BPCs Posté(e) le 1 octobre Share Posté(e) le 1 octobre Le 29/09/2025 à 20:50, g4lly a dit : Il n'y a aucun intérêt à ajouter de la masse à un élément non suspendu, ca pourri littéralement la comportement du véhicule. Donc blinder une "jante" est souvent une très mauvaise idée. Mais concrètement dans ce concept là, une couverture blindée est clairement envisagée. Air Suspension Wheels: design for a bulletproof military vehicle wheel Global Air Cylinder Wheels Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 1 octobre Share Posté(e) le 1 octobre il y a 18 minutes, BPCs a dit : Air Suspension Wheels: design for a bulletproof military vehicle wheel. Global Air Cylinder Wheels Tu peux toujours ajouter des préblindage latéraux sur les moyeux ou jante ca a été proposé par des équipementier de pneumatique. Mais augmenter la masse des élément non suspendu - par la suspension des trains de roulement - se fait au détriment du travail de la suspension. Après c'est un compromis comme un autre. Il faut juste accepter que ce sera beaucoup plus compliqué à suspendre correctement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 1 octobre Share Posté(e) le 1 octobre il y a 22 minutes, g4lly a dit : Il faut juste accepter que ce sera beaucoup plus compliqué à suspendre correctement. Sauf si la roue métallique est plus légère que l'ensemble pneu + jante. Auquel cas le surblindage peut ramener à la valeur de la roue classique sans rajouter de complexité liée à la masse Or on a l'exemple de la roue de tracteur de l'EBR Panhard qui justement était utilisée pour peser moins qu'une roue standard. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) mercredi à 21:59 Share Posté(e) mercredi à 21:59 il y a 12 minutes, BPCs a dit : Sauf si la roue métallique est plus légère que l'ensemble pneu + jante. Auquel cas le surblindage peut ramener à la valeur de la roue classique sans rajouter de complexité liée à la masse Pourquoi pas ... Citation Or on a l'exemple de la roue de tracteur de l'EBR Panhard qui justement était utilisée pour peser moins qu'une roue standard. Dans l'exemple on perdait la fonction suspension du pneumatique quand meme ... --- Ce qui me chagrine c'est que si les roues entierement métallique étaient la panacée pourquoi les utilisateurs professionnels n'en utilisent pas plus. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) jeudi à 03:51 Share Posté(e) jeudi à 03:51 Il y a 5 heures, g4lly a dit : Dans l'exemple on perdait la fonction suspension du pneumatique quand meme ... Quand je cite la roue métallique de l'EBR c'est juste pour pointer qu'étant plus légère que la roue normale, il devient possible de rajouter une plaque de blindage sans augmenter la masse non suspendue. Il y a 5 heures, g4lly a dit : Ce qui me chagrine c'est que si les roues entierement métallique étaient la panacée pourquoi les utilisateurs professionnels n'en utilisent pas plus. Justement parce que l'on perdait la suspension et l'amortissement apporté par le pneu. D'où l'avancée de l'Air Suspension Wheel (ASW) qui apporte la suspension intérieure à la roue métallique et la résistance extérieure que n'a pas le pneu et que n'aura pas l'uptis de Michelin. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) jeudi à 05:39 Share Posté(e) jeudi à 05:39 Il y a 10 heures, clem200 a dit : Il y a 17 heures, BPCs a dit : La 7e BB a bien remarqué lors des exercices conjoints avec les alliés que les véhicules à roues allaient moins vite que ceux à chenilles des alliés. Expand J'espère qu'ils ont remarqué ça il y a 70 ans et pas récemment ... Il faut se rappeler que les déploiements à l'est et au Nord n'étaient plus une question d'importance depuis la chute du mur. A l'échelon d'une carrière militaire c'est toute une génération qui n'a pas été confrontée à ces terrains. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) jeudi à 08:49 Share Posté(e) jeudi à 08:49 Il y a 14 heures, g4lly a dit : S'il faut vraiment déplacer les engin rapidement on les colle sur un remorque tiré par un PL ... tu peux les déplacer à 110km/h sans les user ni leur équipage. Je remarque que la question du gabarit te pose un problème uniquement quand il s'agit de mettre des roues plus larges au engins blindés à roues mais pas pour mettre des chenillés de 3,60 m sur un porte-char. Pourtant dans les 2 cas, on est dans du convoi exceptionnel de catégorie 2 (c.a.d. entre 3 et 4 m de large) Citation Catégorie 2 : longueur allant de 16,6 à 20 mètres, largeur entre 3 et 4 mètres, et poids total compris entre 48 et 72 tonnes. Mais comme le fait remarquer @Polybe on n'a pas la quantité de portes-char nécessaires pour mettre toute une force sur porteur. Et de surcroît leur débarquement est aussi un moment d'exposition aux risques. Pour ceux qui n'ont pas suivi les pages d'avant, les roues métalliques avec suspension internes ASW sont réalisables à la demande, dans les largeurs souhaitées, puisqu'il s'agit de roues durant la vie du véhicule et donc pas dépendante d'une gamme de pneus donnés. On pourrait ainsi imaginer des VBCI EGC ou EBRC sur des roues aussi larges qu'un G6 Denel (dont les 6 roues supportent 46t) afin d'augmenter le surface pitch. