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Opérations au Mali


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Il n'en tient pas compte. Les rebelles ont récupéré pas mal de matériels dans les garnisons du Nord-Mali, notamment des BRDM. Il n'est pas non plus à jour (les T-34 ne sont plus en service depuis longtemps, me semble t-il).

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*** guerre contre terrorisme au Sahel:interview d'Eric Dénécé,directeur du Centre Français de Recherche sur le Renseignement (CF2R)

www.cridem.org

11-08-2012 07:01

Eric Denécé, directeur du Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R)...

...au Temps d'Algérie : «L'assassinat de 4 GGF algériens près des frontières marocaines est l'œuvre de ceux qui cherchent à déstabiliser le Sahel».

Tout en "félicitant" Le Temps d'Algérie" pour le reportage réalisé à Kidal, et qu'il qualifie de "très instructif", le directeur du Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R), Eric Denécé a tenu à analyser, pour les lecteurs de notre journal, le comportement d'Ançar Eddine et la situation au nord du Mali, à la lumière de ce qui a été rapporté par le journal.

Docteur es sciences politiques, Eric Denécé a un parcours reluisant dans le domaine du renseignement. Il a été, entre autres, officier-analyste à la direction de l'Evaluation et de la documentation stratégique du secrétariat général de la Défense nationale (SGDN), ingénieur commercial export chez Matra Défense, et responsable de la communication

Le Temps d'Algérie : Vous estimez, donc que le reportage contribue à cerner la situation au nord du Mali ?

Eric Denécé : J'ai lu avec un grand intérêt le reportage paru en plusieurs éditions. C'est un travail de terrain et peut donc nous apprendre beaucoup ; c'est pourquoi c'est un grand plaisir pour moi d'intervenir dans ce dossier au bénéfice des lecteurs de votre journal dont je suis les écrits se rapportant à la situation au nord du Mali.

Vous avez donc lu l'entretien réalisé par le journal avec le n°2 d'Ançar Eddine, Ahmed Ag Bibi. Qu'en retenez-vous ?

Oui, et dans l'entretien, le n°2 d'Ançar Eddine dit que le mouvement armé auquel il appartient a pour but l'application de la charia (loi islamique) uniquement à Kidal. Pourtant, Ançar Eddine avait, précedemment, exprimé sa volonté d'appliquer la charia dans l'ensemble du territoire malien.

Vous pensez à un recul de la part du mouvement armé ?

Un recul, oui. Ançar Eddine change d'avis comme il change de chemise. Cependant, ce que dit Ançar Eddine ne peut être pris pour argent comptant. C'est un mouvement qui use de la ruse et on ne peut nullement lui faire confiance.

Vous ne pourrez pas ignorer la grande différence existant entre Ançar Eddine, d'un côté, et le Mujao et Aqmi, de l'autre ; Ançar Eddine est composé de seulement d’autochtones, contrairement au Mujao et à Aqmi considérés comme des ramassis de djihadistes, narcotrafiquants et autres criminels...

Des intérêts existent entre Ançar Eddine, d'un côté, et le Mujao et Aqmi de l'autre. Jamais les trois mouvements n'entreraient en confrontation entre eux. Pour illustrer le caractère solide des relations entre ces trois organisations, je vous informe que le n°1 d'Ançar Eddine, Iyad Ag Ghali, a des liens familiaux avec un des responsables d'Aqmi.

Quelle serait, selon vous, la menace pesant sur l'Algérie et venant du nord du Mali ?

L'Algérie doit être consciente que sa sécurité c'est le rejet du terrorisme par toutes les parties concernées dans le nord du Mali. Jusqu'à maintenant, Ançar Eddine fait croire qu'il est contre le terrorisme.

L'Algérie doit être vigilante car l'expérience nous a prouvé que bien des organisations se sont vite investies dans le terrorisme après avoir exprimé une position opposée. Je crains qu'Ançar Eddine rejoint le Mujao et Aqmi s'il considère que ses intérêts sont avec ces deux organisations. Ançar Eddine pourrait, de ce fait, provoquer une intervention militaire étrangère tant préjudiciable à l'Algérie.

Pourquoi cette insistance à comparer Ançar Eddine au Mujao et Aqmi ?

Ce sont les destructions de mausolées qui le disent. Ce sont les lapidations et les ablations de mains qui le prouvent.

Quatre éléments des gardes-frontières (GGF) algériens ont été assassinés, récemment, à Zouia, près de la frontière avec le Maroc. Les GGF ont, précedemment, réussi à saisir des quantités astronomiques de résine de cannabis. Est-ce une nouvelle preuve de la connexion entre terrorisme et narcotrafic ?

