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La saga du Clémenceau, coque Q790


Philippe Top-Force

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Voici pourquoi la France ne peut pas couler le PA Clemenceau ou la coque ,elle a signé la convention internationale du droit de la mer en 1982.

http://www.un.org/Depts/los/convention_agreements/texts/koh_french.pdf

http://www.un.org/Depts/los/convention_agreements/texts/acte_final_fr.pdf

Au passage les Américains ne l'ont pas signés.

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Au passage les Américains ne l'ont pas signés.

Il avait prévu le coup, ils voulaient pas se mouiller !

De toute facon les américains ne signent pas des traités reduisants leurs libertées. Comme on a pu le voir avec le Protocole de Tokyo afin de réduire l'émission de gaz à effet de serre. (Les USA sont les premiers pollueurs)

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:D Salut a tous, je suis nouveau et donc rapidement, 5000 heures au compteur, passionne d'helico et de l'histoire des helicos.. Non pas le couler l'amarrer quelquepart, ce serait une excellent plateforme helico, il doit avoir au moins 10 000 metres de surface.. et ds hangars pour la maintenance..pas mal comme piste et parking... ;) au large de la cote d'azur.. non la j'en rajoute un peu... a plus

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On ne peut pas le coulez puisqque l'on a signe un traite sur la preservation du milieu marin de l'atlantique nord est en 2005, c'est a ce demandez ce qu'il ont fait avant de le signer ce traité. On peut peut être le coulez aux kergelen, la reunion, les crozets, c'est pas les îles du bout du monde francaise qui manque. Quand a le coulez genre accident, ce serai vraiment trop evident, je ne pense pas que greenpeace apprécierait. On a voulu jouez selon les regles ou a peu pres, on a perdu.

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alors pourquoi ça se pratiquait encore jusqu'il y a quelques années?

ex batral Champlain.

J'ai entendu au JT que l'on pouvait encore le faire dans le cadre d'exercice militaire.

Quant à l'idée de couler le clem, je crois que d'un point de vue financié -depuis qu'on a commencé à le désiamanter- c'est pas la solution la plus intéressante

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Avant de le couler, il faudrait être sûr de ne pas avoir à le renflouer... :P

j'ai faillis m'etouffer avec mon pot de haagen dazs quand j'ai lu ton intervention :lol: :lol: :lol: :lol:

sinon à ce qu'il parait, sa feraille au prix du marché vaudrait 7.5 million d'euro ;)

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Il n'y a pas en France ou meme en Europe ou dans le reste du monde des chantiers pouvant le démanteler ? Ca dois pas manquer ?

Et sinon les 7.5 millions d'euro ils iraient dans quel porte feuille ? celui de la defense ?

Les chantiers existant ont déjà du mal à démanteler correctement de petits bateaux, alors un porte-avions...

Quant au prix, j'ai cru comprendre que l'acier valait 150€/T en moyenne, et le triple en asie. Le problème est que le coût du démantèlement est bien supérieur et que seuls les chantiers asiatiques peuvent l'amortir.

En clair : le contribuable va payer.

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Pourquoi ne pas essayer de le convertir en casino, discothèques (style "Thé dansant" sur le pont), restaurants, cinémas, ou devenir une sorte de musée naval comme le célèbre "Potemkine", ... du côté de Cannes ou à la Côte d'Azur, ou dans les îles paradisiaques comme Bora-Bora, Tahiti, ... ce serait original et avec de la pub, des néons, des sponsors, ... ça pourrait marcher et aider le pauvre contribuable français à renflouer les caisses de l'Etat ?! :lol: :lol: :lol: Il faut faire vite car il faut profiter de la médiatisation télévisée et presse écrite, c'est quand même de la publicité gratuite qu'il faut en tirer partie après il faut payer ... ! :lol: Ou alors, faire comme en Allemagne après la chute du mur de Berlin, le vendre en petits morceaux à des particuliers, des collectionneurs, ... ou le mettre au enchère chez Sotheby's ?! :lol: :lol: :lol: ;)

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Pourquoi ne pas l'avoir cédé au Brésil lors de la vente du Foch afin d'être utilisé comme stock de pièces de rechange ???

