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L'Algérie


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@Algérino,

C'est dingue mais j'aurais dit exactament la même chose.

Alors, etre mieux informer que les Algériens (d'Algérie) sur la situation du pays, c'est le cas du monde entier.

Ensuite, les mentalités qui n'évoluent pas, tu as certainement raison.

La guerre d'Algérie (+ la colonisation pour vous) a laissé des traces indélèbiles, c'est clair. Mais je te retournes le compliment. Les Algériens ne nous pardonneront jamais & ça peut se comprendre. Il suffit de lire ta réaction.

Donc, si nous n'évoluons pas dans notre façon de vous voir, vous non plus. Nous serons toujours d'infames colonisateurs.

Alors accepte pour aujourd'hui, les torts partagés... ;)

Pourquoi? Vivons nous dans des cavernes sans électricité, sans internet et sans informations, sans la possibilité de sortir dehors pour voir par nos yeux ce qui se passe qui fait qui et qui fait quoi?  :P

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les gars l'histoire des généraux dates de l’arrêt du processus électoral de 1992 , aujourd'hui tous les généraux qui ont pris part a cet événement qui a sauvé l’Algérie du salafisme moyenâgeux sont soit mort soit a la retraite ..donc ce discoure est dépassé ....il y a juste une classe politique pourris aussi bien chez les partis au pouvoir que chez l’opposition qui s'occupent plus de leurs intérêt que de ceux de leurs pays  , les algériens s'en moquent éperdument d'eux .

si non pour se qui est de l’actualité les algériens vivant en Algérie en savent plus que se que peuvent raconté de pseudo journaliste a l'étranger qui n'ont jamais mis les pays en Algérie , d'ailleurs lorsqu'il s'agit de liberté de ton et d’autocritique de leurs responsable les algériens et leurs presse en général sont passaient mètre dans le domaine .

quelques caricatures sympa sur l'actualité en Algérie

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La veuve de Maurice Audin en appelle à Hollande

Son mari, arrêté en 1957, a disparu. Josette Audin demande au Président, un mois avant son voyage à Alger, de condamner la torture pratiquée alors par la France.

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La douleur est toujours là. Josette Audin, 81 ans, triture ses lunettes, s’interrompt, regarde au loin. Cinquante-cinq ans après l’arrestation de Maurice Audin, jeune mathématicien communiste arrêté par les parachutistes français pendant la bataille d’Alger, la veuve poursuit sa quête de vérité. Les militaires ont prétendu que son mari s’était "évadé". Il n’a plus jamais donné de nouvelles. À quelques semaines du voyage de François Hollande en Algérie, la vieille dame attend encore un geste du chef de l’État. Elle lui a écrit, le 6 août dernier, demandant "que les historiens puissent avoir accès à toutes les archives de toutes les personnalités civiles et militaires françaises en charge du 'maintien de l’ordre' en Algérie". Un dernier espoir pour élucider « l’assassinat » de son époux, devenu une figure emblématique des tortures pendant la guerre d’Algérie.

Le 11 juin 1957, se souvient la veuve, "nous étions couchés, il était environ 23 heures quand on a tambouriné à la porte. Ils venaient arrêter mon mari. Il a eu le temps de me dire : 'Occupe-toi des enfants !''. Maurice Audin, partisan de l’indépendance algérienne, a été torturé. Henri Alleg, arrêté lui aussi, le décrit le "visage blême et hagard" dans son livre-témoignage La Question. Un autre l’a vu, en slip, attaché sur une planche avec "des pinces reliées par des fils électriques à la magnéto, fixées à l’oreille droite et au pied gauche". Josette Audin sait cela. Mais sa lettre évoque aussi les autres Algériens, disparus anonymes de la bataille d’Alger. Elle exhorte donc François Hollande : "Comme le président de la République Jacques Chirac l’a fait pour condamner la rafle du Vél’ d’Hiv, j’espère que vous ferez aussi, au nom de la France, non pas des excuses pour des actes qui ne sont pas excusables, mais au moins une condamnation ferme de la torture et des exécutions sommaires commises par la France pendant la guerre d’Algérie."

