Invité grinch Posté(e) le 23 janvier 2006 Share Posté(e) le 23 janvier 2006 A votre avis, a quoi ressemblera le projet EGACOD? le projet armure? >egacod, basé sur le centauro avec une plate-forme de levage info parus dans le raid du mois de janvier 2006 Nous développons le système SYGOGNE-T (Système Global de Gestion de l’Espace Terrestre), qui comprendra en particulier un module d’appui au combat en zone urbaine, articulé autour de l’EGACOD (Engin Génie d’Appui au Combat Débarqué), engin possédant des capacités d’organisation spécifiques à cet environnement. - Nous continuons bien sûr à faire effort sur le contre minage systèmes AMX 30 B2 DT (Démineur Télécommandé), SOUVIM (Système d’Ouverture d’Itinéraire Miné), MADEZ (Matériel Aérotransportable de Déminage de Zone) et la contre-mobilité – revalorisation des mines existantes et à terme systèmes SPECTRE (Système de Protection des Eléments Terrestres) et SYCOMORE (Système de Contre-Mobilité Réactif). sur : http://www.defense.gouv.fr/sites/terre/enjeux_defense/politique_de_defense/discours_du_chef_d_etat-major_de_l_armee_de_terre/6e_convention_du_genie_a_angers_le_6_juin_2005 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shuggart Posté(e) le 2 février 2006 Share Posté(e) le 2 février 2006 A mon avis ce sera un véhicule avec un tas d'outils géniaques sur la caisse (comme AMX-30 D et EBG) et une lame dozer. Je crois que c'est un peu tôt pour se prononcer. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité grinch Posté(e) le 4 février 2006 Share Posté(e) le 4 février 2006 Si tel était le cas, je ne vois pas pourquoi il font de ce type d'engin, un véhicule majeur pour le génie. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
starpom Posté(e) le 4 février 2006 Share Posté(e) le 4 février 2006 EGACOG (quel nom hideux...) c'est un (futur) engin du génie pour le combat urbain, en coopération avec l'Italie, pour l'instant sur chassis Centauro, mais sûrement aussi plus tard sur chassis VBCI. Son instrument principal est un bras qui peut élever une nacelle transportant un groupe de 3 fantassins jusqu'au 3ème étage d'un immeuble à peu près (je n'ai plus trop tous les chiffres en tête), et présenté bien pompeusement comme une "révolution"... :rolleyes: Il aura sûrement d'autre instruments, comme un bras godet, une lame dozer, un tourelleau d'observation avec caméras panoramique, TV, IR... Ah oui et probablement une mitrailleuse d'autodéfense aussi. Le système armure ça semble être un projet assez mystérieux : il est censé permettre au génie, en combat urbain surtout, de détruire les fortifications, les rez-de-chaussé d'immeuble fortifiés, les barricades, et de créer des brèches dans les murs des bâtiments pour permettre à l'infanterie de s'y engouffrer, à une distance d'environ 200m. Je crois que la formule choisie n'a pas encore été révélée, mais ce ne sera "ni une roquette thermobarique, ni un lance-charges de démolition comme sur l'EBG, ni un missile filoguidé classique"... Je me demande bien à quoi peut ressembler ce qu'ils ont développé... :shock: :shock: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité grinch Posté(e) le 27 septembre 2008 Share Posté(e) le 27 septembre 2008 Engineer vehicle for direct support to dismounted troops in urban operations The French army is currently developing an original combat vehicle for Engineer forces. The name EGACOD* means “engineer vehicle for direct support to dismounted troops”. In other words, it is particularly adapted to the support of a combat unit operating in urban terrain and will be dedicated to medium forces, especially for first entry intervention. The aim is to equip every combat engineer company over the forth coming years. The operational requirement consists in adaptability to the new complex engagement conditions which entail a large spectrum of actions in various terrains by using variable effects: -From high intensity combat to low intensity actions. -In urban or open terrain. -Using lethal or non-lethal weapons. As a result of these conditions, the vehicle is optimized for urban operations in which infantryman and engineer soldiers are mainly dismounted and closely integrated. In accordance with the STANAG 3548 (P) for strategical mobility, the EGACOD can be transported in the main civilian and military cargos aircraft (Antonov, C5-Galaxy, Boeing, Airbus A-400 M). A unique and multi-tasking engineer support vehicle for urban operations, the future vehicle gathers together several command and combat support functions. • Observation: - By day and night, static or slow moving, the system can look in all directions, it raises to 9 meters high and 2 meters forward with a telescopic arm; - It is able to see an AT mine at 600 meters; it can also send pictures and videos through the communication system. • Mobility support: - The telescopic arm with a protected cab can transport 3 soldiers to upper floors (400kg up to 10 m within one minute) - The front blade can disrupt some obstacles with a pushing pressure of 15t. - The system DEDALE assists with self extraction from a mined area. - The system ARMURE can create mouse holing in building walls. - An outboard generator can recharge the battery for the new light individual equipment of the French Infantry and dismounted soldiers.