Excellente question. Le Sahel est menacé par une grande déstabilisation voulue par le terrorisme, le narcotrafic et autres trafics encore. Des intérêts tentent à tout prix de déstabiliser la sous-région. Il y a des groupes locaux et des organisations mondiales de trafic de stupéfiants. Cette zone vulnérable est durement ciblée.

Le Mujao et Aqmi sont les plus grands alliés des narcotrafiquants dont les réseaux internationaux vont jusqu'à l'Amérique latine, avec acheminement de drogue jusqu'à plusieurs pays d'Afrique dont le Sierra Leone, la Côte d'Ivoire et le Nigeria.

Terroristes et narcotrafiquants pourraient avoir voulu à travers cet odieux attentat «punir» l'Algérie pour sa lutte contre le terrorisme et le trafic de drogue dans la sous-région du Sahel. Terroristes et narcotrafiquants ont intérêt à déstabiliser toute la zone pour s'adonner, librement, à leurs activités criminelles.

www.cridem.org/C_Info.php?article=632823 et www.letempsdz.com/content/view/77924/1/

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Quatre éléments des gardes-frontières (GGF) algériens ont été assassinés, récemment, à Zouia, près de la frontière avec le Maroc. Les GGF ont, précedemment, réussi à saisir des quantités astronomiques de résine de cannabis.

Donc forcement s'il y a un lien entre l'assassinat des GGF et le probleme du Sahel il y a forcement par coorelation un lien entre l'attitude du MUJAO qui manifeste ouvertement son hostilité au POLISARIO à travers les mises en garde adressées aux humanitaires operant dans les camp de refugiés à  Tindouf et un nombre de services qui y ont interet ? En somme chacun dans la region joue sa partition en chantant la lutte anti-terros ?
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Nord-Mali,la barbarie islamiste au quotidien

www.cridem.org

11-08-2012

12:30

Les lapidations au Mali galvanisent la résistance à l'extrémisme

Quelques jours après qu'Ansar al-Din eut lapidé un jeune couple près de Kidal, des centaines de jeunes de Gao ont empêché les militants du MUJAO de trancher la main d'un voleur.

Cela avait commencé par des flagellations publiques, avant de se transformer en une horrible lapidation. Les habitants du nord du Mali sont désormais face à un choix : accepter un Azaouad méconnaissable ou rejeter l'alliance entre les terroristes et les islamistes qui ont fait main basse sur leur région.

Avec la prise de contrôle du nord du Mali par Ansar al-Din et le MUJAO, les habitants de la région pensaient avoir vu le pire. Certes, al-Qaida était déjà présente dans cette vaste région désertique et administrait des camps d'entraînement qui s'étaient doublés de prisons pour les Occidentaux enlevés, mais les Maliens eux-mêmes n'étaient pas directement visés. De plus, ces derniers étaient déjà endurcis par le long combat mené par les Touaregs pour l'autonomie de la région.

Même après que le groupe islamiste et le mouvement affilié à al-Qaida se furent associés pour imposer la ségrégation dans les écoles, forcer les femmes à porter le voile, fermer les bars et les boîtes de nuit, et infliger des sanctions brutales aux fumeurs, aux buveurs et aux hommes rasés, les Maliens ne s'attendaient toujours pas à ce qui allait se produire le 29 juillet.

Des militants d'Ansar al-Din ont tué deux jeunes Touaregs à Aguelhok, un village situé entre la base militaire de Tsalit et la ville de Kidal, dans le nord-est du pays. Des témoins ont raconté que les islamistes avaient placé le jeune homme et la jeune femme dans des puits différents, puis les avaient frappés à coups de pierre, alors que trois cents de leurs voisins assistaient à la scène en silence.

Ce couple non marié avait deux enfants, dont un bébé de six mois.

"Ils ont lancé des cris de détresse et ont crié sans relâche, mais les membres d'Ansar Al-Din n'ont manifesté aucune pitié, pas plus qu'ils n'ont fait preuve de compassion pour les jeunes enfants abandonnés", a indiqué le journaliste Mohamed Ag Ahmedou à Magharebia.

"La jeune femme attendait un autre bébé, qui est mort dans le ventre de sa mère", a-t-il ajouté.

Aux termes de la charia, une lapidation pour adultère exige une confession. Si la personne "nie ou cache les faits, elle ne peut être lapidée", a expliqué à Magharebia Ould Brahim, imam d'une mosquée de Gao.

"J'ai entendu dire que le jeune couple qui a été lapidé avait reconnu les faits, mais je ne sais pas s'il les a reconnus sous la violence ou de manière volontaire", a ajouté cet imam.

Ansar al-Din a affirmé que cette punition était justifiée, et s'est engagé à lapider tous ceux qui afficheront des comportements similaires.

