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L'Algérie


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La clan Boutef est en train de gagner. L'Algérie rentre peu à peu dans la "normalité" internationale (ploutocratie sans envergure) ? 

 

http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/1891-la-chronique-de-benchicou-que-cachent-le-nouveau-gouvernement-et-la-defaite-du-general-toufik

 

"Le DRS s'est vu, coup sur coup, amputé de son service de presse, de la Direction centrale de la sécurité de l’armée (DCSA) de son célèbre service de police judiciaire qui avait conduit toutes les grandes enquêtes sur la corruption. Autrement dit, pour la première fois depuis l'indépendance, les services de renseignements sont marginalisés. Dieu est mort. Il s'appelait Toufik et il avait tous les attributs de la divinité. Reb Dzayer comme l'appelait Monsieur Malti, oui, un dieu, lui dont on n’a jamais vu le visage ni entendu la voix. Et c'était cela, la preuve qu'il existe, l’aphonie et l’invisibilité, privilège et prestiges des divinités. Il ne parle jamais ? Logique ! Dans la mythologie gréco-romaine les dieux pressentis par les poètes sont muets. Il n'y a pas de photos de lui ? Rien de plus normal. Reb Dzayer, comme les dieux en Égypte, ne se donne pas en spectacle aux paparazzis.

Le soin de figurer les images et les statues des dieux en Égypte n'était pas laissé aux artistes ordinaires. Cette prestigieuse besogne était dévolue aux prêtres qui en donnaient les dessins, et, comme chacun le sait, les prêtres chez nous ne se dévoilent pas, sous peine de prison, C'est pourquoi, chez nous, plus qu’ailleurs, Dieu se prêtait aux fantasmes, chacun pouvait imaginer Reb Dzayer comme bon lui semblait, et c’est tant mieux pour la mythomanie nationale.

Son déclin, on le pressentait depuis la nomination d'Amar Saadani à la tête du FLN, et dont on dit qu'il a été désigné dans une villa d’un de ces milliardaires nouvellement enrichis sous Bouteflika, à Sidi Yahia, sur les hauteurs de ce nouvel Alger clinquant et sans panache. Dieu saurait-il accepter qu’on outrage sa maison ? Parce qu’enfin, le FLN, c'est quand même la chapelle Sixtine de la politique algérienne : le candidat qui y est adoubé devient forcément premier magistrat du pays. Mais pour la Famille Bouteflika, l’avis de Dieu importait peu. C'est même pour ça qu'il a été choisi. Saadani saura exécuter les consignes de la Tentacule : porter la candidature de Bouteflika pour 2014. Et puis, ce qui ne gâche rien, il est l’ancien président du comité national de soutien au candidat Bouteflika."

Alors, que cache le nouveau gouvernement et la déconfiture du général Toufik ? Une nouvelle Algérie, sans doute. Une Algérie avec un peu moins de DRS. Ce n'est pas forcément une mauvaise nouvelle. Il fallait libérer l'initiative politique du joug des services de renseignements. Mais ne nous emballons pas : ce n'est pas une bonne nouvelle non plus. Loin de là.

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http://www.esprit.presse.fr/news/frontpage/news.php?code=274 (12 juillet 2013)

 

Entretien avec Jean-Pierre Peyroulou : Il a dirigé, en compagnie d’Abderrahmane Bouchène, de Ouanassa Siari Tengour et de Sylvie Thenault l’ouvrage Histoire de l’Algérie à la période coloniale (Paris, Editions La Découverte/Barzakh, 2012). 

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La clan Boutef est en train de gagner. L'Algérie rentre peu à peu dans la "normalité" internationale (ploutocratie sans envergure) ? 

