Fusilier Posté(e) le 11 septembre 2019 Share Posté(e) le 11 septembre 2019 il y a 7 minutes, Jésus a dit : l'armée ne sert pas à attendre une guerre, elle sert à faire la guerre, Ce n'est peut-être pas aussi univoque que ça. L'armée doit se préparer à la guerre Les OPEX ne préparent pas forcement à la "vraie guerre", même si elles peuvent servir à secouer les cocotier au niveau équipement (surtout individuel). Leur existence, voir leurs exigences, peuvent biaiser la vision stratégique, l'entrainement, l'établissement des priorités. On a quand même une certaine expérience historique de nos armées engagées dans des "aventures coloniales", ayant pris du retard sur les prussiens voir les brits. il y a 22 minutes, Jésus a dit : les opérations extérieures sont cruciales, elles vendent du rêve, Oui, elles génèrent aussi des contraintes, non seulement sur le système aussi sur les personnels (vie familiale, divorces, etc) A savoir dans quel sens elles jouent au niveau fidélisation. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Clairon Posté(e) le 11 septembre 2019 Share Posté(e) le 11 septembre 2019 Je me suis permis de démarrer un fil "pistes pour le recrutement et la fidélisation" : Clairon Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thibault2845 Posté(e) le 10 octobre 2019 Share Posté(e) le 10 octobre 2019 Bonsoir je me permet de poster une petite question quelqun pourrait m'éclairer sur L'organisation l'effectif le matériel d'une compagnie de combat du génie L'organisation l'effectif le matériel d'une batterie d'artillerie ( sol sol / sol air / acquisition et surveillance) Lonrgznisation l'effectif le matériel des pelotons sections de commandement Merci d'avance Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 11 octobre 2019 Share Posté(e) le 11 octobre 2019 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FoxZz° Posté(e) le 3 novembre 2019 Share Posté(e) le 3 novembre 2019 (modifié) Plusieurs questions sur les réorganisations possibles de l'AdT. Dans le contexte du retour de la menace conventionnelle de haute-intensité, et notamment suite aux RETEX des unités déployées avec l'OTAN en Europe de l'Est, et le conflit en Ukraine, il est clair que l'AdT est défaillante à deux niveaux : l'artillerie et notamment les feux dans la profondeur et la défense anti-aérienne, et les moyens de Génie spécialisés (franchissement de coupures humides, réparation d'infrastructures ), notamment face aux risques des techniques de déni d'accès. On a certes des régiments spécialisés qui reprennent ces compétences et qui sont endivisionnés, mais c'est finalement assez peu. Donc est-ce qu'on devrait pas recréer des régiments d'artillerie et du génie spécialisés au sein d'1 brigade génie et d'une brigade artillerie comme avant 2008 ? Surtout que lorsqu'on regarde l'évolution de l'ordre de bataille de l'AdT avant et après 2008, on se rend compte que l'essentiel de la déflation c'est faite justement dans les appuis spécialisés du génie et de l'artillerie avec la dissolution des deux brigade spécialisées, mais aussi la réduction du nombre de brigades qui est passé de 8 à 6. Deuxièmement, on voit bien que la Brigade franco-allemande est toujours aussi inutile et qu'il n'y a pas vraiment d’intérêt à avoir des forces vives directement subordonnées au CRR-E de Strabourg puisque de toute façon toute opération européenne sera soumise à une période de génération de force et d'avalisation des parlements. Dès lors, dans l'hypothèse d'une dissolution de la BFA, comment réutiliser les deux régiments qui en font partie ? Je vois deux hypothèses. La première, dissolution du 3e RCh et rattachement du 1er RI à la Brigade ALAT. La deuxième option et qui nous amène au troisième point, c'est de reconstituer une septième brigade inter-armes sur la base de ces deux régiments. Plusieurs questions se posent alors. Déjà quels régiments reconstituer ? Cette brigade doit-elle être une brigade médiane ou une brigade lourde ? Et enfin, comment devrait-elle s'inscrire dans un format à 2 divisions de 3 brigades ? Faut-il réduire le nombre de régiments de mêlée par Brigade et faire 8 brigades de plus