• Counter-mobility and protection works: - Demolition, digging and load raising capacities can be used for protection works. - AT mines or non-lethal ammunitions Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 27 septembre 2008 Share Posté(e) le 27 septembre 2008 Sur la base chassis du VBCI 8X8, il va nous coûter bonbon :lol: ,il n'y avait pas possibilité de le faire sur des chassis Leclerc qu'ils déstockent ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité grinch Posté(e) le 27 septembre 2008 Share Posté(e) le 27 septembre 2008 Une étude est / était en cours avec les italiens, le démonstrateur est sur base centauro. Je serai plus d'avis de les mettre sur les ex-MARS sur base Leclerc Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 27 septembre 2008 Share Posté(e) le 27 septembre 2008 Une étude est / était en cours avec les italiens, le démonstrateur est sur base centauro. Je serai plus d'avis de les mettre sur les ex-MARS sur base Leclerc On devait pas faire cela avec les Allemands ? Combien d'unité à prévoir ? 50 pour compenser les 50 VBCI en moins :lol: Morin veut vendre des Leclerc de premières séries à qui pourra se les payer. :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité grinch Posté(e) le 27 septembre 2008 Share Posté(e) le 27 septembre 2008 non le projet a été lancé avec les italiens dès le début. L'objectif d'intégrer un démonstrateur en 2005 a été retenu (démonstrateur d'engins de combat futurs du génie Pioniere/Egacod mené en coopération avec l'Italie). Département : 92 (Hauts-de-Seine) Date de parution : 14/06/2007 Date de péremption : 05/07/2007 Annee : 2007 Edition (N°. BOAMP) : 112B N° annonce (BOAMP) : 197 étude de définition de l'engin génie d'appui au combat débarqué (egacod) à Saint-Cloud Durée du marché ou délai d'exécution : 15 mois à compter de la notification du marché. Date prévisionnelle de début des prestations (fournitures/services) : 1er juin 2008. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 12 octobre 2008 Share Posté(e) le 12 octobre 2008 Et hop un autre topic générique sur les matériel du génie en général. [PFM] Reportage photo [PFM, BAC20, BAC60, PFM-SIR, PTA, PAR70, EFA, PAA]PAR70, PFM, PFM-SIR, BAC20, BAC60, BAC90SPRAT PTA2 2x13m PTA3 3x10m, 13e régiment du génie Pont flottant motorisé et bac US EGRAP Engins du Génie RApide de ProtectionTenue légère de déminage MENDEG RobosoftTunnels afghans Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 12 octobre 2008 Share Posté(e) le 12 octobre 2008 CNIM is a leader in the design and manufacture of fast deployment military bridges of all kinds, including floating, dry-support, assault, logistic and rafts. ASSAULT BRIDGES AND RAFTS * Floating bridges and rafts: PFM-SIR, BAC20 and BAC60 * One span bridges: PTA (modular assault bridge) TACTICAL BRIDGES * Floating bridges and rafts: PFM, PFM-SIR, BAC20 and BAC60 * One span bridges: PTA (modular assault bridge) and PAR 70 LOGISTIC (SUPPORT) BRIDGES * Floating bridge: PFM and PFM-SIR * One span bridge: PAR 70 FLOATING BRIDGES AND RAFTS All military floating bridges and rafts in this family build on the same technology, thus ensuring high reliability and low life cycle cost. They are launched and recovered by dedicated semi-trailers from unprepared banks and are autonomous once in the water. They require no additional means such as bank preparation dozers or tug boats. Land mobility is excellent thanks to their design, their reduced weight and their All Wheel Drive (AWD) devices. The prime mover is client’s choice, upon specification. PFM TACTICAL AND LOGISTIC FLOATING BRIDGE The PFM floating bridge is a continuous assembly of motorized floating modules, which is linked to land by access ramps. Bridge construction is mechanized and PFM can be used either as a tactical in-stride crossing mean or as a logistic bridge. The PFM features fast deployment time, ease of use and a reduced life cycle cost. PFM bridge is MLC70 in fast currents, offers excellent battle damage sustainability and can access banks up to 3 meters above the water. PFM is in service with three European armies. BAC20 AND BAC60 ASSAULT RAFTS Both the BAC20 and BAC60 assault rafts use the highly reliable and cost effective technology of the PFM. They can be deployed within minutes under any bank conditions. PFM SIR ASSAULT BRIDGE The PFM SIR assault bridge is an improvement of the PFM floating bridge. Its modularity allows the military commander to build any combination of rafts or MLC70 bridges, and switch from one mode to the other within minutes, depending on operational conditions. A centralized command (new feature) makes the PFM SIR assualt bridge one of the most crew effective systems available today. The PFM SIR assault bridge is currently being delivered to an Asian army. CLEAR SPAN BRIDGES - PTA MODULAR ASSAULT BRIDGE The PTA is a MLC 70 modular assault bridge, whose length is adjusted by the crew according to the width of the gap. It comes in two versions: * PTA2: one vehicle can launch two 14.3m bridges or one 26m bridge before replenishment * PTA3: one vehicle can launch