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L'Algérie


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  • 1 month later...

D'emprunteuse à prêteuse : L’Algérie consentira un prêt d’au moins 20 milliards de dollars au FMI

Le gouvernement algérien devrait consentir un prêt d'au moins 20 milliards de dollars au FMI (Fonds monétaire international) qui en a fait la demande au printemps 2012.  Selon des informations obtenues par DNA auprès de sources diplomatiques, le prêt pourrait être acté lors des assemblées annuelles du FMI et de la Banque mondiale qui se tiendront à Tokyo, au Japon, du 8 au 14 octobre.

Le ministre algérien des Finances, Karim Djoudi, qui participera aux travaux de ces assemblées à compter du 11 octobre, devrait ainsi communiquer, comme il s’y était engagé, aux responsables du Fonds la réponse officielle des autorités algériennes.

On ignore pour l’heure les modalités et les conditions de ce prêt consenti au FM,  ancien «bailleur » de fonds de l’Algérie lorsque celle-ci s’est retrouvée en cessation de paiement au début des années 1990.

Ce prêt de 20 milliards – d’autres sources évoquent davantage à savoir 25 milliards – fait suite à une demande du Fonds monétaire international qui a sollicité de nombreux pays pour renforcer ses capacités de réserves.

Demande faite en avril

« La demande a été faite par le FMI à l'Algérie en tant que pays doté d'excédents financiers pour accroître les ressources de l'institution de Bretton Woods afin de lui permettre d'accorder des prêts aux pays qui en ont besoin », déclarait lundi 23 avril 2012 le ministre algérien des Finances à l'agence de presse APS.

Djoudi a précisé que l'Algérie allait « étudier et évaluer les conditions dans lesquelles cette demande sera proposée dans les détails ».

« Nous avons besoin de savoir si le FMI envisage de réaliser cette opération de renforcement de ses capacités financières à partir de demandes de prêt ou de dépôts rémunérés, ainsi que le rendement qu'il compte proposer », ajoutait le ministre algérien. « C'est à partir de ces conditions que nous donnerons la réponse », précisait-il encore.

Réponse en octobre

Dans un rapport publié en avril dernier, le FMI estimait que les réserves de change officielles de l’Algérie seront de 205,2 milliards de dollars à la fin de l’année. On en est pas loin de cette estimation : le 1 octobre dernier, le Premier ministre, Abdelamalek Sellal, confiait que ces réserves sont actuellement de 193,7 milliards de dollars.

Ironie du sort : au début des 1990, l’Algérie était passée sous les fourches caudines du FMI qu’elle avaient sollicité à deux reprises pour rééchelonner sa dette extérieure laquelle avait franchi la barre de 32 milliards de dollars.

200,5 milliards de réserves

Ce passage sous tutelle du Fonds s’est soldée par une politique d’austérité et de rigueur et contraint le gouvernement de l’époque de fermer des centaines d’entreprises publiques et d’envoyer sur le carreau quelques 500 000 travailleurs.

L’envolée des cours du pétrole a permis à l’Algérie d’engranger au moins 500 milliards de dollars, de financer de gros travaux publics, de rembourser sa dette et de se constituer un bas de laine conséquent.

http://www.dna-algerie.com/interieure/d-emprunteuse-a-preteuse-l-algerie-consentira-un-pret-d-au-moins-20-milliards-de-dollars-au-fmi-2

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La famille Peugeot "pas hostile" à l’arrivée de capitaux algériens dans PSA

L’idée est partie d’Alger. Elle a été suggérée à un héritier de Peugeot à titre prospectif. La réponse est ouverte. Les capitaux algériens peuvent être une partie de la solution dans la terrible crise que subit PSA. C’est le président de l’IPEMED Jean Louis Guigou qui l’a révélé ce week-end à Alger.

