seb24 Posté(e) le 7 avril 2014 Share Posté(e) le 7 avril 2014 Ce serait vraiment un beau projet. Croisons les doigts pour qu'il se décident en fin d’année. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
laurent simon Posté(e) le 7 avril 2014 Share Posté(e) le 7 avril 2014 Ce serait vraiment un beau projet. Croisons les doigts pour qu'il se décident en fin d’année. http://actualite.spatiale.free.fr/index.php/esa-resultat-ministerielle-2012/ "L’avion spatial Pride a reçu un budget de démarrage." Au passage aussi, "L’explorationde la Terre: reçoit 1Md€, qui comprend principalement la seconde génération de satellite météo METOP, ainsi que le programme GMES constitué du développement du satellite Sentinel 5 (étude de l’atmosphère) et Jason CS (mesure de la hauteur des océans)." pour lequel j'ai ouvert ici un fil SENTINEL (programme Copernicus, ex GMES) il y a qq jours. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alpacks Posté(e) le 9 avril 2014 Share Posté(e) le 9 avril 2014 Et ce n'est pas avec Ariane5, mais Vega, qu'il doit être lancé. http://fr.wikipedia.org/wiki/IXV http://www.esa.int/Our_Activities/Launchers/Vega_to_fly_ESA_experimental_reentry_vehicle en octobre 2014, d'après ce récent article (mars) : http://www.lefigaro.fr/sciences/2014/03/25/01008-20140325ARTFIG00294-l-europe-experimente-lemini-vaisseau-spatial-ixv.php "...ce minivaisseau spatial, mis au point par Thales Alenia Space pour le compte de l'Agence spatiale européenne, devrait effectuer son premier aller-retour dans l'espace en octobre. Actuellement en phase d'assemblage final à Turin, il sera transféré à la fin de l'été à Kourou, d'où il s'envolera à bord de la petite fusée Vega d'Arianespace." ... Le vaisseau est ainsi bardé de capteurs et approche déjà, sans la moindre charge utile, les deux tonnes maximales pouvant être emportées par la fusée Vega. «Si on veut transporter des astronautes et du fret à bord de la station spatiale internationale, il faudrait probablement agrandir ce prototype (5 m de long, 2,2 m de large, 1,5 m de haut, NDLR)», reconnaît Giorgio Tumino. Outre l'inusable Soyouz russe, trois nouvelles capsules américaines (développées par Space X, Boeing et SierraNevada) devraient de toute façon arriver bientôt sur le marché pour accomplir ces tâches à moindre coût. L'Agence spatiale europénne évoque la possibilité de se servir de son IXV pour ravitailler les générations futures de satellites, ou pour effectuer de courtes expériences de micro-gravité. Deux débouchés dont la pertinence dépendra étroitement du coût final de cette navette sans ailes. Pour le moment, le projet Intermediate eXperimental Vehicule n'a donc pas d'avenir très clair. «Nous déciderons après le test des suites éventuelles à donner à ces travaux », avance l'Agence spatiale européenne avec prudence. Rappelons que le projet d'intégrer une capsule de rentrée atmosphérique sur le cargo spatial européen ATV (Automated Transfer Vehicle) - pour le transformer en ARV (Advance Re-entry Vehicule) - avait été abandonné en toute discrétion en 2012, faute de financements, après pourtant quatre années de travaux préliminaires. Quand on cite A5 par rapport a une politique d'engin de ce genre, on parlait bien de l'après, si ça devait découler vers un projet de cargo-navette ou une mini-navette (voir petite navette ...) Car elle pèsera rapidement + de 6-7t au minimum (très probablement bien + encore, au moins le double) Vega est bien liée au programme IXV mais c'est uniquement parce que le démonstrateur est tout petit et pas bien lourd ... Mais il aurait très bien put être tiré depuis Soyuz Fregat en duo avec un sat commercial de basse ou moyenne altitude si leur angle de tir aurait permis de les marier, ou avec je ne sais quel autre tir institutionnel (sats étatiques ou d'un programme scientifique de l'ESA peu importe) On a aussi lié IXV a Vega pour lui donner artificiellement un peu + de dynamique de début de carrière avec des vols réservé pour de l'institutionnel/science/démonstrateur Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 9 avril 2014 Share Posté(e) le 