petite taille réparties en deux divisons ? Sachant que les brigades OTAN comptent max 7 bataillons constitutifs. Ou passer à 3 division, une lourde, une médiane, une légère ? En gros dans l'hypothèse d'une augmentation du format d'armées, comment réorganiseriez vous les forces ? Modifié le 3 novembre 2019 par FoxZz° Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tancrède Posté(e) le 3 novembre 2019 Share Posté(e) le 3 novembre 2019 4 minutes ago, FoxZz° said: Plusieurs questions sur les réorganisations possibles de l'AdT. Dans le contexte du retour de la menace conventionnelle de haute-intensité, et notamment suite aux RETEX des unités déployées avec l'OTAN en Europe de l'Est, et le conflit en Ukraine, il est clair que l'AdT est défaillante à deux niveaux : l'artillerie et notamment les feux dans la profondeur et la défense anti-aérienne, et les moyens de Génie spécialisés (franchissement de coupures humides, réparation d'infrastructures ), notamment face aux risques des techniques de déni d'accès. On a certes des régiments spécialisés qui reprennent ces compétences et qui sont endivisionnés, mais c'est finalement assez peu. Donc est-ce qu'on devrait pas recréer des régiments d'artillerie et du génie spécialisés au sein d'1 brigade génie et d'une brigade artillerie comme avant 2008 ? Surtout que lorsqu'on regarde l'évolution de l'ordre de bataille de l'AdT avant et après 2008, on se rend compte que l'essentiel de la déflation c'est faite justement dans les appuis spécialisés du génie et de l'artillerie avec la dissolution des deux brigade spécialisées, mais aussi la réduction du nombre de brigades qui est passé de 8 à 6. Deuxièmement, on voit bien que la Brigade franco-allemande est toujours aussi inutile et qu'il n'y a pas vraiment d’intérêt à avoir des forces vives directement subordonnées au CRR-E de Strabourg puisque de toute façon toute opération européenne sera soumise à une période de génération de force et d'avalisation des parlements. Dès lors, dans l'hypothèse d'une dissolution de la BFA, comment réutiliser les deux régiments qui en font partie ? Je vois deux hypothèses. La première, dissolution du 3e RCh et rattachement du 1er RI à la Brigade ALAT. La deuxième option et qui nous amène au troisième point, c'est de reconstituer une septième brigade inter-armes sur la base de ces deux régiments. Plusieurs questions se posent alors. Déjà quels régiments reconstituer ? Cette brigade doit-elle être une brigade médiane ou une brigade lourde ? Et enfin, comment devrait-elle s'inscrire dans un format à 2 divisions de 3 brigades ? Faut-il réduire le nombre de régiments de mêlée par Brigade et faire 8 brigades de plus petite taille réparties en deux divisons ? En gros dans l'hypothèse d'une augmentation du format d'armées, comment réorganiseriez vous les forces ? Sur la réduction du format via dissolution concentrée dans les appuis, je me demande à quel point cela résulte t-il d'une pure pensée budgétaire: une adaptation temporaire, pour raisons budgétaires, aurait plus impliqué de faire disparaître des unités de mêlée (un mélange de réduction du nombre de régiments et d'intégration de compagnies/effectifs de ces régiments dans ceux qui restent, qu'on densifie) et de préserver les appuis, composantes "dimensionnantes" pour une éventuelle remontée en puissance. Ici, on a supprimé ce qui sert le moins souvent pour préserver ce qu'on utilise le plus au jour le jour, en amputant la capacité à remonter en puissance plus rapidement au cas où. Ce qui est dimensionnant (certains types d'unités, notamment les appuis, les EM de régiments/brigade, divers types de sous-unités spécialisées) a tendance à coûter plus cher (plus "capital intensive") ET/OU à être moins souvent employé (donc moindre "rapport utilité/prix" pour le politicien à courte vue -ce qui inclue l'Etat Major des Armées, sélectionné pour la souplesse de son échine), donc pour des dirigeants short en cash et des gens se foutant du futur au-delà du prochain mandat, ce sont les victimes désignées. Pour une fin de la BFA et une intégration des unités récupérées dans l'Orbat, outre le fait que la BFA ne