Philippe Top-Force Posté(e) le 4 mai 2013 Share Posté(e) le 4 mai 2013 http://www.franceinfo.fr/politique/livre-blanc-de-la-defense-24-000-reductions-de-postes-supplementaires-dans-969817-2013-04-29 Écoutez le Général 2 S, Vincent Desporte et MAM. Lire ce message ci. La cour des comptes sonne discrètement l'alarme contre la privatisation des industries de défense « On devrait fonder une chaire pour l’enseignement de la lecture entre les lignes. » Léon Bloy La Cour des comptes a récemment rendu public un rapport thématique intitulé « Les faiblesses de l’État actionnaire d’entreprises industrielles de défense ». C’est un rapport important, à décrypter d’urgence. Les devoirs de l’État en matière d’industrie de défense Dans son introduction, ce rapport précise les devoirs de l’État en matière d’industrie de défense : « La puissance publique doit concilier trois préoccupations : assurer l’indépendance de la France en matière d’équipements sensibles, notamment concernant la dissuasion nucléaire ; gérer au mieux le patrimoine de l’État actionnaire ; préserver l’activité et l’emploi dans les régions concernées. » Après avoir brossé les éléments du contexte actuel (baisse des budgets militaires et donc des commandes de l’État, montée en puissance des « BRICS » (Brésil-Russie-Inde-Chine), nécessité d’exportation dans un marché à concurrence accrue) la Cour des comptes revient sur l’histoire de l’industrie de défense française. Elle y met en exergue le rôle prépondérant de l’État ; quoi de plus normal pour un domaine par essence régalien et hautement stratégique ? Elle justifie a posteriori le regroupement de ces activités en grands conglomérats multinationaux à caractère dual, c’est-à-dire civil et militaire, ainsi que la privatisation partielle et sous conditions de certains domaines entrant dans l’industrie de défense. Elle rappelle l’organisation et la répartition des rôles entre l’agence des participations de l’État (APE) et de la direction générale de l’armement (DGA). La Cour des comptes souligne ensuite les enjeux en matière d’industrie de défense ainsi que les responsabilités de l’État : les activités relevant d’une souveraineté exclusive (dissuasion nucléaire, cryptologie gouvernementale et systèmes informatiques stratégiques liés à la connaissance/anticipation) ; celles relevant d’une souveraineté partagée (systèmes d’armes conventionnels évolués) ; celles pouvant faire l’objet « d’achats sur étagère » (activités duales). Elle n’oublie pas de préciser que l’État a la charge du maintien sur le sol national des emplois et des compétences nécessaires pour assurer, d’une façon générale, la pérennité de l’activité industrielle d’armement française. Laisser-aller des Français…, protectionnisme féroce des Américains Enfin, et c’est le plus important, la Cour des comptes évalue les dispositifs de protection permettant à l’État de conserver la main sur ce domaine stratégique. La conclusion de cette évaluation est sans ambiguïté : si des dispositifs existent bien (article L. 151-3 du code monétaire et financier par exemple), ils sont en fait assez inopérants, contrairement au dispositif américain dit « Exon-Florio » qui témoigne d’un protectionnisme exacerbé et qui bafoue sans vergogne les principes de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC). En clair, seul un niveau de participation actionnarial significatif de l’État dans les entreprises ayant une activité de défense permettrait de conserver un niveau adéquat de souveraineté : « C’est ce qui explique qu’une participation stable au contrôle du capital, à un niveau permettant d’exercer une vigilance sur la gouvernance et les principales orientations stratégiques, constitue pour l’État, en ce qui concerne les plus grands groupes industriels français de défense, un dispositif sans équivalent de protection de son industrie d’armement. » Suivent des descriptions détaillées et historiques de chaque secteur, de chaque entreprise. La privatisation totale des industries d’armement est incompatible avec la défense de notre souveraineté nationale Puis la Cour des comptes livre ses conclusions. Après avoir très diplomatiquement reconnu que l’État avait « accompagné la modernisation »…, « favorisé l’adaptation »…, « maintenu un haut niveau technologique »…, « dans un contexte mouvant »…, la haute juridiction dégage les grandes tendances de la politique menée. Elles sont accablantes : « l’État s’est mis en risque de perdre le contrôle de certaines activités industrielles nationales d’armement » ; « il s’est laissé diluer sans toujours obtenir en échange