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L'Algérie


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Si la colonisation n'avait pas formé des cadres éduqués autochtones en Algérie, comment ce pays aurait-il pu se développer après 1962, quand les Français de souche sont partis? Cela aurait été chaos... Or cela n'a pas été le cas. Cqfd...

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Il n'y avait qu'un seul médecins agrée à l'indépendance. Les cadres "autochtones" il n'y en avait pas. Pour info une partie des pieds-noirs est restée en Algérie à l'indépendance et se sont vus offerts pour la plupart des postes à responsabilités, ceux sont les pieds-rouges et il y a encore une autre catégorie, plus récente , les pieds-verts des français qui vivent à cheval en Algérie et en France.

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Si la colonisation n'avait pas formé des cadres éduqués autochtones en Algérie, comment ce pays aurait-il pu se développer après 1962, quand les Français de souche sont partis? Cela aurait été chaos... Or cela n'a pas été le cas. Cqfd...

ça ne tien pas debout , donc quand la france a quitté l’Algérie elle a laissé 4 % de la population qui savait lire et écrire , et c'est grâce a ça que l'lagerie a pue se dévlopé aujourd'hui  :O c'est absurde !

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Source la LDH française, peu suspecte de pro-colonialisme... Ses chiffres sans être mirobolants, sont quand même moins catastrophiques que ceux issus de la légende noire -tout était mauvais- entretenue par le FLN en Algérie:

http://www.ldh-toulon.net/spip.php?article2584

La scolarisation en Algérie coloniale

En 1931, Maurice Viollette, ancien gouverneur général de l’Algérie, écrivait : « Il y a actuellement en Algérie 1 199 classes, comportant 466 maîtres européens et 468 maîtres indigènes. Or, d’après le recensement de 1926, on compte 5 147 000 indigènes, ce qui représente 900 000 enfants, garçons et filles d’âge scolaire. Nos écoles en reçoivent 60 000 ! Il reste donc à construire plus de 20 000 classes pour plus de 800 000 enfants. » [2]

En 1943, seuls 70 000 élèves musulmans étaient scolarisés sur plus d’un million d’enfants d’âge scolaire. Plus d’un siècle après le début de la conquête le nombre des Musulmans issus du système scolaire et de l’université était dérisoire : un millier d’ouvriers spécialisés, 41 médecins, 22 pharmaciens, 9 chirurgiens dentistes, 3 ingénieurs, 70 avocats, 10 professeurs de l’enseignement secondaire et 500 instituteurs.

En 1948, 92,4 % des jeunes musulmans de 10 à 14 ans étaient illettrés [3]. « Il est vrai qu’un gros effort sera fait entre 1954 et 1962 ; mais si tard ! », ajoute Alain Ruscio.

En 1954-55, d’après les chiffres du Commissariat général au Plan, « la population musulmane d’âge scolaire est évaluée, pour le terme de la période de 20 ans, à 2 500 000 enfants de 6 à 14 ans. Déjà, en 1954-55, cette population s’élève effectivement à 1 990 000 enfants. Avec 307 000 élèves inscrits dans le écoles du premier degré, le taux de scolarisation atteint 15,4 % à la veille de la guerre d’indépendance. » [4]

D’après le commissariat au Plan, « Un enfant européen sur trois fréquente le lycée en Algérie. En milieu musulman, la proportion est de un sur cent vingt cinq. » [5]

Et Germaine Tillion de préciser : « Dans la commune d’Alger, treize enfants musulmans sur dix-huit sont scolarisés, tandis que dans les campagnes, la scolarisation est un rêve inaccessible (dans telle commune, il y a une place dans les écoles pour un enfant sur cinquante, sur soixante-dix). » [6]

« A l’université d’Alger, la seule d’Algérie, il n’y avait en 1938-1939 qu’une centaine d’étudiants musulmans, et, en France, guère plus de 150 [7]. En 1954, malgré un net progrès, il n’y avait que 1 200 étudiants musulmans algériens dont un peu plus de la moitié à Alger, qui suivaient surtout des études formant à des professions libérales comme médecins ou avocats, qui les mettraient dans une situation de relative indépendance par rapport à l’administration. En 1954 donc, on comptait seulement quelque 600 Algériens musulmans pour 5 000 étudiants en Algérie, les universités françaises n’ayant formé à cette date qu’un seul architecte et un seul ingénieur algérien des travaux publics. [8] » [9]