sera PAS dissoute (désolé, c'est la politique), forcer 2 régiments ici ou là devrait faire poser des questions fondamentales sur l'état de la structure des forces en aboutissant à une question, au final: qu'attends t-on de l'échelon brigade? Si on veut qu'elles soient des réservoirs de forces pour composer des GTIA/SGTIA (pourrait-on trouver un acronyme prononçable?), on réintègre ces deux unités comme on veut, ça ne change fondamentalement rien: ça fait juste de la réserve en plus. Si on veut des grandes unités de manoeuvre parce qu'on se remet à penser à la guerre de haute intensité contre un adversaire qui a des brigades et des divisions, alors là il faut faire passer au moins une partie de l'orbat au régime de brigades organiques/intégrées, à la façon des BFST américaines, cad des grandes unités pensées comme un tout, dont le format reviendrait à quelque chose de plus classique pour des brigades (soit quelque part entre 3500 et 5000h, selon le modèle choisi), qui auraient intérêt à être relocalisées dans un périmètre géographique plus resserré pour pratiquer plus souvent le sport d'équipe. Et ça, c'est cher, et ça remet sans doute en question quelques choix de matos. Et à l'heure où ça semble vouloir faire plus de trucs communs avec d'autres pays européens, que ce soit réaliste/souhaitable ou pas, ça risque peu d'arriver. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FoxZz° Posté(e) le 3 novembre 2019 Share Posté(e) le 3 novembre 2019 (modifié) il y a 21 minutes, Tancrède a dit : Sur la réduction du format via dissolution concentrée dans les appuis, je me demande à quel point cela résulte t-il d'une pure pensée budgétaire: une adaptation temporaire, pour raisons budgétaires, aurait plus impliqué de faire disparaître des unités de mêlée (un mélange de réduction du nombre de régiments et d'intégration de compagnies/effectifs de ces régiments dans ceux qui restent, qu'on densifie) et de préserver les appuis, composantes "dimensionnantes" pour une éventuelle remontée en puissance. Ici, on a supprimé ce qui sert le moins souvent pour préserver ce qu'on utilise le plus au jour le jour, en amputant la capacité à remonter en puissance plus rapidement au cas où. Ce qui est dimensionnant (certains types d'unités, notamment les appuis, les EM de régiments/brigade, divers types de sous-unités spécialisées) a tendance à coûter plus cher (plus "capital intensive") ET/OU à être moins souvent employé (donc moindre "rapport utilité/prix" pour le politicien à courte vue -ce qui inclue l'Etat Major des Armées, sélectionné pour la souplesse de son échine), donc pour des dirigeants short en cash et des gens se foutant du futur au-delà du prochain mandat, ce sont les victimes désignées. Pour une fin de la BFA et une intégration des unités récupérées dans l'Orbat, outre le fait que la BFA ne sera PAS dissoute (désolé, c'est la politique), forcer 2 régiments ici ou là devrait faire poser des questions fondamentales sur l'état de la structure des forces en aboutissant à une question, au final: qu'attends t-on de l'échelon brigade? Si on veut qu'elles soient des réservoirs de forces pour composer des GTIA/SGTIA (pourrait-on trouver un acronyme prononçable?), on réintègre ces deux unités comme on veut, ça ne change fondamentalement rien: ça fait juste de la réserve en plus. Si on veut des grandes unités de manoeuvre parce qu'on se remet à penser à la guerre de haute intensité contre un adversaire qui a des brigades et des divisions, alors là il faut faire passer au moins une partie de l'orbat au régime de brigades organiques/intégrées, à la façon des BFST américaines, cad des grandes unités pensées comme un tout, dont le format reviendrait à quelque chose de plus classique pour des brigades (soit quelque part entre 3500 et 5000h, selon le modèle choisi), qui auraient intérêt à être relocalisées dans un périmètre géographique plus resserré pour pratiquer plus souvent le sport d'équipe. Et ça, c'est cher, et ça remet sans doute en question quelques choix de matos. Et à l'heure où ça semble vouloir faire plus de trucs communs avec d'autres pays européens, que ce soit réaliste/souhaitable