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L'Algérie


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En fait, et cela dit sans méchanceté aucune, plus on creuse, plus on s'aperçoit que pas mal d'Algériens ont encore du mal à bien faire la distinction entre histoire et mythe, histoire et légende, histoire et mémoire, histoire et propagande... (je précise, au cas où, que ce n'est pas non plus une exclusivité algérienne... mais bon sur ce fil c'est quand même très apparent)

En France aussi, malheureusement. Mieux vaut ne pas trop creuser sur le degré de connaissances et d'esprit critique que peuvent avoir les Français sur leur histoire dite nationale.
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Soit FR3 ment, soit la secrétaire du ministère de la Défense ne sait pas c'est qu'une demande officielle:

http://bretagne.france3.fr/2012/08/04/brest-lalgerie-souhaite-recuperer-le-baba-merzoug-61281.html

Et dans un article du journal algérien "La Tribune", sous la plume d'un certain Noureddine Khelassi qui ne me semble pas trop parti pris français, il y a un autre son de cloche sur les raisons de la "punition" du consul:

http://www.latribune-online.com/culture/5637.html

désolé pour le retard , je crois que tout ceci n'est que des manœuvres politiques de part et d'autres de la méditerranée pour améliorer les relations algéro française , je suppose que la partie française veut faire un "geste" afin de réchauffer les relations et décrocher quelques contrats , d'ailleurs le président Chirac avait remis le sceau du dernier DEY d'Alger lors de sa visite à alger sans qu'il y ait une demande officielle algérienne ...

pour revenir au canon , l'amiral duquesne avait comme ordre de bruler la flotte et la ville d'Alger , un millier d'algériens "civils"  étaient morts lors de l'attaque de l'amiral français ......         

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Interview du président Bouteflika à l’AFP (INTEGRAL)

ALGER - Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a accordé une interview à l’Agence France-Presse (AFP), dont l’APS a obtenu une copie. Voici l’intégralité de l’interview :

QUESTION : Il a été question pendant des années de la signature d’un traité d’amitié entre la France et l’Algérie. Aujourd’hui, le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, évoque un partenariat stratégique entre les deux pays, indiquant que c’est également le souhait de l’Algérie. Qu’en est-il vraiment et quelles sont les raisons de ce choix ou de ce non-choix ?

REPONSE : La "déclaration d’Alger", signée en mars 2003 par nos deux pays, a marqué leur intention commune de bâtir un partenariat fondé sur ce qui rassemble les deux pays, soit l’encrage historique, la proximité géographique, les liens humains et les nombreuses interdépendances bilatérales.

Cette ambition est toujours de rigueur, pour la partie algérienne qui souhaite donner un contenu concret et opérationnel à ce partenariat d’exception que les deux peuples appellent de leurs vœux. Les formes du partenariat importent finalement peu, c’est sa consistance qui est essentielle.

Elle passe certainement par l’intensification du dialogue politique à tous les niveaux, incontournable à mon avis pour définir l’orientation que nous voulons donner à la stratégie de coopération que nous ambitionnons de développer, pour le long terme, entre les deux pays.

De cette manière, nous pouvons transcender beaucoup de pesanteurs et faire coïncider réellement nos intérêts qui doivent s’affranchir des considérations conjoncturelles, nécessairement précaires. L’Algérie est favorable à une relation forte et dynamique avec la France fondée sur la densité des liens et les nombreux intérêts qui unissent nos deux pays.

QUESTION : L’élection de François Hollande à la présidence française a été applaudie en Algérie et beaucoup d’espoirs ont été exprimés en une amélioration des liens entre les deux pays. Qu’attendez-vous précisément de la France d’aujourd’hui ?

REPONSE : Nos pays sont en train de vivre l’enjeu de la mondialisation où l’interdépendance entre Etats, fussent-ils éloignés, est devenue une chose inévitable. A plus forte raison lorsque ces Etats sont dans la même sphère géographique.

Avec la France nous avons beaucoup d’atouts en partage et nous voulons relever le défi de construire un partenariat qui résiste aux contingences et qui dépasse les seules relations commerciales où chacun réduit l’autre à un débouché.