9 avril 2014 Quand on cite A5 par rapport a une politique d'engin de ce genre, on parlait bien de l'après, si ça devait découler vers un projet de cargo-navette ou une mini-navette (voir petite navette ...) Car elle pèsera rapidement + de 6-7t au minimum (très probablement bien + encore, au moins le double) Vega est bien liée au programme IXV mais c'est uniquement parce que le démonstrateur est tout petit et pas bien lourd ... Mais il aurait très bien put être tiré depuis Soyuz Fregat en duo avec un sat commercial de basse ou moyenne altitude si leur angle de tir aurait permis de les marier, ou avec je ne sais quel autre tir institutionnel (sats étatiques ou d'un programme scientifique de l'ESA peu importe) On a aussi lié IXV a Vega pour lui donner artificiellement un peu + de dynamique de début de carrière avec des vols réservé pour de l'institutionnel/science/démonstrateur Je pense qu'il y a aussi une question de couts. Vega pourrait évoluer vers une capacité max de 2.5t voir 3t. Mais pour un vrai cargo avec des capacité correcte il faudra plutôt miser sur une navette dans les 20/25 tonnes en utilisant une A6 ou A5. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hadriel Posté(e) le 10 avril 2014 Share Posté(e) le 10 avril 2014 Arianespace se plaint de la loi française sur la désorbitation des derniers étages: http://www.spacenews.com/article/launch-report/40171french-debris-mitigation-law-could-pose-issue-for-arianespace?utm_content=bufferf0387&utm_medium=social&utm_source=twitter.com&utm_campaign=buffer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Marcus Posté(e) le 11 avril 2014 Share Posté(e) le 11 avril 2014 Arianespace se plaint de la loi française sur la désorbitation des derniers étages: http://www.spacenews.com/article/launch-report/40171french-debris-mitigation-law-could-pose-issue-for-arianespace?utm_content=bufferf0387&utm_medium=social&utm_source=twitter.com&utm_campaign=buffer Qu’est ce que c’est que ce délire absolu! Une loi pour diminuer les débris spatiaux est une excellente idée. Ces débris risquent de poser à terme des problèmes à l’exploitation future de l’espace. Mais cette loi est beaucoup trop rigoureuse. L’étage supérieur d’Ariane a une orbite qui passe prés de l’atmosphère terrestre. On peut facilement le dévier vers une orbite trop basse et il va rentrer à terme sans problèmes. Mais la loi impose une rentrée immédiate. Cela oblige à conserver beaucoup de carburant pour faire pour faire la manœuvre de rentrée contrôlée. Et surtout, cette loi ne s’applique que pour les Européens. Pas au Américains, ni aux Russes, ni au Chinois. Cela veut dire que 95% des lancements vont continuer comme avant. De plus, la majeure partie des débris n’est pas crée par le lancement mais par les difficultés en orbite (météores, collision avec un débris qui font d’autres débris...). Donc cette loi va baisser les débris de 1% au mieux... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 11 avril 2014 Share Posté(e) le 11 avril 2014 C'est bizarre sur les site parlementaire on ne trouve rien sur cette "loi". A priori c'est pas une loi ...J'ai juste trouvé ca :http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-48549QE.htmA priori il s'agit d'un projet de l'ONU, qui a aboutit a un texte reglémentaire en Europe au niveau des état tutelle de l'ESA ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hadriel Posté(e) le 11 avril 2014 Share Posté(e) le 11 avril 2014 J'ai effectivement pas retrouvé ces points dans la lois relative aux opérations spatiales, je crois que ça fait partie d'un règlement technique mentionné dans la loi. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