three 10.5m bridges, or one 10.5m plus one 18.7m bridges, or one 27m long bridge These systems offer an excellent operational flexibility as well as an unmatched life cycle cost. Both use the same 10x10 wheeled chassis, which offers state of the art tactical and strategic mobility. Operation, launching and retrieving is fully automated. The system is operated by a crew of two under armour. Development and initial production of the PTA modualr assault bridges is under progress for the French Army. CLEAR SPAN BRIDGES - PAR 70 SUPPORT BRIDGE http://img134.imageshack.us/img134/1580/312894.jpg http://img54.imageshack.us/img54/7214/312893.jpg The PAR 70 support bridge is a rapid deployment, MLC 70 towed support bridge. It is transported, launched and retrieved by a dedicated semi-trailer with no additional equipment required. The prime mover is the client's choice upon specification. Mobility is excellent thanks to the overall reduced weight of the system and the AWD device of the semi-trailer (in option). The bridge is 19.5m long with a trackway of 4m wide and weighs 9,000kg. It can be deployed within three minutes by a crew of three. A pipe-line crossing version is also available. The bridge itself is in service with the French Army. Its launching device is an improvement of an existing device, also in service with the French Army. PAR 70 support bridge can be adapted on any existing AVLB in order to upgrade it to MLC 70. EFA Engin de Franchissement de l'Avant The EFA (Engin de Franchissement de l’Avant -Front Self Propelled Ferry) forms part of the Leclerc tank environment, and has been in service with the engineer regiment of the French Army since 1993. EFA, which is designed for use in the combat zone, enables rapid crossing of water gaps by all compatible battlefield vehicles. It can be used as a ferry or as a bridge and can be brought into action very quickly even in strong currents or where the banks are high. It can also provide a crossing facility over water obstacles greater than 25 m wide for vehicles up to MLC 70 class. Training for road and navigationoperation is provided using two simulators installed at the engineer school in Angers, and operating and maintenance instruction is provided using computer based training (CBT). EFA (Front Self Propelled Ferry) is a self-propelled, amphibious, dual role unit, which can convert from a road-going configuration into an aquatic configuration (either as a ferry or bridge module) after the inflation of its pneumatic floats. It has good cross-country mobility thanks to its four-wheel drive/steering and its large diameter tyres can have their pressures adjusted from inside the cab whilst in operation. The EFA is primarily for use as a ferry, with the bridging function as a secondary role. The unit includes: A 12-metre centre-section fitted with two retractable, steerable axles, inflatable side floats and two pump jet propulsion system. Two scissor-type 12-metre access ramps equipped with additional floats. Its substantial load carrying capability allied to its large deck area (close to 96 m2) enables simultaneous crossing by several wheeled or tracked vehicles. A single unit can ferry: 4 VAB, 1 AMX30 + 2 AMX 10 or one MLC 70 class tank. Units may be linked to form a raftor a floating bridge. No special preparation of banks is required prior to its use in even the most difficult locations. Features: Turbo diesel engine producing 730 hp at 2700 rpm RENK gearbox/transmission unit Propulsion system by 2 Schottel SPJ 55 steerable through 360° (110 kW per unit) Oleo-pneumatic suspension Protection: ballistic, N/C and incendiary Conversion to ferry configuration from road configuration in 5 minutes by 4 men. EFA weight and dimensions: Road Ferry configuration Bridge configuration Length: 12,35 m Deployed length: 34,55 m Module length: 23,65 m Width: 3,60 m Width: 7 m Height: 4 m Load area: 96 m2 Weight 44.800 Tonnes Width of track: 4 m - MLC 70 Width of track: 4 m - MLC 70 Performance: Road speed: 75 km/h Average speed across country: 16 km/h Water speed: 3.8 m/s unladen and 3.1 m/s carrying an MLC 70 Range: > 600 km Launch down a 100% slope Exit the water up a 50% slope Fording depth: 1.2m Draught: 0.60m (unladen) and 1.20m (loaded with an MLC 70) Operational in a maximum current of: 2.5 m/s (loaded with a 70-class tracked vehicle) and 2.5 m/s (ferry version) http://img134.imageshack.us/img134/576/232961.jpg http://img116.imageshack.us/img116/2386/232962.jpg http://img217.imageshack.us/img217/604/232963.jpg http://img217.imageshack.us/img217/1802/232965.jpg http://img511.imageshack.us/img511/2843/232966.jpg http://img141.imageshack.us/img141/4333/img26210429.jpg http://img141.imageshack.us/img141/6640/img26210427.jpg http://img90.imageshack.us/img90/9610/img26210426.jpg http://img90.imageshack.us/img90/8954/img26210423.jpg http://img401.imageshack.us/img401/8209/img26210421.jpg http://img155.imageshack.us/img155/2794/efawtaer.jpg http://img136.imageshack.us/img136/6509/efa.jpg Successeur du bac Gillois valorisé, l'engin de franchissement de l'avant (EFA) est un matériel amphibie autonome conçu pour des franchissements continus (pont) ou discontinus (bac) aux