Ce que l’Algérie attend de la France, c’est un accompagnement dans le processus de développement économique, social et humain, un vaste chantier en cours de mise en œuvre et qui nécessite un perfectionnement de l’élément humain, un transfert technologique réel et un partenariat gagnant-gagnant dans le système productif.

En tout état de cause, nous espérons que l’arrivée aux responsabilités de M. François Hollande va marquer une nouvelle étape dans nos relations bilatérales qui sont appelées à s’approfondir dans l’intérêt de nos deux peuples.

QUESTION : Monsieur le Président, vous êtes un très fin connaisseur de la diplomatie internationale et de la relation franco-algérienne. Pourriez-vous faire le point de ces 50 ans de relations et des ratés qu’à vos yeux ces liens franco-algériens ont subis ?

REPONSE : Parler, même en synthétisant, de 50 années de relations algéro-françaises, n’est pas chose aisée. Ce serait prétentieux de ma part de m’adonner à cet exercice.

C’est aux historiens et aux chercheurs des deux pays d’entamer un véritable travail commun de lecture de cette Histoire dense et riche, marquée par des hauts et des bas qui témoignent de l’intensité de nos relations.

Mais d’un point de vue politique et stratégique, je ne peux que réaffirmer l’obligation pour l’Algérie et la France de travailler ensemble tant leurs interdépendances sont nombreuses.

Nous avons une responsabilité devant nos peuples. Nous devons tirer les enseignements de notre expérience passée, pour corriger "dans l’action" la trajectoire d’une coopération et d’un partenariat toujours perfectible.

Nous pouvons, tout de même, nous féliciter du fait qu’au fil du temps les deux pays aient pu apporter à chaque fois une pierre à ce grand édifice que nous voulons construire ensemble, celui d’un modèle de coopération dans le bassin méditerranéen.

QUESTION : L’Algérie a une position nuancée vis-à-vis de la crise syrienne. La mission de Lakhdar Brahimi est en cours. Quelle solution préconisez-vous pour mettre fin à cette guerre et quel rôle entrevoyez-vous pour l’Algérie dans la résolution de cette crise ?

REPONSE : Dès le début de la crise, l’Algérie a appelé toutes les parties à mettre un terme aux actes de violence et à s’engager dans la voie du dialogue. Comme elle s’est associée aux efforts de la Ligue des Etats Arabes pour mettre fin à ce drame dans un pays frère.

A cet égard, l’Algérie a été très active au sein du Comité ministériel de la Ligue arabe chargé de la situation en Syrie, dont elle est membre, pour contribuer à la recherche d’une solution.

Cet engagement n’est pas seulement dans le discours, puisque nous avons été parmi les premiers pays à dépêcher des observateurs sur le terrain, dans le cadre de la mission d’observation mise sur pied par la Ligue arabe en décembre 2011.

L’Algérie a également pris part à toutes les réunions organisées dans le cadre du groupe des amis du peuple syrien où elle a apporté sa contribution à la recherche d’une solution qui soit équilibrée, pour tenir compte des aspirations du peuple syrien, sans marginalisation d’aucune sorte. Bien sûr, nous accompagnons la mission en cours de Lakhdar Brahimi de tous nos voeux de succès, dans le délais les meilleurs, pour épargner à la Syrie les déchirures qu’elle connaît actuellement.

QUESTION : Ne craignez-vous pas un conflit généralisé à la région, notamment en raison des pressions exercées actuellement sur l’Iran ?

REPONSE : Il est tout à fait clair que les risques d’une conflagration généralisée dans la région sont réels. Cela n’est pas du seul fait des pressions qui sont exercées sur l’Iran, mais également de la politique de domination et d’oppression à l’égard du peuple palestinien et le déni permanent de ses droits les plus élémentaires.

QUESTION : Et quelle est la position de l’Algérie concernant le programme nucléaire de l’Iran avec laquelle vous entretenez de bonnes relations ?

REPONSE : L’Algérie entretient des relations de coopération et d’amitié avec l’Iran. Ces liens ont été forgés dans des moments difficiles, notamment dans le cadre de médiations algériennes.