On ne pouvait pas, il me semble, justement à cause de l'amiante. Le Foch a été désamianté donc il pouvait être vendu au Bresil, ce qui n'était pas le cas du Clemenceau, ou seul des pieces de rechange ont été prélevées.

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Le Foch a été désamianté

J'ai comme un doute...

Comment conserver au Foch ses caractéristiques opérationnelles après avoir retiré toute l'amiante (et les produits divers en contenant), sans avoir à le reconstruire avec des matériaux de remplacement et sans faire grimper les coûts dans des proportions incompatibles avec ce que pouvait offrir l'acquéreur ?

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J'ai comme un doute...

Comment conserver au Foch ses caractéristiques opérationnelles après avoir retiré toute l'amiante (et les produits divers en contenant), sans avoir à le reconstruire avec des matériaux de remplacement et sans faire grimper les coûts dans des proportions incompatibles avec ce que pouvait offrir l'acquéreur ?

:oops: :oops: c'est à dire le brésil l'a eu pour un bon prix (aprés recherche 84 MF- source: http://www.netmarine.net/bat/porteavi/foch/actu.htm)
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Concernant le désamiantage du Foch, j'ai retrouvé la source ou j'ai lu cette info : Navire&Histoire n°27, page 61 article de Michel Prévotaux et Frédéric Sthal. Je cite : "Les Bresiliens, parallèlement à la vente du Foch, espèraient acquèrir le Clemenceau afin qu'il lui serve de pièces de rechange. Mais faute d'avoir, à l'instar du Foch, été "désamineté", la legislation en vigueur interdit toute exploitation de l'ancien porte-avions."

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Les marins observent que les précautions prises autour du démantèlement du «Clemenceau» étaient une première.

DIFFICILE, quand on a représenté «30 000 tonnes de diplomatie», selon la formule souvent appliquée aux porte-avions, de se voir ballotté au gré des aléas d'un grand cirque médiatico-juridique. Dans les armées, pourtant, la fin de vie pathétique du Clemenceau est ressentie avec plus de tristesse que de colère. «C'est la manière dont tout cela a été géré qui nous écoeure, confie un amiral, pour le reste, inutile de se complaire dans le sentimentalisme : ce bateau n'est plus un navire militaire et les marins sont heureusement tournés vers d'autres combats

Dans la marine règne aussi un sentiment d'injustice, l'impression de payer pour avoir voulu trop bien faire. Des centaines de bateaux commerciaux bourrés d'amiante, appartenant à des armateurs sans scrupule, sont désossés chaque année sans que les organisations écologistes s'en émeuvent outre mesure. Là, même s'il était perfectible, tout un dispositif avait été prévu. «Nous sommes attristés car persuadés qu'il s'agissait d'un projet pilote, dont on finira d'ailleurs par se rendre compte un jour qu'il n'était pas si mauvais, confie un officier de marine. C'est la première fois que l'on envoyait un bateau vers son dernier rivage avec autant de garanties, de précautions.»

Gestion «molle» de l'affaire

Et l'on égrène les dispositions prises : désamiantage partiel avant le démantèlement du navire, choix d'un chantier certifié internationalement, le transfert de technologies en formant les intervenants indiens, l'encadrement local par des ingénieurs français, l'envoi de matériels de protection individuelle pour tous les ouvriers, le suivi médical de ces mêmes ouvriers et le rapatriement in fine de l'amiante et des déchets retirés du bateau.