 

http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/1891-la-chronique-de-benchicou-que-cachent-le-nouveau-gouvernement-et-la-defaite-du-general-toufik

 

"Le DRS s'est vu, coup sur coup, amputé de son service de presse, de la Direction centrale de la sécurité de l’armée (DCSA) de son célèbre service de police judiciaire qui avait conduit toutes les grandes enquêtes sur la corruption. Autrement dit, pour la première fois depuis l'indépendance, les services de renseignements sont marginalisés. Dieu est mort. Il s'appelait Toufik et il avait tous les attributs de la divinité. Reb Dzayer comme l'appelait Monsieur Malti, oui, un dieu, lui dont on n’a jamais vu le visage ni entendu la voix. Et c'était cela, la preuve qu'il existe, l’aphonie et l’invisibilité, privilège et prestiges des divinités. Il ne parle jamais ? Logique ! Dans la mythologie gréco-romaine les dieux pressentis par les poètes sont muets. Il n'y a pas de photos de lui ? Rien de plus normal. Reb Dzayer, comme les dieux en Égypte, ne se donne pas en spectacle aux paparazzis.

Le soin de figurer les images et les statues des dieux en Égypte n'était pas laissé aux artistes ordinaires. Cette prestigieuse besogne était dévolue aux prêtres qui en donnaient les dessins, et, comme chacun le sait, les prêtres chez nous ne se dévoilent pas, sous peine de prison, C'est pourquoi, chez nous, plus qu’ailleurs, Dieu se prêtait aux fantasmes, chacun pouvait imaginer Reb Dzayer comme bon lui semblait, et c’est tant mieux pour la mythomanie nationale.

Son déclin, on le pressentait depuis la nomination d'Amar Saadani à la tête du FLN, et dont on dit qu'il a été désigné dans une villa d’un de ces milliardaires nouvellement enrichis sous Bouteflika, à Sidi Yahia, sur les hauteurs de ce nouvel Alger clinquant et sans panache. Dieu saurait-il accepter qu’on outrage sa maison ? Parce qu’enfin, le FLN, c'est quand même la chapelle Sixtine de la politique algérienne : le candidat qui y est adoubé devient forcément premier magistrat du pays. Mais pour la Famille Bouteflika, l’avis de Dieu importait peu. C'est même pour ça qu'il a été choisi. Saadani saura exécuter les consignes de la Tentacule : porter la candidature de Bouteflika pour 2014. Et puis, ce qui ne gâche rien, il est l’ancien président du comité national de soutien au candidat Bouteflika."

Alors, que cache le nouveau gouvernement et la déconfiture du général Toufik ? Une nouvelle Algérie, sans doute. Une Algérie avec un peu moins de DRS. Ce n'est pas forcément une mauvaise nouvelle. Il fallait libérer l'initiative politique du joug des services de renseignements. Mais ne nous emballons pas : ce n'est pas une bonne nouvelle non plus. Loin de là.

 

Une analyse plus complète de la part d'El Watan

 

 

 

 

Bouteflika-Toufik

La guerre n’a pas (encore) eu lieu

Intox ou demi-vérités ? La guéguerre entre le clan présidentiel et le puissant DRS cacherait des manœuvres plus nuancées en vue de la présidentielle de 2014. Décryptage.

Faut-il sauver le soldat Toufik ? «Ceux qui le connaissent bien devinent qu’il continuera à jouer ses parties de foot à Beni Messous, tranquillement», lance un habitué de la «maison» DRS, le Département du renseignement et de la sécurité. Depuis le début de cette semaine, des informations distillées par des médias proches du clan présidentiel détaillent le «démantèlement» de l’appareil DRS, le rattachement de plusieurs de ses services à l’état-major sous l’égide du général de corps d’armée Ahmed Gaïd Salah, 80 ans, et «l’affaiblissement» notoire de la position du général Mohamed Lamine Mediène, 74 ans, alias Toufik, en poste depuis septembre 1990. «Parler de changements et de bouleversements reflète une profonde ignorance du fonctionnement et de l’organigramme de l’ANP, souligne un général-major à la retraite. Tout au plus, il ne s’agit que de mettre en écrit une situation déjà préexistante, avec effet d’annonce pour des objectifs politiques et tactiques.» Mais de quoi parle-t-on exactement et qu’est-ce qui a provoqué cette tempête politico-médiatique sonnant le glas du pouvoir de l’énigmatique Toufik ?