Ce fut le cas, en 1975, pour la délimitation des frontières territoriales et maritimes avec l’Irak, puis, en 1980 pour la libération des otages américains, et enfin en 1981, pour mettre fin à la guerre fratricide contre l’Irak.

Sur la question du programme nucléaire iranien, ma conviction est que le différend qui oppose l’Iran à certains de nos partenaires est loin d’être insoluble et encore moins une fatalité.

Il ne peut, non plus, s’accommoder de solutions unilatérales, ni faire l’économie d’un traitement juste et équilibré, dans le cadre d’une démarche d’ensemble mettant en jeu des éléments interconnectés.

"Nos partenaires doivent prendre la mesure du sentiment d’insatisfaction de la majorité des Etats parties, au Traité de non-prolifération (TNP), qui ont fait le choix de renoncer volontairement à l’option nucléaire militaire, pour la préservation de la paix.

Qu’il s’agisse des mesures concrètes de désarmement convenues au niveau international qui n’ont pas été appliquées, ou des nouvelles conditionnalités sur les droits légitimes des Etats parties au TNP à se doter de capacité scientifique et technique, y compris dans le domaine nucléaire, pour accélérer le développement socio-économique.

Ceci m’amène à évoquer les préoccupations que suscite l’asymétrie au profit d’un seul pays dans la région du Moyen-Orient, de surcroît non membre au TNP, et dont la sécurité est fondée sur la dissuasion nucléaire. Cette situation encourage inévitablement la course aux armements.

Nous devons œuvrer collectivement à la restauration de la confiance dans le régime de désarmement et de non-prolifération, pour enrayer les perceptions porteuses de risque d’érosion dans l’application des clauses du TNP et dans la décision de poursuivre le désarmement et l’élargissement de la zone de non-prolifération.

Le moment est venu de mettre fin à ces asymétries. Le contexte s’y prête. Le président Obama qui vient d’être réélu, pourrait contribuer à une relance des canaux du dialogue et de la négociation sur le programme nucléaire de l’Iran.

L’AIEA, instance dûment mandatée en matière de vérification nucléaire et de promotion des utilisations pacifiques de l’atome, peut accompagner ce mouvement par l’impartialité et le professionnalisme qui lui sont connus.

En attendant, tous les pays de la région, dont l’Algérie, et en particulier, les puissances dépositaires de la résolution 1995 issue de la Conférence d’examen du TNP, doivent s’engager, de bonne foi, à enclencher un processus pour l’établissement d’une Zone exempte d’armes de destruction massive au Moyen-Orient.

QUESTION : Eu égard au développement de la situation au Mali où une intervention armée africaine se précise, quel rôle envisagez-vous pour l’Algérie, pays frontalier et déjà meurtri par l’islamisme radical ? Etes-vous prêts à accepter une aide de la France et des Etats-Unis d’Amérique, en vue de mettre fin aux actes de terrorisme commis par les groupes radicaux armés islamistes, d’autant que leurs dirigeants sont des Algériens qui ont déjà fait beaucoup de mal à leur pays ?

REPONSE : La crise malienne est multidimensionnelle. Elle recouvre des aspects politiques, sécuritaires, économiques et humanitaires qui ont déstabilisé l’Etat et le peuple du Mali. Il s’agit, maintenant, de préserver l’unité nationale et l’intégrité territoriale de ce pays frère et de poursuivre la lutte contre le terrorisme et le crime transnational organisé.

Pour y parvenir, l’Algérie a préconisé une solution politique négociée entre le Gouvernement malien, renforcé et uni autour d’un projet national consensuel, et les groupes de la rébellion malienne, qui acceptent de rester dans la communauté nationale et qui se démarquent, nettement, des activités terroristes et criminelles. S’agissant de la contribution de l’Algérie, il est clair qu’il n’y a jamais eu de déficit de solidarité avec le Mali.

