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[Somalie] Piège en haute mer pour des pirates au large


Bill

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Non j'ai fait trop rapide comme d'habitude . Nous avons versé 20 millions aux pirates l'an dernier dans le cadre d'une campagne d'enfumage des frelons combien nous couterais 2 ou 3 nuc et quelques tonnes de VX pour stériliser le territoire.

Les terroristes eux ont le trafique de drogue comme source de profit et les petit larcins ou les généreux donnateurs.

C'est une campagne d'extermination au nucléaire et au chimique ou je me trompe  ?  :rolleyes:

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Zéro mort chez nous vous allez tout de même pas me faire pleurer sur les leurs.

J'ai proposé d'autres solutions plus complexes et couteuses aprés à vous de voir mais dans le pire des cas : "Tuez les tous dieu y reconnaitra les siens"

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Zéro mort chez nous vous allez tout de même pas me faire pleurer sur les leurs.

J'ai proposé d'autres solutions plus complexes et couteuses aprés à vous de voir mais dans le pire des cas : "Tuez les tous dieu y reconnaitra les siens"

...

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plus sanglant que le reste.

ça à la limite on peut se le permettre sous l'effet de la rage, si c'est un des militaires qui morfle pendant une intervention, avec le responsable de la TF qui voit rouge et qui dit: "allumez-moi tous ces enfoi***".

non bien sûr c'est trop extrême, faut rester dans le violent mais juste le violent symbolique (raser Eyl c'est si y a toujours trop de problèmes de comm'), faut voir comment ça évolue après.

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Franchement, on ne sait pas trop, il n'y a pas de statistiques fiables en Somalie depuis au moins les années 1980.

Sinon, 2 avions de patrouille maritime nippons de plus pour la chasse au pirates. Direction Djibouti qui devient un vrai caravansérail entre les militaires Européens, Américains et Asiatiques qui sont déjà la bas :

http://www.aujourdhuilejapon.com/informations-japon-le-japon-enverra-des-renforts-pour-lutter-contre-la-piraterie-6371.asp?1=1

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Je vous ferais la réponse de Churchil au sujet des villes françaises bombardées

"L'on ne fait d'omelette sans casser d'oeufs"

Autrement j'avais déje proposé d'autres solutions qui n'engageait pas nos hommes . N'oubliez pas qu'à chaqu'une de nos reculades les extrémiste de l'autre bord gagnent en légitimité.

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Je vous ferais la réponse de Churchil au sujet des villes françaises bombardées

"L'on ne fait d'omelette sans casser d'oeufs"

Autrement j'avais déje proposé d'autres solutions qui n'engageait pas nos hommes . N'oubliez pas qu'à chaqu'une de nos reculades les extrémiste de l'autre bord gagnent en légitimité.

Qui ont été complètement inefficaces, criminels et ont soudés la population autour de l'occupant. Ce genre de méthode donne au contraire une parfaite légitimé à l'adversaire....

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Des commandos néerlandais ont mis en échec sept pirates qui avaient pris d'assaut un tanker dans les eaux du golfe d'Aden et libéré vingt otages yéménites contraints de travailler sur un des "bateaux-mères" utilisés par les pirates. Lire la suite l'article

Le capitaine de corvette Alexandre Fernandes, de l'Otan, a précisé que les pirates avaient tenté de prendre le contrôle du MT Handytankers Magic, un navire battant pavillon des îles Marshall et affrété par une compagnie grecque.

Ils ont été relâchés peu après leur arrestation par les commandos néerlandais. "Ils peuvent seulement procéder à des arrestations si les pirates ou les victimes sont originaires des Pays-Bas ou s'ils sont dans les eaux territoriales néerlandaises", a précisé l'officier portugais.

Les vingt marins yéménites qui étaient retenus en otage sur leur bateau de pêche transformé en "bateau-mère" par les pirates ont en revanche été libérés.

"Nous avons libéré les otages et leur boutre et nous avons saisi des armes", a précisé le capitaine de corvette Fernandes à bord du Corte-Real, un bâtiment de la marine portugaise qui participe à la mission de l'Otan.

C'est la seconde intervention en vingt-quatre heures contre des pirates opérant dans ce secteur. Vendredi, des bâtiments américain et sud-coréen s'étaient opposés à une attaque contre un cargo danois.

Mercredi dernier, la marine française avait intercepté un bateau et arrêté onze pirates au large des côtes du Kenya.

Les bandes de pirates qui écument les eaux somaliennes ont détourné des dizaines de navires et pris en otage des centaines de marins ces derniers mois en dépit du déploiement sans précédent de bâtiments de guerre au large de la Corne de l'Afrique.