"Ils ont reconnu avoir pratiqué des actes immoraux et ont demandé à être purifiés par la lapidation", a déclaré le porte-parole d'Ansar Al-Din Sinda Ould Buamamah à Magharebia. "Nous leur avons expliqué la procédure et leur avons demandé de revenir sur leur décision, mais ils ont insisté pour que le jugement soit exécuté", a-t-il déclaré.

"Nous ne forçons personne. Ce que nous appliquons, c'est la règle de l'Islam, et toute critique de cet acte est une critique de l'Islam, non d'Ansar Al-Din, parce que nous ne faisons qu'appliquer la loi de Dieu", a-t-il poursuivi.

Et Ould Buamamah de poursuivre : "Si ce couple était revenu sur sa confession, nous n'aurions pas exécuté la sentence, mais ils n'ont pas prononcé un seul mot durant leur lapidation."

Mais selon Yaya Tandina, journaliste à Tombouctou, "Ansar al-Din affirme que ce couple a confessé son adultère et a demandé à être lapidé. Aucun habitant de Tombouctou ne croit une telle histoire, parce qu'il serait totalement surprenant que quiconque demande à être tué de cette manière."

Les raisons avancées par Ansar al-Din ne parviennent pas non plus à convaincre les autres Touaregs. "Comment peut-on accepter de telles pratiques de terreur ?", s'interroge Ham Ag Mahmoud, l'un des leaders du Mouvement national pour la libération de l'Azaouad (MNLA), d'obédience laïque.

"Ces gens agissent de manière totalement irrationnelle. Il est devenu difficile de cohabiter avec eux. Si une personne a recours au meurtre, au vandalisme et à l'intimidation, elle devient criminelle et doit être éliminée." "Nous considérons ces groupes comme de simples usurpateurs et comme des occupants de notre terre", a-t-il dit à Magharebia.

Cette lapidation a laissé une impression indélébile dans la région. Comme l'a raconté à Magharebia Boubakar Ag Mido, natif d'Aguelhok : "Personnellement, je n'ai pas voulu être présent lors de cette lapidation, parce que je peux pas assister à la mort lente de personnes."

"Les gens ont paniqué, et certains ont pleuré de manière hystérique en voyant cette lapidation", a-t-il déclaré. "Cette mort a laissé une immense tristesse dans le village, qui assistait à ce type d'incident pour la première fois."

Mais la mort de ce jeune couple entre les mains des islamistes a encouragé la population de Gao à manifester contre une nouvelle application violente de la charia.

Des centaines de jeunes se sont en effet rassemblés sur la Place de l'Indépendance de Gao, samedi 4 août, pour empêcher le MUJAO de trancher la main d'un voleur présumé. Ils ont réussi à empêcher l'application de la sentence.

En réponse, le groupe terroriste s'en est pris au présentateur de la radio locale Abdoul Malick Maïga, Cet animateur de la station Adaar Khoïma de Gao, âgé de 32 ans, avait appelé ses auditeurs à se rassembler pour empêcher la punition en public de ce jeune voleur. Maiga a failli succomber à ses blessures. Il se trouve toujours dans une unité de soins intensifs dans un hôpital de Gao.

L'émir d'AQMI Abdelmalek Droukdel aurait demandé à ses troupes présentes au Mali de soutenir Ansar al-Din et de se placer sous son commandement. Droukdel semble avoir choisi le modèle al-Qaidien afghan, qui consiste à s'appuyer sur une organisation locale pour imposer la charia.

Mais une telle stratégie risque de se retourner contre les alliés d'AQMI. Selon les observateurs, la population du nord du Mali, qui souffre déjà du sous-développement, de l'isolement et de la marginalisation, ne serait en effet pas disposée à accepter une injustice encore plus grande en s'inclinant devant les diktats des terroristes.

Comme l'a expliqué un jeune homme de Kidal, les groupes terroristes qui luttent pour le contrôle de la région sont "des mafieux, des voleurs et des trafiquants de drogue".

Il n'en reste pas moins que la crise qui secoue le nord du Mali doit être prise très au sérieux, explique Lies Boukraa, directeur du Centre africain d'études et de recherches sur le terrorisme (CAERT).

"Qu'ils se fassent appeler AQMI ou autre, ce sont des acteurs qui cherchent à tirer parti du désordre dans le Sahara", a-t-il expliqué à Magharebia.

www.cridem.org/C_Info.php?article=632821 et www.magharebia.com/cocoon/awi/xhtml1/fr/features/awi/reportage/2012/08/10/reportage-01

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Le Mujao et Aqmi sont les plus grands alliés des narcotrafiquants dont les réseaux internationaux vont jusqu'à l'Amérique latine, avec acheminement de drogue jusqu'à plusieurs pays d'Afrique dont le Sierra Leone, la Côte d'Ivoire et le Nigeria.