Nous continuerons d’aider ce pays voisin à renforcer ses capacités propres, avec l’objectif immédiat de l’aider à être l’acteur premier de son propre destin. Cette aide comprend naturellement le volet humanitaire, mais, également, l’appui diplomatique ainsi que la contribution au renforcement des capacités des institutions maliennes, qui sont sollicitées, en premier lieu, dans l’édification d’un Mali uni et stable.

Pour ce qui est de la lutte contre le terrorisme, aujourd’hui considéré, à juste titre d’ailleurs, comme une menace globale qui n’a pas de nationalité, ni de région ou de religion d’appartenance, il est normal que le Mali bénéficie de l’appui de la communauté internationale pour son éradication.

L’Algérie, en ce qui la concerne, continue d’œuvrer dans la limite de ses moyens, à mobiliser les pays de la région et à fournir une aide appropriée, pour lutter contre ce fléau, assurer la stabilité régionale et se consacrer au développement et à l’amélioration des conditions de vie des populations.

QUESTION : Vous avez, Monsieur le Président, initié une série de réformes pour éviter que votre pays ne sombre dans les méandres des printemps arabes. Etes-vous satisfait des premiers résultats et estimez-vous que l’Algérie réussit mieux, armée ainsi, une plus grande démocratisation ? Quelles autres initiatives envisagez-vous pour convaincre les récalcitrants ?

REPONSE : Certains pays arabes ont connu et continuent de connaître des soulèvements populaires. L’Algérie témoigne à ces pays frères son amitié et sa solidarité et n’oublie pas qu’en plus de la liberté, les millions de jeunes et de femmes arabes revendiquaient aussi le respect et la dignité.

Nous croyons fermement que chaque nation doit façonner sa propre destinée en puisant dans son histoire, sa civilisation et dans la volonté de ses enfants.

En Algérie, l’ouverture politique a été lancée en 1989. Des avancées notables ont été enregistrées mais des dérives ont failli faire disparaître l’Etat républicain et ont entraîné le pays dans de longues années de destruction et de souffrances, sans pour autant remettre en cause la démocratie comme option unique de gouvernance du peuple algérien qui s’est dressé seul contre l’obscurantisme et le terrorisme.

Je remercie Dieu de m’avoir donné la force de conviction pour faire accepter par mes concitoyens le projet de réconciliation nationale qui a éteint le feu qui consumait la maison Algérie et nous a permis de nous consacrer à rebâtir les infrastructures de base et relancer l’économie du pays.

En 2011, j’ai estimé que la société algérienne avait atteint un niveau de développement et de maturité qui permettait le franchissement d’une nouvelle étape dans le fonctionnement des institutions de l’Etat, des partis politiques et des médias, à même d’amener notre dispositif législatif et réglementaire aux standards universels actuels.

Le débat national, conduit autour de ces sujets, a permis la promulgation de plusieurs lois de réformes dans les domaines de la parité des genres, de la liberté d’expression, de la société civile ainsi que des partis et de la moralisation de la vie politique.

Les résultats de cette démarche se concrétisent et ils sont pour moi autant de motifs de satisfaction. Je pense, notamment, à la progression spectaculaire du nombre de parlementaires femmes élues lors des dernières législatives, une tendance que confirme le double scrutin local du 29 novembre.

Je signale également la naissance et le lancement de nombreux nouveaux partis politiques, attestant de l’intérêt que portent les Algériennes et les Algériens à la vie politique sociale.

Ce processus de réformes est irréversible car il fait, la quasi-unanimité au sein de la classe politique et de la société civile. Il connaîtra son couronnement avec la révision de la Constitution dont l’objectif est de faire des constantes nationales, de la démocratie et de l’Etat de droit les bases du pacte national unissant les enfants de la nation Algérienne indépendante et souveraine.

QUESTION : Aujourd’hui quels souhaits avez-vous pour l’Algérie ? Un plus grande libéralisme dans les affaires ? Une plus grande ouverture à l’international ? Un meilleur développement industriel pour sortir de la dépendance des hydrocarbures ?

REPONSE : En Algérie, nous n’avons ni à priori, ni dogme concernant les modèles économiques ou le partenariat public/privé. Nous croyons aux vertus du pragmatisme et du bon sens et nous affirmons que l’économie de notre pays et sa législation garantissent les conditions du business gagnant pour tout opérateur.

