Serge Posté(e) le 27 décembre 2013 Share Posté(e) le 27 décembre 2013 Mais ils auront des héritiers, la dette disparaitra pas avec eux... A moins que l'état japonais invente une taxe sur la succession visant spécifiquement ce type d'avoir ;) Le Japon a un des taux les plus élevés d'imposition sur les successions. Une fortune familiale qui ne fait que se stabiliser disparaît en seulement 3 générations. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 27 décembre 2013 Share Posté(e) le 27 décembre 2013 Les comportements financiers et placement changeront. Les créanciers coûtent car ils ont besoin de soins de santé (importants) et parce que leur âge fait qu'ils retirent de l'argent plutôt qu'en épargner. Certes il faudra toujours rémunérer des obligations mais moins, et le retour vers la consommation sera plus important. Une autre question à se poser sera l'impact du coût de la vie avec la disparition de personnes âgées. Quid de la pression immobilière ? Peut-on s'attendre à une chute des prix menant à une meilleure capacité de logement et donc de se reproduire (ça compte aussi dans les calculs). Je ne comprends pas du tout comment tu peux faire le lien entre le coût de la santé et le taux d'intérêt d'une créance. Il n'y a aucun, ce sont deux domaines différents quand bien même le vieillissement de la population impose une capitalisation aux ménages ce qui est naturel et le plus efficace. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 27 décembre 2013 Share Posté(e) le 27 décembre 2013 L'erreur involontaire du Japon, c'est d'être "bon élève" et d'aller plus vite que les autres pays en matière économique. Ils ont atteint une certaine limite physique de population (cf indépendance alimentaire, poids pollution/hab par rapport au reste de la planète), ont voulu croire que c'était possible de combler par un volontarisme monétaire, tout en n'empêchant pas la bulle humaine de se dégonfler irrémédiablement. Aujourd'hui, la machine nippone est une machine en surchauffe qui stagne et qui survit, notamment en distillant ses actifs financiers un peu partout dans le monde. En quoi un pays endetté à 250% est un bon élevé économique ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rémy Posté(e) le 27 décembre 2013 Share Posté(e) le 27 décembre 2013 (modifié) En quoi un pays endetté à 250% est un bon élevé économique ? Bon élève économique car : - est devenu la seconde puissance économique en moins d'un demi-siècle alors que le pays était exsangue au lendemain de la seconde guerre mondiale. - est une machine exportatrice extrêmement puissante, malgré le coût du salarié japonais et qui a su monter en gamme. - dispose d'une capacité technologique un peu tous azimuts significative quand bien même les dépenses militaires (et la R&D habituellement liée) ont été encadrées et limitées. - énormément endetté mais une dette quasi uniquement nationale donc à relativiser (sauf à l'avenir pour les raisons évoquées plus haut). Les japonais sont un peu des "robots". Tout comme on les a forcés à s'ouvrir à l'ère Meiji puis à œuvrer économiquement comme les USA en sortant de la WW2, ils vont trop vite par la suite. Comme si le logiciel dans le caisson était rayé, ils s'acharnent à coups de trilliards de yens pour sortir du coup d'arrêt des 90's, en vain. Leurs problèmes sociaux et immobiliers ont 15 ans d'avance sur les nôtres et sont souvent étudiées à des fins prévisionnelles pour les nôtres, idem pour l'impasse de la dette. Modifié le 27 décembre 2013 par Rémy Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 28 décembre 2013 Share Posté(e) le 28 décembre 2013 Tous les arguments sur le Japon sont déjà dépassés. Le fait de dire qu'ils sont en avance est assez étrange. Ils sont en avance sur le désastre ? Si nous les étudions, alors nous voyons ce qu'en terme de gouvernance il ne faut pas faire. De plus, insister sur le dette qui n'est pas un problème mais qui en sera un est assez étrange. S'il en sera un, c'est que c'est déjà un problème. D'autant qu'un crack obligataire ruinerait l'épargne japonaise, épargne qui leur est vitale puisqu'ils capitalisent pour leur retraite. La seul gouvernance viable est l'équilibre budgétaire. Hors équilibre, point de salut. