juste installé. Quelques jours plus tôt la France avait réaffirmé son appui à la stratégie du souverain marocain en jugeant que son plan d'autonomie était la seule proposition réaliste et constituait la base sérieuse et crédible d'une solution dans le cadre des Nations unies.

« Il n'y a aucune contradiction, fait on valoir aujourd'hui au Quai d'Orsay, le plan d'autonomie est une bonne solution mais cela relève de l'Onu ». En se référant aux Nations unies, un spectre suffisamment large, Paris évite de jouer les uns contre les autres et ne ferme aucune porte.

En fait le règlement du conflit entre Sahraouis et Marocains a peu de chance d'aboutir avec les Nations unies, qui depuis vingt ans n'ont pas réussi à désensabler l'épineux dossier. « Il ne faut pas se leurrer , dit un responsable du Quai d'Orsay, la solution passera par une réconciliation entre l'Algérie et le Maroc ». A Alger, Laurent Fabius a insisté sur la dynamique de rapprochement engagée entre ces deux nations du Maghreb en proposant même, si les Algériens et les Marocains le souhaitaient, l'aide de la France.

www.rfi.fr/afrique/20120718-laurent-fabius-il-fait-une-inflexion-position-francaise-question-sahraouie

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ce n'est pas du trolling c'est des rumeurs, il y qu'a voir dans ces vidéos comment il vante le Maroc et dénigre l'Algérie

en tout cas ce qui est sur c'est qu'il porte pas l'Algérie dans son coeur

Ce qui est sur c'est que tu dénigres surtout les réalités historiques d'un historien qui ma foi a l'air de connaitre son sujet ... Surement qu'au niveau politique elles ne t'arrangent pas

L'Onu est elle une horrible agence d'oppression de l'algérie ? Allons ...

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Je soutiens Fifou, il a tout à fait raison sur Lugan.

C'est un personnage sujet à caution et connu des milieux d’extrême droite.

Ses "thèses" sont souvent décrié et c'est un personnage quelque peu sulfureux du milieu universitaire.

J'ai toujours été étonné de le voir cité ici sans que personne ne réagisse...

Ses articles étant toujours plus ou moins orientés, rarement objectifs.

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Ce qui est sur c'est que tu dénigres surtout les réalités historiques d'un historien qui ma foi a l'air de connaitre son sujet ... Surement qu'au niveau politique elles ne t'arrangent pas

réalité historique ? l'onu et la coure international ne reconnaissent aucune souverainté marocaine sur le sahara occidental et le maroc n'a jamais pu apporté la moindre preuve de ça souverainté sur le sahara occidental ça c'est une réalité historique !

donc si le maroc avec tout ces effort n'a pas réussi a apporter la moindre preuve sur ça souveraineté sur le Sahara occidental et que des rois du maroc par le passé on signer des traité internationaux délimitant le territoire marocain sans le Sahara occidental et affirmant que le sahara occidental n'a jamais fait partie de leurs royaume et qu'ils n'ont jamais pu assujettir ça population alors comment se Lugan peut affirme que le sahara occidental était historiquement marocain ?  :P

ça prouve que c'est un charlatant ! lorsqu'on affirme une chose on apporte des preuve , lui il ne fait qu'affirmé des truc sans apporté la moindre preuve .

- l'union africaine qui vient d'élire un nouveau président en la personne de mme Zuma la femme du président sud-africain (rappelons que le Maroc ne fait pas partie de cette union africaine vu que l'Afrique du Sud, le Nigéria ect... voit le Sahara Occidental comme la dernière décolonisation d'Afrique

en effet bonne remarque c'est passé inaperçue mais cette nomination a la tête de l'UA d'une fervente défenseuse des droits du peuple sahraoui risque de ruiné les effort d'ouverture du Maroc vers les pays africains entamé depuis quelques années déjà , l’Afrique du sud a beaucoup gagner en affluence sur le cantinant africain , c'est dailleurs le principal candidat africain a un siège du conseil de sécurité de l'ONU pour son projet d’extension .

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C'est un personnage sujet à caution et connu des milieux d’extrême droite.

Ses "thèses" sont souvent décrié et c'est un personnage quelque peu sulfureux du milieu universitaire.

À la différence de nombreux auteurs, en effet, il ne cache pas son passé, ses amitiés pour l'Action Française. Avec lui, c'est explicite. A la différences d'autres qui se parent "d'objectivité".

S'il est sulfureux, c'est parcequ'il vomi le milieu universitaire des Humanités tel qu'il devient. Doit-on lui reprocher de défendre ses opinions. Ce qui compte, ce sont ses analyses. Or, dans celles-ci, il n'y a pas beaucoup d'extrême-droitisme. Il est ethnodifferentialiste ce qui fait "chier" tout ceux qui croient en l'homme universel. Mais, au regard des événements, ses analyses ne sont pas trop remisent en cause.

J'ai toujours été étonné de le voir cité ici sans que personne ne réagisse...

Peut-être que l'on ne réagit pas dès lors que:

1- l'on s'en fout.

2- l'on ne fait pas de procès d'intention.

Ses articles étant toujours plus ou moins orientés, rarement objectifs.

T'as déjà lu un article de Le Monde, des Inrokuptibles, de Rue-89, Libé, Médiapart qui soit objectif.

Ne devrait-on pas mettre à l'index toutes les sources sujettes à caution. L'extrême-droite bien sûr mais aussi ceux au passé trotskiste. Cela réduirait les sources à peau de chagrin.

D'ailleurs, je proposerais d'organiser des débat sur l'Afrique dans les grands pôles universitaires qui forment nos élites éclairées. Genre la Sorbonne, Science-Po... Ce pourrait être drôle

Pour ma part, je ne connais pas grand monde qui ait une connaissance aussi étendue de l'Afrique et qui publie un mensuel intelligible du commun des mortels.

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réalité historique ? l'onu et la coure international ne reconnaissent aucune souverainté marocaine sur le sahara occidental et le maroc n'a jamais pu apporté la moindre preuve de ça souverainté sur le sahara occidental ça c'est une réalité historique !

donc si le maroc avec tout ces effort n'a pas réussi a apporter la moindre preuve sur ça souveraineté sur le Sahara occidental et que des rois du maroc par le passé on signer des traité internationaux délimitant le territoire marocain sans le Sahara occidental et affirmant que le sahara occidental n'a jamais fait partie de leurs royaume et qu'ils n'ont jamais pu assujettir ça population alors comment se Lugan peut affirme que le sahara occidental était historiquement marocain ? 

http://www.air-defense.net/forum/index.php/topic,14998.msg624371.html#msg624371

http://www.air-defense.net/forum/index.php/topic,14998.msg623741.html#msg623741

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...

Peut-être que l'on ne réagit pas dès lors que:

1- l'on s'en fout.

2- l'on ne fait pas de procès d'intention.

...

Ou l'on est pas au courant que les sources citées sont marginalisées  ;)

Comment s'offusquer lorsque l'on ne connait pas.

Perso je ne m’inquiète pas trop pour les universités françaises et leurs regard sur l’Afrique.