Alors, pourquoi un tel fiasco ? Les militaires reconnaissent qu'une gestion un peu «molle» de l'affaire a sans doute rendu la barre impossible à redresser. Manque de réactivité, mauvaise anticipation. Notamment pour désamorcer avec des éléments concrets la polémique sur la quantité d'amiante restant à bord du navire. «Nous n'avons pas réussi à faire passer notre message, alors que les associations ont été d'une redoutable efficacité», poursuit un officier. Greenpeace a mis tout son savoir-faire dans la bataille. L'association a depuis l'affaire du Rainbow Warrior une sérieuse dent contre le ministère français de la Défense. «Nous sommes rentrés peu à peu dans une histoire surréaliste où les arguments rationnels n'avaient plus vraiment place, poursuit la même source, où l'on avait réussi à opposer un grand bâtiment gris menaçant à de pauvres ouvriers démunis du tiers-monde. A partir de cela, c'était perdu...»

Certains s'étonnent aussi que la Défense soit le bouc émissaire alors que le porte-avions avait été remis dès la fin 2002 à la DNID (Direction nationale des interventions domaniales). «Cela dit, c'est logique, commente un capitaine de vaisseau, même devenu la coque Q790, le Clemenceau gardait sa silhouette de porte-avions. Pour l'opinion, difficile d'y voir autre chose qu'une affaire militaire.»

Devant un parterre de députés, il y a dix jours, l'amiral Oudot de Dainville, chef d'état-major de la marine, a vanté le «caractère vertueux» de la démarche française. Il a cité à l'appui deux commentaires. Celui de l'association écologiste Robin des Bois, d'abord, qui a estimé que les conditions de démantèlement du Clemenceau étaient un net progrès par rapport aux usages. Et celui de la société GMS, un des principaux acteurs du marché de la démolition de navires aux Etats-Unis, qui a déclaré que «les critiques ont pris ce bateau pour cible, alors qu'il est l'exemple de ce qu'il faut faire». La vertu, une fois de plus, serait donc mal récompensée...

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"C'est d'ailleurs pour cette meme raison que la vente de l'Orage et l'Ouragan est suspendue jusqu'à nouvel ordre.....

Excellent, on pourra peut etre esperer les voir garder en reserve opérationelle.La vente de ces batiments encore utilisables en cas de crise style malouines (qui fait partie des missions que la France doit pouvoir assurer seule selon le livre blanc de la defense ) est un scandale.

Ceci pour gagner quelque dizaines de m d'€ on vend des batiments utlisables en cas de crise grave, que on doit mettre en reserve et qui neufs couteraient 600 m€.

Toute capacité supplémentaire n'est pas du superflu si nos moyens doivent etre utlisés au maximum.

De plus j'ai envie de dire que concernant le Clem, c'est bien fait pour la marine: il était aberrant de le désarmer et de le vendre alors qu'avec une dernière IPER et quelques modification peu couteuses, on aurait pu l'avoir en reserve et back up en cas d'intervention critique juqu'a l'arrivée du PA2 soit en back up en cas d'indisponibilité soit en le remettant en ligne en cas d'intervention importante.

Le Clem pouvait mettre en oeuvre des Rafales en configuration de chasse moyennent une modification du chariot de la catapulte ou servir de porte helicoptere.

Les Bresiliens vont bien utliser son sistership donc c'etait possible de le garder en reserve pour 10 ans.

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Excellent, on pourra peut etre esperer les voir garder en reserve opérationelle.

Bof oui et non.....c'est sur que pour transporter du biffin ils peuvent servir bien qu'ils soient bien fatigués.

A mon avis, la location de quelques RoRO serait beaucoup plus interessante pour des capacités opérationnelles equivalentes.

Mais c'est un autre débat, ce qui m'énerve, sur cette pseudo affaire d'amiante, c'est le coté "on attend la relève" du Mindef :evil:

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Je viens de lire dans un journal que les US allaient couler un PA pour en faire un récif artificiel...

Ca doit être génial de faire de la plongée, surtout dans un navire au fond de l'océan!

:P

J'aimerais bien essayer la plongée sous-marine! Est ce que quelqu'un en fait ou en a déjà fait?

:D

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Le Clem pouvait mettre en oeuvre des Rafales en configuration de chasse moyennent une modification du chariot de la catapulte ou servir de porte helicoptere.

C'est à dire qu'il aurait servit à pas grand chose. Ses installations etaient inadapté au Rafale et autre E2C.
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