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rémy Posté(e) le 28 décembre 2013 Share Posté(e) le 28 décembre 2013 Ils sont en avance sur le désastre ? Tout à fait. Si nous les étudions, alors nous voyons ce qu'en terme de gouvernance il ne faut pas faire. Tout à fait. De plus, insister sur le dette qui n'est pas un problème mais qui en sera un est assez étrange. C'est paradoxal mais c'est l'acharnement thérapeutique qui les a maintenu au deuxieme rang mondial. D'autant qu'un crack obligataire ruinerait l'épargne japonaise, épargne qui leur est vitale puisqu'ils capitalisent pour leur retraite. Si crack obligataire il y a, la retraite sera le moindre de leurs soucis. Derrière, cela couvera la chute massive du dollar et le chomage massif. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 28 décembre 2013 Share Posté(e) le 28 décembre 2013 La seul gouvernance viable est l'équilibre budgétaire. Hors équilibre, point de salut. Mais pour un pays qui n'a pas de ressources naturelles (gaz, pétrole...), un système bancaire bien spécifique (Suisse, Liechtenstein...) est-ce que c'est encore faisable avec les exigences actuelles : retraites à payer, soin de santé de la population... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 28 décembre 2013 Share Posté(e) le 28 décembre 2013 (modifié) L'absence de ressources n'est pas forcément un problème. Ce qui compte c'est de savoir si le pays a ou non un environnement favorable aux entreprises car c'est toujours au niveau de celles-ci que tout se joue. Une entreprise achète des matières premières et vend des produits finis. Ce principe n'est pérenne que si les bénéfices restent supérieurs aux coûts sur le long terme. L'absence de matière première augmente juste les coûts car la difficulté d'approvisionnement augmente avec le risque de change vis à vis duquel il faut se couvrir. Rajoutons à cela les variations de cours qui peuvent être amplifiés par des comportements spéculatifs (comme ceux permis par les QE de la FED.). Tout cela n'est pas techniquement insurmontable mais fait que les coûts sont supérieurs. Aussi, pour tenir, il est impérieux que l'industriel ait ou un bien unique au monde ou une productivité supérieure à ses concurrents. Des pays comme le Japon sont des pays où l'investissement dans l'outil de production doit être plus important qu'ailleurs. Les coûts grandissants des retraites et des dépenses de santé sont assez indépendants. Bien sûr, quand il n'y a pas d'emploi comme au Sahel, tu ne peux pas faire grand chose. Mais, par sarcasme, je dirais que l'espérance de vie fait qu'il n'y a pas de besoin de retraite. Les japonais se protègent par des systèmes assuranciels privés et de la capitalisation pour la retraite. Ceux-ci sont efficaces avec un danger structurel ceci dit. Il faudrait voir ce qu'impose la loi en terme de constitution de portefeuille ici. C'est à dire "l'organisme financier est-il libre de constituer son produit comme il l'entend ou non ?" et je ne serais pas surpris qu'il ne le soit pas. Voir qu'il y ait des contraintes énormes. Ainsi, quand tu épargnes, si tu es obligé d'acheter des obligations d'état alors tu es captif. C'est dangereux car tant que l'économie va bien, ta capitalisation fonctionne. En cas de crack, tu perds tout alors que les signes avant-coureurs sont visibles. Le système financier japonais n'a pas ici bonne réputation. Pour les dépenses de santé, c'est la même chose. Si ton assurance maladie a un bon actuariat, il n'y a pas de surprise. Si tu as des closes imposés par l'état avec des obligations d'état à détenir, c'est autre chose. Ou quand ton assurance est obligatoirement celle de ton employeur comme souvent aux État-Unis. Le manque de matière première et d'énergie n'a donc d'importance que dans le système productif. C'est lui qui est sous pression et doit trouver des méthodes et des produit pour être le plus rentable possible. Les services financiers n'en dépendent pas. Modifié le 28 décembre 2013 par Serge 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 28 décembre 2013 Share Posté(e) le 28 décembre 2013 Je comprends ce que tu veux dire. Je pense au Liechtenstein, micro-Etat (36.000 habitants) dont l'économie est basée sur un service financier mais très performant. En même temps du fait de sa faible population est-ce que ce n'est pas plus facile d'accorder des facilités fiscales car le pays est plus facile à gérer ? Un pays vaste et étendu comme le France, avec de fortes disparités "culturelles" et économiques est plus difficile à harmoniser et à rendre performant. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 31 décembre 2013 Share Posté(e) le 31 décembre 2013 Petite synthèse de fin d'année: http://www.youtube.com/watch?v=pGObxVnOdPo&feature=youtube_gdata_player Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 31 décembre 2013 Share Posté(e) le 31 décembre 2013 Il revient sur pas mal de faits importants : - le mythe du gaz de schiste ; - la fausse sortie de crise de la Grèce qui est toujours aussi mal en point ; - le Japon dont la politique semble payer mais dont on mesurera vraiment les effets à long-terme. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 31 décembre 2013 Share Posté(e) le 31 décembre 2013 (modifié) un peu d'eau dans le gaz en Chine, cela ne va pas s'arranger, car on va entrer dans une longue période de stagnation. vu qu'il n y aura pas beaucoup de consommation en Europe, cela va commencer à poser des problèmes. Les grands enjeux de 2014 (1/4) : la zone euro à l'heure du crash test Après une année 2013 agitée, la Tribune vous propose dans cette série de revenir sur les grands défis de 2014. Premier volet : de l'Union bancaire au retour de la Grèce sur les marchés, les tentatives pour ramener la confiance dans la zone euro ne sont pas sans risque http://www.latribune.fr/actualites/economie/union-europeenne/20131227trib000802897/les-grands-enjeux-de-2014-14-la-zone-euro-a-l-heure-du-crash-test.html Les grands enjeux de 2014 (2/4): la Chine malade de son système bancaire Série: quels seront les grands défis de 2014 pour l'économie mondiale? .Deuxième volet : les difficultés rencontrées par le système bancaire chinois, au coeur des réformes à venir. http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20131226trib000802801/les-grands-enjeux-de-2014-24-la-chine-malade-de-son-systeme-bancaire.html Ainsi le FMI prévoit-il une croissance maximum de 7,3% en 2014 pour la Chine. Et certains officiels s'attendent déjà à quelques tensions pour les jeunes diplômés dans le secteur des services. A cela s'ajoute les nombreux secteurs de l'industrie en surcapacité et qui auraient bien du mal à supporter l'arrivée de la concurrence. Modifié le 31 décembre 2013 par zx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 1 janvier 2014 Share Posté(e) le 1 janvier 2014 Mais 7.3% de croissance c'est très bon, non ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 1 janvier 2014 Share Posté(e) le 1 janvier 2014 Pas pour la Chine sachant que ses statistiques sont bidonnées. Il faut suivre d'autres indicateurs comme le volume d'exportation ou la consommation d'électricité. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 1 janvier 2014 Share Posté(e) le 1 janvier 2014 (modifié) La Chine étaient habituée à une croissance à deux chiffres, ils en ont perdus la "moitié", cela reste un taux de rêve pour un pays européen, mais pour un pays en développement, ça commence à devenir gênant si cela vient à durer. il n y a pas de miracle quelque soit le modèle. à un moment ou un autre, ça fini par coincer. La critique à peine voilée de Cameron à la France Le Premier ministre britannique David Cameron vante les mérites de l’économie de son pays dans une tribune publiée mercredi par le Times. http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/actu/0203216996839-la-critique-a-peine-voilee-de-cameron-a-la-france-640168.php Le Premier ministre britannique David Cameron vante les mérites de l’économie de son pays dans une tribune publiée mercredi par le Times, aussitôt interprétée par le quotidien de Londres comme une critique à peine voilée contre la France. La Grande-Bretagne va renouer avec la croissance grâce à une politique économique qui tourne le dos aux « grandes erreurs ayant conduit à la grande récession: plus d’emprunts, plus de dépenses et plus de dette », écrit ainsi le Premier ministre. Bien que M. Cameron n’ait pas nommé la