Nos cours sont pleins de fils de dignitaires africains ou de futurs profs de facultés africains. De plus beaucoup de prof ont une grande connaissance de l’Afrique car les liens restes forts et pas mal d'entre eux ont vécu un certain temps la bas ou font des recherches en rapport avec cette région du monde.

Quand des universitaires français vont à l'étranger pour des recherches c'est l’Europe ou l’Afrique, encore plus vrai pour toute une génération de prof actuellement en poste et très imprégné de "France-Afrique".

Donc je fait confiance aux universitaires pour ce qui est de ce continent.

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Ça doit être bon ça: la duplication même de la France afrique dès les cours en université.

J'imagine un cours fait par un fils d'un de nos présidents de la république dans une université asiatique. Ça doit donner une image pertinente de la France.

Édit:

Au moins, avoir des fils de dignitaires pour présenter les "biens mal acquis", ça doit être croustillant.

Ou le fils Kadhafi sur un sujet comme "Ethic et déontologie dans l'exercice du pouvoir".

Ce serait comme "S'élever par le mérite au service de ses concitoyens" par Jean Sarkozy.

Édit-2:

Je verrais bien un cycle assez ethnologique sur le thème:"L'amitié au cœur des sociétés africaines" avec comme intervenant les fils Pasqua, Mitterand et Thatcher. Ça en aurait de la gueule, non?

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Concernant Lugan franchement ...

Il suffit de lire au sujet des "travaux controversés"

http://fr.wikipedia.org/wiki/Bernard_Lugan

D'après Sophie Pontzeele, institutrice et militante d'extrême gauche, membre de Lutte ouvrière33 et sociologue de formation, Bernard Lugan ne choisirait que les sources favorables à sa conception des choses ...

Elles affirment que de nombreuses et importantes erreurs factuelles seraient présentes dans ses travaux31. Ainsi dans son compte rendu de l'ouvrage Le safari du Kaiser (écrit en collaboration avec Arnaud de Lagrange), René Pélissier parle de plusieurs dates fausses, d'une « méconnaissance de la situation locale » et décrit un livre au « parti hybride mi-romancé, mi-historique » marqué par la « nostalgie d'une « mystique teutonique »32 ». Il souligne cependant également le caractère unique des scènes ayant comme théâtre le Congo belge. Toutefois cet ouvrage n'a jamais été présenté par Bernard Lugan comme un travail scientifique universitaire mais comme une fresque historique romancée.

  Bref un truc qu'il n'a jamais avancé comme un travail scientifique mais un roman ...

Selon Catherine Coquery-Vidrovitch, professeur à l’Université Paris-VII et proche du Front de Gauche, Bernard Lugan « multiplie les ouvrages les plus tendancieux sur l’histoire de l’Afrique » et « vise à présenter la colonisation française comme un bienfait de l’humanité »

  Attaque d'universitaire oui, mais coco avant tout ...

 

Lors d'une invitation sur la chaîne télévisée Itélé, le journaliste Robert Menard a critiqué les propos de Bernard Lugan de « moralement insupportable » pour ses idées sur le plan de partage territoriale racialiste de l'Afrique du Sud et il rajoute et qualifie les dires de l'historien de « monstrueux » pour ce qu'il prétend d'un Nelson Mandela « ayant tout raté » et « n'ayant rien fait du tout »

  Robert ménard : monsieur j'ai donné des leçons pendant des années sur les droits de l'homme, puis du jour au lendemain je fais mon comming out frontiste ... Et qui aujourd'hui est ultra politisé quoiqu'il approche comme sujet

On se rend vite compte qu'il dérange avant tout chez les autres universitaires, ceux ma foi très marqués "politiquement" ... Pour qu'il dérange avant des gens fortement "politisés" et qui ont très certainement des visions de l'histoire qui va très certainement avec leur vision "politique" a eux aussi ...

On se demande bien alors sur quelles compétences il a été choisi a l'ONU ...

 

En 1969, Bernard Lugan est licencié d'histoire et de géographie à Paris X - Nanterre. Après avoir soutenu un mémoire de maîtrise sur l'histoire militaire coloniale sous la direction de Frédéric Mauro, il entame une thèse sur le soldat colonial au 18e siècle sous la direction d'André Corvisier, thèse qu'il abandonne deux ans plus tard pour partir comme coopérant au Rwanda5.

Il met un terme à ses activités politiques à la fin de l'année 1970. En 1971, sous la direction du professeur Frédéric Mauro, il soutient une maîtrise dont le titre est « La présence militaire française dans la vallée du Mississippi et dans le Centre-Ouest américain de 1699 à 1760 ». Éditée en 1994 sous une forme augmentée sous le titre Histoire de la Louisiane française (1682-1804). Perrin, voir la bibliographie.

De 1972 à 1982, il est coopérant au Rwanda, assistant d'histoire et de géographie à l'Université Nationale puis à celle de Butare dans l'équipe de Pierre Sirven et enfin à celle de Ruhengeri. En 1976, il obtient son doctorat de troisième cycle avec une thèse intitulée L'Économie d'échange au Rwanda de 1850 à 1914. En 1977, le CNU (Conseil national des universités) l'inscrit sur la Lafma (Liste d'aptitude à la fonction de maître-assistant).

En 1982, il est recruté à l'Université Jean-Moulin - Lyon-III, et passe l'année suivante sa thèse d'État Entre les servitudes de la houe et les sortilèges de la vache : le monde rural dans l'ancien Rwanda, sous la direction de Jean-Louis Miège (voir plus bas l'évaluation de sa thèse).

En 1985, il est maître-assistant à Lyon 3 (promu maître de conférences de 1re classe en 1990). Il entre au Conseil national des universités deux années plus tard.

En 1986, Bernard Lugan publie son premier ouvrage, consacré à l'Afrique du Sud. La revue L'Histoire lui aurait ouvert ses colonnes pour un débat contradictoire avec deux autres spécialistes de l'Afrique du Sud ayant publié récemment un ouvrage sur ce pays[réf. nécessaire].

En 1990, dans le quotidien Présent, il publie un Manifeste pour les libertés universitaires après que Bernard Notin eut publié un article révisionniste6 :

    « À Lyon, l'une des Universités a été sommée de se prononcer sur les thèses exprimées par l'un des siens dans une revue connue et de bonne tenue scientifique. […] Injonctions et pressions ont contraint le Président de l'Université à saisir la commission disciplinaire, dont la compétence est en l'occurrence douteuse. Nous appelons nos collègues […] à défendre les libertés universitaires contre l'insupportable police de la pensée. »

Le 10 octobre 1997, le Conseil d'État condamne l'État à verser à Bernard Lugan 10 000 francs de dommages et intérêts, et annule le recrutement de professeur d'histoire pour lequel sa candidature avait été indûment exclue (arrêt du Conseil d'État n°170341, rapporteur Valérie Pécresse)7.