Terroristes et narcotrafiquants pourraient avoir voulu à travers cet odieux attentat «punir» l'Algérie pour sa lutte contre le terrorisme et le trafic de drogue dans la sous-région du Sahel. Terroristes et narcotrafiquants ont intérêt à déstabiliser toute la zone pour s'adonner, librement, à leurs activités criminelles.

Conneries stupides que cela, les narco-trafiquants africains qui utilisaient les caravanes sahariennes pour faire passer des tonnes de drogues en provenance d'afrique centrale ont été victimes comme tout les autres des rackets des islamistes dans le désert ...

Et a ce niveau la, on dispose de pléthores de témoignages qu'ils n'y a jamais réellement alliances quelconques entre les narcos et les terroristes islamistes en afrique du nord : mais un état de fait, que les narcos ont été contraint de se soumettre en baissant la tête, car moins armés que les islamistes et point barre !

Il y a même de nombreuses personnes issues de réseau partiellement démentelés ect qui en ont témoigné : que les narco trafiquants se contentaient de faire amen pour espérer continuer a faire passer des marchandises : se considérant victime de racket violent (et sanglant) mais sachant très bien qu'ils sont pas dans des positions défendables ...

Pour le reste, le liens entre narcotrafic saharien et islamisme radicale salafiste se contente a du simple racket, et n'est le fruit d'aucune alliance de malfaiteurs qui auraient des buts "communs" et vu par les islamistes une source de pognon comme une autre (de toute façon tout devient licite a leurs yeux tant que c'est "pour servir dieux ...)

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Urgent:Ag Ghaly "veut se dissocier" d'Aqmi

www.cridem.org

12-08-2012

15:14

Mali : drapeau blanc et blanc drapeau.

Iyad Ag Ghali souhaite troquer le drapeau noir islamiste d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) contre un drapeau blanc. Objectif : démarquer Ansar Eddine pour rendre le mouvement plus "malien".

Iyad Ag Ghali, le leader des islamistes touaregs d'Ansar Eddine dans le Nord-Mali, tente depuis presque un mois de convaincre ses troupes de troquer le drapeau noir d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) contre une nouvelle bannière représentant, sur fond blanc, un sabre et un kalachnikov rouges surmontés d'un Coran.

Objectif : rendre le mouvement malien à la fois plus visible et mieux accepté localement. Le 1er août, à Tombouctou, il a rencontré Abdelhamid Abou Zeid, l'un des principaux chefs d'Aqmi, pour lui expliquer sa démarche.

Après avoir rompu ensemble le jeûne de ramadan, les deux hommes ont parlé trois heures durant. Ag Ghali aurait convaincu Abou Zeid de l'intérêt de distinguer davantage leurs deux mouvements et d'accentuer le caractère malien du nouveau pouvoir islamiste dans le Nord.

À Tombouctou, tous les barrages et check-points sont désormais sous le contrôle des islamistes touaregs, et non plus des Mauritaniens et des Algériens d'Aqmi.

www.cridem.org/C_Info.php?article=632859

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Conneries stupides que cela, les narco-trafiquants africains qui utilisaient les caravanes sahariennes pour faire passer des tonnes de drogues en provenance d'afrique centrale ont été victimes comme tout les autres des rackets des islamistes dans le désert ...

Et a ce niveau la, on dispose de pléthores de témoignages qu'ils n'y a jamais réellement alliances quelconques entre les narcos et les terroristes islamistes en afrique du nord : mais un état de fait, que les narcos ont été contraint de se soumettre en baissant la tête, car moins armés que les islamistes et point barre !

Il y a même de nombreuses personnes issues de réseau partiellement démentelés ect qui en ont témoigné : que les narco trafiquants se contentaient de faire amen pour espérer continuer a faire passer des marchandises : se considérant victime de racket violent (et sanglant) mais sachant très bien qu'ils sont pas dans des positions défendables ...

Pour le reste, le liens entre narcotrafic saharien et islamisme radicale salafiste se contente a du simple racket, et n'est le fruit d'aucune alliance de malfaiteurs qui auraient des buts "communs" et vu par les islamistes une source de pognon comme une autre (de toute façon tout devient licite a leurs yeux tant que c'est "pour servir dieux ...)

Je veux bien voir ces témoignages et leurs sources... ça m’intéresse vivement surtout à la suite de l'usage du qualificatif de "conneries" suite à la précédente intervention

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Conneries stupides que cela, les narco-trafiquants africains qui utilisaient les caravanes sahariennes pour faire passer des tonnes de drogues en provenance d'afrique centrale ont été victimes comme tout les autres des rackets des islamistes dans le désert ...

Et a ce niveau la, on dispose de pléthores de témoignages qu'ils n'y a jamais réellement alliances quelconques entre les narcos et les terroristes islamistes en afrique du nord : mais un état de fait, que les narcos ont été contraint de se soumettre en baissant la tête, car moins armés que les islamistes et point barre !