P4 Posté(e) le 12 avril 2014 Share Posté(e) le 12 avril 2014 (modifié) Si elle devient effective, l'impact en terme de pénalité d'une telle législation sur les tirs d'A5 sera ii le meme selon qu'il s'agit d'un lancement simple ou bien d'un lancement double? Modifié le 12 avril 2014 par P4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alpacks Posté(e) le 13 avril 2014 Share Posté(e) le 13 avril 2014 (modifié) Ca leur apprendra a optimiser les utilisations carburant/comb' ... Qu’est ce que c’est que ce délire absolu! Une loi pour diminuer les débris spatiaux est une excellente idée. Ces débris risquent de poser à terme des problèmes à l’exploitation future de l’espace. Mais cette loi est beaucoup trop rigoureuse. L’étage supérieur d’Ariane a une orbite qui passe prés de l’atmosphère terrestre. On peut facilement le dévier vers une orbite trop basse et il va rentrer à terme sans problèmes. Mais la loi impose une rentrée immédiate. Cela oblige à conserver beaucoup de carburant pour faire pour faire la manœuvre de rentrée contrôlée. Et surtout, cette loi ne s’applique que pour les Européens. Pas au Américains, ni aux Russes, ni au Chinois. Cela veut dire que 95% des lancements vont continuer comme avant. De plus, la majeure partie des débris n’est pas crée par le lancement mais par les difficultés en orbite (météores, collision avec un débris qui font d’autres débris...). Donc cette loi va baisser les débris de 1% au mieux... Moi je dis tant mieux ... Car l'espace a l'inverse des véhicules au sol n'a jamais connu de législation imposant de modérer des consommations pour moins polluer : Au sol on a tout le bordel des lois "euro" (euro 6 va entrer en vigueur) pour contraindre les constructeurs a ce que leur véhicules ne crachent pas + ,de tant de CO² ou particules au km ... Le fait est qu'on vienne en mettre un peu dans l'espace contraindra le constructeur spatial européen a être + optimisé sur ces consommations carburants de sorte a en consommer moins pour en avoir + en réserve pour réussir la ré-entrée immédiate (ou quasi a quelques jours près, car bon si l'étage est sur un transit lunaire ...) Cela peut paraitre abbérrant vu comme ça car on sera les seuls avec cette norme sur le dos, mais dans les faits au final : Ca aura contraint arianespace d'être beaucoup + précise sur les conso carburant et optimisé dans les choix techno comme de trajectoires et nombre de manoeuvres pour faire "le job" ... A la longue ça devrait nous aider a nous poser leader dans les autonomies carburants sur les sats, étages, cargo, sondes spatiales ect Ca obligera probablement aussi a changer la donne sur les moteurs principaux d'étages : Qui consomment probablement beaucoup trop par rapport a ce qui est potentiellement optimisable (un moteur d'étage est souvent surdimensionné par rapport a sa charge utile, en fait c'est même pas souvent c'est systèmatiquement ...) Modifié le 13 avril 2014 par alpacks Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hadriel Posté(e) le 15 avril 2014 Share Posté(e) le 15 avril 2014 (modifié) Gros moment déconnade: la commission européenne se demande si elle ne va pas faire du protectionnisme pour que le système Galileo s'impose en Europe. http://www.spacenews.com/article/civil-space/40214europe-weighs-galileo-compatibility-mandate-for-smartphones?utm_content=buffer74e78&utm_medium=social&utm_source=twitter.com&utm_campaign=buffer Ce serait une des rares fois où la Commission adopte une politique industrielle volontariste (mais bon comme Galileo c'est payé avec ses propres sous c'est un cas à part). Modifié le 21 avril 2014 par hadriel Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alpacks Posté(e) le 21 avril 2014 Share Posté(e) le 21 avril 2014 (modifié) Gros moment déconnade: la comission européenne se demande si elle ne va pas faire du protectionnisme pour que le système Galileo s'impose en Europe. http://www.spacenews.com/article/civil-space/40214europe-weighs-galileo-compatibility-mandate-for-smartphones?utm_content=buffer74e78&utm_medium=social&utm_source=twitter.com&utm_campaign=buffer Ce serait une des rares fois où la Commission adopte une politique industrielle volontariste (mais bon comme Galileo c'est payé avec ses propres sous c'est un cas à part). Alors que les constructeurs électroniques ont déja des puces (des processeurs) pour GPS "Glonass & Galileo ready" pour anticiper le marché des GPS en tant que terminaux individuel ou pour smartphone ... Ils voudraient faire du protectionnisme maintenant ? Ils sont