En mars 2001, Bernard Lugan est promu « maître de conférences hors classe » sur le contingent de l'Université. « La décision provoque la colère des associations et même [...] une pétition signée par plus de cinquante africanistes français dont certains sont assez connus »8 (Rapport Rousso). Ils affirment dans la pétition :

    « Nous nous élevons avec vigueur contre cette distinction qui est susceptible de jeter le discrédit sur l'ensemble des études africanistes en France. En effet, qu'il s'agisse de l'Afrique du Sud, du Maroc ou de l'Afrique des Grands Lacs, les travaux de Bernard Lugan ne sont pas considérés comme scientifiques par la plus grande partie de la communauté universitaire. En revanche, à travers des articles élogieux et des interviews complaisantes, parus dans Minute, Présent et National Hebdo, ces travaux ont servi de support à des thèses défendant l'apartheid en Afrique du Sud, les fondements racialistes de l'histoire africaine et faisant l'apologie de la colonisation. Nous nous élevons donc contre cette promotion et demandons aux autorités compétentes de suspendre son application. »8

Ces universitaires, qualifiés d'« africanistes tiers-mondistes » par Lugan, dénoncent une « vision racialiste » de l'histoire (ses livres sur le Rwanda, le Maroc et l'Afrique du Sud sont visés).

Bernard Lugan a proposé un débat public et contradictoire aux signataires de la pétition9, sans obtenir de réponse. Il a réitéré cette offre sur les ondes de Radio Courtoisie.

Gilles Guyot, président de l'université Lyon III dénoncera une « querelle d'africanistes jaloux », « parisiens », reconnaîtra que Lugan « a beaucoup d'ennemis dans la profession » et soutiendra la promotion approuvée par 13 voix sur 19 au nom de la liberté de pensée universitaire (interview à M Lyon de novembre 2001). Lugan commente : « En France, la compétence n'est pas reconnue, il faut être pédé, franc-maçon, ou syndicaliste de gauche pour progresser10. »

En 2001, Bernard Lugan est promu au dernier grade de la grille de « maître de conférences » sur le contingent de l'Université Jean-Moulin de Lyon.

Entre 1990 et 2002, Bernard Lugan a intenté et gagné plusieurs procès pour diffamation à l'encontre de diverses publications et personnalités qui l'avaient qualifié notamment de « révisionniste » ou de « négationniste »11.

Ah oui quand même ... Ceux qui l'on recruté a l'ONU sur une vision apolitique des choses on surement vu les choses "autrement"

 

Bon perso, on me fera pas un procès pour militantisme ED hein ... Mais je pense qu'il y a des gens qui sont difficilement capable de faire la part des choses entre politique et travail sur l'histoire

D'autant + que l'histoire ne sera jamais une science exacte, par contre elle n'a pas a être secouée dans tout les sens dès qu'elles ne plaisent pas "politiquement" a certains ... D'autant que ces travaux pour lesquels on lui rentre dans le lard "a gauche" en France : n'ont pas grand chose a voir avec ce qu'il dit du sahara occidental ...

Controversé ? Par des militants politiques ça on l'a vu ...

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...

Controversé ? Par des militants politiques ça on l'a vu ...

Pas que.

S'ils sont mis en avant sur sa page wiki ce n'est pas pour rien, c'est une petite manipulation "sympathique" pour discréditer ces détracteurs qui ne se résume franchement pas qu'a ceux suscités.

Un prof d'université, à moins d'être très engagé, ne dira jamais directement "lui c'est un naze trop orienté politiquement", ou dans une conversation privée.

Mais si un étudient le cite comme source, le prof lui dira de faire attention car ses travaux ne sont pas reconnu comme source de premier choix et qu'il faut très bien connaitre son sujet pour savoir faire la part des chose, car tout n'est pas à jeter mais pas utilisable tel quel non plus.

C'est surtout pour cela que ces sources sont sujettes à caution, car l'universitaire peut faire la part des choses, mais lorsqu'il s'agit de vulgariser pour un plus large publique ce n'est pas honnête, car ce même "grand publique" n'est pas à même de savoir ou s’arrête l'information de l'idéologie.

Maintenant que c'est dit et que tout le monde a prit connaissance de la situation, à chacun de trouver le juste milieu.

C'est surtout ça que je reproche. Quand on cite une source de manière régulière, expliquez un minimum de quoi il en retourne, que les gens ne soit pas béa de naïveté devant une source, c'est déloyale sinon  =|

Après je ne remet pas en cause le fait que se soit un grand spécialiste de l'Afrique ;)

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Je connaissais pas son background faf, n'empeche je connais aussi l'Afrique, les berberes, les arabes et autres ethnies dont il parle librement donc j'ai pu me faire une idée tout seul sur ses thèses : c'est sur elles ont le mérite d'exister, mais c'est extremement orienté pas la peine d'etre coco ou "proche FDG" (lol@précision) pour s'en rendre compte. C'est une vision racialiste, biaisée et au moins aussi idéologisée si ce n'est plus que celle des affreux "humanistes" et autres "universalistes".

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Je connaissais pas son background faf, n'empeche je connais aussi l'Afrique, les berberes, les arabes et autres ethnies dont il parle librement donc j'ai pu me faire une idée tout seul sur ses thèses : c'est sur elles ont le mérite d'exister, mais c'est extremement orienté pas la peine d'etre coco ou "proche FDG" (lol@précision) pour s'en rendre compte. C'est une vision racialiste, biaisée et au moins aussi idéologisée si ce n'est plus que celle des affreux "humanistes" et autres "universalistes".

Heu, qu'elle soit racialiste, peu diront le contraire, mais de là à la traiter de biaisée, désolé mais c'est un avis perso, rien de plus...

Donc, pour repartir sur le sujet du Sahara occidental, j'aimerais bien avoir les avis de ceux qui traitent Lugan de la sorte concernant un certain Maurice Barbier : Oseraient-ils traiter sa vision de biaisée? Ne jure-t-il pas par la souveraineté "à la prussienne" de la même manière que Lugan jure par les liens traditionnels? ;)

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  • 1 month later...

Sahara Occidental : La présidente du Centre Kennedy accuse la DST marocaine de violences

Mme Kerry Kennedy, la présidente du Centre Kennedy pour la justice et les droits de l’Homme vient d’ouvrir un nouveau front d’hostilité avec les autorités marocaines en attaquant l’action de la DST marocaine à Laâyoune. Elle l'accuse d'avoir frappé une militante sahraouie.

La DST en train d'empêcher la délégation de prendre des photos, selon Kerry Kennedy :

Image IPB

Soukaina Jed Ahlou, président du Forum de la femme saharaouie, aurait été frappée par les forces de l'ordre marocaines :

Image IPB

Que le gouvernement marocain ne s’attende pas à un rapport équitable de la part de la présidente du Centre Robert Kennedy sur sa visite au Sahara. Avant même d'avoir terminé sa tournée dans la région, Mme Kerry Kennedy a déjà donné le ton. Elle vient de publier, alors qu’elle se trouvait encore à Laâyoune, un article avec photos à l’appui, sur l'Huffingtonpost. Elle accuse ouvertement les services secrets marocains (DST) de vouloir empêcher des saharaouis de la rencontrer, de recourir systématiquement à la violence contre les sympathisants du Polisario et de la suivre durant ses multiples déplacements dans la ville.