véhicules jusqu'à 70 tonnes. DESCRIPTION : L'EFA comprend une coque contenant la cabine de l'équipage, la salle des machines, les essieux et un compartiment arrière, 2 rampes articulées, 2 volets supports de flotteurs et un poste de pilotage aquatique amovible. http://pix.nofrag.com/b/3/7/9e7b42fe5cc43d5682ce222f16013.jpg En version bac il peut accueillir un char lourd ou deux chars moyens sur une surface de chargement de 96 m2. Il est en mesure d'effectuer en une heure 10 à 12 traversées pour une coupure de 100 m et 8 à 10 traversées pour une coupure de 200 m. Pour un franchissement continu, 4 engins et un délai de 15 minutes sont suffisants pour construire un pont de 100 m. L'EFA a la particularité d'être à la fois "ambidrome" - chargement et déchargement du véhicule s'effectuant en marche avant - et polyvalent - pouvant être utilisé en moyen discontinu (bac) ou continu (pont). EQUIPAGE : * 1 chef d'engin. * 1 conducteur. * 1 pilote. * 1 homme d'équipage. RENSEIGNEMENTS NUMERIQUES : * Masse : 42,6t. * Longueur : 12,60m. * Largeur : 4,05m. * Hauteur : 4,20m. * Autonomie : 630km environ. * Vitesse maxi sur route : 75km/h. * Vitesse moyenne sur route : 40km/h. PERFORMANCES : Les différentes opérations de mise en oeuvre nécessitent des délais qui dépendent des conditions d'utilisation. Les valeurs données ci-dessous sont des valeurs moyennes pour des conditions normales d'emploi. http://pix.nofrag.com/d/7/8/2d494576fa5b99b54ccafd1539c93.jpg En configuration BAC : * Equipement à terre, mise à l'eau et préparation à l'embarquement de jour comme de nuit : 6mn. * De la position navigation à l'embarquement du premier véhicule de jour comme de nuit : 3mn. Rotation et débit : * Coupure de 100m = 10 à 12 rotations/h. * Coupure de 200m = 8 à 10 rotations/h. En configuration PONT : * Pour un pont de 100m (4 EFA) en partant de la position route il faut un délai de 15mn. * Rotation : pour un pont d'une longueur de 100m le débit est de 200 véhicules/h. PAA Le pont automoteur d'accompagnement http://pix.nofrag.com/c/3/d/f003594405334153528525e859ff2.jpg Le pont automoteur d'accompagnement (PAA) est un engin autonome de pontage, non blindé, utilisé à l'avant pour assurer le franchissement rapide de brèches sèches ou humides de faible largeur. Un groupe PAA comprend 2 engins avec travures, deux travures sur semi-remorque, 2 camions dont 1 muni d'un bras de manutention, transportant un chevalet. RENSEIGNEMENTS NUMERIQUES : * Longueur : 13 m. * Largeur : 3,65 m. * Hauteur : 4,06m. * Carburant : GO. * Transport : autonome. EQUIPAGE : * 1 sous-officier chef d'engin et radio. * 1 caporal pontonnier. * 1 conducteur. TRANSMISSIONS : * Gamme VP13. PERFORMANCES : * Permet de faire franchir des brèches de 22,40m maximum (42,5m avec chevalet et deuxième travure). * Obligation de disposer d'une équipe SAF pour mettre en place le chevalet en site aquatique. * Vitesse de franchissement d'un véhicule sur PAA : 5km/h. Le véhicule doit être seul. http://pix.nofrag.com/0/d/a/f8d0a485853a6f2cbf60a5518b13att.jpg Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 4 novembre 2008 Share Posté(e) le 4 novembre 2008 250 nouvelles tenues de déminage ! Suite à une directive de l’EMAT, la direction centrale du commissariat de l’armée de terre (DCCAT) a acheté 250 tenues légères de déminage MENDEG afin de renouveler la tenue modèle 1986 sur les théâtres d’opération et améliorer la protection des démineurs. Plus ergonomiques, moins lourdes, moins encombrantes, ces nouvelles tenues interviennent dans l’attente du nouveau modèle « armée de Terre » dont la validation est prévue fin 2008 et la livraison fin 2009. Perçues par le premier groupe logistique du commissariat de l’armée de terre de Brétigny sur Orge (1er GLCAT) le 18 septembre dernier, une partie équipera l’ESAG (Ecole supérieure et d’application du génie) et les 11 régiments du génie tandis que l’autre sera stockée afin de remplacer les tenues utilisées sur les théâtres d’opérations extérieurs. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 8 janvier 2009 Share Posté(e) le 8 janvier 2009 http://www.izarbel.fr/actualites.asp?ID=461 L’Armée de Terre Française commande quinze robots démineurs à Robosoft Destinés à équiper les troupes françaises en opération extérieure, Afghanistan principalement, ces robots démineurs sont fabriqués par la société américaine iRobot mais développés, pour la France, en partenariat avec l’entreprise d’Izarbel qui en a l’exclusivité de la distribution française. La Direction Centrale du Matériel de l'Armée de Terre (DCMAT) vient de passer commande à ROBOSOFT au titre d'un marché notifié par le Service Central des Achats de la Maintenance (SCAM) de 8 robots démineurs iRobot de type PackBot. Cette première commande de 1,8 M€ comprend également des adaptations spécifiques, une mise à niveau du parc existant et un maintien en condition opérationnelle de 3 ans. Ces robots sont essentiellement destinés à équiper les troupes françaises en opération extérieure (Afghanistan principalement). Une deuxième commande de 7 robots supplémentaires est programmée pour le premier trimestre 2009. « Des études comparatives avaient mis en avant les produits distribués par