Autre source, d'origine algérienne elle, citée par le Nouvel Observateur, qui confirme la précédente avec 15% d'enfants scolarisés en 1962:

"Environ 6 millions d'Algériens analphabètes, en 2012, soit un taux de 22% (étude)

Source Le Nouvel Observateur : http://tempsreel.nouvelobs.com/education/20120913.AFP8696/environ-6-millions-d-algeriens-analphabetes-soit-un-taux-de-22-etude.html

Environ six millions d'Algériens ne savent ni lire ni écrire en Algérie, soit un taux d'analphabétisme de 22%, selon les résultats d'une étude publiée jeudi par la presse.

"Le nombre de personnes analphabètes en Algérie a été estimé à 6 millions en 2008 soit 22% de la population", a déclaré un expert du Centre national d'analyses pour la population et le développement (Ceneap), Hocine Tahar.

M. Tahar s'exprimait mercredi à l'occasion de la présentation des premiers résultats d'une étude sur la lutte contre l'analphabétisme depuis l'indépendance du pays en 1962, réalisée pour le compte de l'association d'alphabétisation Iqraa, selon les journaux.

En 1962, le taux d'analphabétisme était de 85%, selon cette étude."

Commentaire: On retrouve donc bien le chiffre de 15% d'alphabétisés et pas de 4%... Cqfd.  =)

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Il me semble difficilement niable, en toute objectivité, que les autorités algériennes ont après l'indépendance noirci le tableau de la colonisation française. La plupart des chiffres repris par les forumeurs algériens (certainement en toute bonne foi) sont de fait faux : nombre de morts algériens entre 1954 et 1962 très très gonflé, victimes des luttes algéro-algériennes oubliées ou minorées (mouvements rivaux du FLN, civils neutres ou pro-français, harkis... : il y a une composante guerre civile dans les événements), taux de scolarisation minoré également, oubli que la partie saharienne ne faisait pas historiquement partie de l'Algérie (c'est un legs de la colonisation, qu'on le veuille ou non, un legs qui a rapporté en un demi-siècle des centaines ou des milliers de milliards de dollars au pays), minoration enfin de l'héritage en terme d'organisation et d'infrastructure (en 1962, l'Algérie se retrouve mieux organisée administrativement que les autres pays arabes).

Après personne d'honnête intellectuellement ne niera certaines saloperies commises pendant la conquête/colonisation ni ne soutiendra le principe même de la colonisation d'un pays par un autre. Mais c'est de l'histoire à présent.

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Ce qui m'avait frappé quand j'avais étudié le sujet, c'était la différence entre la politique souhaité en haut lieux et ce qu'il se passait réellement en Algérie.

Il suffit de voir le traitement reservé aux vétérans de la 1ere GM, entre le souhait du ministère de la Guerre avec des pensions quasiment à part entière et nul une fois en Algérie du fait de l'administration locale.

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Bonne ambiance avant la venue prochaine de François Hollande dans le pays... Et la signature d'1 nouveau grand traité d'amitié.

Les Algériens ne nous pardonneront jamais notre présence & tout ce qui s'est passé.

Nous regréterons toujours d'etre parti & ne pardonnerons jamais tout ce qui s'est passé.

Eux & nous devons juste apprendre à vivre avec... =D

Il ne faut pas être si pessimiste. En France, la guerre d'Algérie n'intéresse plus tant que ça. On en parle pas mal ces derniers temps à cause du cinquantennaire, mais c'est depuis longtemps de l'histoire ancienne pour la majorité des français. La situation actuelle nous embête surtout pour faire des affaires.

