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Marine espagnole


Invité Guest

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  • 2 weeks later...

L'armée espagnole achete ses premiers missiles tomahawk. L'armé achete 24 missiles pour un cout de 72 millions $.Dans le prix,sont inclus l'integration des missils dans les F100 et dans les futurs S80. Source.El pais. http://www.elpais.com/articulo/espana/Armada/inicia/verano/compra/24/primeros/misiles/Tomahawk/72 P.D. Personelment,je pense que l'achat des tac tom est une boulette,car on pourra l'utiliser uniquement contre qui les usa voudront bien qu'on l'utilise,et je doute qu'il existe des retours industrielles de I+D. D'un autre coté,á l'heure actuelle,c'est la meilleure solution pour les F100 et s80,car l'integration des missiles devrait être relativement facile,et les missiles sont deja developpes et disponibles tout de suite.

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Tu as raison MOP, d'un autre coté si la marine espagnole avait attendu 3 ans de plus , vous auriez pu avoir des Mdcn, autant de portée que les tomahawk, mais plus précis, et pas de problème pour attaquer qui vous voulez...

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Celle Armée entame cet été l'achat de ses 24 premiers missiles Tomahawk par 72 millions l'Espagne ne pourra pas utiliser à moyen terme son arme plus puissante sans l'approbation des USA MIGUEL GONZÁLEZ - Madrid - 14/05/2007 L'Espagne donnera cet été le pas définitif pour se transformer le tiers pays (après les Etats-Unis et le Royaume-Uni) qui dispose le missile Tomahawk, maximum exposant du pouvoir militaire américain dans des guerres comme celles du Golfe, Kosovo, l'Afghanistan ou l'Iraq. Le programme d'acquisition des 24 premiers missiles, avec un coût de de 72 millions de EURO - qu'inclut son intégration dans les frégates F-100 et les sous-marins S-80 -, sera entamé dès que l'US Navy remet la charte Offre et Acceptation (COA), qui reflète les conditions pactisées avec l'entreprise fabricant, la Raytheon américa* L'acquisition du Tomahawk supposera un saut qualitatif pour l'Espagnol Armée. Par fois premièrement, il disposera d'un missile capable d'atteindre un objectif situé à 1.600 kilomètres de distance avec une marge d'erreur de dix mètres. Et il pourra le faire sans avoir besoin risquer à ses pilotes (comme il se produit avec les missiles lancés par des avions), depuis la sécurité un bateau ou d'un sous-marin situé loin de la portée des représailles éventuelles. L'arme qu'il lui permettra de faire l'est le Tac-Tom (Tomahawk Tactique ou Bloc IV), un missile subsónico d'attaque à terre et une plus petite portée que ses prédécesseurs stratégiques, mais doté d'améliorations sensibles, qui permettent de le reprogramar en vol ou de choisir entre 15 blancs alternatifs. Une fois que le Ministère de la Défense réponde avec un OK à la COA de l'US Navy, on mettra en marche le programme, avec un premier paiement de de quatre millions de EURO pour cette année et un coût total de de 72 millions, le long de huit exercices. Avec cet argent non seulement on couvre le paiement des 24 premiers missiles (chacun coûte quelque 500.000 EURO), mais aussi, et surtout, la formation et l'instruction des équipages et l'adaptation des plates-formes. Opérationnels en 2012 Il est prévu qu'entre les années 2008 et 2012, en profitant de l'arrêt programmé pour installer les missiles antiaériens Evolved les quatre frégates Est Sparrow, s'adaptent F-100. Il s'agit d'un ajustement relativement simple, selon les sources consultées, parce que ces navires disposent déjà de lanceurs verticaux. La frégate F-105, encore en projet, et la F-106, en suspens d'approbation, sortiront des chantiers navals des listes pour le Tomahawk. Plus complexe résulte l'installation du missile dans les futurs quatre sous-marins S-80, qu'on abordera dans une seconde phase, en profitant de ses tubes des lanzatorpedos. Les contacts entre les états plus grands de l'Espagnol Armée et l'US Navy pour le transfert du Tomahawk ont été entamés en avril le 2002. La vente a été approuvée par la Marine américaine, mais non par le Pentagone, qui a finalement donné le feu vert en juin 2005 au moyen d'une lettre du secrétaire d'État de Défense, Donald Rumsfeld, à son alors Espagnol homologue, José Lien, avec lequel il s'est eu une entrevue à Washington un mois avant. Pendant ce temps, après de nombreux échanges de visites, celle Armée a terminé l'étude de viabilité pour installer le Tomahawk dans les F-100 et les S-80. Par le chemin on a écarté d'autres alternatives européennes, comme le Scalp, version navale du Storm Shadow de MBDA, qui est encore en phase de développement. L'achat sera fait par le système FMS, de sorte que l'US Navy agisse d'intermédiaire entre Armée et la Raytheon