Ils opèrent sur des embarcations rapides à partir de "bateaux-mères".

Version française Henri-Pierre André

Je sais pas si en les libérant on va vraiment avancer...

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C'est mieux que rien ,ils y ont perdus leurs armes et leur vaisseau je suppose .. Mais en effet il aurait fallu en coffrer quelques un .

Ceci dit je suis d'accord ,c'est à la tête qu'il faudrait taper ,et retourner un ou deux clans pourrait être intéressant ,surtout si l'on pouvait créer un embryon de stabilité ..

Je vois le truc " Centre médical contre localisation de tel chef de tel groupe " .

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Non ce serrait prendre le risque d'offrir sur un plateau des otages . Un sac de billets une poignée d'armes et si le nouveau chef traque bien ses anciens collégues de travail la possibilité de se faire soigner soit en mer soit à djibou.

Appliquer ce que les anglais faisaient avec les zones dangereuse ne Inde ou les français avant d'avoir fini les campagnes du Rif

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navire belge pris en otage se dirige vers la Somalie

Le Pompei, le navire belge pris en otage, a changé de trajectoire et se dirige vers les côtes de la Somalie. Le système de localisation est éteint. Le navire charrie un petit bateau, ce qui pourrait indiquer qu'il s'agit de pirates. C'est ce qu'a déclaré Jaak Raes, directeur-général du Centre de crise du SPF Intérieur, samedi lors d'une conférence de presse.

Jaak Raes se base sur des images aériennes prises depuis un hélicoptère. Deux Belges se trouvent à bord, de même qu'un capitaine néerlandais, trois Philippins et quatre Croates. Les Belges sont deux hommes originaires d'Ostende et de Blankenberge. Un navire de guerre espagnol et deux navires de guerre français se dirigent vers le Pompei.

Samedi vers 05h30 et 06h00, le navire, battant pavillon belge, avait envoyé trois signaux différents qui font référence à une prise d'otage. La première était une alarme silencieuse pour l'armateur, puis un signal envoyé via un système spécialisé destiné à prévenir de cas de piraterie, et, enfin, un e-mail contenant le seul mot "piracy".

Il y a également eu un court contact téléphonique avec l'armateur mais il a été interrompu brutalement. Depuis, il n'y a plus eu de contact avec le navire ou l'équipage.

Le Centre de crise s'attend à ce que, "tôt ou tard", les preneurs d'otage envoient une demande de négociation. Le mobile de la prise d'otage n'est pas encore clair, mais le Centre de crise n'exclut pas une demande éventuelle de rançon. Selon Jaak Raes, le Pompei ne transporte pas de cargaison précieuse. "L'équipage et le navire eux-mêmes sont les plus précieux", a indiqué le directeur-général.

Le navire se trouve à environ 700 km des côtes somaliennes et à environ 150 km de la ville portuaire de Victoria, aux Seychelles. Le bâtiment se déplacerait à une vitesse de 5 à 6 noeuds et devrait atteindre les côtes somaliennes dans 5 à 6 jours.

Un avion Beachcraft a décollé des Seychelles mais la tombée de la nuit a réduit la visibilité. Les recherches recommenceront dimanche matin.

Le navire de guerre espagnol, qui transporte aussi l'hélicoptère qui a pris les images, et les navires français devraient rejoindre le Pompei dans dix heures.

Les familles des deux Belges impliqués ont entre-temps reçu une aide psychologique des entreprises De Nul et DEME et de la police locale.

Selon Jaak Raes, la plus grande préoccupation actuelle du Centre de crise est de récolter de l'information. Une nouvelle réunion de crise est prévue dimanche à 10h00. (belga)

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http://www.corlobe.tk/article13692.html

De nombreux journaux ont repris samedi l’information largement diffusée par un communiqué de l’OTAN : une frégate néerlandaise a libéré 20 pêcheurs pris en otage par 7 pirates. On pourrait donc penser que la marine néerlandaise devrait célébrer "sa" victoire dans la lutte contre les pirates somaliens. Mais, pas vraiment.

De nombreux journaux ont repris une partie du communiqué de l’OTAN : “Des troupes navales néerlandaises ont repoussé samedi une attaque lancée par des pirates sur un pétroler dans le golfe d’Aden et libéré 20 otages yéménites.” Les commandos de marine impliqués proviennent de la frégate néerlandaise De Zeven Provinciën, qui fait elle-même partie du SNMG1, un groupe de bâtiments de l’OTAN qui se trouve actuellement en océan Indien.