Des victimes de violences racontent

Mme Kennedy raconte qu’une personne qu’elle présente comme étant membre de la DST a tenté d’arracher des mains de sa fille, Mariah, 17 ans, une caméra alors qu’elle prenait des images d’une femme tabassée par des membres des forces de l’ordre. Suite à cet incident, Mme Kenndey a écrit que des membres de la délégation ont visité l’hôpital principal de Laâyoune, l'hôpital Moulay Hassan Belmehdi, pour prendre des nouvelles de la santé de la victime qui n’est autre que Soukaine Jed Ahlou, présidente du Forum de la femme saharaouie.

La version marocaine de cet incident parle plutôt de « simulacre d’évanouissement sur la voie publique dans la ville de Laâyoune, au passage du cortège d’une délégation de la Fondation Robert-Kennedy pour la justice et les droits de l’homme. » Dans son article, la présidente du Centre Robert Kennedy a oublié de mentionner la fonction qu’exerce sa fille au sein d’une mission d’observateurs des droits de l’Homme au Sahara et dans les camps de Tindouf.

Eloges à Aminatou Haidar

Pour l’Américaine, ce cas de violence dont elle a été témoin « est loin d’être un cas isolé. Nous avons rencontré une douzaine de femmes dont les fils et les maris ont été battus et sont toujours en prison pour leur activisme non-violent. Nous avons rencontré un groupe d'avocats qui a dit que depuis 1999, ils ont représenté plus de 500 cas comme celui que nous avons vu aujourd'hui : « les manifestants non-violents meurtris, ensanglantés, et, trop souvent, assassinés - et toujours, toujours accusés de crimes. Pendant toutes ces années, les tribunaux ont acquitté seulement trois victimes sahraouies », détail l'article.

Ne cachant nullement ses convictions en faveur de l’action des sympathisants du Polisario à Laâyoune, Mme Kerrey Kennedy n’a pas tari d’éloges sur Aminatou Haidar qu’elle qualifie de « Ghandie sahraouie », louant sa résistance non-violente pendant vingt ans à l’occupation marocaine de sa terre natale ». Le 25 août, la présidente du Centre Robert Kennedy et les autres observateurs qu’elle l’accompagne se sont réunis, dans le domicile d’Aminatou, avec une délégation de Polisariens de l’intérieur. La publication du rapport de la mission du ce Centre devrait coïncider avec le début des travaux de la 4e commission de l’ONU consacrée à la décolonisation, le dossier du Sahara y figure en bonne place.

http://www.yabiladi.com/articles/details/12639/sahara-presidente-centre-kennedy-accuse.html

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en gros selon moi cette occupation c'est le résultat:

d'une espagne qui n'a pas joué son rôle en son temps d'ancienne puissance colonisatrice et qui s'est désengagé de la pire manière.

d'un maroc d'alors comme d'aujourd'hui qui rêve en couleur d'annexer ce territoire dont d'un autre....

d'une haute trahison de chadli bendjadi, ancien clown président algérien qui avec notre plus grand traite belkhir ont, sous pression de la france, accepté " de demander" à la rasd un cessé le feu et relancer la chimère d'union du maghreb arabe.

et pour finir ce sera, le jour ou ce peuple saharoui va enfin devenir indépendant, la fin de cette famille régnante créé par lyautey.

ps: lugan, encore une beau spécimen qui bouffe à la diplomatie des palais et des cadeaux de notre ami le roi et son délire amazigh qu'il associé aux proto-sémitiques n'est qu'un élément de plus qui dévoile "ses travaux dirigés".

 

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de débâcle diplomatique en débâcle diplomatique pour le maroc  , l'ONU dit niet !   les accusations du maroc de partialité contre Christopher Ross sont injustifiée et ont était rejeté par l'ONU qui a réaffirmé qu'il n' y aura pas de changement.

cette article résume assé bien la situation

L'ONU ne cède pas aux pressions du Maroc sur le Sahara occidental

Par RFI

Ban Ki-moon dit «non» au roi du Maroc Mohammed VI. C’est ainsi que l’on pourrait résumer la décision des Nations unies: le secrétaire général de l’Onu, Ban Ki-moon, n’a pas cédé à la demande du Maroc de changer de médiateur sur le dossier du Sahara occidental. Dans un entretien téléphonique avec le roi Mohamed VI, Ban Ki-moon a expliqué qu’il n’y aurait pas de changement d’équipe.

Image IPB

L'émissaire spécial du secrétaire général de l'ONU, Christopher Ross.

(Photo : AFP)

Les termes du communiqué de l’Onu sont très clairs: les Nations unies n’ont pas l'intention de modifier les termes de leur médiation. Voilà ce qu’a dit, entre autres choses, Ban Ki-moon au roi du Maroc par téléphone. Autrement dit, Christopher Ross continuera à arbitrer les négociations entre le royaume chérifien et le Front Polisario pour décider à qui appartient le Sahara occidental.

Christopher Ross persona non grata

La demande du Maroc que le médiateur soit changé, n’a donc pas été retenue. En mai dernier le royaume avait retiré sa confiance à l’envoyé spécial de l’Onu, l’accusant de partialité après que l’un de ses rapports ait demandé à Rabat d’améliorer la situation des droits de l'homme dans la partie du Sahara qu’il contrôle.

Au Maroc les déclarations de Ban Ki-moon ont fait la Une de presque tous les journaux lundi 27 août 2012. Mais sur un dossier aussi sensible que le Sahara, la presse a souvent choisi de tourner à l’avantage du Maroc ce qui en réalité ressemble fort à un camouflet diplomatique.

Le quotidien indépendant Le Soir, par exemple, a ainsi titré «Le roi du Maroc prend les devants», ne retenant que les parties de la conversation téléphonique dans lesquelles Ban Ki-moon a félicité le Maroc pour sa contribution au travail de l’Onu. Du côté des officiels c’est silence radio. Aucun porte-parole n’a réagi lundi à la décision de l’Onu.

http://www.rfi.fr/afrique/20120828-sahara-occidental-maroc-onu-christopher-ross

malgré les efforts de la propagande de la presse marocaine entièrement contrôlé par le gouvernement marocain , le camouflet diplomatique est trop gros pour être détourné .

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en gros selon moi cette occupation c'est le résultat:

d'une espagne qui n'a pas joué son rôle en son temps d'ancienne puissance colonisatrice et qui s'est désengagé de la pire manière.

d'un maroc d'alors comme d'aujourd'hui qui rêve en couleur d'annexer ce territoire dont d'un autre....

d'une haute trahison de chadli bendjadi, ancien clown président algérien qui avec notre plus grand traite belkhir ont, sous pression de la france, accepté " de demander" à la rasd un cessé le feu et relancer la chimère d'union du maghreb arabe.

et pour finir ce sera, le jour ou ce peuple saharoui va enfin devenir indépendant, la fin de cette famille régnante créé par lyautey.

ps: lugan, encore une beau spécimen qui bouffe à la diplomatie des palais et des cadeaux de notre ami le roi et son délire amazigh qu'il associé aux proto-sémitiques n'est qu'un élément de plus qui dévoile "ses travaux dirigés".