«Démantèlement»

Du transfert vers l’état-major de l’ANP du Centre de communication et de diffusion du DRS, le CDD, installé à la caserne Belaroussi, à Ben Aknoun, sur les hauteurs d’Alger. Il serait également question du transfert vers l’état-major de la Direction centrale de la sécurité de l’armée (DCSA), dirigée par le général Mhenna Djebbar et de la Direction de la police judiciaire du DRS, celle chargée entre autres des grandes enquêtes Sonatrach, autoroute Est-Ouest, Sonelgaz, etc. Rien que ça. «Tout d’abord, précise une source militaire, il faut rappeler que le DRS n’est qu’une arme de l’ANP, à l’instar de l’aviation, l’infanterie, la marine ou la gendarmerie. Cela veut dire que ce département, qui chapeaute plusieurs directions, est logiquement sous la coupe de l’état-major.» Autre précision : «La DCSA, chargée de la sécurité du personnel et des structures militaires et habilitée à faire des enquêtes internes à l’armée (sorte de police militaire), œuvre à l’intérieur même des casernes et des unités de l’ANP. Elle est donc rattachée organiquement à l’état-major, même si son personnel est issu du DRS», indique l’ancien officier supérieur.

Ceux qui ont fait l’armée se souviennent sûrement de ces officiers qui font trembler jusqu’aux hauts gradés avec leur brassard rouge ou orange, chargés de tout surveiller en interne : les agents de la DCSA. «Comment transférer à l’état-major une direction qui lui est déjà rattachée ?», s’interroge l’ancien général-major. Concernant le CCD, chargé de surveiller les médias, le transfert ne serait que partiel. Le service, dont la mission consiste à éplucher le contenu des médias nationaux et internationaux, resterait rattaché au DRS. Le service dont les agents élaborent les enquêtes d’habilitation sécuritaire des correspondants de médias étrangers en Algérie passeraient chez l’état-major. Dernier cas, celui de la très crainte Direction centrale de la police judiciaire du DRS, fer de lance des enquêtes Sonatrach. La nouvelle affectation ne concernerait que les officiers et auxiliaires de police judiciaire de la DCSA, et non pas cette direction dans sa globalité, ce qui a créé une certaine confusion (entretenue sciemment ?).

De là à imaginer, comme ironise un cadre du ministère de la Défense, que le DRS se transforme en «centre d’archivages», c’est aller un peu trop vite en besogne. «Même si aujourd’hui, ils ne sont plus habilités à enquêter sur les civils, concrètement, ça ne change rien, souligne un cadre des services. Car dans les faits, ils ne mènent plus ce genre d’investigations depuis les années 1990.» Un officier supérieur appuie : «Par ailleurs, les officiers de la police judiciaire du DRS, qui sont quelques-uns à avoir cette qualité, travaillent très normalement avec la justice, qu’elle soit militaire ou civile.» Alors ces grandes annonces de «démantèlement» du DRS par le clan présidentiel seraient-elles du bluff ? Un coup de poker menteur ? Une grosse manœuvre d’intimidation à quelques jours d’un remaniement du gouvernement ? «Pire que cela, note un ancien haut fonctionnaire, on fait croire que le Directeur du renseignement et de la sécurité est affaibli, contraint d’accepter le retour flamboyant d’un président qui jette déjà les bases d’un quatrième mandat. En fait, cela ne reflète qu’une entente entre les deux pôles en vue de la présidentielle de 2014». «Qui pourrait croire que le DRS fléchit devant le frère cadet du Président ?», renchérit un officier.