RoboSoft. La société nous a conseillé pour affiner les choix techniques » a déclaré le Lieutenant-colonel Peyronnet, en charge des équipements NEDEX (Neutralisation Enlèvement et Destruction d’Explosifs) au sein du bureau équipement de la DCMAT. « Mais c'est dans la mise en place de l'organisation du support et de la maintenance très spécifique à ce type de matériel que l'expérience de RoboSoft dans la robotique de service a été particulièrement utile ». RoboSoft est aujourd’hui distributeur exclusif des PackBots d’iROBOT (USA) en France. Dans le cadre de son activité « robots de sécurité », RoboSoft a opté pour une politique de partenariat et des prestations de service plutôt que de développement de produits propres. « Les moyens nécessaires au développement d’un tel robot sont trop importants pour une société française, voire Européenne » déclarait Vincent Dupourqué, Président du Directoire de RoboSoft. « Mais l’évolution technique des PackBots permet aujourd’hui à des entreprises spécialisées en robotique comme nous de les personnaliser pour les adapter aux besoins de nos clients. Un peu comme on développe des applications spécifiques à partir d’un PC standard … ». Après avoir déjà livré 12 PackBots en 2005 au NEDEX, conçu et réalisé le robot REC à 6 roues motrices du PEA MINIROC bientôt utilisé dans la démonstration BOA, et engagé une étude en 2008 sur les robots rapides tout-terrain dans le cadre d’une REI, RoboSoft s’affirme au fil des ans comme un des partenaires majeurs de l’armée française dans la robotique mobile terrestre. A propos de RoboSoft RoboSoft, l’une des plus anciennes startups de l’INRIA, est devenu l’un des leaders européens des solutions de robotiques de service. Avec plus de 20 ans d’expertise scientifique et industrielle reconnue dans ce domaine, ROBOSOFT fournit des solutions robotique avancées dans les marchés de transport, de la sécurité, de la santé, du nettoyage et de la recherche depuis 1985. A propos d’iROBOT Créée en 1990 par des roboticiens du MIT (Massachusetts Institute of Technology), iRobot Corp. est spécialisée dans les robots comportementaux qui aident les gens. Les robots d’iRobot évoluent dans des milieux complexes et des situations dynamiques réelles grâce à la technologie propriétaire AWARE™. A ce jour, la société a vendu plus de 3 millions d’aspirateurs iRobot Roomba® à travers le monde, ce qui en fait le robot domestique le plus vendu au monde. En outre, plus de 2,000 iRobot PackBot® ont été livrés à de nombreux clients militaires et civils à travers le monde. Ces robots ont effectué des dizaines de milliers de missions en Iraq et en Afghanistan, en ayant permis de sauver la vie de très nombreux soldats. Pour en savoir plus : www.robosoft.com www.irobot.com Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 13 janvier 2009 Share Posté(e) le 13 janvier 2009 Mission : UtilisationPont d’accompagnement Classe 70, transporté et lancé par une semi-remorque.Utilisable en combinaison de plusieurs ponts. Existe une option franchissement d’oléoducs.La travure peut être montée sur tout char poseur de pont existant pour le valoriser en lui donnant la classe 70. Caracteristiques : CaractéristiquesLe système comprend :- un pont construit par CNIM pour l’Armée Française,- une semi-remorque spécialisée comprenant un dispositif de mise en œuvre éprouvé par 20 ans d’utilisation, le train roulant de la semi-remorque PFM éprouvé par des années d’utilisation, un châssis routier et la génération hydraulique,- un tracteur 6x4 ou 6x6, adapté à la charge à remorquer.PerformancesAttelage en configuration route :- longueur : < 18 m, largeur : 3,6 m, hauteur : 3,9 m,- masse totale : 35 000 kg,- masse semi-remorque + pont + dispositif de mise en œuvre : 23 000 kg,- il faut un tracteur de 12 000 kg et de 330 cv.Pont :- longueur : 19,5 m,- voie : 4 m,- classe 70,- masse : 9 000 kg,- dénivellation entre berges : < 3 m.Mise en œuvre :- temps : 6 minutes,- personnel : 1 conducteur + 2 opérateurs.Mission : Le Pont Flottant Motorisé (PFM) est un pont à poutre flottante utilisable en pont pour un franchissement continu et en portière pour un franchissement discontinu pour les véhicules chenillés jusqu’à la classe MLC 70. Il ne nécessite l’emploi d’aucun matériel auxiliaire tel que vedette, grue ou engin de terrassement (il ne nécessite aucun aménagement des berges).Version PFM standardLe PFM est composé de modules flottants de 10 m de longueur utile. Les modules, équipés en permanence de deux moteurs hors-bord de 75 cv, sont totalement autonomes sur l’eau. Chaque module est transporté, mis à l’eau et retiré de l’eau par une semi-remorque spécifique. Le déploiement du module et sa mise à l’eau sont réalisés au moyen d’un groupe moto-hydraulique monté sur la semi-remorque de transport. Aucune grue n’est nécessaire pour la mise en œuvre du PFM. La jonction de la poutre flottante aux rives et réalisée par la mise en place de rampes d’une longueur de 12 m qui peuvent atteindre une berge de 3 m de haut. Chaque rampe est transportée et mise en œuvre par la même semi-remorque que le module. Toutes les opérations de mise en œuvre du PFM peuvent être effectuées à partir d’un quai vertical de 1,80 m de