 

Famille régnante crée par Lyautey ! rien que ça.

je comprend mieux ton aversion pour les historiens  :lol:

PGM

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@ Scorpion, salut,

soyons factuel, peux-tu svp me lister ces débacles successives du Maroc ? et corrélativement les gains engrangés par le Polz ?

Je parle d'etape stratégique et non des faits divers érigés en "triomphe"

PGM

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Sahara occidental

Kerry Kennedy : «Aminatou Haïdar est une héroïne»

Je suis heureuse d’être ici avec vous. Malgré les violations des droits de l’homme et les humiliations dont vous êtes victimes, vous êtes restées debout», a lancé Mme Kerry Kennedy devant un parterre de femmes sahraouies, hier, au siège de l’Union nationale des femmes sahraouies (UNFS) dans le camp de réfugiés de Tindouf. Mme Kennedy, présidente de la fondation Robert Kennedy pour la justice et les droits de l’homme, a chaudement salué la résistance des femmes sahraouies.

De notre envoyé spécial dans les camps

des réfugiés à Tindouf

Nous étions dans les territoires occupés où nous avons passé trois journées entières avec Aminatou Haïdar. Elle vous transmet ses chaleureuses salutations et vous dit qu’elle attend impatiemment le jour des retrouvailles. Aminatou Haïdar est une héroïne», a déclaré la présidente de la délégation aux femmes présentes, visiblement émues.

Les échanges entre les membres de la délégation américaine et les Sahraouies étaient chaleureux, humains. Et surtout émouvants, lorsque Mme Kennedy a demandé aux femmes de témoigner des violations des droits de l’homme : arrestations,  interdiction de visiter leurs familles dans les territoires occupés, victimes des mines antipersonnel, des maris et des fils disparus ou détenus dans les prisons marocaines….

Marselha Gonçalves Margerin, membre de la délégation et  directrice du plaidoyer au sein de la fondation, a fondu en larmes. Mme Kennedy leur a promis de consigner toutes les atteintes aux droits de l’homme dans le rapport qu’elle remettra aux Nations unies, à l’Union européenne, à l’Union africaine et aux gouvernements américain, français espagnol et marocain. La secrétaire générale de l’UNFS, Fatma El Mahdi, a évoqué le combat des femmes pour l’égalité au sein de la société sahraouie : «Nous sommes engagées dans le combat du peuple sahraoui pour son indépendance. Nous sommes aussi impliquées dans la construction d’une société où les femmes jouissent des mêmes droits que les hommes. Notre combat est partie intégrante de celui des femmes partout dans le monde.» Et de rappeler l’aspiration des Sahraouis à la liberté et leur attachement à la paix.

Mme Kennedy était accompagnée par le fondateur et président d’honneur de l’Organisation mondiale contre la torture (OMCT), le Suisse Eric Sottas, et la présidente de l’organisation Front-line, Mary Lawlor. La délégation avait entamé dès la matinée d’hier une visite dans les camps des réfugiés sahraouis pour s’enquérir de la situation des droits de l’homme.

«Toutes les portes nous étaient ouvertes»

Les membres de la délégation, dont la visite s’est déroulée dans une bonne ambiance, se sont entretenus avec les différents acteurs de la société civile. Ils ont rencontré des victimes de la répression marocaine, des activistes sahraouis expulsés des territoires occupés. Ils ont eu des échanges également avec des membres d’ONG telles que l’Association des parents des détenus et disparus sahraouis (Afapredesa) en présence d’avocats et de juges. L’ Afapredesa a saisi l’occasion pour exposer aux visiteurs étrangers les différentes violations des droits de l’homme dont sont victimes les Sahraouis dans les territoires occupés. L’Association a recensé 541 disparus, 68 détenus politiques et 151 détenus de guerre que le Maroc refuse de reconnaître. L’ Afapredesa, que préside Omar Abdessalam, a évoqué également les champs autour du mur de séparation qui regorgent de mines antipersonnel et présentent une menace permanente pour les populations. 

L’emblématique militante des droits de l’homme, Kerry Kennedy, a rencontré également des représentants de la Minurso et d’autres ONG internationales qui activent dans les camps des réfugiés, comme Médecins du monde.

Les membres de la délégation se sont déplacés dans les camps de réfugiés en toute liberté, sans présence sécuritaire remarquée et en l’absence d’officiels sahraouis. Ils ont pu échanger des propos avec des familles à l’intérieur des tentes, sous une chaleur caniculaire. Ils se sont même rendus dans la prison de droit commun où ils ont pu discuter avec les prisonniers en aparté. «Nous avons pu voir tout ce que nous avons demandé et ce que nous voulions voir, même une prison. La visite s’est déroulée dans d’excellentes conditions», nous a déclaré Eric Sottas, fondateur de l’OMCT.

Pour sa part, Marselha Gonçalves Margerin, directrice du plaidoyer au sein de la fondation, s’est dite satisfaite de cette visite dans les camps des réfugiés : «Toutes les portes étaient ouvertes devant nous. Nous avons pu obtenir tout ce que nous avons demandé malgré le manque de temps.»

La délégation s’est félicitée de l’organisation de la visite et de la réunion de toutes les conditions qui leur ont permis d’effectuer leur tournée dans les camps. En fin de visite, la délégation a été reçue par le président de la RASD, Mohamed Abdelaziz. Pour les Sahraouis, la visite de la fondation Kennedy dans les territoires occupés et dans les camps constitue une opportunité pour briser le mur de silence et remettre la question sahraouie sur le devant de la scène internationale, au moment où le gouvernement marocain torpille le processus de négociations en vue d’une solution définitive du dernier cas de colonisation sur le continent africain. La fondation Kennedy compte rendre public un rapport détaillé de sa visite «dans les plus brefs délais», a indiqué Kerry Kennedy, qui dit quitter les camps des réfugiés sahraouis «toute émue».

http://www.elwatan.com/international/kerry-kennedy-aminatou-haidar-est-une-heroine-30-08-2012-183629_112.php

Le Maroc dos au mur

Nouveau revers diplomatique pour le Maroc : le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, vient de renouveler sa confiance à son envoyé personnel pour le Sahara occidental, Christopher Ross. Le médiateur de l’ONU avait été jugé indésirable dans la région, en mai dernier, par le palais royal suite à ses déclarations jugées «partiales et déséquilibrées». Le rapport accablant dressé par M. Ross sur la situation des droits de l’homme au Sahara occidental et les tentatives répétées d’obstruction par le Maroc de la mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (Minurso) avaient fortement inspiré la résolution adoptée par le Conseil de sécurité de l’ONU, réaffirmant le principe de l’organisation d’un référendum d’autodétermination du peuple sahraoui.