des contreparties équivalentes » ; « il n’est pas toujours parvenu à arbitrer entre des intérêts parfois contradictoires » ; « il est parfois incapable de faire appliquer ses décisions par les responsables des entreprises qu’il contrôle ». Et, de fait, ce qui ressort entre les lignes de ce rapport très complet, c’est un sentiment de laisser-aller et d’abandon progressif. Comme si, depuis deux décennies, la défense nationale n’apparaissait plus comme un domaine stratégique aux yeux de nos responsables politiques. Et comme si la logique des intérêts privés devait être systématiquement préféré à toute volonté de maîtriser ce domaine régalien. On commence par une petite privatisation partielle, puis on baisse la garde et tout s’effiloche. Conclusion : Un rapport alarmant à porter à la connaissance des Français Ce rapport vient à point. Au moment même où l’on attend le prochain « Livre blanc sur la défense » et où l’on appréhende que celle-ci subisse des coupes claires qui mettraient en péril l’industrie d’armement, au moment où l’on parle d’une privatisation partielle du groupe NEXTER (anciennement GIAT), il était bon de rappeler les responsabilités de l’État en matière de défense nationale et donc de souveraineté nationale. Il était bon d’analyser, avec le recul de ces dernières décennies, les pièges de la privatisation qui mènent à l’abandon. La Cour des comptes l’a fait et a rendu public son rapport. C’est désormais aux Français de réfléchir, du moins si les responsables politiques leur expliquent ce qui se cache entre les lignes de la plus haute juridiction française en matière de comptes publics. http://www.u-p-r.fr/actualite/france/cour-des-comptes-sonne-lalarme-priv... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
colonio Posté(e) le 4 mai 2013 Share Posté(e) le 4 mai 2013 ben le Lobby je sais pas ... m'enfin on a qu'une seul Brigade Troupe de Marine en tant que tel ... faut pas oublié que durant la guerre froide les Colo et Légion ,ainsi que les TAP devait assuré "l'expéditionnaire" avec ses unités professionnelle en Afrique et ailleurs tout en demeurant le parent pauvre par rapport à l'armée faisant face à l'Est . donc sa relativise quand même en terme de lobbying je dirais . juste une culture de l'expéditionnaire qui permet de défendre le beafteack je dirais . de fait vu qu'on veut de l'expéditionnaire et que le hasard a mis les TDM et Légion en mode brigade légère (à l'époque s'était encore loin le livre blanc 2012 ) et bien on ne va pas supprimé se type de Brigade je pense . C'est la faute aux colos.Et pourquoi pas aux alpins, aux brigades blindées...Pour info le livre blanc a été écrit par des représentants élus du peuple francais. Donc c'est la faute à personne .C'est le choix du peuple francais qui , en démocratie, a le droit et le pouvoir de faire ce que bon lui semble de Son armée.Après l'on peut ne pas etre daccord avec le choix de la majorité. Ben faut faire de la politique. Quel serait l'intéret deTDM de la légion ou d'autres de voir dissoudre tel ou tel brigade? Pour info il y a des unités colo dans les BM et les BB aussi. Je réponds sur le post de Gibbs pour appuyer ces propos . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 5 mai 2013 Share Posté(e) le 5 mai 2013 Pour info le livre blanc a été écrit par des représentants élus du peuple francais. Donc c'est la faute à personne .C'est le choix du peuple francais qui , en démocratie, a le droit et le pouvoir de faire ce que bon lui semble de Son armée.. Ce n'est pas le Président de la République Française élu l'an dernier en 2012 par un nombre de votants qui vient de rédiger le Livre Blanc, mais par Composition de la Commission Décret n° 2012-913 du 26 juillet 2012 portant création de la Commission chargée de l’élaboration du Livreblanc sur la Défense et la Sécurité nationale (Mis à jour le 10 avril 2013) Président • Monsieur Jean-Marie Guéhenno, conseiller maître à la Cour des comptesAu titre de la représentation nationale • Madame Patricia Adam, présidente de la Commission de la Défense nationale et des forces armées del’Assemblée nationale - Députée du Finistère • Monsieur Jean-Louis Carrère, président de la Commission des Affaires étrangères, de la Défense etdes Forces armées du Sénat - Sénateur des Landes • Monsieur Christophe Guilloteau, membre de la Commission de la Défense nationale et des Forcesarmées de l’Assemblée nationale - Député du Rhône • Monsieur Eduardo Rihan-Cypel, membre de la Commission de laDéfense nationale et des Forces ar-mées de l’Assemblée nationale - Député de Seine et Marne • Monsieur