haut, donc sans aménagement des berges. La rampe peut être utilisée seule pour franchir une brèche de 8 m.Version PFM SIRLa version PFM SIR est optimisée pour l’emploi en portière et la transformation rapide de l’emploi en portière à l’emploi en pont. Le module PFM SIR est identique au module standard dont il a donc les caractéristiques. Il lui est adjoint une rampe courte de 3,50 m de long. Le module et sa rampe sont transportés sur la même semi-remorque. L’équipage lance le module avec ou sans la rampe en fonction du besoin. Pour passer de l’emploi en portière à l’emploi en pont, l’équipage dépose la rampe sur la berge et utilise le module comme un module standard. La rampe courte peut atteindre une berge de 1 m de haut.Options- Les roues de la remorque peuvent être motorisées par des moteurs hydrauliques afin d’améliorer la mobilité de l’attelage en terrain boueux.- Une commande à distance permet à un seul opérateur de diriger les deux moteurs hors-bord d’un module et donc de diminuer sensiblement l’effectif nécessaire à la mise en œuvre du matériel.- Un kit de rampe logistique permet l’embarquement des véhicules de la gamme civile ayant une garde au sol réduite. Caracteristiques : Caractéristiques- Voie du chemin de roulement : 4 m- Tirant d’eau : 0,60 m à vide, 0,90 m en charge (MLC 70)- Vitesse maximum de courant en pont MLC 70 : 3 m/s- Largeur du convoi : 3,60 m- Hauteur du convoi : 4 m- Construction d’un pont de 100 m:o 15 à 30 minuteso 27 à 40 hommes selon les optionsComposition d’une unité de 100 m- PFM standardo 9 modules2 rampes- PFM SIRo 6 modules SIR (avec rampe courte)o 3 modules standardso 2 rampes longueso Cette unité permet de réaliser 1 pont de 100 m, ou 2 ponts de 50 m, ou 3 portières d’une capacité d’emport de 90 tonnesLe PFM est en service dans trois armées européennes en version standard et dans une armé outre-mer en version SIR.Mission : Les bacs sont directement dérivés du PFM dont ils reprennent les composants.BAC 20Le BAC 20 est constitué d’un module PFM et de deux rampes courtes. Il est transporté et mis en œuvre par la semi-remorque PFM.BAC 60Le BAC 60 est composé de deux modules PFM dotés chacun d’une rampe courte. Il est transporté et mis en œuvre par deux semi-remorques PFM.BAC 90Le BAC 90 est composé de deux modules PFM dotés chacun d’une rampe courte et d’un module standard. Il est transporté et mis en œuvre par trois semi-remorques PFM. Caracteristiques : CaractéristiquesLes modules des différents bacs peuvent être utilisés comme des modules standards après retrait des rampes. Cette opération peut être réalisée en une demi-journée en atelier.BAC 20Capacité de transport: 20 – 30 tonnesLongueur de chargement : 10 mSurface de chargement: 40 m²Hauteur maximum des berges pour la mise à l’eau et la reprise :1,60 mHauteur maximum des berges pour le chargement et le déchargement : 1 mTirant d’eau à vide : 0,50 mTirant d’eau en charge maximum :0,90 mVitesse de navigation en charge :2,70 m/sNombre de véhicules de transport :1Equipage : 4 – 5Temps de construction :5 minutesBAC 60Capacité de transport : 50 – 60 tonnesLongueur de chargement : 20 mSurface de chargement : 80 m²Hauteur maximum des berges pour la mise à l’eau et la reprise : 1,60 mHauteur maximum des berges pour le chargement et le déchargement : 1 mTirant d’eau à vide : 0,50 mTirant d’eau en charge maximum : 0,90 mVitesse de navigation en charge : 2,70 m/sNombre de véhicules de transport : 2Equipage : 7 – 9Temps de construction : 7 minutesBAC 90Capacité de transport : 90 tonnesLongueur de chargement :30 mSurface de chargement : 120 m²Hauteur maximum des berges pour la mise à l’eau et la reprise : 1,60 mHauteur maximum des berges pour le chargement et le déchargement : 1 mTirant d’eau à vide : 0,50 mTirant d’eau en charge maximum : 0,90 mVitesse de navigation en charge : 2,20 m/sNombre de véhicules de transport :3Equipage : 9Temps de construction : 9 minutesLe BAC 20 et le BAC 60 ont le label armée française. Le BAC 90 est en service dans une armée outre-mer. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jisse Posté(e) le 13 janvier 2009 Share Posté(e) le 13 janvier 2009 Pour les moyens de franchissement, il y a le SPRAT developpé par CNIM. Un pote qui y bosse m'a dit que l'armée en avait commandé. Il m'a montré des photos de l'engin prises sur le site, c'est un monstre !!! http://www.cnim.fr/hi/act_defense_franch.htm Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 13 janvier 2009 Share Posté(e) le 13 janvier 2009 Pour les moyens de franchissement, il y a le SPRAT developpé par CNIM. Un pote qui y bosse m'a dit que l'armée en avait commandé. Il m'a montré des photos de l'engin prises sur le site, c'est un monstre !!! http://www.cnim.fr/hi/act_defense_franch.htm Le PTA 2 est un pont d’assaut modulaire. Le véhicule de lancement transporte deux travures de 14,30 m qu’il peut lancer séparément ou ensemble pour constituer un pont de 26 m. La modularité permet d’adapter la longueur du pont à la largeur de la brèche. Elle confère au système un avantage tant opérationnel qu’économique sur tous les ponts d’assaut existants. En effet, plus de 90 % de brèches rencontrées ont une largeur inférieure à 9 m. De ce