Une résolution qui intervenait dans un contexte où le dossier du Sahara occidental a été pollué par des déclarations et positionnements de la part des soutiens traditionnels du royaume dont les plus actifs, l’ancien chef de gouvernement socialiste espagnol Zapatero ainsi que l’ancien président français Nicolas Sarkozy grassement payé en retour depuis sa disgrâce en se mettant sous l’aile bienfaitrice du palais royal.

Ces soutiens n’étant plus là aujourd’hui, suite aux changements de majorités intervenus en Espagne et en France, le roi est désormais nu comme un ver. Même le puissant allié américain s’est montré impuissant, ou en tout cas moins enclin à signer un chèque en blanc au Maroc sur le dossier du Sahara occidental. C’est le message qu’il faut retenir de la poursuite de la mission de Christopher Ross en tant qu’émissaire de l’ONU au Sahara occidental. Washington n’a formulé aucune objection et n’a rien fait alors qu’il pouvait allégrement opposer son veto par les canaux de la diplomatie parallèle pour que cet ancien diplomate américain, qui n’est pas dans les bonnes grâces du palais royal, rende le tablier.

Par ailleurs, les différents rounds de négociation entre le Front Polisario et le Maroc, qui se sont déroulés aux Etats-Unis ces derniers mois – qui ont tous débouché sur un échec programmé en raison de l’intransigeance de la partie marocaine qui refuse de discuter d’autre chose que de l’option de l’autonomie du Sahara occidental – ont certainement beaucoup contribué à une clarification des véritables enjeux de ce conflit. Privée du précieux soutien de ses puissants amis occidentaux qui lui ont permis de gagner du temps à défaut de pouvoir infléchir le cours de l’histoire, la diplomatie marocaine aura fort à faire dans les semaines et les mois à venir pour tenter de reprendre la main dans un dossier qui lui échappe désormais totalement.

Loin d’être le fruit d’un hasard du calendrier, les organisations non gouvernementales réinvestissent, elles aussi, avec force le terrain. A l’image de la délégation de l’influente fondation américaine Robert Kennedy qui effectue actuellement un séjour dans la région, avec à son agenda une visite dans les camps de réfugiés sahraouis de Tindouf, en Algérie. La cérémonie d’allégeance au roi, organisée il y a quelques jours avec un faste inégalé et un grand tapage médiatique au Maroc, dissimule mal le désarroi du palais royal face à son isolement diplomatique.

http://www.elwatan.com/edito/le-maroc-dos-au-mur-29-08-2012-183459_171.php

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Fin de la visite de Kerry Kennedy chez les réfugiés sahraouis

Un succès diplomatique pour Alger, la stratégie de Rabat contre le Polisario fragilisée

Kerry Kennedy, présidente du Centre américain Robert‑Kennedy pour la justice et les droits de l'Homme, a quitté Alger ce vendredi 31 août après une visite dans les camps de réfugiés sahraouis de Tindouf. Cette visite est intervenue après un séjour dans la ville d’El Ayoun, au Sahara occidental occupé. Mme Kennedy était à la tête d’une délégation de quatre organisations internationales des droits de l'Homme, ainsi qu'une juge du tribunal américain des droits de l'Homme.

Pour Alger, la venue dans les camps sahraouis de Kerry Kennedy avait presque valeur de test. Depuis l’enlèvement, le 22 octobre 2011, de trois humanitaires européens à Tindouf – ils ont été libérés le 18 juillet dernier par le Mujao au Mali –, Rabat a régulièrement mis en avant l’insécurité dans les camps sahraouis ainsi que des liens présumés entre les groupes terroristes islamistes et le Front Polisario. La décision, fin juillet dernier, de Madrid de retirer tous les travailleurs humanitaires espagnols des camps de réfugiés sahraouis de Tindouf par crainte d’attentats avait renforcé les thèses marocaines et affaibli la position de l’Algérie.

Quelques jours avant la visite de Kerry Kennedy à Tindouf, Rabat a tenté d’enfoncer le clou. Des médias proches du Maroc ont fait état d’un complot d’Aqmi, déjoué par la CIA, visant à enlever Kerry Kennedy à Tindouf. Une information largement reprise dans les médias marocains et même par des journaux algériens. « C'est une manipulation grossière qui porte la marque de fabrique de services connus dans le voisinage », accuse une source officielle algérienne qui s’est confiée à TSA. « Elle a lamentablement échoué puisque la délégation américaine a pu se rendre, comme prévu et en toute sécurité, dans la région de Tindouf où elle a pu rencontrer les responsables du Front Polisario et s'entretenir en toute liberté avec les refugies sahraouis », ajoute la même source, qui a requis l’anonymat.

« Dans les territoires sahraouis occupés, la délégation américaine a eu le loisir de constater de visu, en toute objectivité et en toute impartialité, les violations flagrantes et répétées des droits les plus élémentaires des citoyens sahraouis et ceci, bien entendu, a fortement déplu aux concepteurs de la mise en scène de la prétendue marocanité des "provinces du Sud" », précise‑t‑elle. Hier jeudi, l’agence officielle marocaine, citant un « document confidentiel » de la direction du Front Polisario rapporté par le journal Al‑Ittihad Al‑Ichtiraki, rapportait que les manifestations dans les camps de Tindouf ont été interdites durant la visite de la délégation de la Fondation Robert Kennedy.

http://www.tsa-algerie.com/diplomatie/un-succes-diplomatique-pour-alger-la-strategie-de-rabat-contre-le-polisario-fragilisee_21974.html
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Pour autant respectable qu'il puisse être, Michel Rocard ne dispose pas auprès de son pays du même poids dont dispose la famille Kennedy en Amérique. De plus, sur la question du Sahara occidental (comme dans beaucoup d'autres questions), les Etats-Unis jouent un rôle autrement plus important que certains pays européens, d'où  l'importance que revêt cette visite, qui survient dans un contexte délétère, marqué par une détérioration notable des rapports entre l'ONU et le régime marocain.

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Après sa visite à El Ayoun

Kerry Kennedy raconte la brutalité de la police secrète marocaine

À peine sa visite au Sahara occidental achevée, Kerry Kennedy, présidente du Centre Robert F. Kennedy (Centre RFK) pour la justice et les droits de l’Homme, a choisi le site internet américain Huffington Post pour publier son premier témoignage. Dans une contribution, elle décrit sans équivoque les méthodes des services de renseignement du gouvernement marocain pour contrôler les manifestations de certains activistes sahraouis.

Kerry Kennedy, qui a quitté Alger le vendredi 27 août après une visite dans les camps de réfugiés sahraouis de Tindouf, s’était rendue quelques jours plus tôt dans la ville d’El Ayoun, au Sahara occidental occupé. C’est dans cette localité que la fille de Robert F. Kennedy s'est retrouvée directement confrontée à ce qu’elle nomme « une poignée de brutes ».