Nicolas Sarkozy n’a jamais répondu

Le comité Audin, emmené notamment par l’historien Pierre Vidal-Naquet, a montré que l’évasion était impossible. Josette Audin a déposé plainte contre X pour homicide dès juillet 1957. Premier non-lieu en 1962, après le décret d’amnistie. La veuve dépose une autre plainte en 2001 pour séquestration et crime contre l’humanité. Nouveau non-lieu. Elle écrit à Nicolas Sarkozy en 2007. Aucune réponse. "Je ne sais pas si on connaîtra la vérité un jour, soupire Josette. Il faut le faire quand même…" Impossible d’abandonner, pour celle qui ne s’est jamais remariée, qui a élevé ses trois enfants "dans l’amour de leur père" et garde, dans son salon, les photos noir et blanc de son époux disparu à 25 ans. Difficile de faire son deuil quand le corps demeure introuvable. "Les enfants ont toujours espéré que leur papa allait revenir, jusqu’à l’indépendance de l’Algérie", témoigne-t-elle.

De nouveaux éléments sont apparus en mars dernier. Une journaliste du Nouvel Observateur a trouvé aux États-Unis, dans les archives du colonel Yves Godard, un "document inédit" désignant nommément un militaire comme probable assassin de Maurice Audin. Et maintenant? Le ministère de la Défense va répondre à Mme Audin sur ce qui relève de son domaine de compétence. Le trésorier de l’association Maurice Audin a déjà pu consulter, fin septembre, des documents conservés par le service historique de la Défense. Sans découverte fondamentale. D’où la volonté d’avoir accès à d’autres archives…

"S’arrêter là, ce n’est pas suffisant"

Pour le reste, Josette Audin approuve le fait que François Hollande ait reconnu la « sanglante répression » de la manifestation des Algériens, le 17 octobre 1961. Mais, s’inquiète-t-elle, "on a bien l’impression que c’est le maximum de ce que voulait faire le Président. S’arrêter là, ce n’est pas suffisant". Le 26 mars dernier, le candidat Hollande n’écrivait-il pas à l’association Audin afin de saluer son action "pour que la vérité soit enfin reconnue officiellement par l’État", ajoutant qu’il croyait « utile que la France présente des excuses officielles au peuple algérien"? La veuve de Maurice Audin veut garder espoir.

Marie Quenet - Le Journal du Dimanche

dimanche 25 novembre 2012

http://www.lejdd.fr/Societe/Actualite/La-veuve-de-Maurice-Audin-en-appelle-a-Hollande-577353
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il faut que Hollande se bouge pour ne pas perdre le marché Algerie

Les entreprises françaises en retard d'une évolution : Le marché algérien n'est plus une chasse gardée

par Salem Ferdi

Jean-Pierre Raffarin a été avare d'annonces dans l'entretien accordé à un quotidien national avant son arrivée en Algérie.

Les plus optimistes y verront une volonté de ne pas couper les effets au président François Hollande et de laisser les annonces pour la visite officielle qu'il effectuera en Algérie. Mais ceux qui ont été habitués aux déclarations mirifiques sur le «partenariat stratégique», la «refondation», «pacte de coproduction» et autres superlatifs prennent les choses pour ce qu'elles sont: il n'y a rien à annoncer. Que ce soit sur le dossier de l'usine Renault, dont les dirigeants laissent entendre qu'ils se résignent à la faire pratiquement sous la contrainte ou pour le projet de complexe de vapocraquage de Total. Certes, il ne faut jurer et ces dossiers peuvent connaitre un déblocage à la faveur de la visite de Hollande qui prendrait ainsi un relief plus vif. Mais ces dossiers, même s'ils sont fortement accompagnés par le gouvernement français, relèvent en dernier ressort des directions des entreprises. «Nous sommes aussi en train de bien avancer pour le projet SNVI-Renault à Oran», a déclaré Abdelmalek Sellal alors que Jean-Pierre Raffarin met en avant le fait que la «volonté d'aboutir existe de part». Sa réponse sur le projet d'usine de vapocraquage de Total est un modèle de discours vaporeux pour dire que la situation est bloquée. Il reste encore la «bonne volonté». En réalité, ces grands projets aussi importants soient-ils ne peuvent masquer que le rendez-vous du partenariat industriel n'a pas eu lieu. Les entreprises françaises vendent depuis longtemps en Algérie et veulent continuer à le faire tout en produisant au Maroc et en Tunisie. Il ne s'agit pas de se mettre en concurrence avec les deux autres pays maghrébins mais de souligner le fait que le plus gros marché des entreprises françaises se trouve en Algérie et que les entreprises françaises la boudent. Les partenaires français ont trouvé une «explication» dans le verrouillage de la LFC 2009 pour laisser entendre que l'Algérie ne souhaitait en fin de compte pas leur venue. L'argument est contestable. Même la règle du 51/49% - critiquée par des Algériens pour son application généraliste au lieu d'être limitée à des segments particuliers - n'a rien d'une hérésie et ne contrevient pas aux règles de l'Organisation mondiale du commerce.