Comme nous n’avons pas de complexe à aller chercher la compétence et l’expertise là où elles se trouvent pour la réalisation de notre programme de développement et nous comptons profiter de ces partenariats pour apprendre, développer l’outil national de production et améliorer nos capacités managériales.

Les revenus de l’exploitation des hydrocarbures ont été orientés vers la réalisation de projets structurants et de grandes infrastructures de bases, afin de nous permettre de rattraper le retard accumulé durant la décennie de terrorisme et de préparer justement l’économie nationale à la diversification et l’après-pétrole, en la dotant du maximum de garanties de réussite telles qu’un système de formation efficace et réactif, une indépendance énergétique sécurisée, des équipements publics performants et un système productif compétitif.

S’agissant des souhaits, je dirais que mon vœu est que les Algériennes et les Algériens travaillent et vivent bien dans la paix et la prospérité, ouvrant la voie à une société harmonieuse dans laquelle leurs enfants vivront mieux et pourront, avec confiance, regarder vers l’avenir.

http://www.aps.dz/Interview-du-president-Bouteflika.html
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Moulay Belhamissi , Belkacem Babaci ...ect  bon c'est loin d'être un scoop , c'est des historiens sérieux qui au moins ne prétendent pas descendre du

prophète comme certains ..... ;)  

Ce que je me disais bien : des historiens "officiels" du pouvoir algérien en quelque sorte, qui rapportent des versions qui leur sont propres (un peu comme les 1,5 millions de morts entre 1954 et 1962). Sinon, un conseil, évite les insinuations inutiles comme la dernière partie de ton commentaire, on n'a pas besoin de transposer vos gué-guerres des autres forums par ici.
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A quelques jours de la visite de François Hollande en Algérie, les 19 et 20 décembre, c'est un dossier bien embarrasant que les autorités algériennes éviteront d'aborder avec les Français. En effet, près de 30.000 citoyens et résidents algériens ont déjà demandé à la France leur "carte du combattant" qui ouvre droit à la "retraite du combattant". Pour cela, il faut qu'lls aient servi dans l'armée française et pris part à des opérations de guerre... en l'occurence d'Algérie ! Car la génération de la Seconde guerre mondiale, voire de l'Indochine a aujourd'hui presque disparue. Et les milliers d'Algériens qui demandent aujourd'hui leur retraite ont été du côté français, c'est-à-dire  contre le FLN...

Suite:

http://www.marianne.net/blogsecretdefense/Exclusif-des-milliers-d-Algeriens-demandent-a-la-France-leur-retraite-du-combattant-d-Algerie_a877.html

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Ce sont les harkis qui sont resté ici et aussi bizarre que celui puisse paraitre, beaucoup d'entre eux sont recensés en tant que moudjahid et combattant du FLN  :lol: Après ils auront la pensions de héros de la nation avec leur pension DZ et héros de l'autre nation avec leur pension FR  :lol:

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Pas du tout, presque pas la meme langue.

D'ouest vers l'est, il y a les dialectes irakiens, les dialectes du Golf (très très variés), le levantin (Liban, Syrie, Jordanie, Palestine), Egypto-Soudanais puis les dialectes maghrébin qui sont très variés.

L'arabe qui m'est le plus familier est le levantin, j'ai compris relativement facilement l'egyptiens par contre, c'est un vrai problème pour comprendre les maghrébins.

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Mais alors, l'arabe des Syriens par exemple, c'est encore différent de celui des Algériens ? Je ne savais pas qu'il y avait de telles différences.  :rolleyes:

L'arabe algérien (et marocain) est compé de 1/3 d'arabe, de 1/3 de berbère et de 1/3 de ...... FRANCAIS !  =)

Si si c'est vrai ! Quand on regarde les reportages à la télé, on entend sans cesse des mots français dans les phrases des algériens.