Entente

«Deux objectifs se dessinent derrière cette manœuvre : d’abord remettre le Président en selle (à moyen terme), mais surtout rassembler autour du DRS les quinquas de l’ANP et tous les cadres opposés à l’actuel chef d’état-major, afin de mieux peser plus tard pour désigner au moins le vice-président ou, au pire, barrer la route au quatrième mandat s’il y a urgence en la demeure», poursuit l’ancien haut fonctionnaire. «Le général Toufik partant ? C’est une hypothèse, mais entre-temps, il peut jouer le rôle d’un trou noir cosmique : si les plans du clan présidentiel le contrarient, lui et une partie de l’armée, il aura les moyens de faire le vide autour de l’option Bouteflika», affirme notre source, poursuivant : «Et cela a déjà commencé avec ce gouvernement ‘‘suicidaire’’, indécemment marqué par l’appartenance régionale, à tel point que l’on croirait que c’est l’APW de Tlemcen qui a été désignée et non le gouvernement de la République.» Ce qui, paradoxalement, affaiblit de plus en plus le Président et ses proches. S’il y a entente, pour le moment, et aussi fragile qu’elle le soit, elle sert, selon notre source, le clan présidentiel. «Regardez comment les services concoctent à Bouteflika cette histoire de médiation entre dirigeants tunisiens pour réapparaître moins comateux : car ce n’est ni le cabinet de la Présidence ni Saïd qui pourraient organiser une telle opération», souligne notre source.

Un plan Toufik ?

D’autres sources avancent des pistes différentes. On se souvient des coups de théâtre de 2004, quand Toufik a pu «se débarrasser de tous ses détracteurs au sein du commandement de l’armée en jouant une fausse neutralité dans le duel Bouteflika-Benflis». «Aujourd’hui, il peut être tenté d’adopter la posture de l’homme isolé afin de démasquer ses ennermis au sein de l’armée, mais aussi, tout près de lui, au DRS même», avance-t-on. «Il y a un consensus chez les décideurs : ne jamais perdre le pouvoir ni les ressources de la rente. C’est un principe, une doxa, analyse l’ancien haut cadre de la nation. Cette règle a été piétinée par le clan présidentiel qui a tenté de monter sa puissance financière contre la puissance du DRS et une partie de l’armée.»

Le gentleman agreement tacite entre les deux parties tiendra-t-il ? «Pour le moment, le DRS laissera faire, encouragera la politique du pire, favorisera le pourrissement de la situation pour aller jusqu’aux émeutes s’il le faut. La Banque d’Algérie, qui a peur de sa propre ombre, n’a-t-elle pas auguré d’une crise économique à l’horizon ? Des ‘‘experts’’ ne demandent-ils pas de revoir les prix de consommation à la hausse ? Il y a une ambiance de coup de chien en préparation, lâche-t-il. C’est la première fois depuis des années que je sens un tel manque de sérénité dans les hautes sphères. Alors que nous sommes dans une conjoncture régionale et mondiale très difficile, notre apparente stabilité n’est plus un atout. On va droit dans le mur

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Si Boutef veut vraiment assainir la situation il aurait bien fait de transferer les services de polices à la justice civile ,car pourquoi c'est le DRS qui enquete sur SONATRAH alors que ce sont ces officiers superieurs qui faisaient le beau temp et la pluie à l'interieur de cette boite comme gardiens du temple et ce depuis belle lurette !

 

Que maintenant les mecs du  DRS veulent se faire une virginité , en enquetent chez Sonatrach sur une corruption dont ils sont aussi responsable sinon les premiers resposnbles mais pas seulement ,ils sont coupables ,cela releve de la desinvolture et du mepris dont il temoigne envers ce pays  ! Chadli ,avant Boutef , gené par ce service l'avait aussi demantélé en marginalisant des cadres tres...tres competents à l'epoque !

 

Et pourtant le DRS avait reconstitué son pouvoir de nuissance et en absence de veritable democratie ,c'est ce cycle qui va dominer la scene algerienne ,les generaux par le biais de ce services vont devenir encore plus puissant non pour proteger le  pays mais pour designer les presidents et le cas echeant les deposer !!!!