UN FAUX SENTIMENT D'ASSURANCE

Il existe chez les entrepreneurs français un sentiment d'assurance de domination sur le marché algérien qui n'est plus de mise. Certains entrepreneurs français qui observent bien les évolutions des acteurs économiques algériens alertent leurs pairs sur le fait qu'ils dorment sur leurs lauriers. On a souvent relevé que la qualité bonne ou mauvaise des relations politiques entre l'Algérie et la France n'avait pas d'incidence sur le courant des affaires. Il faudra désormais, alors que le marché algérien devient plus concurrentiel et que les entreprises d'autres pays de l'Europe en crise veulent y prendre une part, insister sur le fait que les bonnes relations politiques ne vont pas nécessairement servir les entreprises françaises. L'Algérie a d'excellentes relations politiques avec la Chine, les Etats-Unis et d'autres pays européens. Son marché a cessé d'être une chasse gardée même si les flux restent importants entre la France et l'Algérie. Encore faut-il ne pas feindre d'ignorer que la Chine ne devrait pas tarder à supplanter la France en tant que premier pays fournisseur de l'Algérie. Les opérateurs algériens ont appris, au fil des ans, à découvrir d'autres partenaires que les Français. L'offre de partenariat que les responsables algériens ne cessent de faire sans avoir de réponse probante pourrait être dépassée par les faits. Il y a d'autres partenaires possibles qui veulent bien entendu vendre, mais qui comprennent que l'Algérie souhaite, pour diversifier son économie, faire de la substitution aux importations. Les entreprises françaises bénéficient encore de la «traditionnelle» propension des opérateurs algériens à regarder vers la France. Les chiffres que publie régulièrement le CNIS montrent que les choses sont en train de changer et à vive allure. Il n'y a pas de terrain conquis.

http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5175981

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l’Algérie se rapproche avec ces nouveau voisins de l'est , a noté que pour le cas Libyen un accord a était conclue entre les deux pays pour la formation de la nouvelle armée Libyenne et ces forces de sécurité par l’Algérie .

Aucune rencontre n’est prévue avec les Marocains

Alger intensifie ses relations avec Tunis et Tripoli (Par Hadjer Guenanfa, 27/11/2012)

Les relations entre l’Algérie et ses voisins du Maghreb se renforcent avec la multiplication des visites diplomatiques de part et d’autre. Le ministre algérien des Affaires étrangères, Mourad Medelci, entame, à partir de ce mardi 27 novembre, une visite de travail de deux jours à Tunis avec une « importante délégation ». Sur place, il prendra part à la 7e session de la commission de concertation politique entre les deux pays.

Ce déplacement est le premier d’une série de visites ministérielles. Le 3 décembre prochain, le Premier ministre tunisien, Hamadi Jebali, sera en visite de 48 heures à Alger, selon des sources diplomatiques. À peine une semaine après, c’est le nouveau Premier ministre libyen, Ali Zeidan, qui effectuera, le 10 décembre, une visite à Alger, selon les mêmes sources.

Mais aucune visite d’officiels algériens au Maroc ou d’officiels marocains en Algérie n’est prévue. Après une courte période caractérisée par un inattendu réchauffement des relations bilatérales avec une valse de visites diplomatiques, une nouvelle période de froid semble s’installer progressivement entre Alger et Rabat.