France, le Times y voit une critique contre la politique économique menée par Paris et une pique à l’adresse du président français François Hollande. Ses remarques « vont être largement interprétées comme une attaque à l’endroit de M. Hollande, sous pression alors que l’économie française continue à se débattre » dans la crise, écrit ainsi le journal. « L’opposé de ce que nous faisons ici » « 2014 sera l’année où nous commencerons à faire de la Grande-Bretagne la grande +success story+ post grande récession », écrit encore M. Cameron. Mais, « nous ne devons pas ressusciter les dangereuses idées qui nous ont plongés dans la crise au moment où nous commençons à en sortir », avertit toutefois le Premier ministre, accusant le Parti travailliste, qui a perdu le pouvoir en 2010, d’être à l’origine de la sévère récession dans laquelle a été plongée la Grande-Bretagne. « Et si vous doutez des effets désastreux que représenterait un retour des politiques économiques inspirées par les Travaillistes, regardez les pays qui sont en train de suivre cette approche », ajoute-t-il. « Ils font face à un chômage croissant, une stagnation industrielle et leurs entreprises sont en chute libre. L’opposé de ce que nous faisons ici », ajoute le Premier ministre britannique sans toutefois citer aucun de ces pays. La Grande-Bretagne table sur une croissance de son Produit intérieur brut (PIB) de 1,4% en 2013 et de 2,4% en 2014, la France espère de son compter atteindre 0,2% en 2013, selon l’Institut national des statistiques, tandis que le gouvernement s’attend à une croissance de 0,9% en 2014. Source AFP Modifié le 1 janvier 2014 par zx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 1 janvier 2014 Share Posté(e) le 1 janvier 2014 Mais la Chine a atteint un haut niveau de développement. Est-ce que 7% n'est pas suffisant pour un pays qui n'est plus vraiment un pays en développement mais développé ? Pour Cameron ça me fait tristement rire. La success-story anglaise il n'y qu'à voir la proportion de sa population qui vit dans la pauvreté, les banlieues-ghettos gangrenées par le chômage et la criminalité... Il a une drôle de vision de la success-story. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 1 janvier 2014 Share Posté(e) le 1 janvier 2014 La Chine n'est pas développée de façon homogène. Seul quelques pôles sont modernes. Le reste souffre encore de grande misère. Il faudra encore du temps pour que les bénéfices de la croissance de diffuse dans tous les territoires. 30 à 40 ans encore. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alpacks Posté(e) le 2 janvier 2014 Share Posté(e) le 2 janvier 2014 Mais la Chine a atteint un haut niveau de développement. Est-ce que 7% n'est pas suffisant pour un pays qui n'est plus vraiment un pays en développement mais développé ? Pour Cameron ça me fait tristement rire. La success-story anglaise il n'y qu'à voir la proportion de sa population qui vit dans la pauvreté, les banlieues-ghettos gangrenées par le chômage et la criminalité... Il a une drôle de vision de la success-story. La Chine développée ? Manifestement le pari des métropoles potemkine a fonctionné ... 70% au moins de la Chine malgré le fort taux de développement qui est certes mieux que rien ... Vit toujours dans les mêmes conditions que celles des années 80 pré libéralisation post Tien amen ... Il n'y a qu'a voir comment vit la petite paysannerie chinoise et le niveau de vie d'une grande partie des ouvriers pour bien prendre conscience de l'ampleur de la chose ... Ceci dit ils restent des privilégiés vivant "bien" en comparaison de la paysannerie nord coréenne qui elle vit dans une misère noire souvent pire qu'en Afrique (qui vit bien tant que y a pas de guerre ni de sécheresse et qui part en hécatombe dès qu'il y a les 2 ...) Les chomeurs des banlieues londoniennes a 75 livres/semaine de prestation vivent dans le luxe ou presque ... (l'équivalant pas loin du RSA français en fin de compte) par contre ce que je sais pas si c'est chez eux un minima social ou pas ... (mais bon j'en entends souvent parler des "75 livres/semaines" quand on parle du chomage et des laissés pour compte en GB que du coup il se pourrait bien que se soit simplement l'équivalant