D'ailleurs quand il y a eu une star academy/nice people arabe organisé par une chaine libanaise , la candidate algérienne n'était pas la plus aimé des téléspectateurs libanais car elle n'arrètait pas d'utiliser des termes français quand elle s'exprimait en "arabe". :lol:

Tout ça juste pour te dire, que excepté le maghreb, tout les pays arabe parle à peu près la même langue. 

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Pas du tout, presque pas la meme langue.

D'ouest vers l'est, il y a les dialectes irakiens, les dialectes du Golf (très très variés), le levantin (Liban, Syrie, Jordanie, Palestine), Egypto-Soudanais puis les dialectes maghrébin qui sont très variés.

L'arabe qui m'est le plus familier est le levantin, j'ai compris relativement facilement l'egyptiens par contre, c'est un vrai problème pour comprendre les maghrébins.

En tant que arabophone, tu as fait un excellent résumé . =)

J'avais oublié que l'arabe dans le moyen orient avait aussi ses nombreuses spécificités.. :P

Et ben, je ne savais pas que les pays du golfe avait aussi leur propre dialecte. :rolleyes:

Quand à l'arabe égyptien et l'arabe soudanais, il y a aussi pas mal de différence.

Donc la personne qui souhaite apprendre l'arabe doit avoir une idée précise du pays auquel il compte s'exprimer...

Sinon au cours de mon expérience professionelle, j'ai déjà eu affaire à parler en anglais avec un egyptien au téléphone, je ne vous raconte pas la difficulté pour se comprendre ! :lol:

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En tant que arabophone, tu as fait un excellent résumé . =)

J'avais oublié que l'arabe dans le moyen orient avait aussi ses nombreuses spécificités.. :P

Et ben, je ne savais pas que les pays du golfe avait aussi leur propre dialecte. :rolleyes:

Quand à l'arabe égyptien et l'arabe soudanais, il y a aussi pas mal de différence.

Donc la personne qui souhaite apprendre l'arabe doit avoir une idée précise du pays auquel il compte s'exprimer...

Sinon au cours de mon expérience professionelle, j'ai déjà eu affaire à parler en anglais avec un egyptien au téléphone, je ne vous raconte pas la difficulté pour se comprendre ! :lol:

si tu veux apprendre l'arabe ,il y a qu'un seul arabe classic ,celui que tout les arabe comprend ,celui du coran , du JT des conférence de presse ou qu'on apprend a l’école ,mais après chaque pays un son dialecte que tu peux apprendre que si tu vit avec ce qui le parle, parce que il non pas de règle spécifique. . 

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si tu veux apprendre l'arabe ,il y a qu'un seul arabe classic ,celui que tout les arabe comprend ,celui du coran , du JT des conférence de presse ou qu'on apprend a l’école ,mais après chaque pays un son dialecte que tu peux apprendre que si tu vit avec ce qui le parle, parce que il non pas de règle spécifique. .  

Ha d'accord ...C'est bon à savoir .

Sinon, en tant que lorrain, j'avais oublié qu'il existait une autre langue qui est remplie de dialectes spécifiques : L'ALLEMAND !

Entre le dialecte allemand alsacien, le platt Lorrain, le luxembourgeois, le Zurichois, le Yiddish, la langue parlé des amish aux states, les allemands ont aussi de sacrés variantes. :|

Bon fin du HS .

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si tu veux apprendre l'arabe ,il y a qu'un seul arabe classic ,celui que tout les arabe comprend

Heu, désolé mais une grande partie ne comprennent pas l'arabe classique, que ce soit les non-instruits ou ceux ayant suivi des cursus dans d'autres langues (missions françaises, écoles/universités américaines...)

celui du coran,

... qui n'est pas le même que l'arabe classique moderne, du tout!

du JT, des conférence de presse ou qu'on apprend a l’école

Mouais, aujourd'hui de plus en plus de productions audiovisuelles se mettent aux koinès respectives de leur pays, puisqu'ils commencent à prendre en compte l'aspect marketing (concurrence entre chaines et radios vs. exclusivité des radios et TV nationales il y a de cela qqes années) qui est défavorisé par l'utilisation d'une langue qui échappe à la compréhension d'une bonne partie de la population. 

après chaque pays a son dialecte

Non, il ne faut pas confondre les koinès parlées à l'échelle nationale et les dialectes, qui sont multiples pour chaque pays.

parce que il non pas de règle spécifique.