Daniel Reiner, vice-président de la Commission des Affaires étrangères, de la Défense et desForces armées du Sénat - Sénateur de Meurthe-et-Moselle • Monsieur Jacques Gautier, vice-président de la Commission des Affaires étrangères, de la Défense etdes Forces armées du Sénat - Sénateur des Hauts de Seine Au titre des administrations • Monsieur Francis Delon, secrétaire général de la Défense et de la Sécurité nationale• Préfet Ange Mancini, coordonnateur national du renseignement Ministère des Affaires étrangères • Monsieur Pierre Sellal, secrétaire général Président • Monsieur Jean-Marie Guéhenno, conseiller maître à la Cour des comptesAu titre de la représentation nationale • Madame Patricia Adam, présidente de la Commission de la Défense nationale et des forces armées del’Assemblée nationale - Députée du Finistère • Monsieur Jean-Louis Carrère, président de la Commission des Affaires étrangères, de la Défense etdes Forces armées du Sénat - Sénateur des Landes • Monsieur Christophe Guilloteau, membre de la Commission de la Défense nationale et des Forcesarmées de l’Assemblée nationale - Député du Rhône • Monsieur Eduardo Rihan-Cypel, membre de la Commission de laDéfense nationale et des Forces ar-mées de l’Assemblée nationale - Député de Seine et Marne • Monsieur Daniel Reiner, vice-président de la Commission des Affaires étrangères, de la Défense et desForces armées du Sénat - Sénateur de Meurthe-et-Moselle • Monsieur Jacques Gautier, vice-président de la Commission des Affaires étrangères, de la Défense etdes Forces armées du Sénat - Sénateur des Hauts de Seine Au titre des administrations • Monsieur Francis Delon, secrétaire général de la Défense et de la Sécurité nationale• Préfet Ange Mancini, coordonnateur national du renseignement Ministère des Affaires étrangères • Monsieur Pierre Sellal, secrétaire général• Monsieur Jacques Audibert, directeur général des Affaires politiques et de Sécurité• Monsieur Jean-Michel Casa, directeur de l’Union européenne• Monsieur Patrick Maisonnave, directeur des Affaires stratégiques, de Sécurité et du Désarmement• Monsieur Joseph Maïla, directeur de la Prospective (jusqu’au 31 décembre 2012), puis monsieur JustinVaïsse, directeur du Centre d’analyse, de prévisionet de stratégie (à compter du 1er mars 2013) Ministère de l’Économie et des finances • Monsieur Ramon Fernandez, directeur général du Trésor• Monsieur Julien Dubertret, directeur du Budget Ministère de l’Économie et des finances et ministère du Redressement productif • Monsieur jean-Dominique Comolli (jusqu’au 31 juillet 2012), puis monsieur David Azema, directeur de l’Agence des participations de l’État Ministère de l’Intérieur • Préfet Claude Baland, directeur général de la Police nationale• Général d’armée Jacques Mignaux, directeur général de la Gendarmerie nationale • Préfet Jean-Paul Kihl, directeur général de la Sécurité civile et de la gestion des crises• Monsieur Patrick Calvar, directeur central du Renseignement intérieur Ministère du Redressement productif • Monsieur Luc Rousseau (jusqu’au 5 décembre 2012), puis Monsieur Pascal Faure, directeur général de la Compétitivité, de l’Industrie et des Services Ministère de la Défense • Monsieur Jean-Claude Mallet, conseiller auprès du ministre de la Défense• Amiral Edouard Guillaud, chef d’État-major des armées • L’ingénieur général de l’armement de classe exceptionnelle Laurent Collet-Billon, délégué général pour l’Armement • Contrôleur général des armées Jean-Paul Bodin, secrétaire général pour l’Administration• Général d’armée Bertrand Ract-Madoux, chef d’État-major de l’armée de terre • Amiral Bernard Rogel, chef d’état-major de la marine• Général d’armée aérienne Jean-Paul Paloméros (jusqu’au 16 septembre 2012), puis général d’arméeaérienne Denis Mercier, chef d’État-major de l’armée de l’Air 59 • Général d’armée Pierre de Villiers, major général des Armées • Monsieur Érard Corbin de Mangoux, directeur général de la Sécurité extérieure• Monsieur Michel Miraillet, directeur chargé des Affaires stratégiques Ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche • Monsieur Roger Genet, directeur général pour la Recherche et l’innovation Ministère des Outre-mer • Préfet Vincent Bouvier (jusqu’au 18 février 2013), puis préfet Thomas Degos, délégué général à l’Outre-mer Au titre des personnalités qualifiées • Madame Claude-France Arnould, directrice exécutive de l’Agence européenne de défense• Monsieur Jean-François Bayart, directeur de recherches au Centre national de la recherche scientifique • Monsieur Bernard Bigot, administrateur