dit autrement d'un RSA (a vérifier) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 2 janvier 2014 Auteur Share Posté(e) le 2 janvier 2014 (modifié) Rien de neuf sur le fond, mais le chiffre frappe l'esprit, 244 000 japonais de moins en 2013, autant de consommateurs, ca n'arrangera pas le problème déflationniste de ce pays et la crise de modèle économique qui est un peu celle de tous les pays occidentaux également. http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/actu/0203217883972-japon-baisse-sans-precedent-de-la-population-en-2013-640311.php La Chine étaient habituée à une croissance à deux chiffres, ils en ont perdus la "moitié", cela reste un taux de rêve pour un pays européen, mais pour un pays en développement, ça commence à devenir gênant si cela vient à durer. il n y a pas de miracle quelque soit le modèle. à un moment ou un autre, ça fini par coincer. La critique à peine voilée de Cameron à la France Le Premier ministre britannique David Cameron vante les mérites de l’économie de son pays dans une tribune publiée mercredi par le Times. http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/actu/0203216996839-la-critique-a-peine-voilee-de-cameron-a-la-france-640168.php A la base le péché d'arrogance serait français, mais ca c'était surement avant Modifié le 2 janvier 2014 par debonneguerre Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 2 janvier 2014 Share Posté(e) le 2 janvier 2014 Mais le développement d'une poignée de métropole chinoises au détriment du reste du pays est un choix du gouvernement chinois, une stratégie voulue. Est-ce que le pays est viable comme ça ? Les chiffres de l'économie chinoise sont sûrement "remaniés", mais où est-ce que l'on peut trouver les vrais de façon sûres ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 2 janvier 2014 Share Posté(e) le 2 janvier 2014 Ce n'est pas une construction au détriment de quoi que ce soit. C'est une phase logique du développement d'un pays. Quand on est exportateur avec peu d'infrastructure, on me peut être que sur les côtes. Le développent de l'intérieur du pays sera plus tardif mais il se fera. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 3 janvier 2014 Share Posté(e) le 3 janvier 2014 Pour une sortie de l'euro des pays en crise http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/20140103trib000807581/pour-une-sortie-de-l-euro-des-pays-en-crise.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 3 janvier 2014 Share Posté(e) le 3 janvier 2014 (modifié) Bah si en Belgique on pouvait faire pareil ce serait sympa. L'Euro a été une erreur. Une bonne idée en théorie mais au final on n'y a rien gagné, ou presque. Et ça coûte cher au citoyen. Les Lettons vont pouvoir le découvrir. Modifié le 3 janvier 2014 par Kiriyama Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 5 janvier 2014 Share Posté(e) le 5 janvier 2014 À propos des stress-tests à venir, le bidonnage continue : https://www.contrepoints.org/2014/01/05/152257-comment-la-bce-nous-ment-sur-les-futurs-stress-tests-bancaires Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
French Kiss Posté(e) le 5 janvier 2014 Share Posté(e) le 5 janvier 2014 Ca ete une erreur de faire un euro a l'allemande, si les allemands avaient lache un peu de lest sur les criteres de la monnaie, l'europe aurait peut-etre mieux encaisser le choc de la crise des subprimes, enfin maintenant il faut tenir et finir de traverser la tempete ensemble, si l'union monnetaire se fissure avant, on prendra tous le bouillon. Dans le cas francais, la situation a ete empiree par une suite de decisions (35h, CMU, et d'autres, passees et a venir), mettant toujours plus le budget sous pression: toujours plus a financer avec toujours moins de recettes. Pour inverser la courbe du chomage (AMHA ca ressemble plus a un gouffre qu'a une courbe mais bon...), qu'attend le gouvernement pour financer moins et faire revenir plus de recettes? enfin ca change pas depuis 40 ans: les gouvernants qui gouvernent ont decline puis disparu... meme avec une VIeme republique j'ai peur qu'on ne puisse dire qu'une chose: CPEF! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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