fait, l’efficacité d’un PTA 2 est d’environ 1,9 fois celle d’un système équipé d’un pont de 26 m non modulaire. Ceci permet de réduire dans la même proportion le parc de ponts d’assaut pour une efficacité totale donnée. Le véhicule de lancement est un châssis 10x10x10 équipé d’un système de commande centralisée de pression des pneus qui lui confère une excellente mobilité. Toutes les opérations de lancement et de reprise sont commandées depuis la cabine qui assure à l’équipage de deux hommes une protection balistique et NBC. Les opérations peuvent être automatiques ou commandées par l’équipage qui peut toujours reprendre le contrôle de l’opération. Le lancement s’effectue par l’avant face à la brèche. La reprise d’un pont peut s’effectuer à partir de n’importe quelle extrémité. Un véhicule d’accompagnement constitué d’un attelage semi-remorque transporte deux travures supplémentaires. Ce véhicule peut déposer lui-même les travures au sol. Le véhicule de lancement peut charger lui-même les travures directement à partir du véhicule d’accompagnement ou au sol. L’Armée française a commandé 10 systèmes. Les premières livraisons sont prévues en 2009. Caracteristiques : Principales données Véhicule - longueur 17 m - largeur en charge 4 m - hauteur en charge 4 m - masse en charge 58 t - puissance 760 cv Pont Pont court MLC 120 © Pont long MLC 80 © Masse d’une travure 7,4 t Temps de mise en œuvre - lancement d’un pont court < 7 mn - lancement d’un pont long < 10 mn - reprise d’un pont < 10 mn Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 2 février 2009 Share Posté(e) le 2 février 2009 http://militaire.wordpress.com/2009/01/07/10-pieges-des-tunnels-afghans/ 10 pièges des tunnels Afghans Gestion d’actions offensives en milieu clos. De nombreux moyens ont été utilisés en Afghanistan pour traiter les personnels retranchés dans des tunnels : bombardement de zone, différents gaz, démolition “tactique stéréo”, bombes guidées avec des personnels alliés au sol… Empiriquement, la meilleure façon de garantir l’interdiction d’utilisation des tunnels est de les explorer, traiter les personnels présents et enfin d’ébouler les tunnels de l’intérieur. L’idée est simple, mais sa réalisation comporte dix écueils mortels. 1. Le paradoxe géologique : plus la roche est friable (schiste) plus il est facile de venir à bout en utilisant les munitions adaptées… Mais plus, les installations réapparaitront rapidement. Plus dure est la roche, plus difficile est la pénétration de celle-ci avec des explosifs conventionnels… Plus complexe et long sera le réseau souterrain à traiter. 2. La proximité des combattants : il faut des personnels avec un profil psychologique particulier pour combattre dans ces conditions. En effet, il ne faut pas être claustrophobe, et avoir une endurance physique permettant de livrer si nécessaire plusieurs assauts au corps à corps. 3. Les mines et autres pièges : champs de mines et autres accés factices piègées sont générallement trouvés dans un rayon de 250 mètres autour d’une entrée ou d’une sortie d’un réseau souterrain. N’oublions pas les traditionnels pièges de couloirs. 4. Le temps consommé : ces réseaux sont de véritables points de fixation permettant d’organiser des contres attaques efficaces pour un ennemi créatif. A tel point, que durant les années d’occupation soviétiques, ces derniers délaissait le traitement de ces zones si elle ne faisaient pas partie d’un plan d’envergure. 5. La faune locale : scorpions, serpents parfois peuvent également être de la partie. Certes, ils ne sont pas tous mortels mais peuvent occasionner des retards lors du déploiement des équipes. 6. L’expérience adverse : la plupart des tunnels sont interconnectés. Ces accès camouflés ne sont utilisés qu’en cas d’urgence - souvent un à deux mètres à excaver. De plus, leur localisation n’est connue que de quelques responsables. 7. Le problème du milieu clos : l’utilisation d’explosifs ou de gaz en milieu clos pose les problèmes de traitement du monoxyde de carbone et parfois même de l’absence d’oxygène, avec des conséquences facilement envisageables. 8. Equipes de taille réduite : les espaces confinés requiert des équipes petites, mais souvent les engagements tournent à du “trois à cinq contre un”, diminuant les chances de survies des personnels. 9. Navigation difficile : le traitement de ces zones requiert des équipes spécialement formées et bien entraînnées. La cartographie soigneuse des réseaux de tunnels existants a sauver de nombreuses vies. 10. Difficulté de communication : avec les équipes de soutien à l’extérieure. L’utilisation de radio même à fréquences adaptée est aléatoire, la communication filaire reste à privilégier… avec les problèmes inhérents à ce moyen de transmission. Je ne pense pas avoir réaliser une liste exhaustive; aussi n’hésitez pas à venir enrichir celle-ci… Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Manu Posté(e) le 6 mars 2009 Share Posté(e) le 6 mars 2009 16 février au 22 avril 2009 -13e Régiment de génie -camp de Valdahon (25) Arrivée du Système de pose rapide de travures et premiers essais sur le camp du Valdahon Le SPRAT est destiné au franchissement de coupures sèches ou humides de 3 à 25 mètres. Il sera mis en place dans les unités en 2009. Dix systèmes équiperont les forces et seront mis en place au 13e RG. Une partie du parc servira à la formation et à l’entraînement au Valdahon, l’autre servira à l’entraînement interarmes sur les camps de manoeuvre de Champagne. Source : http://www.garnison-metz.terre.defense.gouv.fr/actualite/activite.html Le véhicule de lancement est un châssis 10x10x10 Il y a un 10 de trop là nan ? Le premier chiffre indique le nombre de roues et le deuxième le nombre de roues motrices. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