Le sommet de l’UMA en jeu

Alors que de nombreuses voix s’élèvent dans la région pour relancer l’Union du Maghreb arabe (UMA), la dégradation des relations entre Rabat et Alger complique la réactivation de ce vieux projet. Annoncé pour le 10 octobre dernier par la Présidence tunisienne, le prochain sommet de l’UMA a été reporté sine die. Selon nos sources, il ne se tiendra pas avant 2013. Il faudra attendre la réunion du comité de suivi des ministres délégués, puis celle des ministres des Affaires étrangères des pays maghrébins pour espérer voir les pays de l’UMA parvenir à un accord sur la date du sommet.

http://www.tsa-algerie.com/diplomatie/alger-intensifie-ses-relations-avec-tunis-et-tripoli_22892.html

également a noté les très bonne relations entre l’Algérie et la Mauritanie qui se sont aligner sur la même position sur le conflit malien .

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il faut que Hollande se bouge pour ne pas perdre le marché Algerie

http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5175981

Désolé, mais c'est carrément de l'arnaque! Les Algériens demandent à la fois qu'on investisse chez eux, qu'on fasse travailler les leurs et qu'on fasse dans le transfert de technologies, en plus de ne détenir que 49% (la loi algérienne oblige tout investisseur à avoir un ou des associés algérien qui détiendrai(en)t 51%) et de ne rien demander face à la concurrence (demande de Renault d'avoir l'exclusivité de la production automobile locale pour une durée de 5 ans, refusée par le gouvernement algérien).

Désolé, mais là il y en a qui ne veulent pas seulement le beurre et l'argent du beurre, mais aussi la boutique du marchand et son calbut! Quand on veut recevoir, on fait des concessions, on ne joue pas au Roi Lion alors qu'on est un matou.

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Jean‑Pierre Raffarin a été reconduit dans son role de Monsieur Algerie en Aout dernier , il a l 'air de faire du bon boulot

Entretien exclusif : Jean-Pierre Raffarin revient sur sa visite en Algérie

"La France accepte bien volontiers que des intérêts algériens entrent au capital de ses entreprises"

Vous venez d’effectuer une visite de deux jours en Algérie. Quel bilan faites‑vous de ce déplacement ? 

Cette visite de travail de deux jours a été particulièrement dense : des entretiens de travail avec le Premier ministre, les ministres de l’Énergie et des Mines, des Finances, de la Santé, le gouverneur de la Banque centrale et plusieurs séances en format restreint ou élargi avec mon interlocuteur désigné, M. Cherif Rahmani, le ministre de l’Industrie, des PME et de la Promotion de l’investissement. Le bilan que je peux faire est positif car chez tous mes interlocuteurs, j’ai retrouvé la même volonté d’accélérer, d’approfondir et d’élargir nos projets de coopération, à l’image de ce que le gouvernement algérien a décidé en matière de développement économique.

Cela fait maintenant deux ans que je me rends régulièrement en Algérie pour cette mission de bons offices économiques. Près d’une dizaine des dossiers traités ont pu aboutir et sur les quelques‑uns encore en discussion, je peux mesurer le chemin parcouru.

Avez‑vous obtenu des avancées concrètes sur les dossiers d’investissements français, notamment celui de l’implantation d’une usine Renault ?

Cette bonne disposition d’esprit mutuelle a permis effectivement de continuer à avancer de manière concrète et opérationnelle sur quelques grands projets, dont celui de Renault. Au‑delà de cet important projet industriel, il faut bien voir que l’approche retenue de part et d’autre est celle d’une approche filière, de l’amont à l’aval, d’une collaboration où, notamment en termes d’emplois, chacun doit être gagnant. Cette approche est valable pour l’automobile mais aussi pour d’autres branches comme les matériaux de construction, la pétrochimie, l’agriculture. Dans tous ces secteurs, nous sommes prêts à conjuguer production, formation, recherche, commercialisation, exportation… Je suis sûr que dans ce partenariat intégré, nos deux pays, nos entreprises, nos concitoyens seront gagnants.