Il y a même de nombreuses personnes issues de réseau partiellement démentelés ect qui en ont témoigné : que les narco trafiquants se contentaient de faire amen pour espérer continuer a faire passer des marchandises : se considérant victime de racket violent (et sanglant) mais sachant très bien qu'ils sont pas dans des positions défendables ...

Pour le reste, le liens entre narcotrafic saharien et islamisme radicale salafiste se contente a du simple racket, et n'est le fruit d'aucune alliance de malfaiteurs qui auraient des buts "communs" et vu par les islamistes une source de pognon comme une autre (de toute façon tout devient licite a leurs yeux tant que c'est "pour servir dieux ...)

"les narcotrafiquants qui se disent victimes de racket" :oops: :oops:

Ils ne se confondent peut-être pas mais les deux sont de facto "en affaires". Si tu suis ces histoires de narcotrafic, par exemple au Mexique, tu vois que la composante itinéraire/logistique/droit de passage est centrale dans ce "business". Ils s'entre-tuent d'ailleurs principalement pour le contrôle des routes, la logistique en général (amener le produit jusqu'au consommateur) est la partie la plus lucrative ... et la plus risquée.

AQMI ne se comporte donc pas différemment des gangs mexicains, ces derniers sont loin d'être alliés entre eux (autrement il n'y aurait pas 10000 morts / an), mais quand ils arrivent à un accord acceptable on peut parler d'une association de malfaiteurs partageant un intérêt économique commun.

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"les narcotrafiquants qui se disent victimes de racket" :oops: :oops:

Ils ne se confondent peut-être pas mais les deux sont de facto "en affaires". Si tu suis ces histoires de narcotrafic, par exemple au Mexique, tu vois que la composante itinéraire/logistique/droit de passage est centrale dans ce "business". Ils s'entre-tuent d'ailleurs principalement pour le contrôle des routes, la logistique en général (amener le produit jusqu'au consommateur) est la partie la plus lucrative ... et la plus risquée.

AQMI ne se comporte donc pas différemment des gangs mexicains, ces derniers sont loin d'être alliés entre eux (autrement il n'y aurait pas 10000 morts / an), mais quand ils arrivent à un accord acceptable on peut parler d'une association de malfaiteurs partageant un intérêt économique commun.

Il ne sait pas que les narcotrafiquant portent eux aussi la barbe et ont des RPG7

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en gros personne ne veut d'une intervention militaire étrangére au mali ni aqmi , ni les rebelles touareg ni le gouvernement central malien ni l'onu

Le Mali refuse la présence de la Cédéao à Bamako

BAMAKO (Reuters) - L'armée malienne a refusé mardi la présence de soldats de la Cédéao dans la capitale Bamako mais a admis qu'une intervention de l'organisation régionale pourrait avoir lieu dans le nord du pays sous contrôle de groupes islamistes. Cette décision a été prise après des consultations entre les autorités maliennes et des dirigeants militaires de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest. Cette dernière proposait d'apporter son soutien à un pouvoir civil fragile depuis le coup d'Etat du 22 mars à Bamako avant d'appuyer l'armée malienne pour lutter contre les rebelles liés à Al Qaïda dans le nord.

"Il n'est pas question d'avoir des soldats de la Cédéao à Bamako mais ils pourraient être envoyés dans le nord. Nous pourrions avoir 600 à 800 soldats de la Cédéao pour soutenir les nôtres", a dit le colonel Ibrahima Dahirou Dembele, chef d'état-major.

Le nombre avancé est bien loin de 3.000 hommes que la Cedeao envisagerait de déployer sous mandat des Nations unies.

Bien qu'ils aient restitué le pouvoir aux civils, les militaires maliens continuent de s'ingérer dans les affaires politiques.

Les puissances africaines et occidentales, inquiètes de voir le nord du Mali se transformer en sanctuaire pour les groupes islamistes, ont fait une priorité du rétablissement de la stabilité dans la capitale.

http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20120815.REU3713/le-mali-refuse-la-presence-de-la-cedeao-a-bamako.html

quelle pays serait assé fous pour envoyer ces troupes intervenir dans ces conditions ?

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On a pas du lire le même texte alors  :rolleyes: 

La Cédéao (et donc l'ONU derrière), souhaite intervenir, mais en envoyant des troupes à Bamako en même temps que dans le nord. L'armée malienne qui a pris le pouvoir souhaite que la Cédéao envoie des troupes, mais seulement dans le nord (on se demande pourquoi  :lol:) et refuse catégoriquement l'intervention de celle-ci si ils veulent aussi se déployer dans la capital.