En Algérie, c'est différent parce que la génération de l'indépendance est toujours au pouvoir et qu'ils ont un intérêt politique à constamment remettre sur le tapis une version de l'histoire qui les arrange. La génération suivante ne voudra sans doute pas et ne pourra pas faire la même chose. Donc les relations France-Algérie vont changer tôt ou tard.

D'ailleurs, l'après Bouteflika, ça commencera au plus tard en 2014 ! Il va y avoir du mouvement bientôt, et ça risque d'être chaud. En voilà un sujet de discussion plus intéressant que les engueulades sur la période coloniale. Vous le voyez comment vous, le futur de l'Algérie à court et moyen terme ?

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D'ailleurs, l'après Bouteflika, ça commencera au plus tard en 2014 ! Il va y avoir du mouvement bientôt, et ça risque d'être chaud. En voilà un sujet de discussion plus intéressant que les engueulades sur la période coloniale. Vous le voyez comment vous, le futur de l'Algérie à court et moyen terme ?

Si j'en crois ce que me disait un collègue de travail algérien avec qui j'ai longuement parlé, c'est bien simple: les Algériens, une fois les derniers anciens fellaghas décédés, ou devenus des vieillards, n'accepteront plus de voir le fils du sous-préfet ou du commandant de gendarmerie local rouler en VW Touareg, ou s'approprier un terrain à bâtir, alors qu'il n'a aucune qualification professionnelle et aucun droit sur ce terrain, juste parce qu'il est "le fils de". Ils n'accepteront plus tous les passe-droits "des familles" des anciens maquisards, vrais ou fausses, qui captent une bonne partie de la rente pétrolière. Ils réclameront leur part du pétrole et pas seulement en ne payant pas leurs loyers, comme aujourd'hui, mais de façon plus directe. Bref la légitimité des "libérateurs" du colonisateur ayant disparu, on ne pourra plus s'en prévaloir pour accaparer les richesses du pays au profit d'une caste. Cela va bouger, c'est clair. Mais comme j'imagine mal que la caste au pouvoir lâchera ses privilèges sans résister, cela pourrait passer par une phase de violences sociales et politiques. Au final, on retrouvera probablement une Algérie purgée des derniers relents de l'indépendance, avec un corps social où le partage des richesses se fera de façon plus juste et un système politique plus démocratique.
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Au final, on retrouvera probablement une Algérie purgée des derniers relents de l'indépendance, avec un corps social où le partage des richesses se fera de façon plus juste et un système politique plus démocratique.

Une question demeure : cela arrivera-t-il avant ou après que le pétrole se serait épuisé? (échéance ~20-25 ans selon l'OPEP)
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Le traumatisme de la guerre civil des années 90 a laissé des traces, et à beaucoup ralenti de processus. Sans celà, suite aux révolutions arabes, le rue algérienne se serait probablement déjà soulevée.

Pour voir une bande de barbus sanguinaires et moyen-âgeux au pouvoir ?

Si j'en crois ce que me disait un collègue de travail algérien avec qui j'ai longuement parlé, c'est bien simple: les Algériens, une fois les derniers anciens fellaghas décédés, ou devenus des vieillards, n'accepteront plus de voir le fils du sous-préfet ou du commandant de gendarmerie local rouler en VW Touareg, ou s'approprier un terrain à bâtir, alors qu'il n'a aucune qualification professionnelle et aucun droit sur ce terrain, juste parce qu'il est "le fils de". Ils n'accepteront plus tous les passe-droits "des familles" des anciens maquisards, vrais ou fausses, qui captent une bonne partie de la rente pétrolière. Ils réclameront leur part du pétrole et pas seulement en ne payant pas leurs loyers, comme aujourd'hui, mais de façon plus directe. Bref la légitimité des "libérateurs" du colonisateur ayant disparu, on ne pourra plus s'en prévaloir pour accaparer les richesses du pays au profit d'une caste. Cela va bouger, c'est clair. Mais comme j'imagine mal que la caste au pouvoir lâchera ses privilèges sans résister, cela pourrait passer par une phase de violences sociales et politiques. Au final, on retrouvera probablement une Algérie purgée des derniers relents de l'indépendance, avec un corps social où le partage des richesses se fera de façon plus juste et un système politique plus démocratique.