espagnole. La première commande de 24 missiles ils seront encore de nouveaux départs, puisque les nécessités sont estimées quelque 12 missiles par frégate. En ce qui concerne le S-80, le chantier naval espagnol Navantia et la signature américaine Lookheed Martin, fabricant du système de combat, négocient déjà un accord d'assistance technique pour intégrer le missile dans le sous-marin. Cependant, le plus difficile n'est pas d'avoir le Tomahawk, mais être capable de l'utiliser de façon autonome ; c'est-à-dire, ne pas dépendre des USA pour chaque emploi. Sans cette autonomie, l'effet dissuasif serait sérieusement diminué, parce que l'ennemi éventuel pourrait s'adresser directement aux USA sans avoir besoin être compris avec l'Espagne. Des sources militaires reconnaissent que, dans une première phase, la capacité de l'Espagnol Armée n'ira pas beaucoup au-delà "de serrer du bouton", tandis que la sélection de blancs sera entre les mains des USA. L'utilisation du Tomahawk sera limitée aux occasions dans lesquelles les Forces Armées Espagnols opèrent en coalition avec les USA. À moyen terme, toutefois, ils soutiennent les mêmes sources, en effet on pourrait atteindre une certaine autonomie, de sorte qu'il soit possible d'utiliser le missile sans appui externe, même s'il était perdu en précision. Tous les systèmes d'armes de dernière génération sont soumis à des restrictions techniques du fabricant, mais dans le Tomahawk celles-ci rendent irréalisable leur emploi. Le missile, qui se adresse à son objectif en volant à basse hauteur, requiert l'appui d'un réseau de satellites communications et observation (en commençant par le GPS) dont l'Espagne manque. Son fonctionnement se base un système qui compare le profil du terrain et les images recueillies par sa chambre de TV avec les données stockées dans sa mémoire. Si l'Espagne veut disposer un listing de blancs, en marge de ceux facilités par les USA, il devra étudier et mettre à jour ses propres routes de rapprochement. Celui-là sera l'affectation du Centre de Plan d'aménagement National du Tomahawk que celle Armée veut mettre en marche à moyen terme. Seulement alors il pourra être dit, en propriété, que l'Espagne a un missile de croisière. Dissuasion survenue Comme il est habituel avec les principaux programmes d'armes en Espagne, l'achat du Tomahawk n'a pas fait l'objet d'un débat parlementaire. Seulement à une occasion, le 20 novembre 2006, le secrétaire d'État de Défense, Francisco Brun, a répondu alors dans le Sénat à une question du PP sur ce sujet et l'a signalé de duquel il n'y avait encore aucune décision prise le programme n'a pas été mentionné dans le débat des budgets, tenu dans le Congrès un mois avant, parce que ni même il figurait, au moins alors, dans les premiers postes de l'objectif conjoint de capacités approuvé par le chef de l'État Plus grand de la Défense, le général Félix Sanz, dans lequel par fois première on donnait la priorité aux nécessités des armées Dans le Sénat, Brun en effet a fait allusion à la Révision celle qui installerait l'acquisition de missiles de croisière. Mais ce document se réfère seulement, de manière générique, à la nécessité d'influencer "la projection du pouvoir naval la terre", une mention qui paraît plus adaptée à la force amphibie, à à laquelle il cite expressément, qu'aux Tomahawk. la Stratégie Militaire espagnole, approuvée en 2003, ne fait pas apparaître non plus trop de lumière, parce que son Objectif Stratégique Militer 3B se limite à dire que "on devra orienter l'activité des forces navales vers le littoral, avec une emphase spéciale à des opérations du pouvoir naval sur le tierra". Entre les défis de de celle Armée, la Stratégie Militaire espagnole indique la projection d'une brigade d'Infanterie de Marine capable d'opérer mot de la puissance de feu sur la terre la justification doctrinale pour l'achat des Tomahawk faut aller la chercher dans le principe de dissuasion, selon lequel "tout possible agresseur doit être pleinement conscient que l'Espagne dispose une capacité militaire comme les risques qu'entraînerait entamer un conflit dépassent largement tout possible bénéfice".

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Effectivement sans accord et aides USA, les tomahawks espagnols ne pourront pas être utilisés à court terme, et à moyen terme, sans aides des US, et donc approbation, leur précision restera assez moyenne. Je réitère le fait que les espagnols auraient mieux fait d'attendre quelques années de plus, ils auraient eu un missile meilleur, plus précis, et qu'ils auraient pu utiliser en totale indépendance... dommage pour nos amis espagnols. Enfin vu que seulement 24 ont été acquis pour l'instant, rien n'empeche de réévaluer l'option des scalp navals, d'autant plus que les US se méfient plus de Zapatero que de Aznar.