Pour AQMI, et les touaregs, je doute que leurs avis compte beaucoup, mais je pense qu'en ce qui concerne AQMI, ils ne soient pas si défavorable à une intervention étrangère histoire d’essayer d'embraser toute la région et taper sur plus d'infidèles.

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Les États européens forment une force d'intervention au Sahel

Des forces spéciales occidentales pourraient être déployées dans la région du Sahel-Sahara pour combattre les terroristes régionaux, selon un nouveau rapport.

La France, le Royaume-Uni, l'Espagne et l'Italie sont en train de former une force spécialisée de combat qui devrait rapidement intervenir dans les pays du Sahel pour traquer les leaders d'Al Qaida et d'autres groupes terroristes, selon un nouveau rapport.

Le journal algérien El Khabar a rapporté, le 16 août, que cette force spéciale de 2 000 hommes, qui s'entraînent depuis des mois, comprendra "plus de 800 soldats issus des forces spéciales françaises, britanniques, italiennes et espagnoles".

Selon le journal,outre sa mission de pistage des leaders terroristes, cette nouvelle force serait susceptible d'intervenir et de porter secours aux otages actuellement détenus par les groupes affiliés à Al Qaida.

"Ces soldats ont participé à des exercices de combat entre les mois de février et de juin 2011 dans différentes zones, à Haruj et Hamada Rabaniya, au centre et dans le sud-est de la Libye. Ces exercices ont porté sur la simulation d'intervention et les opérations de parachutage dans le Sahel," précise le journal.

El Khabar a cité des bédouins qui ont assisté à ces entraînements : "des drones, des hélicoptères de combat et des véhicules légers qui ont été transférés sur une piste d'aviation située à proximité de la ville libyenne de Zuwaila ont participé à ces exercices".

Les experts affirment qu'il aurait été possible que ces mouvements militaires européens soient mis en place en coordination avec les pays régionaux, dans le cadre d'une action militaire conjointe menée en raison de la détérioration actuelle de la situation.

"En dépit du fait que certains pays régionaux se soient précédemment opposés à tout partenariat militaire avec les pays occidentaux pour contrer le terrorisme au Sahel, les nouvelles données imposent maintenant la coopération, la coordination et le partenariat en excluant toutes les réserves", dit Abdul Hamid al-Ansari, sépcialiste des groupes salafistes, à Magharebia.

Selon El Khabar, les services algériens de sécurité ont travaillé avec des experts techniques afin de traquer 100 leaders d'Al Qaida au Maghreb Islamique (AQMI) et du Mouvement pour l'Unité et le Jihad en Afrique de l'Ouest (MUJAO).

"Même si le journal algérien n'a pas été en mesure d'identifier les techniciens et les experts qui coopèrent actuellement avec les cellules militaires algériennes, on peut deviner qu'il y a des spécialistes occidentaux, venus de pays européens, qui partagent la même inquiétude que les pays du Sahel concernant la menace représentée par le terrorisme", explique le journaliste malien Brahim Cissé.

"Ce sont des démarches qui ne sont pas, cela ne fait aucun doute, en contradiction avec l'ancienne méthode algérienne qui est basée sur la coordination des services de renseignements", ajoute-t-il. "Cela serait illogique que l'ennemi terroriste reste le même, tandis que les politiques des pays touchés diffèrent dans leurs méthodes de confrontation."

Pour sa part, Mohamed Mahmoud Ould Abou Elmaali, spécialiste des groupes salafistes, soulève quelques questions concernant les mécanismes d'intervention qui seront utilisés par ces forces européennes et leur efficacité dans la traque des éléments d'Al Qaida. "Jusqu'à présent, nous ignorons les plans, les moyens et les mécanismes qui seront exploités dans l'application de ce programme conjoint européen", indique-t-il. Mais il n'exclut pas qu'il pourrait y avoir l'indication d'une coopération approfondie entre les pays régionaux, qui seraient amenés à opter pour des initiatives plus efficaces.

De plus, les ministères algériens de la Défense et des Affaires étrangères ont émis une décision conjointe en date du 18 août établissant les exigences relatives à l'aviation étrangère, avec une interdiction des vols d'entraînement, des ravitaillements en plein vol, la non-délivrance d'autorisations permanentes de vol aux avions de combat, de reconnaissance et de guerre, ainsi qu'aux hélicoptères, rapporte El Khabar.

Ce règlement demande aux avions souhaitant traverser l'espace aérien de l'Algérie d'acquérir une autorisation de vol, accompagnée d'un formulaire dans lequel les organisateurs du vol devront indiquer s'ils transportent, ou non, des personnalités.

Ils auront également l'obligation d'envoyer une notification préalable quarante-huit heures à l'avance, et d'indiquer s'ils transportent des individus ou des matériels qualifiés de "non-sensibles" dans la décision ministérielle, s'ils transportent de l'aide humanitaire hors de l'Algérie, ou si le vol est destiné à une maintenance technique ou à l'évacuation de personnes pour raison médicale.