Des contrats seront‑ils signés lors de la visite du président François Hollande, le 19 décembre prochain ?

À quelques jours de la visite du président de la République française, vous comprendrez que je ne puisse pas satisfaire toute votre curiosité à ce sujet. Mais, ce que je peux dire, c’est que tous mes interlocuteurs ont témoigné de leur volonté de donner un nouvel élan à une relation qui est déjà forte mais qui, dans le domaine économique qui est celui de la mission qui m’a été confiée par le président, doit se hisser au niveau des nouvelles opportunités qui s’offrent à nos deux pays aujourd’hui. Je suis donc confiant dans les résultats que l’on peut attendre à l’occasion de la visite présidentielle.

Les entreprises françaises ne profitent toujours pas des importants investissements publics algériens. Avez‑vous obtenu des avancées dans ce dossier ?

La France est le premier partenaire économique de l’Algérie, ce qui prouve combien nos liens sont étroits dans le commerce, l’investissement, le partenariat technologique… La démarche que je vous ai décrite ci-dessus – par filière et ayant à cœur l’intérêt partagé quant à l’emploi et la richesse créée – reflète notre détermination à contribuer au développement de l’Algérie en participant à la réalisation des grands équipements publics. D’ores et déjà, nous pouvons espérer que certains investissements fourniront prochainement l’occasion de concrétiser cet intérêt commun.

La France, premier fournisseur de l’Algérie, est depuis quelques mois talonnée par la Chine. Avezvous une stratégie pour rester leader sur le marché algérien ?

C’est vrai que la Chine – mais pas seulement elle – est de plus en plus présente sur le marché algérien. Cela correspond bien sûr à la montée en puissance de la Chine dans le commerce mondial. Cette concurrence accrue doit amener nos entreprises à se positionner sur les créneaux les plus porteurs du marché algérien, notamment les produits et services industriels, les équipements, l’agro‑industrie… Cela peut se faire en complétant les offres de nos entreprises par des prestations pour lesquelles les atouts français sont reconnus et qui nous distinguent souvent des autres : formation, partage d’une valeur ajoutée en expansion, exportation… C’est un partenariat économique rentable qu’il nous faut mettre en place.

De quoi se plaignent les entreprises françaises qui cherchent à investir en Algérie ?

Hors hydrocarbures, la France est le 1er investisseur en Algérie et les dossiers au règlement desquels j’ai pu contribuer ces deux dernières années démontrent bien que l’intérêt de la France vis‑à‑vis de l’Algérie ne faiblit pas. Chaque pays a ses complexités, la France comme l’Algérie ou la Chine. Nous devons respecter les lois de chacun. Quand des difficultés se présentent, ce qui compte, c’est de bien comprendre les positions de part de d’autre, de s’efforcer de résoudre ces difficultés en dégageant des solutions qui, bien sûr, respectent l’esprit et la lettre de la loi mais permettent de parvenir à un accord qui corresponde aux intérêts des deux parties.

C’est là le sens de la mission qui m’a été confiée et que mon interlocuteur désigné, le ministre Cherif Rahmani, a su mettre en œuvre avec efficacité au cours des réunions de travail de ces deux jours, en rassemblant responsables algériens et français et en faisant que, lui comme moi, puissions dégager des pistes de solution au plus grand bénéfice des deux parties.

Beaucoup d’entreprises françaises, à l’image de Peugeot, connaissent des difficultés. La France est elle prête à voir l’Algérie entrer dans le capital de certaines de ces entreprises ?

La France accepte bien volontiers que des intérêts algériens entrent au capital de ses entreprises, grandes ou petites. Cela relève de la décision des autorités algériennes et des entreprises concernées. C’est un sujet qui a été abordé au cours de récents contacts franco‑algériens. On peut, en effet, imaginer des croisements de prises d’intérêts bénéfiques aux deux pays car, outre les besoins en capitaux, ils pourraient faciliter les partenariats dans les domaines de la production, de la formation, du transfert de savoir‑faire, de la commercialisation et de l’exportation. C’est encore un sujet de réflexion mais il n’y a pas, de notre côté, d’objection à ce que de telles réflexions soient approfondies, bien au contraire.

http://www.tsa-algerie.com/economie-et-business/la-france-accepte-bien-volontiers-que-des-interets-algeriens-entrent-au-capital-de-ses_22899.html

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trucage old school, bientot les machines à voter de l'état de Floride.