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Salverius Posté(e) jeudi à 10:32 Share Posté(e) jeudi à 10:32 La roue et la chenille sont complémentaires. Il ne faut pas les opposer: chacune a ses défauts et ses avantages. Le souci de l'armée française est qu'elle a fait le choix exclusif de la roue. Or cela ne devrait pas changer d'ici une quinzaine d'années, le temps de renouveler une partie de ces équipements et spécialement les VBCI. A mon avis, on pourrait "bricoler" une solution pour améliorer l'adhérence des blindés du programme SCORPION dans les derniers kilomètres. Je pense que l'armée pourrait s'inspirer des systèmes de "conversion à chenilles" que l'on retrouve en agriculture, le tout pour un coût maîtrisé. Le système de chenilles prend la place de la roue, sans qu'il soit besoin d'adapter le véhicule. Le Blindé roulerait jusqu'à la zone de front, puis chausserait ses chenilles à proximité du champ de bataille. Cela demande moins de logistique que d'utiliser des porteurs. Je vous joins une illustration (un peu moche) pour illustrer: On retrouverait une configuration proche des Half-track de la deuxième Guerre Mondiale. A tester en conditions difficiles pour voir s'il y a un gain opérationnel. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polybe Posté(e) jeudi à 17:11 Share Posté(e) jeudi à 17:11 Il y a 21 heures, g4lly a dit : Un VCI chenillé ne coute pas plus cher qu'un VCI à roulette ... le cout de l'engin n'est pas déterminant ici. Ce qui est déterminant ici c'est que les choix du passé, impose nos mode de combat d'aujourd'hui. Tu explique "Effectivement, je ne cesse de te démontrer que jusque là, on a eu l'outil qu'il nous fallait." A mon sens c'est une dialectique douteuse. En vrai on a fait avec ce qu'on avait en adaptant tactique et stratégie à l'outil et pas l'inverse. On ne saura jamais si c'était le meilleur outil, juste que par la force des choses on a fait avec. Et comme ce n'était pas des situations très contraignante - personne n'a envahi l'Alsace - on a pu librement adapté. De là à dire que c'était prévu dans les politiques d'acquisition il y a un monde. Je ne raisonne pas en VHL, mais en environnement total (porte-char compris donc, plus le reste etc. tu m'as compris). Oui tout à fait pour le côté déterminant. C'est casse-gueule, en effet. Mais tous le monde dans les armées a bien conscience qu'il faut changer de logiciel, et s'y attelle. J'ai surtout l'impression qu'il y a une incompréhension à ne pas comprendre pourquoi les changements ne vont pas àla vitesse du forum. Il faut vraiment l'expliquer ? ^^ Et je passe les incertitudes budgétaires. Rien que sur le forum on nous explique que les russes ne sont pas une menace blablabla. Dans ce contexte là, budget + opinion public, dire qu'il faut tout changer maintenant de suite, en achetant pas français ou je ne sais quoi... Pire, on a un doute sur le "quoi" exactement. Encore d'accord. Erf...et bien si pour le coup je maintiens que la HI a toujours été dans l'esprit de certains. Certes pas les "légers" sur lesquels tous le monde se branle depuis des années. Mais ça n'est pas parce qu'on écoutait pas les "lourds" qu'on y pensait pas. Il y a 6 heures, Salverius a dit : La roue et la chenille sont complémentaires. Il ne faut pas les opposer: chacune a ses défauts et ses avantages. Le souci de l'armée française est qu'elle a fait le choix exclusif de la roue. Or cela ne devrait pas changer d'ici une quinzaine d'années, le temps de renouveler une partie de ces équipements et spécialement les VBCI. A mon avis, on pourrait "bricoler" une solution pour améliorer l'adhérence des blindés du programme SCORPION dans les derniers kilomètres. Je pense que l'armée pourrait s'inspirer des systèmes de "conversion à chenilles" que l'on retrouve en agriculture, le tout pour un coût maîtrisé. Le système de chenilles prend la place de la roue, sans qu'il soit besoin d'adapter le véhicule. Le Blindé roulerait jusqu'à la zone de front, puis chausserait ses chenilles à proximité du champ de bataille. Cela demande moins de logistique que d'utiliser des porteurs. Je vous joins une illustration (un peu moche) pour illustrer: On retrouverait une configuration proche des Half-track de la deuxième Guerre Mondiale. A tester en conditions difficiles pour voir s'il y a un gain opérationnel. Le XL, l'EBG, le LRU...y en a encore, et on en reparle. Faut pas être plus caricaturaux que les militaires eux-mêmes. ^^ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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