général du Commissariat à l’énergie atomique et aux énergiesalternatives • Monsieur Jean-Pierre Filiu, professeur des universités, professeur associé à l’Institut d’études poli-tiques de Paris • Monsieur Louis Gautier, conseiller maître à la Cour des comptes • Madame Nicole Gnésotto, professeur titulaire de la chaire sur l’Union européenne au Conservatoirenational des arts et métiers • Monsieur François Heisbourg, conseiller spécial du président de la Fondation pour la recherche stra-tégique • Docteur Wolfgang Ischinger, président de la Conférence de Munich pour les politiques de sécurité• Monsieur Philippe Lamy, inspecteur général de la ville de Paris• Madame Sophie-Caroline de Margerie, conseillère d’État• Monsieur Peter Ricketts, ambassadeur du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord enFrance • Monsieur Bruno Tertrais, maître de recherche à la Fondation pour la recherche stratégique Les équipes de la commission du Livre blanc • Président : monsieur Jean-Marie Guehenno, conseiller maître à la Cour des comptes • Rapporteur général : monsieur Jacques Tournier, conseiller maître à la Cour des comptes• Secrétaire général : vice-amiral (2S) Michel Benedittini• Conseillers militaires : colonel Nicolas Le Nen et colonel Randal Zbienen• Rapporteurs adjoints : madame Anissia Morel et monsieur Christophe Strassel Les groupes de travail GT1 : Le contexte stratégiquePrésident : monsieur Bruno TertraisRapporteurs : messieurs Nicolas Regaud et Jean MessihaGT2 : Cadre d’action et objectifs politiquesCo-présidents : madame Nicole Gnesotto et monsieur Louis GautierRapporteur : monsieur Pierre MichelGT3 : Sécurité nationale, sécurité de la NationPrésident : monsieur Denis PrieurVice-président : préfet Yann JounotRapporteurs : madame Philippine Bentegeat et monsieur Bachir BakhtiGT4 : RenseignementPrésident : monsieur Jean-Marie GuehennoVice-président : préfet Ange ManciniRapporteur : monsieur Arnaud de PellegarsGT5 : Stratégie d’engagement et cohérence des systèmes de forcePrésident : monsieur Jean-Marie GuehennoRapporteurs : colonel Marc de Fritsch, capitaine de vaisseau François-Xavier Blin et colonel FrédéricParisotGT6 : Technologies et industrie : l’économie de la défense 60Président : monsieur Jean-Marie GuehennoVice-président : monsieur Pascal ColombaniRapporteur : ingénieur en chef de l’armement Thérèse VivierGT7 : Les hommes et les femmes de la Défense et de la Sécurité nationaleCo-présidents : amiral (2S) Pierrick Blairon et préfet Hubert DeracheRapporteurs : colonel Christophe Combi et monsieur Jérôme Baudesson Personnalités auditionnées par la commission • Docteur Wolfgang Ischinger, président de la Conférence de Munich pour les politiques de sécurité• Monsieur l’ambassadeur Ivo Daalder, ambassadeur des États-Unis d’Amérique auprès de l’OTAN• Sir Peter Ricketts, ambassadeur du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord en France • Monsieur Camille Grand, président de la Fondation pour la recherche stratégique • Général de corps d’armée Didier Castres, sous-chef d’État-major « opérations » de l’État-major desarmées • Monsieur Arnaud DANJEAN, député européen, président de la sous-commission « sécurité et défense »du parlement européen • Général d’armée Henri Bentegeat, ancien chef d’état-major des armées et ancien président du Comitémilitaire de l’Union européenne • Monsieur Pierre Vimont, secrétaire général exécutif du Service européen pour l’action extérieure• Monsieur Christian Kert, député, membre de la commission des Affaires culturelles et de l’Éducationnationale, président du Comité pour la prévention des risques naturels majeurs • Monsieur Laurent Prevost, préfet de région, préfet de la zone de défense et de sécurité Antilles, préfetde la Martinique, délégué du gouvernement pour l’action de l’État en mer aux Antilles • Monsieur Pierre Louette, directeur général adjoint et secrétaire général du groupe France Télécom-Orange • Monsieur Pascal Lamy, directeur général de l’Organisation mondiale du commerce• Monsieur Jianmin Wu, membre du groupe consultatif pour la politique étrangère du ministère des Affaires Étrangères de la République populaire de Chine • Général Julio De Amo Junior, conseiller du ministre de la Défense pour la planification et coordonna-teur du Livre blanc de la République du Brésil • Monsieur Chiang Chie Foo, secrétaire général du ministère de la Défense de la République de Singapour• Monsieur Alejandro Enrique Alvargonzalez San Martin, secrétaire général de la politique de défense du Royaume d’Espagne • Monsieur Franco Frattini, ancien commissaire