 

Elle raconte comment ces hommes sont intervenus au moment où sa fille Maria tentait de photographier le passage à tabac de Soukaina Jed Ahlou, la présidente du Forum des femmes sahraouies. « Au moment où Maria les prenait en photo, ils ont essayé de dissimuler leurs visages. Deux de ces brutes se sont mises devant les vitres de notre voiture, bloquant en partie ce que nous pouvions voir du passage à tabac. Le troisième d’entre eux a insulté Maria et a saisi de la main son appareil photo ». 

 

Les hommes qui sont intervenus ne sont pas des inconnus pour les membres de la délégation du Centre RFK. Aminatou Haidar, lauréate du Prix RFK des droits de l’Homme en 2008, a reconnu l’un d’eux comme étant Al Hasoni Mohamed, le même homme qui avait interpellé son fils de treize ans en lui lançant : «  je vais te violer jusqu’à ce que tu sois paralysé ! »

 

L’intimidation verbale et physique a, semble‑t‑il, accompagné Kerry Kennedy et ses collègues tout au long de leur périple. Soukaina Jed Ahlou sera finalement conduite dans un hôpital où Kerry Kennedy retrouvera, quelques heures après l’incident, « une victime ensanglantée et meurtrie ». Le Bureau régional du gouvernement marocain, raconte Kerry Kennedy, a déclaré que Jed Ahlou n’avait pas été agressée et que cet incident n’était qu’une simple mise en scène.

 

Pourtant, explique Mme Kennedy, « pour nous, cela ne ressemblait pas à une mise en scène. Ses blessures, ses hématomes et son visage exsangue semblaient bien réels […] Nous sommes ici pour une semaine […] Nous avons eu un aperçu de ce qui se passe dès le premier jour ; il en reste encore sept ».

http://www.tsa-algerie.com/diplomatie/kerry-kennedy-raconte-la-brutalite-de-la-police-secrete-marocaine_21978.html

 

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Témoignage de Kerry Kennedy (President, Robert F. Kennedy Center for Justice and Human Rights) sur les graves violation contre les populations sahraouis dans les territoires Occupé par le maroc au sahara occidental

A Brush With Morocco's Secret Police in Laayoune, Moroccan-Occupied Western Sahara (PHOTOS)

27/08/2012

Despite his civilian dress, there was no mistaking his role in the secret police when he reached into our Toyota to block the Nikon lens of my 17-year-old daughter Mariah. She was recording the beating of a woman by his colleagues, uniformed and not. Mariah's shutter was too fast for him, so he lunged further to snatch the camera, grazing her face. Mariah was fine. The woman was not.

A few hours later, Front Line Defenders director Mary Lawlor and Eric Sottas, Founder of the World Organization Against Torture, went to the local hospital, where they visited the bloodied and bruised victim, Soukaina Jed Ahlou, President of Sahrawi Women Forum.

As witnesses, we were not alone. A handful of women in multicolored melhfas (the traditional Sahrawi garb, 20 feet of printed fabric wrapped around the body head to toe) surrounded their sister protester as the police harangued them. We saw one local policeman in a blue uniform. Then there were the handful of thugs, identified to us by local human-rights leaders as members of the DST, Morocco's secret police. In addition, there were the two plainclothes informants who had been following us all day. When Mariah took their pictures, they tried to shield their faces. Two of the brutes planted themselves in front of the windows of our car, partially blocking our view of the beating. The third one cursed Mariah, called her an unprintable name, and blocked her camera with his hand.

RFK Human Rights Award laureate Aminatou Haidar recognized the DST thugs immediately. One of them, mustachioed and bald, was Al Hasoni Mohamed, the same man who accosted her 13-year-old son, threatening, "I will rape till you're paralyzed."

Known as "the Sahrawi Gandhi," Aminatou is one of Western Sahara's most prominent human-rights defenders. For over 20 years she has been involved in nonviolent resistance against Morocco's occupation of her homeland. Moroccan authorities have illegally detained her, imprisoned her, beaten her, tortured her, and threatened her with death. She once spent four and a half years in isolation, blindfolded. Despite the abuse by officials, she considers Moroccan citizens her "brothers" and courageously maintains her commitment to nonviolence as she advocates for the release of prisoners of conscience, seeks to strengthen local human-rights-monitoring mechanisms, and demands that the referendum that would allow the people of Western Sahara to vote on their future, agreed to by all parties over two decades ago, finally takes place.

The violence we witnessed was not an isolated incident. We met a dozen women whose sons and husbands were beaten and remain in prison for their nonviolent activism. We met with a group of men who showed us home videos of nonviolent demonstrators being kicked and beaten with nightsticks by uniformed police and their ununiformed colleagues. We met with a group of lawyers who said that since 1999 they have represented over 500 cases just like the one we witnessed today: nonviolent protesters bruised, bloodied, and, all too often, murdered -- and always, always accused of some crime. Across all those years the courts have acquitted only three Sahrawi victims.

The regional office of the Moroccan government claimed that Jed Ahlou was not beaten, that the entire incident was a mere show. It didn't look like a show to us. Her wounds and her swollen, discolored face looked all too real.

PHOTOS:

Image IPB

Secret police reaching into our car, assaulting Mariah Kennedy-Cuomo, the photographer. Laayoune, Aug. 25, 2012.

Image IPB

Secret police blocking Mariah Kennedy-Cuomo from photographing the beating of a nonviolent protestor. Laayoune, Aug. 25, 2012. Photograph by Mariah Kennedy-Cuomo.

Image IPB

Uniformed police officer attacking nonviolent protestor. Laayoune, Aug. 25, 2012. Photograph by Mariah Kennedy-Cuomo.

Image IPB

Secret police in Laayoune trying to hide from being photographed following the assault of Mariah Kennedy-Cuomo and the beating of a nonviolent protestor. Laayoune, Aug. 25, 2012. Photograph by Mariah Kennedy-Cuomo.

Image IPB

The nonviolent protestor, Soukaina Jed Ahlou, who was attacked by Moroccan secret police. She has been released from the hospital since this photo was taken and remains under medical evaluation. Laayoune, Aug. 25, 2012. Photograph by Mary Lawlor

We are here for a week with a delegation from the Robert F. Kennedy Center for Justice and Human Rights to assess the human-rights situation in both Western Sahara and the Algerian refugee camps where displaced Sahrawi live. We had a first glimpse on day one; seven days to go.