Je ne pense pas qu'il y aura des violences comme en Egypte, s'il n'y en a pas eu de majeurs (ou le moment était plus que propice) pendant le printemps arabe il n'y en aura pas après. Le mieux serait que la bande de pourris au pouvoirs le quitte sans faire de vagues et sans demander son reste. On voit déjà que les choses commencent à changer, il a près d'1 tier de femmes à l'assemblée et les barbus ont perdus. En tous cas c'est mon avis perso.

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Une question demeure : cela arrivera-t-il avant ou après que le pétrole se serait épuisé? (échéance ~20-25 ans selon l'OPEP)

^^ "selon l'opep" c'est selon les déclarations des pays membres.

même la très sérieuse publication de bp avait annoncé dans les années 80 avec certitude une échéance de 20/25 de réserve de pétrole en extraction^^

le sol algérien est largement sous-exploité en la matière est a réservé au cour de ces 5 dernières années de nombreux nouveaux gisements en gaz/pétrole du côté du bassin d'illizi, bechar...ect.

le sous-sol saharien regorge de métaux précieux, or/platine, de l'uranium et même "des terres rares" au combien importante pour l'électronique.

les exportations de phosphate, de fer pour la région de bechar commencent. 

tiens en plus une info peu connu, les gisements de gaz algérien possède  des pépites de propriétés chimique concernant la fabrications du futur carburant de cette fin de XXI siècle, l'hydrogène....et ce gaz là, l'algérie en possède en quantité suffisante pour l'europe entière pendant un siècle!

http://www.cder.dz/download/Art4-2_4.pdf

donc penser ou espérer un manque de richesses minières quant à l'algérie sur ces 20/25 ans c'est vraiment peine perdu pour tout ce siècle^^

 

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Sit-in d'Algériens à Paris contre le gaspillage de l’argent public

Image IPB

La traditionnelle soirée organisée à Paris par l’ambassade d’Algérie en France pour fêter le 1er Novembre 1954 risque de ne pas se dérouler dans la quiétude habituelle, demain mercredi. La cause en est l’appel du Mouvement citoyen algérien en France (MCAF) et du Conseil national de l’immigration (CNI) à un rassemblement «républicain» à l’entrée du pavillon Dauphine, près de l’endroit où l’ambassadeur algérien Missoum Sbih offrira un dîner à ses centaines de convives triés sur le volet.

http://algeriepatriotique.com/article/sit-dalgeriens-paris-contre-le-gaspillage-de-l-argent-public
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Bon apparemment, les entreprises de BTP chinoises ne sont plus en vogue en Algérie.

Le gouvernement algérien a décidé que tout les nouveaux contrats géants de logement soit attribués à des entreprises européennes.

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/biens-d-equipement-btp-immobilier/20121106trib000729282/logement-comment-alger-marginalise-les-chinois-dans-la-construction.html

Mais qu'est ce les chinois ont-ils fait pour être boycotté ?

L'autoroute EST-OUEST a été bien faite non ? A moins que les milliers de logement construits ont été fait un peu trop à la va vite et les fissures commencent déjà à apparaitre...

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La réponse est dans l'article. Alger n'est pas satisfait de la qualité et les délais ne sont pas respectés. De plus l'Algérie veut diversifier ses fournisseurs et former ses jeunes (ce que les chinois ne savent visiblement pas faire, question de différence culturelle majeure).

Les chinois sont les moins chers mais s'ils construisent des immeubles en papier maché...

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Mais qu'est ce les chinois ont-ils fait pour être boycotté ?

L'autoroute EST-OUEST a été bien faite non ? A moins que les milliers de logement construits ont été fait un peu trop à la va vite et les fissures commencent déjà à apparaitre...

Justement l'autoroute est-ouest qui pose dejà probleme ,en effet plusieurs tronçons localisés inadaptés à la circulation  à 120 à l'heure sont en cour de renovation ,ce qui provoque des bouchons monstres du coté de Blida et d'autre travaux du coté de Tlemcen.!