comiques a la commission ! Ceci dit j'ai rien contre l'idée du protectionnisme, en Europe nous en souffrons depuis un bon moment déja de l'absence de politiques protectionnistes ... Au point que certains états européens sont pas loin de l'effondrement industriel ... Les USA & La Chine ne se gênant pas, on crève de cette absence la ... Mais concernant le marché futur des positioneurs et leurs dérivés c'est quand même un peu stupide d'agir ainsi alors que les constructeurs eux rêvent déja et ont les puces déja prêtes pour fonctionner sur les 3 réseaux de sats leur permettant de devenir aussi précis que l'usage militaire Modifié le 21 avril 2014 par alpacks Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 21 avril 2014 Share Posté(e) le 21 avril 2014 Dans les terminaux mainstream, c'est plus cher de mettre des puces triple ou quadruple service. En général les producteurs estime que le double service est bien suffisant pour la qualité, et permet un prix raisonnable. D'ou le fait qu'il rechigne a ajouter beaucoup de truc en plus de GPS.Les puce quad constellation sont déjà dispos par ailleurs, c'est pas vraiment le probleme, le probleme c'est surtout le surcout par rapport au faible apport qualité. C'est intéressant sur les systeme critique qui se balade autour du monde, genre les Liner, les bateau etc. mais sur les téléphones portable premier prix ... Le pire c'est que les Indiens s'y mettent aussi :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
laurent simon Posté(e) le 21 avril 2014 Share Posté(e) le 21 avril 2014 Dans les terminaux mainstream, c'est plus cher de mettre des puces triple ou quadruple service. En général les producteurs estime que le double service est bien suffisant pour la qualité, et permet un prix raisonnable. D'ou le fait qu'il rechigne a ajouter beaucoup de truc en plus de GPS. Quid de puces GPS + GALILEO ? Ce double service ne concerne(ra) t il pas le maximum des utilisateurs ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 21 avril 2014 Share Posté(e) le 21 avril 2014 Quid de puces GPS + GALILEO ?Ce double service ne concerne(ra) t il pas le maximum des utilisateurs ?Comme Gallileo n'est pas déployé les producteur s'emmerde pas a produire des puce low cost GPS+Gallileo, les puce low cost c'est soit GPS soit GPS+Beidou. Mais pour les puce premium genre "Teseo III" tu peux capter en meme temps 4 constellation sur 5 - il y a un problème d'antenne et de bande pour les système SAL qui limite encore pas mal la réception, parce que les système satellitaire sont en cours de déploiement ou de redéploiement avec pas mal de changement meme chez GPS -.Les puces low cost vont probablement chercher a convenir au plus grand nombre avec le moins de composant possible ... On peut imaginer qu'elle privilégie alors GPS+Beidou - depuis le reverse engineering c'est facile - qui touche pour ainsi dire le monde entier, et notamment la clientèle asiatique très friante de techno pas trop trop cher.Le pire c'est que dans tout ca il y a aussi le système indien IRNSS, mais aussi le QZSS japonais.Imagine le bordel si la puce doit "tracker" 60 satellites sur des bandes de fréquence différente ... ca oblige multiplier les antennes incorporées - c'est le plus compliqué de gérer plus bande de signal et c'est le plus couteux, d'ou l'idée de produire une puce fille pour ceux qui voudrait du dual band plutot que d'essayer de l'intégrer dans la puce mere -, ca oblige a agmenté la capacité de calcul - le QZSS par exemple est tres gourmand meme si ca accroit largement la précision de mesure du mouvement - , ca oblige a augmenter la capacité de stockage etc. donc forcément des puce de plus en plus cher ... meme si chacune a priori pourrait etre plus largement diffusé puisque elle marcherait mieux partout. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alpacks Posté(e) le 22 avril 2014 Share Posté(e) le 22 avril 2014 Comme Gallileo n'est pas déployé les producteur s'emmerde pas a produire des puce low cost GPS+Gallileo, les puce low cost c'est soit GPS soit GPS+Beidou. Mais pour les puce premium genre "Teseo III" tu peux capter en meme temps 4 constellation sur 5 - il y a un problème d'antenne et de bande pour les système SAL qui limite encore pas mal la réception, parce que les système satellitaire sont en cours de déploiement ou de redéploiement avec pas mal de changement meme chez GPS -. Les puces low cost vont probablement chercher a convenir au plus grand nombre avec le moins de composant possible ... On peut imaginer qu'elle privilégie alors GPS+Beidou - depuis le reverse engineering c'est facile - qui touche pour ainsi dire le monde entier, et notamment la clientèle asiatique très friante de techno pas trop trop cher. Le pire c'est que dans tout ca il y a aussi le système indien IRNSS, mais aussi le QZSS japonais. Imagine le bordel si la puce doit "tracker" 60 satellites sur des bandes de fréquence différente ... ca oblige multiplier les antennes incorporées - c'est le plus compliqué de gérer plus bande de signal et c'est le plus couteux, d'ou l'idée de produire une puce fille pour ceux qui voudrait du dual band plutot que d'essayer de l'intégrer dans la puce mere -, ca oblige a agmenté la capacité de calcul - le QZSS par exemple est tres gourmand meme si ca accroit largement la précision de mesure du mouvement - , ca oblige a augmenter la capacité de stockage etc. donc forcément des puce de plus en plus cher ... meme si chacune a priori pourrait etre plus largement diffusé puisque elle marcherait mieux partout. Des systèmes critiques ? Tu oublies que le marché automobile est actuellement a 2 doigts de se tater de mettre en circulation des véhicules a conduite automatique ... Qui certes après dont la technologie ne dépend pas que des positionneurs (capteurs divers & lidars éventuels, mais ça ne concerne que la surveillance d'un véhicule a l'autre pour éviter les collisions dans la gestion de la conduite) De tels systèmes qui sont pourtant quasi près a être commercialisé, auront forcément besoin d'avoir une mesure très précise de la vitesse a laquelle le véhicule roule, ces systèmes ne pourront se permettre de mettre des véhicules automatiques en circulation si la mesure de la vitesse a une marge d'erreur de 5 a 10% comme avec les compteurs de vitesse actuel basés sur la simple rotation des roues et une paire d'aimants ... Il leur faudra une lecture de la vitesse très précise au centième de marge d'erreur près Chose qui me parait difficilement faisable et sécurisable avec un seul réseau positionneur utilisé, les voitures automatiques qui d'ici moins de 10 ans vont devenir grand public ne serait ce au moins pour l'usage autoroutier puis urbain (grand boulevard & periph au moins, probablement pas "routier" car la le chaos de nombreux autres facteurs entre beaucoup + en ligne de compte pour que ça puisse être possible ... Ne serait ce que la forme de la chaussée par exemple, hors sur route simple elle est souvent très déformées par rapport a une autoroute ou même l'usure de forme de la chaussée par les camions est prévisible) Pour que de tels systèmes soit safe pour en envisager l'usage grand public pour améliorer sensiblement la sécurité (et la fluidité routière) il faudra très probablement des systèmes fonctionnant au moins sur 3 réseaux de sat pour le positionneur et bien entendu le calculateur qui va avec ... Pour avoir des lectures très précise par le système des vitesses des véhicules et les gérer entre eux ... Mais bon, pour ce genre de système de la puissance de calcul peut a la limite être exporté hors du véhicule comme pour le cas autoroutier ou une partie de la puissance de calcul requise véhicule par véhicule peut très bien être géré et communiqué par radio via un supercalculateur alloué a l'axe routier ... Mais comme on sera face a des systèmes dont une grande partie ne seront pas au même niveau entre les véhicules en circulation au bout de quelques années avec la sortie de nouveau véhicules avec des capacités de calcul allant + loin ... Donc des véhicules qui ne seront pas "égaux" a ce niveau, ils devront compter en bonne partie malgré tout sur leur propre puissance de calcul ... Dans tout les cas, on aura très probablement un usage grand public de système de positionneur basé sur plus de 2 réseau de sat pour garantir la sécurité ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 19 mai 2014 Share Posté(e) le 19 mai 2014 (modifié) On arrive bientot à la fin de venus express, elle n'a presque plus d'ergol, elle va faire son baroud d'honneur elle va descendre à 130km d'altitude http://www.planetary.org/blogs/emily-lakdawalla/2014/05161333-venus-express-mission-science.html Modifié le 19 mai 2014 par zx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