Source:

http://magharebia.com/cocoon/awi/xhtml1/fr/features/awi/features/2012/08/22/feature-02

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La France, le Royaume-Uni, l'Espagne et l'Italie sont en train de former une force spécialisée de combat qui devrait rapidement intervenir dans les pays du Sahel pour traquer les leaders d'Al Qaida et d'autres groupes terroristes, selon un nouveau rapport.

Le journal algérien El Khabar a rapporté, le 16 août, que cette force spéciale de 2 000 hommes, qui s'entraînent depuis des mois, comprendra "plus de 800 soldats issus des forces spéciales françaises, britanniques, italiennes et espagnoles".

Je ne comprend pas. 800 sur 2000, c'est qui les autres ?!

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un excellent document d'arte reportage sur le nord mali juste apres la prise du territoire par le MNLA et ANSAR DIN a la 29e minutes on voix les SU-30 mka et des MI-171 a la frontière algero-malienne  , l'armée algérienne quadrille fortement la frontieres entre les deux pays depuis le début du conflit

Azawad : Arte-Reportage

http-~~-//youtube.com/watch?v=IxbtvdAQ4CY

Un reportage diffusé par ARTE le 29 juin 2012, rediffusé le 6 juillet 2012.

C'est l'un des rares documentaires qui reste objectif sur la situation dans l'Azawad depuis janvier 2012.

Le reportage est réalisé par Olivier Joulie et Laurent Hamida (ARTE GEIE / Camicas Productions - France 2012)

Présentation d'Arte :

10 avril 2012 : les touaregs du Mouvement National de Libération de l'Azawad déclarent unilatéralement l'indépendance d'un territoire grand comme deux fois la France dans le Nord du Mali.

Au lendemain de l'insurrection, une équipe d'Arte Reportage a pu se rendre au milieu des frontières poreuses du Sahel pour tenter de décrypter une situation extrêmement volatile et complexe où s'entremêlent différents mouvements : nationalistes Touaregs, groupes islamistes et djihadistes d'AQMI. Ces derniers, bêtes noires des chancelleries occidentales, ne cachent pas leur ambition : profiter du chaos pour enraciner le djihad aux portes de l'Europe.

Olivier Joulie et Laurent Hamida ont pu passer plusieurs jours à Gao, capitale du nouvel Etat revendiqué par les Touaregs, ville symbole devenue aujourd'hui l'enjeu de tous les combats politiques.

Puis, ils ont traversé les régions désertiques du Nord, fiefs des brigades de combattants d'AQMI, véritable plaie pour la région et pour les mouvements nationalistes touaregs si souvent associés à tort à des salafistes. A la frontière avec l'Algérie, puissance incontournable de la région -- l'aviation algérienne viole discrètement et en toute impunité l'ancien territoire du Mali - des réfugiés, piégés au milieu de nulle part, entre les deux pays, sont abandonnés de tous.

Stigmate d'un conflit post-colonial, vieux de presque 50 ans, notre équipe découvre la violence d'une guerre qui oppose Bamako aux Touaregs de la région depuis l'indépendance. Villages détruits, politique de terre brûlée, répression sanguinaire sur les populations : un terreau propice à l'enracinement et à la prolifération d'un islamisme radical qui tisse sa toile en se nourrissant des tensions régionales. Comme en Somalie ou dans les zones tribales pakistanaises... Ali témoigne de son parcours depuis l'armée malienne jusqu'aux combattants d'AQMI, l'endoctrinement par des prêcheurs venus du Pakistan, avant de rejoindre le mouvement indépendantiste Touareg.

Le constat est inquiétant. Face au statu quo militaire entre l'Etat malien en déliquescence, une organisation africaine, la CEDEAO, incapable de mettre sur pied une force militaire crédible, l'immobilisme de la communauté internationale, le Mouvement National de Libération de l'Azawad, qui représente peut-être aujourd'hui un dernier rempart contre l'intégrisme, risque de se faire dépasser par des éléments étrangers et radicaux. Dans cette hypothèse, la région échapperait alors à tout contrôle...

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Mali : les islamistes prennent le contrôle de la ville de Douentza, dans le sud du pays

Les islamistes qui contrôlent le Nord-Mali avancent dangereusement vers le sud du pays. La ville de Douentza (170 km de Mopti) est tombée sous le contrôle du Mujao et d’Ansar Eddine ce 1er septembre 2012.