J'aurais bien une ou deux autres références à proposer, plus proches de nous, mais j'ai peur que les modérateurs ne me reprennent  :lol: :lol: :lol:
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oui les parties au pouvoir FLN/RND ont bien gagner la il n'y a pas de doute et il y a des raison a ça !

1- la majorité des algériens ne votent pas et n'ont plus confiance en personne donc les seul qui votent sont les partisans de la continuité et les partisans des parties au pouvoir (moi même j'ai pas voté , j'ai passé la journée a exploré Farcry 3  :oops: ).

2-les partie  dit d'opposition on perdue toute credibilité soit ils versent trop dans la politique de radio trottoir , ou ils passent leurs temps a se chamailler , ils ont aussi jouer trop longtemps a la politique de la chaise vide du coup ils ne portent pas assé loin leurs voix et leurs position politique .

3-les cadeaux : exemple la circonscription de Ben Aknoun d'Alger , le Maire FLN a fait une distribution de cadeau au citoyen dans les cités ...ect , il a aussi repeint tout les immeubles des cité , nettoyer les rues ...ect a l’approche du vote alors que rien n'a bouger ces 4 dernière année .

4- les micro partie : il y a prêt de 50 partie politique en Algérie la plus part ayant reçu leurs agrément l'année dernière donc les voix se dispersent

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Les clés d’Alger du Musée de l’Armée transformées en cadeau diplomatique par l’Élysée

Lors d’une récente exposition consacrée à l’Algérie, les clés d’honneur d’Alger remises par le dey Hussein à l’armée française après la capitulation de la ville le 5 juillet 1830, et qui appartiennent au Musée de l’Armée à Paris, étaient présentées et se voyaient d’ailleurs reproduites dans le dossier de presse.

Ces objets, aux réelles qualités artistiques et à la forte symbolique, restèrent en dépôt dans les musées d’Alger jusqu’à l’Indépendance, date à laquelle ils furent rapatriés avec une partie des collections en métropole et inscrits sur l’inventaire du Musée de l’Armée. Ils s’agit donc de trésors nationaux, inaliénables.

Or, le ministère des Affaires Étrangères, qui semble considérer nos musées comme un réservoir de cadeaux diplomatiques, a décidé unilatéralement, sans d’ailleurs que l’Algérie ne fasse à ce propos aucune demande, que le Président de la République française, François Hollande, devait offrir ces clés à l’Algérie lors du voyage officiel qu’il y fera les 19 et 20 décembre prochain.

...

On imagine ce qu’il adviendrait de ses collections s’il fallait désormais restituer - au mépris d’ailleurs des lois françaises et des conventions internationales - les prises de guerre historiques à leur nation d’origine. Imagine-t-on la nef des Invalides privée de ses drapeaux ?

Rappelons donc au ministre des Affaires Étrangères et au Président de la République qu’ils ne sont pas au-dessus des lois et que les objets appartenant aux musées sont inaliénables et imprescriptibles.

...

On se rappelle que Nicolas Sarkozy, naguère, avait rendu de manière tout aussi illégale des manuscrits coréens, sous la forme d’un pseudo-dépôt qui n’était en réalité qu’une restitution déguisée. Si le fond de l’affaire est comparable, remarquons que dans le cas des clés d’Alger, contrairement aux manuscrits, le pays d’origine ne les réclame pas. Et que leur mode d’acquisition n’avait rien de contestable puisqu’il ne s’agit pas d’un pillage (même si par la suite la ville fut mise à sac) mais bien de la conséquence d’une reddition, un fait historique dont il est possible de regretter les conséquences mais dont on ne peut contester qu’il a eu lieu. Les œuvres des musées français appartiennent à tous les français. Ils ne peuvent servir de cadeaux diplomatiques.

http://www.latribunedelart.com/les-cles-d-alger-du-musee-de-l-armee-transformees-en-cadeau-diplomatique-par-l-a0-00lysee-article004125.html

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