A l’origine, le SNMG1 devait se rendre en Asie du Sud-Est : des escales étaient prévues à Jakarta, à Singapour, en Australie. Afin de participer à la lutte contre la piraterie, l’OTAN a décidé, alors que l’Union Européenne avait déjà la mission Atalante sur place, de modifier le programme du groupe.

On pourrait croire en première analyse que ce changement de programme est une bonne chose puisque des otages ont été libérés et que des pirates ont été arrêtés et vont être traduit en justice. Sauf que...

Sauf que les journaux, comme c’est très souvent le cas, oublient une partie importante de l’histoire.

La lutte contre la piraterie a, de tout temps, était considérée comme de “juridiction universelle”, qui dépasse les règles normales de juridiction nationale. N’importe quel état est autorisé à prendre des mesures contre les pirates, même s’il n’est pas victime de ceux-ci. Pour être encore plus clair, tout état est autorisé à arrêter les pirates et à les poursuivre, même si le navire attaqué est d’un autre pavillon que le leur. Pendant très longtemps, les tribunaux américains et britanniques, les 2 états les plus en pointe dans la lutte contre la piraterie aux XVIII et XIXè siècles, ont cité dans leurs jugements des cas de jurisprudence de l’autre état.

Et cette notion de “juridiction universelle” n’a pas disparu à notre époque : elle a été reconnue par les conventions des Nations-Unies de 1958 et 1982.

Mais, et c’est là qu’intervient une nuance importante, de nombreux états, signataires de ces 2 conventions, ont “oublié” de transposer dans leur législation nationale ces règles particulières concernant la lutte contre la piraterie.

En France, si les termes “piraterie” ou “pirates” n’apparaissent pas dans le code Pénal, la piraterie est bien pénalement poursuivie, sous le terme juridique de “détournement de navire”, par les articles 224-6 et suivants.

Mais, cela n’est pas le cas des Pays-Bas. Pire encore, si dans le cadre de l’opération européenne Atalante, les bâtiments de guerre sont autorisés à arrêter les pirates et à les livrer à un pays-tiers s’ils n’en ont pas la juridiction (en général, le Kénya), ce n’est absolument pas le cas pour l’opération de l’OTAN.

Et cela a donc conduit à la répétition du fiasco qu’on avait déjà connu auparavant : des pirates, des preuves de leur implication dans un acte de piraterie, mais une libération en catimini quelques heures plus tard.

On peut s’interroger sur l’intérêt, au-delà de l’évidente opération de relation publique, d’envoyer des navires dont la seule possibilité dans la lutte contre la piraterie est de libérer les pirates arrêtés. Est-ce ainsi que les pirates vont être dissuader de poursuivre leurs activités criminelles ?

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Faudra qu'un jour ils portent leurs burnes ,plutôt que de faire les orfraies quand il y a un mort lors d'une intervention risquée .

D'ailleurs ,en parlant de ça ,j'espère que si les Français interviennent sur le navire Belge ,il n'y aura pas le moindre soucis ,sinon qu'est ce qu'on va prendre ..

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http://www.wired.com/dangerroom/2009/04/israeli-mercs-1-pirates-0-in-cruise-ship-gunbattle/

Israeli Mercs 1, Pirates 0 in Cruise Ship Gunbattle

...

The story in brief: Over the weekend, the MSC Melody, a vessel owned by Italian cruise line MSC Cruises, repelled an attack by pirates some 500 miles off the coast of Somalia. According to a news release from the European anti-piracy task force operating in the Gulf of Aden, the vessel “successfully took evasive action” to prevent the pirates from boarding. In subsequent news reports, it emerged that the vessel’s security team used firearms and hoses to drive off the attackers, who had surrounded the cruise ship with small boats and were attempting climb on board.

...

Security work aboard cruise ships is very popular among young Israelis just out of the army; the job is seen as a chance to save money and travel at the same time. Hundreds of veterans and reservists of elite Israel Defense Force units, including the naval commandos, are employed in security work on cruise ships and oil rigs in areas subject to pirate attacks.

...

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Petite description de l'assaut d'un bateau-mère par les commandos du Nivôse :

"Quand on est arrivé, les pirates avaient déjà les mains sur la tête"

Il n'a fallu que quelques minutes aux fusiliers marins de la frégate française Nivôse pour prendre d'assaut, jeudi, le "bateau-mère" de présumés pirates, au large de la Somalie, et les capturer, sans un seul coup de feu.