P4 Posté(e) le 22 mai 2014 Share Posté(e) le 22 mai 2014 Topo de 2012 sur la future plateforme Neosat http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=7&ved=0CGAQFjAG&url=http%3A%2F%2Fcongrexprojects.com%2Fdocs%2F12c25_2310%2Fsa1650_tanguy.pdf%3Fsfvrsn%3D2&ei=YWd-U7foNuiL0AWOuIDYDQ&usg=AFQjCNE_Fq-Tneg5eYZ6p8FOW8lxPQ0eHA&bvm=bv.67229260,d.d2k&cad=rja Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 3 juillet 2014 Share Posté(e) le 3 juillet 2014 ESA’s experimental space plane gearing up for November debut http://www.nasaspaceflight.com/2014/07/esas-experimental-space-plane-gearing-november/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 10 juillet 2014 Share Posté(e) le 10 juillet 2014 (modifié) En image : premières photos de l'orbiteur Trace Gaz d'ExoMars 2016 http://www.futura-sciences.com/magazines/espace/infos/actu/d/astronautique-image-premieres-photos-orbiteur-trace-gaz-exomars-2016-54373/ C'est une proton qui va lancer exormars. ca fait peur, un machin budgetivore à 1,2ME sur un lanceur qui est couci couca :-[ Découvrez les premiers clichés de l'orbiteur de la mission ExoMars 2016 de l'Agence spatiale européenne. Trace Gaz Orbiter, c'est son nom, sera lancé en janvier 2016 par une fusée Proton. Construit sous la maîtrise d'œuvre de Thales Alenia Space, il devrait atteindre la Planète rouge neuf mois plus tard, le 19 octobre 2016. Les opérations scientifiques débuteront à l'été 2017, le temps que les manœuvres d'aérofreinage installent la sonde sur son orbite de travail. http://www.futura-sciences.com/magazines/espace/infos/actu/d/astronautique-image-bepicolombo-destinee-explorer-mercure-construite-54371/ En image : BepiColombo, destinée à explorer Mercure, est construite BepiColombo, le satellite destiné à l’exploration de la planète Mercure, est une mission conjointe entre les agences spatiales européenne et japonaise. Découvrez avec nous les modules européens, l'orbiteur MPO qui porte les instruments européens et le module de transfert. Ils se trouvent actuellement dans l'usine de Thales Alenia Space en attendant de partir vers le Centre de Technologie et d’Essais (Estec) de l’Esa, à Noordwijk, où débutera la campagne de tests environnementaux. Modifié le 10 juillet 2014 par zx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 16 juillet 2014 Share Posté(e) le 16 juillet 2014 (modifié) jeu dangereux avec venus, des rases mottes à 130km d'altitude http://www.esa.int/Our_Activities/Space_Science/Venus_Express/Venus_Express_rises_again Modifié le 17 juillet 2014 par zx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 29 juillet 2014 Share Posté(e) le 29 juillet 2014 (modifié) L'ESA souhaite se débarasser du soyouz pour ca il faudrait un lanceur 4t-8t, rendre plus polyvalent ariane 6 http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20140729trib000841730/pourquoi-l-europe-spatiale-veut-desorbiter-soyuz-de-kourou.html Modifié le 29 juillet 2014 par zx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 29 juillet 2014 Share Posté(e) le 29 juillet 2014 L'ESA souhaite se débarasser du soyouz pour ca il faudrait un lanceur 4t-8t, rendre plus polyvalent ariane 6 http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20140729trib000841730/pourquoi-l-europe-spatiale-veut-desorbiter-soyuz-de-kourou.html Intéressant... Pour résumer - On continue sur une répartition de la charge industrielle avec un peu plus de flexibilité - Les Industriels ont obtenus le contrôle de la conception du lanceur - l'ESA sera la pour contrôler les Industriels - On devrait avoir certaines garanties que les pays lancent via Ariane et non pas des concurrents - ni Ariane 6, ni Ariane 6.1 ni Ariane 6.2 ^^ . Mais un lanceur moyen 4.5/5tonnes et plus tard un lanceur lourd pour remplacer A5. Tout ça c'est bien mais ils va falloir se décider a un moment au lieu de tergiverser. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hadriel Posté(e) le 29 juillet 2014 Share Posté(e) le 29 juillet 2014 On est pas rendus avec cette remise à plat... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 30 juillet 2014 Share Posté(e) le 30 juillet 2014 (modifié) http://www.russianspaceweb.com/exomars2018_2014.html traduction auto Vie chercher Mars rover pourrait faire face à un retard de deux ans La mission ExoMars phares russo-européen sera probablement manquer la fenêtre de lancement 2018 sur la planète rouge, des sources proches du programme dit. Une combinaison de problèmes techniques et financiers va forcer les développeurs à attendre jusqu'en 2020, quand Mars et la Terre ré-aligner pour un possible déplacement entre les deux planètes.Autrement, l'escalade des coûts du projet ExoMars pourrait tuer les responsables du programme ont mis en garde. Chapitre précédent: ExoMars 2018 projet Le report du lancement de la mission ExoMars dès le 7 mai 2018 (à gauche), à 5 Août 2020; va pousser son arrivée sur la planète rouge de 15 janvier 2019, à 19 Avril 2021. Les ExoMars lander dans la configuration d'atterrissage (à gauche) et en position déployée comme prévu en 2013. Point critique atteint en 2014 Au cours de 2014, le développement du projet ExoMars double de lancement présenté un bilan mitigé. Alors que les travaux sur la navette spatiale sans pilote Mars et un petit atterrisseur de test est restée largement sur la bonne voie pour leur lancement est prévu en 2016 , la principale rover ExoMars mis à voler en 2018 était face à une bataille difficile sur plusieurs fronts. Tout d'abord, des problèmes techniques ont été s'accumulent, entraînant un retard de six mois dans étape essentielle pour le développement du projet connu sous le nom revue de conception préliminaire du système ou S-lao. Au moment de la réunion du Laos, toutes les composantes de la conception ExoMars doivent être finalisé sur papier et prêt pour la fabrication. À partir de ce mois, la réunion PDR est prévue pour Octobre, après avoir été reporté de la première et deuxième trimestre de 2014 . Cependant par le milieu de cette année, les principaux acteurs du projet multi-national ne croyaient plus que les S- PDR serait en mesure de confirmer la date de lancement 2018 et considéré comme un retard de 2020 comme inévitable. Au niveau officiel, la direction de l'Agence spatiale européenne, l'ESA, devra examiner la situation de tous les systèmes basés sur les résultats de la réunion S-lao et décider si il y aura une chance de le faire pour la fenêtre de lancement 2018 ou si il sera nécessaire de reporter le lancement jusqu'à 2020 . La principale raison de ce retard serait le système d'atterrissage tout neuf des ExoMars, qui est conçu pour prendre en toute sécurité le mobile à travers une descente de feu dans l'atmosphère martienne, puis doucement atterrir sur la surface de la planète rouge. En plus de son début de développement avancé, le système d'atterrissage a une part complexe des responsabilités entre la Russie et l'Europe, ce qui ralentit considérablement le travail vers le bas. Par exemple, l'ensemble du système d'atterrissage est développé par NPO Lavochkin à Moscou, tandis que son système de parachute sera assuré par l'Europe. Beaucoup d'autres aspects de la mission sont de même liés. Pour compliquer encore les choses, NPO Lavochkin, qui s'appuie traditionnellement toutes les sondes planétaires russes, mais aussi quelques-uns des très petites satellites militaires , est connu pour son secret soviétique. En conséquence, il est plus difficile pour les deux parties à coordonner le travail, sources Européens dit. Enfin, la traduction de documents entre la Russie et l'anglais retarde les travaux sur le projet. Russie essentiellement renfloué