ou pas, ça risque peu d'arriver. L'alternative à la BFA, c'est d'en faire une vraie brigade française au complet mais de la localiser en Allemagne avec un système de jumelage. Ça permettrait à la fois de la déployer facilement à l'étranger, mais aussi d'en faire un élément tourné vers la défense européenne que ce soit dans le cadre de la PSDC (cf. rattachement au CRR-E de Strasbourg) ou alors au profit de l'OTAN en pouvant déployer des GTIA et SGTIA dans les EFP par exemple. A ce titre cette brigade pourrait être mixte lourde-médiane avec le 3e RCh sur Leclerc, un régiment de cavalerie sur 10RC, 2 RI sur VBCI et 1 RI sur VAB. Donc cette brigade aurait une dominante exercices internationaux avec une mineure OPEX mais ses RETEX pourraient ensuite alimenter le reste de l'AdT. Pour ce qui est du role de Brigade, je ne pense pas que l'on s'oriente vers un modèle à l'américaine tout simplement parce qu'on a pas la place de constituer de tels camps, même si dans l'idéal ce serait mieux. La question c'est plutôt quel est le rôle de ces divisions ? Elles reprennent la mission des anciens états-majors de force, mais quoi d'autre ? On elles pour mission d’être chacune en mesure de former une Brigade inter-armes opérationnelle constituée à partir d'un agrégat de GTIA générés par les brigades ? Quand on regarde le contrat opérationnel, on doit pouvoir déployer deux BIA formant le cœur d'une division internationale dont la France serait le contributeur majeur et en assumerait le commandement. Ça correspond à l'architecture de deux divisions organiques générant 2 BIA commandées par le CRR-FR de Lille. En gros chaque échelon est capable de générer à partir des unités à sa disposition un échelon inférieur pour la projection. Je pense que c'est la logique qui a présidé l'organisation actuelle. Modifié le 3 novembre 2019 par FoxZz° Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Conan le Barbare Posté(e) le 3 novembre 2019 Share Posté(e) le 3 novembre 2019 (modifié) Je suis à 300% pour la création de grande base interarmées (des Légions moderne en fait...). Toutefois il faut les implantées non loin de grand bassin d'emplois (les grandes villes en somme ou certain gros bassins industriels...) pour faciliter la vie des familles de militaire et ainsi créé un vrais écosystème pérenne. C'est parfaitement possible, le foncier au alentours de la majorité des grandes villes n'est pas cher contrairement à ce que certains disent... et il n'est pas forcément nécessaire que le camp soit entièrement uni en un seul ensemble. Modifié le 3 novembre 2019 par Conan le Barbare Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tancrède Posté(e) le 3 novembre 2019 Share Posté(e) le 3 novembre 2019 4 hours ago, FoxZz° said: Pour ce qui est du role de Brigade, je ne pense pas que l'on s'oriente vers un modèle à l'américaine tout simplement parce qu'on a pas la place de constituer de tels camps, même si dans l'idéal ce serait mieux. Les camps de Champagne et Canjuers ne sont pas assez grands pour créer des grandes bases permanentes autour d'eux? Je conçois qu'il s'agirait en partie d'une opération d'urbanisation pour accommoder les familles et créer de l'activité qui rendent de tels endroits acceptables pour une population militaro-civile, mais ils ont de l'espace où de grandes unités peuvent manoeuvrer ensembles. Quote La question c'est plutôt quel est le rôle de ces divisions ? Elles reprennent la mission des anciens états-majors de force, mais quoi d'autre ? On elles pour mission d’être chacune en mesure de former une Brigade inter-armes opérationnelle constituée à partir d'un agrégat de GTIA générés par les brigades ? Quand on regarde le contrat opérationnel, on doit pouvoir déployer deux BIA formant le cœur d'une division internationale dont la France serait le contributeur majeur et en assumerait le commandement. Ça correspond à l'architecture de deux divisions organiques générant 2 BIA commandées par le CRR-FR de Lille. En gros chaque échelon est capable de générer à partir des unités à sa disposition un échelon inférieur pour la projection. Je pense que c'est la logique qui a présidé