« J’ai parlé avec Peugeot. Nous avons évoqué l’idée d’un apport en capitaux algériens pour participer au sauvetage de PSA. Je peux vous dire qu’il n’y a pas d’opposition. Cette piste peut être étudiée » a déclaré Jean Louis Guigou à la tribune de la journée d’études FCE-IPEMED samedi dernier à Alger. Ce sont des sources algériennes non officielles qui auraient demandé au président de l’institut de prospective économique du monde méditerranéen IPEMED de « sonder » la famille Peugeot détentrice de 30% du capital de PSA, au sujet d’une éventuelle arrivée d’un investisseur public algérien dans le tour de table du premier groupe automobile français. La réponse laisse la porte ouverte à un tel scénario. Jean-Louis Guigou répondait à une question d’un journaliste de Maghreb Emergent au sujet de la faisabilité politique vue de Paris d’une participation algérienne au sauvetage de PSA. La capitalisation boursière du second groupe automobile d’Europe par les ventes, a chuté de 70% depuis 2011 atteignant à peine 1,5 milliard d’Euros pour la partie flottante du capital (environ 59%) et poussant le titre à sortir du CAC40 à la fin de ce mois de septembre. Les principaux actionnaires de Peugeot ne se sont pas mis en mode vendeurs, mais tous les analystes s’accordent à dire que l’attente d’un hypothétique rebond du titre en 2013 est illusoire tant la dépression du marché automobile européen va continuer à saper les comptes du groupe. Le plan de suppressions de 8000 emplois en France, annoncé à la mi-juillet, avec fermeture du site emblématique d’Aulnay ne garantit même pas le retour de l’équilibre pour le flux de trésorerie avant la fin de 2014. La perte nette du premier semestre 2012 a été de 819 millions d’euros, soit une marge opérationnelle négative de 3,3%. Si les besoins de recapitalisation de PSA devraient se préciser assez rapidement avant la fin de l’année en cours, l’idée d’une participation algérienne au capital du constructeur français reste encore une idée. Une idée certes soutenue par le FCE - son président Réda Hamiani a parlé de « marque préférée des algériens, avant Renault » - mais ignorée des officiels à Alger toujours pas inscrits dans une stratégie de conquête à l’international.

Excédents et crise en front renversé

Le Fonds National d’Investissement, (FNI) véhicule créé pour accompagner les investisseurs étrangers en Algérie dans la construction d’un tour de table conforme au 51%-49% prévu par la loi, n’a pas vocation déclarée de faire des opérations à l’international. Par ailleurs le gouvernement s’est toujours opposé à la constitution d’un Fonds souverain algérien, pour dynamiser le placement des 186 milliards de dollars de réserves de change (juillet 2012). Le thème de la participation de l’Algérie au sauvetage de Peugeot a été introduit dans la discussion FCE-IPEMED par la revendication exprimée par les chefs d’entreprises algériens d’obtenir une plus grande ouverture du marché européen aux produits algériens, mais aussi aux investissements dans le sens sud-nord. Ce dossier a été l’occasion pour Issad Rebrab, PDG de Cevital de renouveler sa critique de l’accord d’association Algérie-UE qui offre le marché algérien aux produits européens contre des « quotas ridicules » en retour. Le président de Cevital a également rappelé que la réglementation de la Banque d’Algérie ne permet toujours pas aux entreprises d’investir à l’étranger. Une situation paradoxale pour le directeur d’une banque étrangère en Algérie : « une législation qui a été élaboré en temps de rareté des capitaux en Algérie en 1990 reste en vigueur aujourd’hui que la crise est en Europe et que l’Etat algérien disposent des capitaux ». L’Algérie veut lancer une industrie automobile pour un marché domestique qui a atteint la taille critique avec plus de 400 000 immatriculations par an. Un consultant a expliqué sur Maghreb Emergent et le Quotidien d’Oran du 17 septembre pourquoi une entrée dans le capital de Peugeot peut être une piste plus profitable que l’accord pour une usine « low coast » avec Renault.

maghrebemergent.info/

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J'aime bien les caricatures de la presse algérienne. C'est suprenant de voir tant de liberté de la presse dans une région réputée autoritaire.

Les capitaux algériens seront peut-être accompagnés d'exigences comme l'ouverture d'usines en Algérie. Ce serait une exigence logique.

Sinon est-ce que quelqu'un saurait écrire en arabe Al Shabab (le fantôme) ? C'était le surnom donné par les Saoudiens au F-117.  =)

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J'aime bien les caricatures de la presse algérienne. C'est suprenant de voir tant de liberté de la presse dans une région réputée autoritaire.

Les capitaux algériens seront peut-être accompagnés d'exigences comme l'ouverture d'usines en Algérie. Ce serait une exigence logique.

Sinon est-ce que quelqu'un saurait écrire en arabe Al Shabab (le fantôme) ? C'était le surnom donné par les Saoudiens au F-117.  =)

le régime Algérien a toujours compris qu'il fallait laisser les gens parler les critiques ils les acceptent et ca permet de relacher la pression.

en fait c'est Ash-Shabah ou al shabah même si le L de Al n'est pas prononcé الشبح

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Ca me parait une bonne opportunite pour l'algerie de rentrer dans l'industrie auto par la grande porte.