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Il n'y avait qu'un seul médecins agrée à l'indépendance. Les cadres "autochtones" il n'y en avait pas. Pour info une partie des pieds-noirs est restée en Algérie à l'indépendance et se sont vus offerts pour la plupart des postes à responsabilités, ceux sont les pieds-rouges et il y a encore une autre catégorie, plus récente , les pieds-verts des français qui vivent à cheval en Algérie et en France.

Quel était le nom de ce médecin ?

A l'indépendance l’Algérie n'avait aucun savoir faire car la population local n'était pas formée par les français et remonter la pente à été difficile, puis la décennie noir a été un nouveau coup dur avec une fuite des cerveaux pendant cette période.

Même si la situation s’améliore au niveau de l'éducation, les résultats du bac ne sont pas faramineux et une partie de la population est encore peu formée, seulement étant parti de zéro le chemin parcouru est assez impressionnant.

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^^ "selon l'opep" c'est selon les déclarations des pays membres.

même la très sérieuse publication de bp avait annoncé dans les années 80 avec certitude une échéance de 20/25 de réserve de pétrole en extraction^^

le sol algérien est largement sous-exploité en la matière est a réservé au cour de ces 5 dernières années de nombreux nouveaux gisements en gaz/pétrole du côté du bassin d'illizi, bechar...ect.

le sous-sol saharien regorge de métaux précieux, or/platine, de l'uranium et même "des terres rares" au combien importante pour l'électronique.

les exportations de phosphate, de fer pour la région de bechar commencent.  

tiens en plus une info peu connu, les gisements de gaz algérien possède  des pépites de propriétés chimique concernant la fabrications du futur carburant de cette fin de XXI siècle, l'hydrogène....et ce gaz là, l'algérie en possède en quantité suffisante pour l'europe entière pendant un siècle!

http://www.cder.dz/download/Art4-2_4.pdf

donc penser ou espérer un manque de richesses minières quant à l'algérie sur ces 20/25 ans c'est vraiment peine perdu pour tout ce siècle^^

Selon le rapport 2012 de BP et selon l'OPEP (rapporté par Liberté-Algérie), les réserves algériennes se situeraient autour de 12 milliards de barils. Avec une production, selon les mêmes sources, de l'ordre de 1,7 millions de barils par jour (x365 = 620 millions de barils par an), ça fait environ 19 ans de production.

Donc, oui, les 25 ans c'est deja assez optimiste comme vision.

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beaucoup de découverte ne sont pas communique par le gouvernement algérien et la derniers société étrangere qui a eu l'idée de révélé une découverte de pétrole en algerie a la presse internationale a vue tous ces contrats en Algérie annulé  (c'était en 2009 avec une société canadienne )

si non il arrive que des infos filtre .

Actualités : ALORS QUE BP ET SCHLUMBERGER S’ACTIVENT DANS CE DOMAINE

Gaz de schiste : un secret bien gardé

La compagnie pétrolière British Petroleum va exploiter les gaz non-conventionnels au niveau du bassin d’Illizi, a-t- on appris de source bien informée. Tout est fin prêt pour entamer les forages, mais la compagnie britannique préfère attendre l’adoption du projet d’amendement de la loi sur les hydrocarbures afin de bénéficier des avantages fiscaux contenus dans ce texte pour les sociétés qui investissent dans les gaz de schiste.

Selon nos sources, les premiers puits de gaz non-conventionnels seront exploités au niveau de Bourarhet, au sud d’In Amenas où BP opère déjà avec la Sonatrach.