« Aujourd’hui, nous avons sommes venus lourdement armés pour déloger les miliciens de Ganda-Izo (milice d'autodéfense combattant pour la reconquête du Nord-Mali, NDLR) afin de prendre le contrôle de cette ville de Douentza », explique Oumar Ould Hamaha, un chef militaire islamiste proche du Mujao, d’Ansar Eddine et d'Aqmi. « Nous avons encerclé la ville et nous avons dit aux miliciens de Ganda-Izo de rendre les armes. Ils ont appelé pendant 30 minutes des renforts, mais ils n’ont eu aucun soutien » a-t-il ajouté.

Les hommes de Ganda-Izo ont fini par rendre leurs armes à Oumar Ould Hamaha, le chef de la brigade qui contrôle désormais la ville. « Nous avons ligoté les miliciens de Ganda-Izo et nous contrôlons la totalité de la ville de Douentza. Nous comptons y rester pour longtemps », explique le chef de la brigade.

Alors que le téléphone du commandant de la milice Ganda-Izo à Douentza, Ibrahim Dicko, est sur répondeur, plusieurs habitants de la ville ont confirmé que la ville de Douentza était aux mains des islamistes. Un affront supplémentaire fait à l’armée malienne dont le poste le plus avancé est désorais à Konna, à 120 km de Douentza.

http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20120901134559/mali-aqmi-islamiste-nord-malimali-les-islamistes-prennent-le-controle-de-la-ville-de-douentza-dans-le-sud-du-pays.html

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Un diplomate algérien s'est fait exécuté par AQMI aujourd'hui . =|

http://www.lemonde.fr/afrique/article/2012/09/02/mali-un-groupe-islamiste-annonce-avoir-execute-un-diplomate-algerien_1754573_3212.html

Il s'agit du vice-consul Tahar Touati.

Paix à son ame.

Quel sera la réaction algérienne ...

Peut-être qu'il s'agit aussi d'une représaille suite à l'élimination de 10 membres d'AQMI près de Boumerdes hier.

Mais bon, il y avait eu ultimatum et la politique algérienne envers les terros a toujours été très claire : PAS DE NEGOCIATIONS.

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Détails:

www.cridem.org/C_Info.php?article=633570

23:43

Le Mujao annonce avoir exécuté le vice-consul algérien

Gao : Le Mujao (Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (MUJAO) annonce dans un communiqué rendu public samedi 1 septembre avoir exécuté le vice-consul d’Algérie à Gao qui fait partie des quatre otages algériens que cette organisation proche d'Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) détient depuis le 5 avril dernier.

En effet, les ravisseurs des diplomates algériens ont mis à exécution leur ultimatum en procédant à la mise à mort du vice-consul d’Algérie à Gao, dans le Nord du Mali; souligne le site d’information Sahara Media.

Le site affirme dans une dépêche datée de fin d’après-midi que le vice-consul a été exécuté dans la matinée du samedi 1 septembre sans toutefois citer des sources; rapporte DNA Algérie.

Selon le communiqué du Mujao signé par un certain Abou Al Walid Sahraoui, l’otage algérien, Tahar Touati, a été exécuté en représailles à l'attitude des autorités algériennes.

Le communiqué ajoute que l’exécution de l’otage est intervenue à la «dernière minute» lorsque les négociateurs se sont retirés des discussions menées autour de la libération de l’otage.

Rédigé par Leila Assam

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Troisiéme ultimatum du Mujao donné à l'Algérie

Le Mouavement pour l’unicité et le Jihad (Mujao) a accordé, samedi, un troisième ultimatum à l’Algérie pour qu’elle libère des membres du mouvement contre la vie de diplomates enlevés depuis trois mois à Gao dans le nord du Mali, a appris ANI de source informée.

Le vice-consul algérien Taher Tewatti avait été enlevé , en même temps que trois autres membres du consulat algérien de Gao au moment de son investiture par les islamiste armés.

Le deuxième ultimatum donné par le MUJAO avait expié vendredi dernier, alors que des appels avaient été lancés par les familles des otages demandant de leur accorder une nouvelle chance.

Selon cette même source, le mouvement a accordé ce dernier ultimatum en réponse à l’appel du peuple algérien et dans l’espoir de voir les autorités algériennes répondent positivement à ses exigences.

Le mouvement avait exigé la remise en liberté de membres d’Al-Qaïda au Maghreb Islamique(AQMI), dont Abou Ishagh Abderrahamne responsable juridique du mouvement arrêtés avec d’autres membre d’AQMI non loi de Ghardaya.

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Quel sera la réaction algérienne ...

Peut-être qu'il s'agit aussi d'une représaille suite à l'élimination de 10 membres d'AQMI près de Boumerdes hier.

Mais bon, il y avait eu ultimatum et la politique algérienne enver le sterros est très claire : PAS DE NEGOCIATIONS.

L’Algérie n'interviendra pas militairement au Mali et ne prêtera certainement pas le flanc à des affidés dont le seul objectif est de servir les desseins de certaines parties dans cette région.

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