Mais l'article montre bien qu'il y a un bon nombre de problemes au niveau de la reglementation.

Par contre, si le but d'une telle operation serait d'ouvrir une usine PSA en algerie, il ne faudra pas jouer aux timides avec le porte-monnaie.

Sinon, gros +1 sur les caricatures algeriennes, je suis un fan de Dilem depuis que j'ai decouvert Courrier International.

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J'aime bien les caricatures de la presse algérienne. C'est suprenant de voir tant de liberté de la presse dans une région réputée autoritaire.

Oui, bon, dans les faits, la liberté n'y est pas si grande, c'est surtout que Dilem, en particulier, est personnellement très courageux car on lui fait payer cher sa liberté de ton :

Dilem travaille dans des conditions difficiles : menacé de mort par des groupes islamistes à de nombreuses reprises, il est aussi harcelé par plusieurs procès pour diffamation dont 26 en cours et cumule 9 années de prison. Le 14 juin 2005, par exemple, il a été condamné à six mois de prison ferme pour une caricature publiée dans le journal Liberté le 29 novembre 2001, dans lequel il dénonçait la corruption des généraux algériens juste après les inondations meurtrières de Bab El-Oued. En 2001, son nom a été attribué à des amendements au Code pénal (amendements Dilem) qui prévoient une série de mesures allant jusqu'à la peine de prison ferme contre les journalistes se risquant à offenser de quelque manière le président de la République ou les corps constitués (armée, justice, etc.).

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Abroger en 2011 par Bouteflika.... faut se renseigner des fois...

Le fait que cela aurait été abrogé l'année dernière (tout frais donc) n'invalide pas ce qui est indiqué (notamment le harcèlement juridique et la prison).

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Désagréable en quoi ??? J'ai juste fais remarqué quelque chose qui en plus est dit dans la vidéo plus haut... puis la seul fois ou j'ai étais désagréable involontairement je me suis excusé... faut arrêter de tout prendre mal, surtout que voila y a pas de majuscule ni de point d'exclamation.

Desagreable en quoi ? Dans la maniere que tu as de rajouter une petite renmarque qui peut etre compris (a tord ?) comme mesquine et agacante.

Aviapics le fait remarquer de maniere tres sympathique, en rajouter devient totalement superflu.

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l’Algérie redoute le syndrome libyen.

Devant les déclarations françaises d’établir une situation de guerre au Nord-Mali, un officiel américain a annoncé que les Etats-Unis pourraient offrir leur soutien. Cette situation incommoderait fortement l'Algérie qui privilégie le dialogue et la négociation entre toutes les factions du Nord-Mali.

Suite :

http://www.elwatan.com/international/l-algerie-redoute-le-syndrome-libyen-10-10-2012-188325_112.php

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l’Algérie redoute le syndrome libyen.

Devant les déclarations françaises d’établir une situation de guerre au Nord-Mali, un officiel américain a annoncé que les Etats-Unis pourraient offrir leur soutien. Cette situation incommoderait fortement l'Algérie qui privilégie le dialogue et la négociation entre toutes les factions du Nord-Mali.

Pas incommodée aussi fort que ça ,l'Algerie est dans la position confortable des pays occi ,à propos de la Syrie ,ils veulent aider le peuple oppressé mais c'est la Chine et la Russie qui les en empechent.
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"mesquine" je trouve ça fort quand même mais si c'est perçu comme ça je m'excuse auprès des membres c'est ni le bute ni l'intention c'est juste une manière de parlé parfois incomprise...

Et bien voila, il n'y a donc pas de probleme   O0

c'est la 5 eme pas arté et c'est un documentaire tendancieux qui sert à réhabiliter benbella aux yeux du peuple et à ternir Boumediène, logique l'auteur (hervé bourges) était conseiller du premier

J'ai pas l'impression d'avoir vu le meme documentaire.

On y montre un paquet de reussite de Boumediene alors que du cote de Ben Bella, on y parle des moissons et de la rentree 62, et RIEN d'autre.

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a bien y regarder on voit effectivement que l’Algérie est fortement  incommodé par la précipitation d'une intervention militaire mené par la cedeao sous l’égide de la France et surtout  sans dialogue préalable . et a juste raison je pense, en effet si il y un risque de" sahélistan" c'est beaucoup moins grave qu'un "touaregistan", pour parler crument si des soldats ivoiriens ou sénégalais viennent botter les fesses des touaregs maliens  sur leur terres ancestrales je croit pas que les touaregs(nigériens,libyens et même algériens) apprécient. je croit que l’Algérie cherche a laisser le conflit dans sa dimension actuelle c'est a dire une guerre contre aqmi et la mujao et les américains,les nigériens et mauritaniens  semblent  s’être rallier a ce point de vue.