européen, ancien ministre des Affaires étrangères de la République italienne • Monsieur Tomasz Orlowski, ambassadeur de Pologne à Paris• Monsieur Hubert Vedrine, ancien ministre des Affaires étrangères• Vice-amiral Alan Richards, représentant le chef d’ État-major des armées du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord • Général de division Norbert Finster, représentant le chef d’État-major des armées de la Républiquefédérale allemande • Monsieur François Roussely, président du Crédit Suisse First Boston (CSFB) pour la France et vice-pré -sident pour l’Europe, ancien Secrétaire général pour l’administration du ministère de la Défense, anciendirecteur de cabinet du ministre de la Défense • Monsieur Louis Gallois, commissaire général à l’Investissement Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Asgard Posté(e) le 5 mai 2013 Share Posté(e) le 5 mai 2013 Baisse du nombres de coques dans la marine et d'avions dans l'AdA mis à part, (au passage, un nombre arreté à 225 chasseurs est à peu près ce que l'on disait tous ici dans les livre blanc fictif et autres sujets de format armée) Le volant armée de terre du livre blanc ne correspond-t-il pas à ce que l'on "souhaitait" ici ? (voir sujet http://www.air-defense.net/forum/index.php/topic,19161.90.html et notamment la proposition de Fox) Bon, on est d'accord, dans toute nos réflexions, une diminution du personnel et équipement AdT s'accompagnait d'une augmentation de coques (2PA, 16Fregates, OPV multirole en nombres suffisants,...) et de transporteurs (~120 toute catégorie confondu) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
colonio Posté(e) le 5 mai 2013 Share Posté(e) le 5 mai 2013 Ce n'est pas le Président de la République Française élu l'an dernier en 2012 par un nombre de votants qui vient de rédiger le Livre Blancdes représentants élus du peuple Français:Madame Patricia Adam, présidente de la Commission de la Défense nationale et des forces armées del’Assemblée nationale - Députée du Finistère•Monsieur Jean-Louis Carrère, président de la Commission des Affaires étrangères, de la Défense etdes Forces armées du Sénat - Sénateur des Landes•Monsieur Christophe Guilloteau, membre de la Commission de la Défense nationale et des Forcesarmées de l’Assemblée nationale - Député du Rhône•Monsieur Eduardo Rihan-Cypel, membre de la Commission de laDéfense nationale et des Forces ar-mées de l’Assemblée nationale - Député de Seine et Marne•Monsieur Daniel Reiner, vice-président de la Commission des Affaires étrangères, de la Défense et desForces armées du Sénat - Sénateur de Meurthe-et-Moselle•Monsieur Jacques Gautier, vice-président de la Commission des Affaires étrangères, de la Défense etdes Forces armées du Sénat - Sénateur des Hauts de Seine Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
prof.566 Posté(e) le 7 mai 2013 Share Posté(e) le 7 mai 2013 Missile antinavire léger : c'est parti.http://www.defensenews.com/article/20130506/DEFREG01/305060010?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jojo67 Posté(e) le 7 mai 2013 Share Posté(e) le 7 mai 2013 Ce n'est pas le Président de la République Française élu l'an dernier en 2012 par un nombre de votants qui vient de rédiger le Livre Blanc des représentants élus du peuple Français: Madame Patricia Adam, présidente de la Commission de la Défense nationale et des forces armées del’Assemblée nationale - Députée du Finistère • Monsieur Jean-Louis Carrère, président de la Commission des Affaires étrangères, de la Défense etdes Forces armées du Sénat - Sénateur des Landes • Monsieur Christophe Guilloteau, membre de la Commission de la Défense nationale et des Forcesarmées de l’Assemblée nationale - Député du Rhône • Monsieur Eduardo Rihan-Cypel, membre de la Commission de laDéfense nationale et des Forces ar-mées de l’Assemblée nationale - Député de Seine et Marne • Monsieur Daniel Reiner, vice-président de la Commission des Affaires étrangères, de la Défense et desForces armées du Sénat - Sénateur de Meurthe-et-Moselle • Monsieur Jacques Gautier, vice-président de la Commission des Affaires étrangères, de la Défense etdes Forces armées du Sénat - Sénateur des Hauts de Seine Et ils y connaissent quelque chose, à la stratégie et à la Défense, ces gens-là? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