scalp79 Posté(e) le 6 avril 2009 Share Posté(e) le 6 avril 2009 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
CVN220 Posté(e) le 6 avril 2009 Share Posté(e) le 6 avril 2009 Je trouve abérhente la décision de l' EMAT de renoncer à l' amphibie, sans préparation, de certains materiels comme l' ANX10 RCR et de ne commander que dix exemplaires du SPRAT. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 6 avril 2009 Share Posté(e) le 6 avril 2009 Je trouve abérhente la décision de l' EMAT de renoncer à l' amphibie, sans préparation, de certains materiels comme l' ANX10 RCR et de ne commander que dix exemplaires du SPRAT. SPRAT n'est pas le seul moyen de franchissement non plus ... Pour la capacité amphibie perdue des véhicules, elle est souvent conséquence de l'alourdissement lié aux upgrade blindage, qui hypothèque la flottabilité. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) le 3 juin 2009 Share Posté(e) le 3 juin 2009 Marc chassilan explique le futur Moyen d'appui au contact (ex EGACOD) qui remplacera l'EBg sera chenillé. On peut penser que le dépanneur de contact qui dépannera les futur EBRC et le VBCI sera chenillé (mais avec des chenilles souples ce qui garantira à la fois vitesse élevée pour suivre les engins à roues, faible coût de possession, et mobilité tactique élevée pour aller chercher un VBCI qui s'est planté) une partie du parc EBRc pourrait être chenillé aussi. http://engins-blindes.leforum.eu/t909-Interview-Les-reponses-de-Marc-Chassillan.htm Il indique également (fin 2008) qu'il travaille sur tous les programmes de blindés futurs de l'armée de terre: porteur blindé qui va remplacer le VAB, l'EBRC et la tourelle de 40 mm, le programme Scorpion (système de systèmes terrestres), et tous les démonstrateurs de technologies financés par la DGA: blindages et structures avancés, survie des équipages, chenilles souples, tir au delà de la vue directe, vétronique et énergie embarquée. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 13 juin 2009 Share Posté(e) le 13 juin 2009 200th Engineer Company, entrainement Golden Coyote. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 20 juin 2009 Share Posté(e) le 20 juin 2009 TIM n°205 Livraison pour les régiments du génie La livraison des neuf premiers Engins du génie rapide de protection (EGRAP), dont l’utilisation principale est l’organisation du terrain (aménagements, protection des forces, emplacements de tir…), commandés par l’armée française à JCB Ile-de-France, a débuté à la fin du mois d’avril. À terme, ce sont 92 machines qui viendront renforcer les régiments du génie. Fruit de trois années d’études, elles sont dérivées d’un modèle civil et ont été adaptées aux exigences opérationnelles militaires. Ces engins ont notamment vocation à être projetés sur les théâtres d’opérations extérieures où leur polyvalence et leur mobilité devraient être très appréciées. http://www.francebtp.com/materiels/e-docs/00/00/74/B7/document_articles.php Le constructeur britannique, via sa filiale française et JCB Île-de-France, va livrer 92 EGRAP à l’armée française. Il s’agit en fait de la réalisation d’un contrat signé à la fin 2006. Pour un montant global de près de 16 M€, la DGA, Délégation générale pour l’armement, avait alors commandé 92 EGRAP, Engins du génie rapide de protection. Après 2 années d’étude, de développement et d’essais conduits par JCB, l’armée a validé les spécifications et les performances de l’EGRAP, une chargeuse pelleteuse JCB adaptée aux spécifications techniques des militaires : - cabine blindée (partenariat avec la société Cabines Sarrazin située dans l’Isère) ; - dispositif de Lock up sur la transmission afin de réduire les temps de transfert par la route ; - circuit électrique 24 volts ; - pontets d’arrimage pour l’aérotransport ; - peinture « camouflage centre Europe » ; - compresseur d’air de série pour rendre l’EGRAP autonome au niveau du gonflage des pneumatiques. Les 9 premières machines viennent d’être livrées dans les régiments du Génie. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 26 juin 2009 Share Posté(e) le 26 juin 2009 Un peu d'histoire. L'armée allemande utilisait déjà des drone terrestre armés ... En fait des modèles réduits filoguidés, électriques ou thermiques selon les modèles, et transportant une charge de destruction de 50 a 100kg. L'engin étant bien entendu perdu avec l'explosion. Le modele goliath de la photo a été produit a plus de 7500 exemplaires. http://en.wikipedia.org/wiki/Goliath_tracked_mine Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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