l'organisation actuelle. La réforme a maintenant plusieurs années, et je ne sais toujours pas ce que représentent ces "divisions", sinon être des unités-réservoirs pour EM projetables de forces "plug and play". Certainement pas des EM de division au sens où on l'entend normalement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 4 novembre 2019 Share Posté(e) le 4 novembre 2019 Il y a 2 heures, Tancrède a dit : La réforme a maintenant plusieurs années, et je ne sais toujours pas ce que représentent ces "divisions", sinon être des unités-réservoirs pour EM projetables de forces "plug and play". Certainement pas des EM de division au sens où on l'entend normalement. Il y a 7 heures, FoxZz° a dit : La question c'est plutôt quel est le rôle de ces divisions ? Elles reprennent la mission des anciens états-majors de force, mais quoi d'autre ? On elles pour mission d’être chacune en mesure de former une Brigade inter-armes opérationnelle constituée à partir d'un agrégat de GTIA générés par les brigades ? Je pense qu'il n'y a pas mystère, c'est exactement ça : unités-réservoirs pour EM projetables de forces "plug and play. Faut regarder ce qu'ils entendent par contrat opérationnel. - HE 1 : la situation opérationnelle de référence (SOR). La SOR peut être considérée comme le quotidien de la vie des militaires ; armer l’échelon national d’urgence (ENU) et le reconstituer, assurer les missions de dissuasion, protection et prévention ainsi que la gestion de crise (2 à 3 théâtres, 6 000 à 7 000 hommes) ; - HE 2 : hypothèse d’engagement en urgence dans le domaine de la protection (HE-PROT). Outre la SOR, elle comprend le renforcement du territoire national, sur lequel l’armée de Terre doit pouvoir déployer jusqu’à 10 000 soldats (TN 10 000), le renforcement de la posture permanente de sécurité et de la dissuasion (TN + DOM COM). C’est cette hypothèse d’engagement qui a été appliquée par les armées suite aux attentats de janvier 2015 ; - HE 3 : outre les missions réalisées dans le cadre de la HE-PROT, et moyennant quelques mutualisations de matériels "échantillonaires", l’hypothèse d’engagement majeur en intervention (HE-INTER) prévoit un engagement en coalition (MJO ou SJO), dans un délai de six mois et pour un engagement intensif de six mois, pour un volume de forces de deux brigades, ainsi que des moyens de commandement et de soutien associés (jusqu’à 21 000 hommes) afin d’honorer l’exigence d’être "nation-cadre". Au bilan, les hypothèses d’engagement fonctionnent à la manière de poupées russes : la SOR est comprise dans la HE-PROT, elle-même comprise dans la HE-INT, hypothèse la plus dimensionnante. 21 000 pax en coalition, organisés en deux brigades avec un délai de 6 mois et pour 6 mois. Etant entendu que ces forces sont générées par les deux divisions, mais aussi les forces organisées en commandements (ALAT, Rens, Log, SIC, éventuellement FS) A la louche avec une répartition au tiers ça fait 7000 pax par division , environ un GTIA par brigade , plus des éléments endivisionnés 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 15 novembre 2019 Share Posté(e) le 15 novembre 2019 Les trois priorités du nouveau chef d'état-major de l'armée de Terre, le général Burkhard https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/les-trois-priorites-du-nouveau-chef-d-etat-major-de-l-armee-de-terre-le-general-burkhard-833037.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 16 décembre 2019 Share Posté(e) le 16 décembre 2019 Intéressant : Citation Le Centre Terre Pour le Partenariat Militaire Opérationnel se met à l'AK47 (Merci à FH pour les infos) Le 3 décembre, 10 instructeurs et moniteurs ISTC du 21e RIMa, de la 13e DBLE, du 1er REG, du 1er Spahis et du 511e RT ont effectué au Centre Terre Pour le Partenariat Militaire Opérationnel du 51e RI à Mourmelon leur CATI2 à l’utilisation de fusils d’assaut de type AK47. Il s’agissait du premier stage de ce type organisé par le Commandement de l’Entraînement et des Ecoles du Combat Inter Armes et le Centre Terre Pour le Partenariat Militaire Opérationnel (CPMO). Le stage s’est articulé autour de deux étapes d’apprentissage : - la manipulation grâce à la mise en place d’un armement de manipulation (fusils d’assaut de manipulation pour la MOAL et à terme de l’armement collectif et des fusils de précision) - et le tir, grâce à l’achat en 2019 de 100 AK47 et de 50 000 cartouches. Deux Centres PMO: un au nord (51e RI Mourmelon) et un au sud (17e GA Biscarosse), sont désormais dotés du matériel permettant de dispenser une instruction sur du matériel étranger. Limitée pour l’instant à l’utilisation d’AK47, la formation dispensée dans ces Centres va s’étendre dans les mois qui viennent à d’autres armements (à commencer par des AK74 et des M16A4 en 2020) et à des véhicules qui ne sont pas en dotation dans nos forces. "Si l’armée de Terre est depuis très longtemps familière des actions de coopération de défense et en détient une véritable expertise, ce domaine prend aujourd’hui une nouvelle dimension au cœur de nos engagements opérationnels. Il nécessite d’être renforcé et mieux structuré", explique l'armée de Terre. "Les missions d’assistance militaire opérationnelle sont désormais remplacées par le PMO, afin de mieux prendre en compte l’environnement et les besoins du partenaire dans un esprit d’échange, d’approche globale, de fraternité d’armes renforcée et d’efficacité opérationnelle. C’est dans cette perspective que fonctionnent les deux Centres afin de permettre au personnel engagé dans le cadre d’une mission relevant du PMO de pouvoir interopérer immédiatement avec les armées étrangères disposant d’armement type AK47 en ayant reçu une formation préalable encadrée." Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
TimTR Posté(e) le 17 décembre 2019 Share Posté(e) le 17 décembre 2019 simple curiosité, quelqu'un saurait-il de quel modèle d'AK il s'agit ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Honsou Posté(e) le 17 décembre 2019 Share Posté(e) le 17 décembre 2019 vu les photos ce sont des Arsenal AR - 7.62x39mm avec chargeurs trouvables dans le civil Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LunchTime Posté(e) le 17 décembre 2019 Share Posté(e) le 17 décembre 2019 Tous les clones de AKM sont similaires. Il peut également s'agir d'un fusil polonais JACK polimer d'une usine privée WBP. http://wbprogow.pl/?page_id=424 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 22 janvier 2020 Share Posté(e) le 22 janvier 2020 Inauguration du CETIA. On va avoir une très bonne capacité d'entraînement inter-armes. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Scarabé Posté(e) le 27 janvier 2020 Auteur Share Posté(e) le 27 janvier 2020 Le CEMAT va annoncer un nouveau plan stratégique qui va être rendu public au pritemps 2020. https://www.defense.gouv.fr/web-documentaire/organigramme-adt-2018/organigramme-armee-terre.html#p=1 Il semblerait que ALALT va beneficier de pax supplementaires en soutien des RHC avec des nouvelles unites je sais pas si il anticipe le H160 mais ça y ressemble voir une commande d'avions à hélice A Pau Les Caracal Terre vont passer plus vite à l'armée de l'air qui devrait fermer Cazeaux On va peut etre avoir des commande de NH 90 en plus pour les FS du 4 RHC dont le soutien serait mutualiser avec le 5 RHC dans les nouveaux hangar en cours de construction photos ci dessous 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Algerino Posté(e) le 27 janvier 2020 Share Posté(e) le 27 janvier 2020 il y a 6 minutes, Scarabé a dit : Le CEMAT va annoncer un nouveau plan stratégique qui va être rendu public au pritemps 2020. https://www.defense.gouv.fr/web-documentaire/organigramme-adt-2018/organigramme-armee-terre.html#p=1 Il semblerait que ALALT va beneficier de pax supplementaires en soutien des RHC avec des nouvelles unites je sais pas si il anticipe le H160 mais ça y ressemble voir une commande d'avions à hélice A Pau Les Caracal Terre vont passer plus vite à l'armée de l'air qui devrait fermer Cazeaux On va peut etre avoir des commande de NH 90 en plus pour les FS du 4 RHC dont le soutien serait mutualiser avec le 5 RHC dans les nouveaux hangar en cours de construction photos ci dessous Les effectifs supplémentaires ne concernent que l'ALAT ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thibault2845 Posté(e) le 27 janvier 2020 Share Posté(e) le 27 janvier 2020 Je pense une augmentation dans le renseignement. Voir la logistique. On peut également imaginer un régiment entièrement consacré au combat aeromobile avec de l'infanterie de l'artillerie du génie etc Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Scarabé Posté(e) le 27 janvier 2020 Auteur Share Posté(e) le 27 janvier 2020 (modifié) il y a 21 minutes, Algerino a dit : Les effectifs supplémentaires ne concernent que l'ALAT ? Les trois Régiments d'hélicoptere de combats se relaie tous les 4 mois dans la BSS soit un deploment de 4 mois tout les ans pour chaque regiment et c'est un peu juste pour tourner. En plus de ça ils doivent asurer d'autre missions De sur ils vont crée des PPRAD peleton protection de reconnaissance et d'appui au déploiement supplementaires ensuite ils doivent rajouter des pax en soutein e peut etre plus de pilotes. Le 9e régiment de soutien aéromobile va aussi beneficier d 'un coup de plus. La Legion doit elle aussi pas mal recruter avec les depart des engager de 2015 qui ne resigne pas et peux etre des nouvelles compagnies dans les Regiment du Genie apres il faut attendre l'annonce Modifié le 27 janvier 2020 par Scarabé 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thibault2845 Posté(e) le 27 janvier 2020 Share Posté(e) le 27 janvier 2020 Des infos sur les PPRAD actuellement.?nombre organisation effectif équipement etc Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ColMoutarde Posté(e) le 1 février 2020 Share Posté(e) le 1 février 2020 Bonjour, Ce serait une augmentation d'effectifs ou à moyen constant (donc avec déflation ailleurs) ? Il me semblait que l'actuelle LPM n'autorisait pas d'augmentation sensible d'effectifs.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 1 février 2020 Share Posté(e) le 1 février 2020 http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2020/02/01/le-519e-gtm-redevient-un-regiment-du-train-20853.html Le 519e GTM redevient un régiment du Train ! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Scarabé Posté(e) le 14 février 2020 Auteur Share Posté(e) le 14 février 2020 (modifié) Le 27 BCA va projeter une compagnie en Norvege La 2e compagnie se prépare pour l’exercice Cold Response en Norvège. En vue de son départ au mois de mars pour l’exercice interalliés Cold Response en Norvège, la section de l’adjudant Nicolas de la 2e compagnie s’est entrainée au tir en neige au champ de tir de Morsullaz en Haute-Savoie. Par -12°C, les chasseurs de la 2 ont revu les fondamentaux du tir par grand froid, leur permettant ainsi d’affronter les conditions extrêmes du cercle polaire norvégien en toute sérénité. Un Escadron du 2em Regiment Hussards va les accompagner aprés un petit stage à Modane Ils ont tous embarqué sur le HS Karl Doorman. Dans le grondement des vagues de la mer du Nord, ils naviguent vers la la Norvege Tous nos remerciements à nos hôtes et homologues hollandais, spécialistes de la reconnaissance mais aussi aux marins du HS Karl Doorman. » J'attends les photos des Quads avec les chenilles et desTechnamm Masstech T4 qui ont embarquer avec des soldat Hollandais et leur VHM sur le TCD Modifié le 14 février 2020 par Scarabé 2 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 15 février 2020 Share Posté(e) le 15 février 2020 Il y a 12 heures, Scarabé a dit : avec des soldat Hollandais et leur VHM sur le TCD Juste deux remarques. Le Karel n'est pas vraiment un LPD (ou TCD) il n'a pas de radier, juste une rampe pour faire du porte à porte. Sur le tribord on note la rame d'embarquement sur quai. Il peut embarquer deux LCVP sur bossoirs. C'est plutôt un auxiliaire qui sert au transport et logistique; il est d'ailleurs classé A. A noter que le SEEBATAILLON (fusiliers) de la marine allemande l'utilise aussi. S'il y a des VHM hollandais, ce ne seront pas des "soldats" mais plutôt des "Mariniers". A ma connaissance, seule marine hollandaise a ce type de véhicule 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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