"Faites attention de ne pas présenter l'arrière (éclairé) du bateau à nos clients". Autour du petit déjeuner, dans le carré commandant, le capitaine de frégate Jean-Marc Le Quilliec appelle une dernière fois ses hommes à la prudence : pas une lumière sur le pont. Pas une porte entrouverte. La nuit est noire et la cible navigue à faible distance, rappelle le pacha.

Le branle-bas vient d'être sonné à bord de la frégate française. Les équipes se restaurent en vitesse, puis assistent à un dernier briefing, avant de gagner leur poste : qui en passerelle, qui sur la plate-forme hélicoptère, ou à bord des deux zodiacs mis à l'eau dans la plus profonde obscurité.

Arme en bandoulière, les fusiliers marins ajustent leur équipement: gilet pare-balles, cagoule, casque, micro et oreillette. Ils seront les premiers à partir sur l'eau pour "sécuriser" le "bateau-mère", et en capturer l'équipage.

Du haut de la passerelle, le commandant suit leur progression au radar, corrigeant leur trajectoire et ajustant sa propre allure pour ne pas "leur marcher dessus".

Les ordres qu'ils prononcent sont répétés au micro par les officiers de quart, penchés sur des cartes marines éclairées à la lumière rouge, indétectable.

L'hélicoptère décolle, tous feux éteints. "C'est parti", lance le commandant. Le Nivôse n'est plus qu'à quelques milles nautiques de sa cible. La mer est d'huile. A l'horizon, les nuages commencent à se découper dans le ciel sombre.

"Ca me démange", ajoute le pacha, qui se force à ne pas arriver trop vite sur son "client". La frégate n'est plus qu'à quelques minutes de sa cible désormais visible à l'oeil nu: un point sur le liseré orange de l'horizon. "On fait une deuxième boucle et après on y va".

"Premier zodiac sur +mothership+" ("bateau-mère", ndlr), crache la radio. L'hélicoptère virevolte au-dessus de l'objectif. Déception du commandant qui suit l'assaut à la jumelle: "il n'y a pas les skiffs", ces bateaux rapides desquels les pirates lancent leurs attaques. Les fusiliers comptent l'équipage. "Trois personnes à bord. Début des palpations".

De retour sur la frégate, où les trois hommes sont transbordés, un fusilier explique: "il n'y avait aucune arme à bord. Quand on est arrivé ils avaient déjà les mains sur la tête".

Ses collègues fouillent une nouvelle fois les suspects à la lueur de l'aube: trois hommes à la silhouette frêle, surpris dans leur sommeil par le bruit de l'hélicoptère et habillés à la hâte : l'un ne porte qu'un pagne bordeaux.

Assis mains sur la tête sur la plage arrière de la frégate, ils sont transférés à l'avant du bateau. Celui d'entre eux qui parle le mieux anglais est interrogé par le commandant. "Les skiffs sont partis avec les armes", lui lâche-t-il.

Pendant que les suspects passent une visite médicale, le pacha et ses hommes retournent sur le "bateau-mère" pour en faire un inventaire plus détaillé et rassembler les pièces à conviction.

A côté d'un barbecue de fortune et d'une natte, jetée au sol, ils trouvent 13 fûts d'essence, de l'huile pour moteur hors-bord, et plusieurs brassières de sauvetage du Bow Asir, un chimiquier norvégien, piraté le 26 mars et libéré le 14 avril.

Source : http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-39174459@7-37,0.html

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Somalie: la marine française relâche trois pirates présumés

La marine française a relâché vendredi, faute de preuves suffisantes, trois pirates présumés, capturés la veille au large de la Somalie, a constaté un journaliste de l'AFP.

"J'ai reçu l'ordre de les relâcher", a expliqué le commandant de la frégate Nivôse, le capitaine de frégate Jean-Marc Le Quilliec.

Le cas est "un peu léger en terme de preuves", notamment en raison de l'absence d'armes sur le "bateau-mère" des pirates présumés, a-t-il expliqué.

Les trois suspects ont été remis à bord de leur embarcation, avec des provisions d'eau et des médicaments. Ils devaient être "pris en charge" vendredi après-midi par un patrouilleur seychellois qui ralliait la zone, a expliqué le commandant du Nivôse, sans plus de précisions.

La frégate de surveillance française avait intercepté jeudi matin à 420 milles nautiques des côtes somaliennes, dans la Zone économique exclusive (ZEE) des Seychelles, le "bateau-mère" de pirates présumés et capturé les trois individus qui se trouvaient à bord.

Les trois suspects, qui n'ont opposé aucune résistance lors de l'assaut jeudi avaient été transférés à bord de la frégate pour y être interrogés. Après une visite médicale, ils avaient été installés sur le pont avant de la frégate, où ils avaient passé la nuit, sous surveillance, allongés sur des lits de camp.