Un intérêt stratégique

Les informations recueillies sur ce gisement font état d’une forte présence de «tight gas», assez proche d'un gaz conventionnel. On évoque la quantité de 50 tfc, soit l’équivalent des réserves actuelles de Hassi R’mel. Le tight gas est difficile à extraire en raison du fait que la roche qui le contient est très peu perméable. De même que la cimentation qui entoure les réservoirs est difficile à fracturer. Selon nos sources, des tests ont déjà été effectués sur ce gisement de Bourarhet et des difficultés énormes ont été rencontrées, non pas en raison des techniques de forage, mais plutôt à cause de la mauvaise prestation assurée alors (par une entreprise américaine) sur les services aux puits et à la nature de la fracturation. Mais, en dépit de toutes ces difficultés, le partenaire de BP, le norvégien Statoil, demeure très confiant et confirme par ailleurs dans un rapport récent les tests réalisés en Algérie : «Le nouveau flux de travail a été utilisé dans une étude sur le site de Tiguentourine dans le Sud-est algérien. Il s’agit d’un champ étanche aux gaz, exploité par une joint-venture entre Sonatrach, BP et Statoil. » Depuis 1995, BP aura été le plus grand investisseur étranger dans le secteur des hydrocarbures en Algérie avec plus de 5 milliards de dollars. La société est présente avec Sonatrach et Statoil dans le gisement d’In Salah (BP 33,15%) et In Amenas (BP 45,89%). En outre, elle est associée à hauteur de 60% dans le projet pétrolier de Rhourde El Baguel au sud de Hassi Messaoud, où elle a réalisé de belles performances. Seulement, certains investissements commencent à se rapprocher de leurs limites en raison de la baisse des produits extraits. Et BP devait penser à la reconversion de son activité en gardant pratiquement le même potentiel matériel. Dans cette démarche, la british a anticipé sur les gaz de schiste sans pour autant attirer l’attention sur cette opération. Dans le rapport d’activité de BP pour l’exercice 2011, il est clairement mentionné que la société mène des activités sur les gaz non-conventionnels en Algérie. «BP poursuit l’activité sur les gaz non-conventionnels aux États-Unis et dans d'autres pays tels que l'Algérie, à Oman et en Indonésie», a-t-on écrit dans ce rapport. BP ne donne pas de chiffres sur les volumes estimés ni encore moins sur les zones prospectées. Certaines sources expliquent que le choix de Bourarhet est judicieux à plus d’un titre. BP dispose déjà d’une infrastructure adéquate dans la région et du fait qu’il se trouve à proximité de la frontière avec la Libye, la société peut faire appel à ses experts qui opèrent au sud de Ghedames. Par ailleurs, la commercialisation des gaz ne devrait pas poser de problèmes d’investissement, car le gazoduc est déjà opérationnel. Mais cette exploitation reste aujourd’hui tributaire de la loi sur les hydrocarbures qui promet des avantages fiscaux aux sociétés étrangères qui viennent investir dans les gaz non-conventionnels. Et BP devra donc attendre l’adoption de cette loi pour pouvoir s’engager sur l’investissement en question.

Schlumberger garde le secret

Les recherches effectuées en Algérie sur les gaz non-conventionnels semblent relever du secret. Devant le mutisme de Sonatrach et de sa tutelle, les sociétés étrangères opérant en Algérie ne communiquent jamais sur les gaz de schiste. Et c’est un ancien cadre de Schlumberger, à travers le dépôt d’un CV au niveau d’une compagnie pétrolière, qui va révéler avoir travaillé avec Schlumberger sur les gaz non-conventionnels sur le projet de Tidikelt, au sud d’In Salah. Sonatrach a en fait dissimulé toute son activité sur les gaz non-conventionnels pour des raisons évidentes d’appréhensions liées à l’environnement. Car jusqu’à ce jour, les débats sur l’exploitation de ces gaz n’ont pas été abordés sur le fond. Et ce n’est pas un séminaire de deux jours qui est en mesure de tracer la stratégie du pays en la matière. D’ailleurs, à l’examen du programme moyen terme (PMT) 2012-2016, la Sonatrach n’a pas fait d’exposés sur le cas des gaz non-conventionnels. Dans la seule phrase évoquant le sujet de Bourarhet, il est écrit dans le document de la Sonatrach (PMT) : «L’effort d’exploration en partenariat se poursuivra pour les contrats conclus sous le régime de la loi 86-14 jusqu’en 2012, date d’arrivée à échéance de ces contrats, et concernera le forage de 2 puits en 2012 au niveau de Bourarhet Sud opéré par BP

Mokhtar Benzaki

http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2012/10/24/article.php?sid=140681&cid=2

Prospection offshore: Sonatrach réalisera son premier forage en 2014 seul ou en partenariat :

Selon M. Mala, le traitement et l'interprétation de ces données sismiques  ont révélé une probable existence d'un potentiel d'hydrocarbures.