prof.566 Posté(e) le 7 mai 2013 Share Posté(e) le 7 mai 2013 Représentants élus certes, mais nommés à la commission. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Julien Posté(e) le 7 mai 2013 Share Posté(e) le 7 mai 2013 Missile antinavire léger : c'est parti. http://www.defensenews.com/article/20130506/DEFREG01/305060010?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter Bon exemple de programme qui n'était pas une priorité pour la marine mais qu'il va maintenant falloir financer aux dépens d'autres programmes peut-être plus importants. Espérons au moins que ce programme rencontre le succès à l'export. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Deres Posté(e) le 7 mai 2013 Share Posté(e) le 7 mai 2013 Bon exemple de programme qui n'était pas une priorité pour la marine mais qu'il va maintenant falloir financer aux dépens d'autres programmes peut-être plus importants. Espérons au moins que ce programme rencontre le succès à l'export. Pour commencer, je note que l'on ne s'engage que sur le financement du développement et de l'industrialisation (500 M€) et pas sur l'intégration aux hélicoptères français (150 m€ en plus). Je ne parle même pas de l’achat des missiles qui n'est même pas chiffré. Il est donc assez évident que cela va finir comme le MILAS. On va juste payer le développement et jamais acquérir la capacité. Bref, de l'argent jeté par la fenêtre pour ménager la chèvre et le chou à court terme au grand bonheur des politiciens. CQFD. On est dans la continuité du livre blanc où aucune décision difficile n'a été prise, juste des coups de rabots de tous les côtés là ou cela ne fait pas trop mal. Comme on s'était engagé avec les anglais, on fera juste ce pour quoi on s'était engagé, même si cela ne sert à rien si on n'achète pas de missiles derrière ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
colonio Posté(e) le 7 mai 2013 Share Posté(e) le 7 mai 2013 Et ils y connaissent quelque chose, à la stratégie et à la Défense, ces gens-là? C'est bien pour cela qu'il y a toute une liste d'experts pour les aider. Représentants élus certes, mais nommés à la commission. Cependant ils donnent bien une légitimité démocratique à la commission, comme les experts (nommés pour la plupart par des élus) apporte une légitimité technique. Après pour vous faire part du fond de ma pensée, je pense que ce livre blanc est tout à fait légitime et en concordance avec les priorités actuelles des français. Et que pleurnicher ne sert à rien, vu que quel que soit le bord les derniers gouvernements ont bien taillé dans la défense. Donc dire que le gouvernement actuel est le fossoyeur de la défense c'est faux, le précédent l'a été encore plus. On ferait mieux de penser cohérence et efficacité des forces restantes. Car dieu sais pourquoi l'armée ne propose jamais de réforme structurelle en interne et pleure quand on les lui impose. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 7 mai 2013 Share Posté(e) le 7 mai 2013 Selon la Cour des comptes, le coût annuel de la Garde Républicaine s'élève à 280 millions d'euros. La "Garde", l'un des symboles de la République, protège les "palais nationaux" (69% de son activité) et assure des "services d'honneur", comme les escortes du Président de la République lors des cérémonies. Elle compte deux régiments d'infanterie, un régiment de cavalerie - dernière unité montée de l'armée française - un orchestre et le choeur de l'Armée française, soit 2.859 hommes et femmes, militaires et civils. La Cour des comptes estime qu'une "réduction" des moyens "serait possible" car les "missions de la Garde répondent davantage à des objectifs de prestige qu'à des besoins de sécurité". Pour la haute juridiction, "les gardes républicains statiques ne seraient pas en mesure à eux seuls de faire face à des tentatives d'intrusion organisées". Cette "réduction" des moyens, dit la Cour des comptes, nécessiterait une révision des "services d'honneur" et des moyens pour assurer la sécurité de l'Assemblée et du Sénat à "moindre coût", en prenant en compte l'ensemble des forces de sécurité (dont la police, NDLR) présentes à proximité ou les possibilités de la vidéosurveillance. http://fr.news.yahoo.com/garde-républicaine-collimateur-cour-comptes-130243732.html Ben voyons... remplacer la garde républicaine par de la vidéosurveillance... très classe ! =( Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Asgard Posté(e) le 7 mai 2013 Share Posté(e) le 7 mai 2013 Personnellement, je préfère 2800 soldats engagés sur le théâtre que 2800 "poteaux à cheval" et respecte plus les "flics" de tout les jours que la garde. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Oxit Posté(e) le 7 mai 2013 Share Posté(e) le 7 mai 2013 http://fr.news.yahoo.com/garde-républicaine-collimateur-cour-comptes-130243732.html Ben voyons... remplacer la garde républicaine par de la vidéosurveillance... très classe ! =( D'apres ce que je comprend ce n'est pas les fonctions dites de prestige qui seront impactés mais celles de surveillances... Donc ce n'est pas le critere de "classe" qui est en prendre en compte mais celui d'efficacité... Si je voulais caricaturer juste un peu =) je dirais qu'un garde en tenue 19eme armée de sabre ne ferait au mieux que mourrir de rire un terro qui cherche à s'introduire dans un batiment public Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chronos Posté(e) le 7 mai 2013 Share Posté(e) le 7 mai 2013 Le garde en coupe chou est tout seul ? Ya pas un type derrière dans une autre pièces avec une tenue plus adaptée ? C'est plutôt le prestige qui devrait changer de forme et s’accommoder à la fonction surveillance par des tenues plus fonctionnelles ou même intégrer un fusil d'assaut. ça serait plus cohérent que de réduire la capacité de surveillance par des caméras qui par essence ne vont que surveiller un accès et ne peuvent l'interdire. Plus que la surveillance se sont probablement les cavaliers qui devraient être remis en cause... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
French Kiss Posté(e) le 8 mai 2013 Share Posté(e) le 8 mai 2013 Bien sur, et la cour des comptes n'a pas de plus gros poissons dont elle devrait s'occuper? le fonctionnement du mille-feuille administratif du territoire par exemple, sur lequel il y aurait des milliards d'economie a realiser, ou bien d'autres ministeres dont les aspirations a claquer du fric a des fins electorales sont recurrentes (la sante, l'education nationale et j'en passe)...Il vaut mieux aller chercher des poux dans la tete de ceux qui ne mouffeteront pas, lamentable!! >:(Il faut arreter avec les images d'Epinal, les gardes n'ont pas que des sabres, et ils ne sont pas la que pour le lustre, je crois savoir qu'il y a un paquet de gens tres qualifies et competents qui y sont integres, il s'agit quand meme de proteger le coeur de la republique et de ses instances decisionnelles:2/ Armement et munitions :La Garde républicaine est dotée de 2 978 pistolets automatiques SIG PRO 2022.Ses 7 pelotons d'intervention (PI) sont aujourd'hui dotés :- du fusil à pompe Browning BPS 152 ;- de pistolets mitrailleurs HK MP5 A5F ;- de jumelles de vision nocturne de tête « Lucie » ;- de 64 fusils de précision de calibre 7,62 mm de marque TIKKA ;- de lots de matériels de protection, de surveillance et d'effraction ;- de 31 pistolets à impulsions électriques.-de 629 sabres d'adjudant d'infanterie, 780 sabres de cavalerie, 119 sabres officier et 74 épées sous-officier. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jojo67 Posté(e) le 8 mai 2013 Share Posté(e) le 8 mai 2013 La Garde Républicaine ce sont des gendarmes, et donc c'est le budget du Ministère de l'Intérieur non? Ceci dit en arriver à chipoter là dessus alors qu'il y a des gisements d'économies gigantesques ailleurs (Sécu, folle course au tout médicament, retraites, niches fiscales, collectivités locales etc.) ça en dit long sur le manque de courage politique du pouvoir. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
French Kiss Posté(e) le 8 mai 2013 Share Posté(e) le 8 mai 2013 ...ça en dit long sur le manque de courage politique du pouvoir. Malheureusement ca fait longtemps que cela dure, on peut remonter jusqu'a VGE, mais la , le gouvernement actuel a toutes les manettes en mains, l'assemblee nationale, le senat, un haut fonctionneriat globalement acquis a sa cause, la majorite des conseils generaux/regionaux/communaux, et... rien ou si peu en dehors du tres mediatique debat sur le mariage pour tous, qui comme chacun le sait est d'un interet vital pour la Nation et celui de mon nain de jardin. Enfin il y a peut-etre une petite lueur d'espoir, notre PR ayant enfin decide qu'une annee de gaudriole pour prendre la mesure de la situation et des gens a son service etait assez, il souhaite donc que la deuxieme annee produise des resultats, et il va y avoir du sport... a la bonne heure! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jojo67 Posté(e) le 8 mai 2013 Share Posté(e) le 8 mai 2013 Malheureusement ca fait longtemps que cela dure, on peut remonter jusqu'a VGE, mais la , le gouvernement actuel a toutes les manettes en mains, l'assemblee nationale, le senat, un haut fonctionneriat globalement acquis a sa cause, la majorite des conseils generaux/regionaux/communaux, et... rien ou si peu en dehors du tres mediatique debat sur le mariage pour tous, qui comme chacun le sait est d'un interet vital pour la Nation et celui de mon nain de jardin. Enfin il y a peut-etre une petite lueur d'espoir, notre PR ayant enfin decide qu'une annee de gaudriole pour prendre la mesure de la situation et des gens a son service etait assez, il souhaite donc que la deuxieme annee produise des resultats, et il va y avoir du sport... a la bonne heure! Pour VGE tu es injuste, car ce fut l'un des rares à augmenter le budget de la Défense. ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