The Members of the RFK Center Delegation are Kerry Kennedy, President, Robert F. Kennedy Center for Justice and Human Rights (USA); Mary Lawlor, Director, Front Line Defenders (Ireland); Margarette May Macaulay, Judge, Inter American Court; Judge (Jamaica); Marialina Marcucci, President, Robert F. Kennedy Center - Europe (Italy); Eric Sottas, former Secretary-General, World Organization Against Torture (Switzerland); María del Río, Board of Trustees, Fundación José Saramago (Spain); Santiago Canton, Director of the RFK Partners for Human Rights, Robert F. Kennedy Center for Justice and Human Rights (Argentina); Marselha Gonçalves Margerin, Advocacy Director, Robert F. Kennedy Center for Justice and Human Rights (Brazil); Stephanie Postar, Advocacy Assistant, Robert F. Kennedy Center for Justice and Human Rights (USA); and Mariah Kennedy-Cuomo (USA).

http://www.huffingtonpost.com/kerry-kennedy/morocco-secret-police-laayoune_b_1835223.html?fb_action_ids=10151211950840917&fb_action_types=og.recommends&fb_source=other_multiline&action_object_map={%2210151211950840917%22%3A10151043733891376}&action_type_map={%2210151211950840917%22%3A%22og.recommends%22}&action_ref_map=[]

google traduction

Une brosse avec la police secrète du Maroc à Laâyoune, Maroc-Sahara Occidental occupé (PHOTOS)

27/08/2012

En dépit de sa tenue civile, il n'y avait pas à s'y tromper son rôle dans la police secrète quand il a atteint dans notre Toyota pour bloquer la lentille Nikon de ma fille de 17 ans, Mariah. Elle a été l'enregistrement le battement d'une femme par ses collègues, en uniforme ou non. D'obturation de Mariah était trop rapide pour lui, alors il se précipita pour arracher encore la caméra, le pâturage son visage. Mariah était très bien. La femme n'était pas.

Quelques heures plus tard, Front Line Defenders directeur Mary Lawlor et Eric Sottas, fondateur de l'Organisation mondiale contre la torture, est allé à l'hôpital local, où ils ont visité la victime ensanglantée et meurtrie, Soukaina Jed Ahlou, président du Forum des Femmes sahraouies.

En tant que témoins, nous n'étions pas seuls. Une poignée de femmes dans melhfas multicolores (l'habit traditionnel sahraoui, de 20 pieds de tissu imprimé enroulé autour de la tête du corps aux pieds), entouré leur manifestant sœur que la police les harangua. Nous avons vu un policier local en uniforme bleu. Puis il ya eu une poignée de voyous, identifiés par les autorités locales pour nous des droits humains dirigeants en tant que membres de la DST, la police secrète du Maroc. En outre, il y avait les deux informateurs en civil qui avaient été nous suivent toute la journée. Quand Mariah a pris leurs photos, ils ont essayé de protéger leurs visages. Deux de ces bêtes se planter devant la fenêtre de notre voiture, bloquant partiellement la vue sur la raclée. Le troisième maudit Mariah, l'appelait un nom non imprimable, et a bloqué son appareil photo avec sa main.

RFK Human Rights Award lauréate Aminatou Haidar a reconnu les DST voyous immédiatement. L'un d'eux, moustachu et chauve, était Al Hasoni Mohamed, le même homme qui accostait son 13-year-old fils, menaçant: «Je vais violer jusqu'à ce que vous êtes paralysé."

Connu comme «le Gandhi sahraouie», Aminatou est l'un des Sahara occidental plus éminents défenseurs des droits humains. Depuis plus de 20 ans, elle a été impliquée dans la résistance non-violente contre l'occupation du Maroc de son pays natal. Les autorités marocaines ont illégalement détenue, emprisonnée, battue, torturée et menacée de mort. Elle a déjà passé quatre ans et demi en isolement, les yeux bandés. En dépit de l'abus par des fonctionnaires, elle considère les citoyens marocains son «frères» et maintient courageusement son engagement envers la non-violence comme elle plaide pour la libération des prisonniers de conscience, vise à renforcer les droits de l'homme locales des mécanismes de suivi et exige que le référendum qui serait permettre au peuple du Sahara occidental à se prononcer sur leur avenir, accepté par toutes les parties il ya deux décennies, prend enfin place.

La violence nous avons vu n'était pas un incident isolé. Nous avons rencontré une douzaine de femmes dont les fils et les maris ont été battus et sont toujours en prison pour leur activisme non-violent. Nous avons rencontré un groupe d'hommes qui nous ont montré vidéos maison de manifestants non-violents coups de pied et battu avec des matraques par des policiers en uniforme et leurs collègues ununiformed. Nous avons rencontré un groupe d'avocats qui a dit que depuis 1999, ils ont représenté plus de 500 cas comme celui que nous avons vu aujourd'hui: les manifestants non-violents meurtri, ensanglanté, et, trop souvent, assassiné - et toujours, toujours accusé d'un crime. À travers toutes ces années, les tribunaux ont acquitté seulement trois victimes sahraouies.

Le bureau régional du gouvernement marocain a affirmé que Jed Ahlou n'a pas été battu, que l'incident était un simple spectacle. Il ne ressemblait pas à un spectacle pour nous. Ses blessures et de son gonflées, le visage décoloré regardé que trop réel.

PHOTOS:

Image IPB

La police secrète atteindre dans notre voiture, agressé Mariah Kennedy-Cuomo, le photographe. Laâyoune, le 25 août 2012.

Image IPB

La police secrète blocage Mariah Kennedy Cuomo-de photographier le passage à tabac d'un manifestant non violent. Laâyoune, le 25 août 2012. Photographie de Mariah Kennedy Cuomo

Image IPB

Policier en uniforme attaquant manifestant non violent. Laâyoune, le 25 août 2012. Photographie de Mariah Kennedy Cuomo.

Image IPB

La police secrète à Laâyoune qui tentent de se cacher de se faire photographier après l'agression de Mariah Kennedy-Cuomo et le passage à tabac d'un manifestant non violent. Laâyoune, le 25 août 2012. Photographie de Mariah Kennedy Cuomo.

Image IPB

Le manifestant non violent, Soukaina Jed Ahlou, qui a été attaqué par la police secrète marocaine. Elle a été libérée de l'hôpital depuis cette photo a été prise et reste en cours d'évaluation médicale. Laâyoune, le 25 août 2012. Photographie par Mary Lawlor

Nous sommes ici pour une semaine avec une délégation du Centre Robert F. Kennedy pour la justice et droits de l'homme pour évaluer la situation des droits humains à la fois le Sahara occidental et les camps de réfugiés sahraouis en Algérie, où vivent déplacées. Nous avons eu un premier aperçu dès le premier jour, sept jours pour y aller.

Les membres de la délégation sont RFK Center Kerry Kennedy, président, Robert F. Kennedy Center for Justice and Human Rights (Etats-Unis), Mary Lawlor, Directrice, Front Line Defenders (Irlande); Margarette May Macaulay, Juge, Cour interaméricaine; juge (Jamaïque); Marialina Marcucci, président, Robert F. Kennedy Center - Europe (Italie), Eric Sottas, ancien Secrétaire général de l'Organisation mondiale contre la torture (Suisse), María del Río, conseil d'administration, Fondation José Saramago (Espagne) , Santiago Canton, Directeur des Partenaires du RFK pour les droits de l'homme, Robert F. Kennedy Center for Justice et des Droits de l'homme (Argentine); Marselha Gonçalves Margerin, directeur du plaidoyer, Robert F. Kennedy Center for Justice and Human Rights (Brésil), Stephanie Postar , Assistant Plaidoyer, Robert F. Kennedy Center for Justice et des Droits de l'homme (USA) et Mariah Kennedy-Cuomo (États-Unis).

c'est pas pour rien que le maroc impose un black out médiatique sur les territoires qu'il occupe au sahara occidental

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