... parce qu'on ne les a pas standardisés, les règles ne sont pas intrinsèques aux langues, elles découlent de procédures initiées par l'humain.

(HS!)

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... qui n'est pas le même que l'arabe classique moderne, du tout!

Ce qu'on appelle l'arabe classique moderne, autrement dit l'arabe académique, en dehors des différents dialectes, de ce que je sais, c'est une langue basée sur celle utilisée dans le Coran, sauf qu'il a incorporé de nouveaux termes au fil de l'histoire. Ce qui est normal. Au 7 ème siècle, les avions, ordinateurs, autoroutes, trains, radios etc.... n'existaient pas, donc ils étaient pas présents dans le vocable de l'époque. Donc quand ils sont apparus, ils fallait bien leur trouver une transcription en langue arabe dans sa version académique ;)

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Mehenni à Hollande : La France doit admettre la Kabylie dans la défense de ses intérêts

Image IPB

Dans une lettre qu’il lui a adressé à la veille de son déplacement en Algérie, le chanteur Ferhat Mhenni, président du Gouvernement Provisoire Kabyle (GPK, Anavad) a demandé au président français François Hollande d’ “associer la cause kabyle aux intérêts de la France” et de “distinguer la Kabylie de l’Algérie”.

Dans sa missive, Ferhat Mehenni a affirmé que “la Kabylie n’a jamais admis son annexion forcée dans l’ensemble algérien” et a tenté d’étayer son propos de façon approximative par un rappel de certains faits, comme la rébellion du FFS en 1963, le printemps amazigh de 1980 et même les événements d’octobre 1988, citant la grève générale en Kabylie pour laquelle “le chanteur Matoub Lounes avait reçu à l’abdomen une décharge de Kalachnikov de la part d’un gendarme algérien”.

Mais le plus abracadabrant dans ce rappel des faits, c’est quand Ferhat Mehenni lie l’arrêt du processus électoral en janvier 1992 à la Kabylie, affirmant que “l’arrêt du processus électoral par le pouvoir algérien serait dû uniquement, selon le général Nezzar, à la situation de dissidence nationale dans laquelle se retrouvait la Kabylie laïque”.

L’auteur de la lettre a sans surprise évoqué la présence de l’ANP dans la région, l’assimilant à une occupation. “Le déploiement militaire en Kabylie, décidé après la fronde de 2001-2003, a atteint des chiffres que la France n’avait pas engagés durant la guerre d’Algérie” a-t-il soutenu sans quantifier ces chiffres, accusant les militaires d’incendier volontairement les oliveraies et les forêts de la région.

Ferhat Mehenni abordera dans une seconde étape les raisons pour lesquelles François Hollande devrait faire en sorte que “la France admette la Kabylie dans la défense de ses intérêts”.

Le Français et le Kabyle “ont en commun des valeurs qu’ils veulent universelles comme la laïcité et la liberté”, estime encore Mehenni ajoutant qu’il “serait plus que jamais temps que la France admette la Kabylie dans la défense de ses intérêts. Elle aura un allié sans précédent dans son environnement sud-méditerranéen”.

“Défendre la francophonie en Kabylie sera, à coup sûr, profitable à la France. Son admission au sein de l’Organisation Internationale de la Francophonie est l’une des aspirations du peuple kabyle” a déclaré encore le président de l’Anavad, invitant Hollande à évoquer à Alger la question de la réouverture du consulat de France à Béjaïa et le Centre culturel français à Tizi Ouzou.

source :http://www.algerie1.com/actualite/mehenni-a-hollande-la-france-doit-admettre-la-kabylie-dans-la-defense-de-ses-interets/

Une des raison pour ne jamais toucher a la drogue :happy:

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Je n'y vois rien de bizarre, les Kabyles représentent presque la moitié des Français d'origine algérienne et sont les "plus anciennement présents", et il faudrait en tenir compte, pour le bien de la stabilité interne de la France!
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