colonio Posté(e) le 8 mai 2013 Share Posté(e) le 8 mai 2013 Ce fil ne dériverait il pas à la tribune politique? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akhilleus Posté(e) le 8 mai 2013 Share Posté(e) le 8 mai 2013 <si et c'est pas le but....> Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
French Kiss Posté(e) le 8 mai 2013 Share Posté(e) le 8 mai 2013 Certes, post a vie (tres) courte donc, si HSACP (Hors Sujet A Contenu Politique) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jojo67 Posté(e) le 14 mai 2013 Share Posté(e) le 14 mai 2013 Jean-Yves Le Drian confirme, ce matin dans Ouest-France, la construction de 11 frégates multimissions (et non pas huit comme l'avait dit Patricia Adam dans Ouest-France la semaine dernière) et de six sous-marins Barracuda. Il annonce aussi des renforcements en moyens et en personnels à Lorient et Bruz (Ille-et-Vilaine). Avec l’annonce, lors de la présentation du Livre blanc sur la Défense et la sécurité, de la suppression de 24 000 postes entre 2014 et 2015, l’inquiétude n’a pas manqué de grandir aussi bien dans les armées que chez les fournisseurs et prestataires de services du ministère de la Défense. L’Ouest et plus particulièrement la Bretagne devraient être épargnés par les coupes claires anticipées. C’est en tout cas l’assurance donnée par le ministre de la Défense : « Globalement, l’ensemble militaire et industriel breton sera conforté par le Livre blanc ». François Hollande, déjà pendant sa campagne électorale, a assuré du maintien de la dissuasion nucléaire, considérée comme prioritaire. Ses deux composantes, maritime et aérienne, « garante de notre indépendance et de notre autonomie stratégique, seront donc conservées, précise Jean-Yves Le Drian. Ça implique le renouvellement des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins de Brest et de leurs bâtiments d’accompagnement ». Cette même volonté s’exprime dans « la préservation de la capacité de projection de puissance aéronavale », à travers le groupe aéronaval du Charles-de-Gaulle dont des rumeurs annonçaient la disparition. En revanche, le ministre a confirmé le nouveau renforcement des moyens de la DGA à Bruz (Ille-et-Vilaine) où « le nombre de personnels affectés à la recherche dans le domaine de cyberdéfense passera de 150 à 350, soit l’arrivée de 200 personnels hautement qualifiés qui vont renforcer ce site appelé à devenir le creuset d’une filière prioritaire ». Autre renforcement, celui des forces spéciales. La Force des fusiliers-marins et commandos de Lorient verra ses capacités technologiques, ses effectifs et son commandement renforcés. Enfin, « en termes industriels, les principaux bassins bretons seront confortés malgré les conditions économiques difficiles », assure le ministre de la Défense. Ce qui signifie que 11 frégates multimissions (Fremm) et 6 sous-marins nucléaires d’attaque de type Barracuda seront construits. « Ce qui n’est pas encore tranché, c’est le cadencement mais il sera calibré pour qu’il n’y ait aucune rupture de la chaîne de production et aucune rupture de capacités des bureaux d’étude ». Enfin une bonne nouvelle et la confirmation que la Marine bénéficie d'une vraie priorité et non pas d'une vraie-fausse. =) http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 14 mai 2013 Share Posté(e) le 14 mai 2013 Construites pour qui? Il y a bien marqué dans le livre blanc 8 FREMM acquises par la France. Le Maroc en a acheté une. Les deux dernieres, de quel type? iront ou? et sous quelle forme? Cela me semble un peu mystérieux comme annonce ... la piste grecque? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jojo67 Posté(e) le 14 mai 2013 Share Posté(e) le 14 mai 2013 Construites pour qui? Il y a bien marqué dans le livre blanc 8 FREMM acquises par la France. Le Maroc en a acheté une. Les deux dernieres, de quel type? iront ou? et sous quelle forme? Cela me semble un peu mystérieux comme annonce ... la piste grecque? Ah parce que les 11 ne sont pas pour nous? :O Quel naïf je fais, quand même... =| Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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