Les données sismiques offshore acquises l'année dernière concernent  deux blocs d'exploration, dont un de 3.000 km2, situé entre Bejaia et Annaba  et un second entre Ténès (Chlef) et Mostaganem de 2000 km2. Ces données sismiques ont révélé que les zones susceptibles de contenir des hydrocarbures sont situées entre 2.000 et 2.500 mètres de profondeur.

Quant au coût d'un seul forage en mer, il avoisine les 100 millions de dollars, selon M. Mala.

http://www.elwatan.com/economie/prospection-offshore-sonatrach-realisera-son-premier-forage-en-2014-seul-ou-en-partenariat-05-11-2012-191238_111.php

en gros il reste encore beaucoup de ressource a découvrir en Algérie , de plus l’Algérie disposent du plus grand Sahara au monde , et tous les experts en énergie solaire la désigne comme le future plus grand fournisseur d’énergie a l’Europe.

Le traumatisme de la guerre civil des années 90 a laissé des traces, et à beaucoup ralenti de processus. Sans celà, suite aux révolutions arabes, le rue algérienne se serait probablement déjà soulevée.

le peuple algériens est vacciné contre toute manipulation aventuriste barbus , les algériens connaissent très bien le prix d'une révolution c'est pas le cas des autres pays arabe qui méconnaissent le danger salafistes .

Bon apparemment, les entreprises de BTP chinoises ne sont plus en vogue en Algérie.

Le gouvernement algérien a décidé que tout les nouveaux contrats géants de logement soit attribués à des entreprises européennes.

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/biens-d-equipement-btp-immobilier/20121106trib000729282/logement-comment-alger-marginalise-les-chinois-dans-la-construction.html

Mais qu'est ce les chinois ont-ils fait pour être boycotté ?

L'autoroute EST-OUEST a été bien faite non ? A moins que les milliers de logement construits ont été fait un peu trop à la va vite et les fissures commencent déjà à apparaitre...

il se sont engager a finir des projet dans des délais record mais ils n'ont pas respecté leurs engagement se qui fait que quand les responsable algeriens se sont mis a annoncer la livraison de tel ou tel projet , ils sont passé pour plus ridicule que d'habitude quand les projet en question accusaient des retards de l'ordre de deux ou trois ans par projet ...

du coup le gouvernement commence a se tourné vers des société européen qui méme si les délais sont plus que se qui est annoncer par leurs concurrent chinois , le cahier des charges et les delais de livraison sont respecté .

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Mais pourquoi est-ce que les Tunisiens et Egyptiens n'ont pas tenu compte de ce qui était arrivé en Algérie ?

Les revolutions ne sont pas spontanées, elles sont liées à une forte augmentation du cout de la vie (au point que la faim et la difficulté à survivre a depassé la peur de l'appareil repressif)

Ensuite on leur a promis des elections libres qui ont été monopolisées par des islamistes avec une facade "soft" (plus qu'en Algérie en tout cas), islamistes qui avaient deja une assise sociale (grace à l'aide dans les quartiers les plus pauvres, les plus desherités et les moins eduqués)

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Mais pourquoi est-ce que les Tunisiens et Egyptiens n'ont pas tenu compte de ce qui était arrivé en Algérie ?

Ne pas tenir compte de l'expériences algérienne c'est, justement, ne pas permettre l'arrivée des islamistes au pouvoir (ce à quoi ils répondent par la violence). L'intelligence est de les laisser arriver au pouvoir pour qu'ils se cassent tous seuls la gueule aux prochaines élections vu qu'ils n'auront rien accompli d'extraordinaire (le ras le bol commence d'ailleurs à se faire ressentir au Maroc et en Tunisie).
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