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J'aime bien les caricatures de la presse algérienne. C'est suprenant de voir tant de liberté de la presse dans une région réputée autoritaire.

l'histoire de la première caricature d'un président algérien en 1984 , en parlant de chadli il serait pour quelque chose dans le développement des caricaturistes en Algérie , apparemment il aurait eu un certains sens de l'humour et aimé bien les blagues  a son sujet  :lol:

Slim avait montré la voie

Chadli, premier président algérien caricaturé

Par : Rubrique Radar

Image IPB

Les nouvelles générations garderont du président défunt, Chadli Bendjedid, outre l’ouverture démocratique, les nombreuses blagues qui ont circulé à son sujet. D'après ses proches, l'ancien chef de l’État, qui prenait ces railleries avec beaucoup d’humour, exigeait même de son entourage de lui rapporter toutes les plaisanteries que la rue algérienne pouvait échanger à son propos.

Il faut rappeler également que Chadli Bendjedid a été le premier président algérien à être librement caricaturé dans la presse nationale. Ainsi, le premier dessin (voir ci-joint) à avoir vu le jour était signé par Slim et avait été publié à la Une de l'hebdomadaire Algérie-Actualité en… janvier 1984. Malheureusement, un fonctionnaire zélé avait ordonné, en l'absence du Président, de passer au pilon les 180 000 exemplaires du support  “incriminé”. Ayant eu vent de cette censure, le défunt président est entré dans une colère noire. Depuis, tous les chefs d’État algériens ont été croqués sous différentes formes. Et pas toujours à leur avantage.

http://www.liberte-algerie.com/radar/chadli-premier-president-algerien-caricature-slim-avait-montre-la-voie-186798

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visite du ministre français de l’Intérieur Manuel Valls  en Algérie , apparemment la France chercher a formé ces imams avec l'aide de l’Algérie

Algérie: la formation des imams et la crise malienne au menu de la visite de Manuel Valls à Alger

Le ministre français de l’Intérieur Manuel Valls est arrivé à Alger samedi 13 octobre pour une visite de 24 heures. Une visite pour préparer la venue du président François Hollande en Algérie début décembre. Manuel Valls multiplie donc les entretiens avec le gouvernement algérien, et a annoncé qu’il ne s’interdirait « aucun sujet » avec ses interlocuteurs.

La visite est courte mais le nombre de rendez-vous important. A peine arrivé, Manuel Valls a rencontré samedi 13 octobre quelques acteurs économiques français d’Algérie, avant de s’entretenir avec son homologue Daho Ould Kablia. Au menu des discussions : des questions de sécurité et de circulation des personnes.

Mais le ministre de l’Intérieur est aussi venu comme émissaire de François Hollande. Et c’est dans ce cadre qu’il devra aborder ce dimanche 14 octobre la question de la crise au Mali, avec le ministre des Affaires étrangères, puis le Premier ministre algérien. Paris veut une intervention militaire africaine sous l’égide de l’ONU. Alger, d’abord opposé à cette solution, a finalement annoncé cette semaine qu’elle accepterait la solution armée.

La journée de ce dimanche 14 octobre s’annonce chargée puisque Manuel Valls devra tenter de faire avancer plusieurs dossiers bilatéraux, notamment celui de la formation des imams français en Algérie. Dans un entretien au journal algérien Liberté, le ministre annonce qu’il souhaite que cette formation se passe en France.

http://www.rfi.fr/afrique/20121014-algerie-valls-daho-ould-kablia-relations-bilaterales-formation-imams-terrorisme-mali

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Mais le ministre de l’Intérieur est aussi venu comme émissaire de François Hollande. Et c’est dans ce cadre qu’il devra aborder ce dimanche 14 octobre la question de la crise au Mali, avec le ministre des Affaires étrangères

Sur un site algerien ,un forumiste poste la question :pourquoi le Ministre français de l'interieur est-il reçu par le Ministre algerien des affaires etrangeres ?

Et un autre de satisfaire à sa curiosite :Le français est Ministre de l'interieur en France ,en Algerie il est etranger!!

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La réponse n'est pas aussi évidente. Dans le cadre d'un partenariat sur un sujet, on peut aussi imaginer que les ministres ayant des postes similaire dans deux gouvernements se rencontrent, par exemple ministres de la défense dans des accords militaires ou des ministres de la justice dans le cadre de collaboration judiciaire etc...

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