les ExoMars en 2012 après que la NASA avait retiré du projet en invoquant des problèmes financiers. Certains observateurs estiment que l'agence américaine aurait vu ExoMars comme un défi à son rôle de leader dans la prestigieuse et très médiatisée domaine de l'exploration martienne . Cependant NASA encore disponible à faible coût, mais importante contribution scientifique au projet ExoMars. En outre, même après les relations américano-russes ont atteint un nouveau plus bas de la crise en Ukraine, les États-Unis n'ont pas imposé de restrictions à l'exportation de technologies sensibles vers la Russie, ce qui permet l'intégration de la sonde ExoMars contenant des composants fabriqués aux États-. ExoMars sera lancé sur une russe Proton / Briz-Mfusée cosmodrome de Baïkonour au Kazakhstan. Ironie du sort, le délai de 2020 de placer les ExoMars dans la même fenêtre de lancement que tout nouveau rover de la NASA lié à la planète rouge. Une version modifiée du Mars Science Laboratory, MSL, Curiosité rover devrait transporter l'appareil soi-disant "mise en cache", qui permet de stocker des échantillons de sol martien pour le retour à la suite de la Terre. Lancements vers Mars sont possibles environ tous les deux ans. La fenêtre de lancement 2018 (comme la fenêtre de 2003, 15 ans plus tôt) a permis une charge utile maximale à envoyer à Mars. En conséquence, le délai de ExoMars 2020 pourrait nécessiter des réductions de masse économie dans son matériel. Les problèmes financiers Tandis que les ingénieurs ont été de relever les défis techniques, le coût global du programme ExoMars a continué à grimper au-delà de la limite de crédit disponible de 1 milliard d'euros.Même avant 2014, les estimations ont montré que le prix à payer pour la mission ExoMars augmenterait d'environ 950 millions à 1,2 milliards d'euros. Cependant cette année, les initiés de l'industrie ont spéculé que le prix pourrait aller aussi haut que 1,5 milliard. À la mi-2014, il était encore difficile de savoir si l'ESA serait en mesure de combler cet écart de financement élargissement. ESA se prépare actuellement à une demande de financement supplémentaire, mais la conférence ministérielle de fin d'année, qui approuve traditionnellement budgets spatiaux européens, n'a pas mis ExoMars sur l'ordre du jour. En conséquence, des problèmes avec le financement ExoMars devraient être résolus lors des consultations menant à la réunion ministérielle. L'incapacité à trouver des liquidités supplémentaires pourrait entraîner l'annulation complète du projet, des sources proches du dossier. Ironie du sort, le report des ExoMars lance 2018-2020 augmentera encore son prix. Lorsque la NASA a dû retarder le lancement de son rover Curiosity 2009-2011, le coût de l'agence des États-Unis un peu supplémentaire de 400 à 570.000.000 $. La mission ExoMars est un petit projet, donc son augmentation de prix au cours de la même période pourrait être spéculé à environ 200 millions d'euros. Des sources proches de la situation disent que très souvent les agences spatiales nationales en Europe, tels que l'Agence spatiale italienne ASI, ou agence spatiale française, le CNES, regardez projets de l'ESA comme un moyen de garder l'aérospatiale nationale et des industries de haute technologie vivante et florissante . En particulier, les ExoMars est financé comme un projet «facultatif» plutôt que par programme scientifique «obligatoire» de l'agence. Ce statut reflète des motivations politiques et industrielles plutôt que purement scientifique rationnelle parmi les principaux facteurs à l'origine du projet ExoMars, disent les initiés. Dans de telles circonstances, le report du lancement d'ExoMars, qui sera toujours garantir le financement et l'emploi pour l'industrie, sera beaucoup plus préférable à la concellation du projet. Les ExoMars est dirigé par l'Agence spatiale italienne ASI, avec des contributions importantes de Russie, la France, l'Allemagne et le Royaume-Uni. Modifié le 30 juillet 2014 par zx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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