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Cette acquisition a été faite sous le gouvernement précédent au moment où les relations entre les USA avaient le vent en poupe. Pour le gouvernement actuel cet achat est un boulet qu'il doit trainer, il se trouve dos au mur. L'Espagne a cependant la capacité technologique de pallier (avec évidemment d'importants investissements), je crois qu'elle choisira cette option, l'achat d'un autre type de missile serait plus onéreux qu'un investissement dans la recherche. L'article fait référence à la création par l'Armada d'une agence pour y remédier ce qui montre deux choses: qu'il y a une volonté d'émancipation vis-à-vis des USA et qu'il n'y a manifestement pas l'intention d'acquérir dans le futur un autre type de missile.

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Cette acquisition a été faite sous le gouvernement précédent au moment où les relations entre les USA avaient le vent en poupe. Pour le gouvernement actuel cet achat est un boulet qu'il doit trainer, il se trouve dos au mur. L'Espagne a cependant la capacité technologique de pallier (avec évidemment d'importants investissements), je crois qu'elle choisira cette option, l'achat d'un autre type de missile serait plus onéreux qu'un investissement dans la recherche. L'article fait référence à la création par l'Armada d'une agence pour y remédier ce qui montre deux choses: qu'il y a une volonté d'émancipation vis-à-vis des USA et qu'il n'y a manifestement pas l'intention d'acquérir dans le futur un autre type de missile.

L'intention est de doter de 12 missiles chaque Frégate et un nombre inférieur ¿8 ? à chaque sous-marin. Le chiffre qui donnerait environ 100 missiles de croisement au total

La première commande sert à dresser des équipages et à préparer l'arrivée "massive" du reste.

Le plus important de la nouvelle est la création d'un centre national pour la fabrication autonome de cartes numérisées pour la guide TERCOM du missile, ce qui proportionne une autonomie d'usage total. À un demi-délai

Les Anglais utilisent cette guide et sa marge d'erreur passe de 3m et une manière GPS à 10m dans une manière TERCOM

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F-100 (2012) armmement estadart:

1 127 mm

2 20 mm

8 12,7 mm

8 Harpoon

6 Tourpedos 355mm

48 Envolved Sea Sparrow

24 Standart SM2

12 Tomahawk

* Sónar ASW de casco: ENOSA-Raytheon DE 1160LF (I).

* Sónar ASW remolcado: ATAS (previste)

1 SH60B Lapms III ASW AaW

Les Sea Sparrow sont déjà montés -intégrés ou c'est prévu? J'avais cru comprendre que l'integracion se ferait avec le passage de Baselin S1.1 a Baselin S2
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  • 3 weeks later...

Il est intéressant de voir que la marine espagnole, qui n'a pas de "Hawkeye" a par contre des hélicos radars de guet aérien "Seaking", quasiment les mêmes que ceux de la Royal Navy (version crée en urgence lors de la guerre de Malouines en 1982, pour avertir la flotte en cas d'attaque via missiles à vol rasant) ; ils sont mis en oeuvre depuis la PA "Principe de Asturias" :

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Il est intéressant de voir que la marine espagnole, qui n'a pas de "Hawkeye" a par contre des hélicos radars de guet aérien "Seaking", quasiment les mêmes que ceux de la Royal Navy (version crée en urgence lors de la guerre de Malouines en 1982, pour avertir la flotte en cas d'attaque via missiles à vol rasant) ; ils sont mis en oeuvre depuis la PA "Principe de Asturias" :

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Oui oui,

aussi l'italie en à, mais ils sont en cours d'etre replacè avec les nouveaux EH-101 HEW (AEW).

J'espere que aussi les espagnol achat le bon EH-101, car le development de une version NH90 HEW est tres cher.

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un peu comme en 1939 quand nos rafiots n'avait quasiment que dale en AA car le plan ne prevoyait pas qu'il puisse etre attaque par des avions, et que ces meme bateaux avait tous les records de vitesse mais pas de blindage car ont supposait que le bateau pouvait manoeuvrer plus vite que les obus pouvait tomber :lol:

Excellent Bill...vive le sens de l'humour... =D

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Hola Cervantes ! au faît, le lancement du Buque de Proyeccion Estrategica, a t-il eu lieu ? Y a t-il des photos disponibles ? (jusqu'ici on ne l'a vu qu'en images de synthèse =|).

Cela dans une construction. À peine il y a des images : Certains des modules distincts avec lui sont d'accord

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Cela est d'une maquette officielle de l'armée de mer Espagnole

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Et cela du concours pour la marine de l'Australie, qui est sur le point de se décider ou bien par le Mistral ou le BPE

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Moi j'ai lu dans la revista Defensa, que le lancement etait prevu decembre 2007 au plus tard fevrier 2008.

Le site de la Armada a quelles fotos des caisons en construccion.

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