Dans le "bateau-mère", d'une dizaine de mètres de long, les marins français avaient trouvé 13 fûts d'essence, de l'huile et des bougies pour moteur hors-bord, et plusieurs brassières de sauvetage du Bow Asir, un chimiquier norvégien capturé par des pirates le 26 mars et libéré le 14 avril, de source militaire.

Sur les 101 pirates présumés capturés jusqu'alors par la marine française, 27 ont dû être relâchés faute de preuves, a-t-on rappelé de source militaire. Les autres ont été remis à la justice des Etats avec lesquels des accords ont été conclus, notamment le Kenya.

Source : http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2009-05-01/somalie-la-marine-francaise-relache-trois-pirates-presumes/924/0/339820

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Un navire de l'Otan déjoue une attaque mais relâche les pirates

AFP

Mis en ligne le 02/05/2009

Dix neuf pirates ont été capturés vendredi dans le golfe d'Aden par une frégate portugaise de la mission de protection de l'OTAN lors de l'attaque d'un pétrolier mais ont été aussitôt remis en liberté, ont annoncé samedi des responsables de l'Alliance.

    * Des militaires pour les navires, mais...

Les pirates ont été "relâchés à la demande des autorités somaliennes", a expliqué un officier portugais de la mission de l'OTAN.

La frégate Corte Real venait de revenir en mission dans les eaux du golfe d'Aden lorsqu'elle a été informée de l'attaque contre un pétrolier battant pavillon de Nassau, le "Kition". Elle a envoyé un hélicoptère qui a suivi les pirates en fuite jusqu'à leur refuge, un bateau de pêche, arraisonné peu après, a expliqué le capitaine de frégate Chris Davis, du centre opérationnel de la mission de protection de l'OTAN contre la piraterie .

"Dix neuf hommes ont été capturés et les marins de la frégate portugaise ont saisi des armes, des lance grenades et des explosifs à bord du bateau pirate", a-t-il précisé, se félicitant de ces arrestations. "La capture du pétrolier a été déjouée et les pirates ont été arrêtés. C'est un succès", a-t-il déclaré

Mais les Portugais ont annoncé peu après avoir relâché les pirates. "Après avoir été identifiés et interrogés, les pirates ont été désarmés, et après un contact avec les autorités nationales somaliennes, ils ont été remis en liberté", a déclaré le commandant Santos Ferreira, officier de relations publiques de la mission de l'Otan dans le golfe d'Aden, à la radio TSF.

http://www.lalibre.be/actu/monde/article/499588/un-navire-de-l-otan-dejoue-une-attaque-mais-relache-les-pirates.html

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Des pirates somaliens se sont emparés d’un cargos la nuit dernière à 1600 Km de la zone d’action de l’OTAN en plein vers les Seychelles en plus les marins portugais du post d’avant faisaient main basse sur de la dynamite. Voir le nouvel Obs 

Hors les pirates n’attaquaient que rarement de nuit, vaut mieux la dernière fois ils s’en sont pris à un pétrolier de la marine allemande.

Ces faits ajoutés les uns aux autres me confortent dans une escalade meurtrière de la par des pirates.

Ce ne sont pas nos hônettes frères de la côte chez eux une part de mystique religieuse fausse le jugement sain du simple truand. Leur dieu a déjà assuré la victoire contre les infidèles, il continuaient en prélevant une dîme sur l’infidèle et certains pays notion qui doit être assez nébuleuses aux yeux de la majorité ose tuer des croyants qui eux n’avaient pas versé le sang dans ce genre de société tribale une rétribution est nécessaire avant de reprendre le dialogue et cet échange ne sera pas que symbolique.

L’action de nuit elle me fait penser qu’une part des prises est réinvestie en matériel « moderne » combien pour une poignée de jumelle à vision nocturne ?

Le durcissement simple vous embarquez de la dynamite sur un pétrolier sans un plan précis

Pour les Seychelles je ne dis rien un bateau de pêche français en a fait l’expérience dans la même zone et l’un des rares essuyant des tirs de RPG. L’éloignement de la côte énerve ces moussaillons.

Et pour le « gouvernement » somalien il n’existe pas où c’est le Chicago d’Al Capone élevé à la puissance X. Le temps de nos barons voleurs des abbés guerriers nous avons connus mais 1000 ans plus tôt .

Un petit effort et ils vont se passer la corde au cou eux même , un conseil évitez cette région pour un croisière la reprise d’un navire de ce type tourne au cauchemar .

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