Modifié par habiban
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Habiban, je n'y entends rien à ces histoires mais je suis étonné par ton analyse: le consensus "journalistique" tendait jusqu'à présent à mettre SONATRACH dans le clan Bouteflika. Le moins qu'on puisse dire c'est que la distribution du pouvoir réel entre exécutif, armée et DRS reste opaque. En l'état actuel des choses j'espère seulement que leur lutte ne dégénère pas en manipulations, déstabilisations etrangères, etc... Pour arriver aux standards élevés d'état de droit, démocratique et efficace, il faudrait une révolution culturelle profonde et au moins une génération pour accomplir cette transition.

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Au fait, qu'est devenu le candidat du kung-fu, Mohamed Beliali ? Il a une influence sur la scène politique ?

 

hé bien personne n'a plus eux de nouvelle de lui depuis 2012 , il doit étre certainement quelque part en asie entrain d'aprendre de nouvelle technique a exhibé lors des présidentiel de 2014 en algerie , donc patience =D

 

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Abdelaziz Rahabi : «Bouteflika va prolonger son mandat de deux ans»

Abdelaziz Rahabi, ancien ministre et ancien diplomate, a animé hier au forum du journal Liberté une conférence-débat sur la situation prévalant sur la scène politique après les dernière mesures édictées par le président Bouteflika. Pour Rahabi, le récent remaniement du gouvernement intervient dans le seul but de «consolider les pouvoirs du Président et de son clan». Il estime que Bouteflika fera l’impasse sur la présidentielle 2014 en remaniant la Constitution pour une prolongation de deux ans.

Il faut seulement relativiser un peu le discours de Mr.Rahaba qui a gardé une dent contre Boutef lorsqu'il etait Ministre et a été limogé en plein conseil des Ministres 

 

la suite :http://www.elwatan.com/actualite/abdelaziz-rahabi-bouteflika-va-prolonger-son-mandat-de-deux-ans-17-09-2013-228227_109.php

 

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Au fait est-ce qu'il y a du crime organisé en Algérie ? Des "mafias" en quelque sorte (autres que les islamistes).

 

J'ai trouvé celle-ci aussi comme réalisation de Dilem.

 

dilem1.jpg?w=812

 

 

Au fait est-ce qu'il y a du crime organisé en Algérie ? Des "mafias" en quelque sorte (autres que les islamistes).

 

J'ai trouvé celle-ci aussi comme réalisation de Dilem.

 

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Oui bien sur malheureusement, et le phénomène du crime organisé tant à augmenter depuis peu

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        Trouver dans un site français d'archives  de l'Algerie coloniale .Est-ce que ce genre de restaurant                  existait   en 1901 ou est-ce seulement l'humour d'un legionaire ?    

 

 

                 FRANOM16_8FI_088_V009N004.jpg

Modifié par habiban
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"J’ai félicité les autorités algériennes des progrès accomplis durant la dernière décennie. (...) Malgré un environnement extérieur difficile, la croissance devrait rester vigoureuse, entre 3 et 3,5% durant les deux prochaines années", a affirmé Mme Lagarde lors d’une conférence de presse à Alger.

On ne peut etre plus complaisant que Madame Lagarde !?. Car au moment ou des pays depourvus de richesse caracolent avec 7 à 10% de croissance ,les dirigeant algeriens sont  felicites pour un pathetique 3,5% (escomptes)qui est devenus entre temps 2,5% et même ce pourentage il est peu probable qu'il tienne jusqu'à fin 2013 au vu des nouvelles distillées par le gouverneur de la banque d'Algerie ??

 

http://www.aps.dz/Mme-Lagarde-satisfaite-des.html

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On ne peut etre plus complaisant que Madame Lagarde !?

 

En même temps il ne fallait rien attendre d'honnête ou de crédible de sa part. C'est Lagarde.

 

Au fait, est-ce que les militaires ont un impact réel sur la politique ? Est-ce que c'est eux qui "dirigent" Bouteflika ou est-ce qu'ils sont soumis au pouvoir du gouvernement ?

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