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L'emploi de 3 millions de salariés menacé par les robots d'ici 2025


zx

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real human time

 

L'emploi de 3 millions de salariés menacé par les robots d'ici 2025

 

http://www.lefigaro.fr/emploi/2014/10/26/09005-20141026ARTFIG00117-l-emploi-de-3-millions-de-salaries-menace-par-les-robots-d-ici-2025.php

 

France : d'ici à 2025, les robots pourraient tuer trois millions d'emplois

http://www.lepoint.fr/economie/france-d-ici-a-2025-les-robots-pourraient-tuer-trois-millions-d-emplois-26-10-2014-1875730_28.php

 

Si cela doit toucher des cadres supérieurs, des ingénieurs, des juristes, des journalistes, etc.., je suppose que ca concernera aussi les postes dans l'armée  et les état majors.

 

 

i, robot

Modifié par zx
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Nous aimons bien les communications et les déclarations journalistiques émises  par des personnes – et ce n’est pas une critique – ignorant des techniques dont ils parlent, donc des implications. Aucun débats sur les médias suite à ces déclarations un peu à l’emporte pièces.

 

Depuis le métier de la machine à tisser de Jacquard, c’est le même leitmotiv qui prédomine, a savoir l’emploi qui va être sacrifié au nom du modernisme, de la machine industrielle.

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9tier_Jacquard

 

C’est vrai sur nombres de métiers ainsi remplacés, mais  en oubliant le nombre d’emplois créé par lesdites machines modernes.

 

> Le premier est le moteur, remplaçant le cheval. Pour ne citer que l’armée, celle-ci à été fort longue à s’y adapter au nom du cheval précisément et des régiments de cavalerie que les blindés ne pouvaient pas remplacer. Or, loin de supprimer des emplois induits, ce fut l’explosion (sans jeu de mots) de l’emploi sur ces nouvelles applications.

 

> Le second fut « l’automation » ou « l’automatisation » avec les machines-transferts conçu par un ingénieur Français dans un camp de concentration nazi. Ce fut appliqué rapidement après guerre dans l’industrie automobile en remplacement des ouvriers-postés à une tache et seulement une tache (Le Taylorisme de l’ingénieur américain Taylor, de chez Ford et appliqué chez les industriels Français, comme Renault, Simca, Panhard, Peugeot, etc.)

 

> Le troisième fut l’ordinateur et l’informatique (dont la définition est la science du traitement de l’information). Ce fut des cris de détresse avec la fin des « pools » de dactylographie entre autres. Aujourd’hui, peut-on soutenir cette thèse ? L’informatique est rentrée partout dans notre vie et les entreprises en font un emploi massifs alors que nous manquons de programmeurs, d’analystes – programmeurs, d’architectes de réseaux, d’ingénieurs, etc.

Le génie logiciel ou l’art de développer des logiciels, connait toujours une évolution rapide. Or, loin de supprimer des emplois induits, ce fut l’explosion de l’emploi sur ces nouvelles applications.

Rien qu’avec le langage Java (mot argotique américain pour dire café – « caoua » en français et dont le logo de ce langage est une tasse de café fumante), il y a un manque chronique de développeurs.

 

> Enfin, pour le sujet qui nous préoccupe et initialisé par ZX, nous avons le même problème de posé. Les Robots sont actuellement utilisés intensément par les fabricants de carrosseries automobiles avec des robots-soudeurs de plus de 400 Ampères (et plus) par soudure (la firme A.R.O dans la Sarthe en France pour ne citer qu’eux). Certes, les nouveaux concepts automobiles de légèreté et de solidité comparable à l’acier (utilisation du carbone) au titre des économies d’énergies vont altérer ce type de robots, mais bien d’autres sont en conception aux niveaux des laboratoires de nombreuses entreprises. Nous pourrons constater que la fabrication, les conceptions, l’emploi multiple de ces nouveautés engendreront des emplois induits.

 

Que 3 millions de postes soit supprimés c’est fort passible, mais combien seront créés ?

Il faut savoir qu’en économie – hors crise – le nombre d’emplois détruit chaque année est de cet ordre et que le nombre d’emplois créés est du même ordre. Une gamme de voiture dont la fin est annoncée verra le nombre d’emplois correspondant supprimés dans les statistiques alors que la nouvelle gamme de voitures de remplacement verra un nombre d’emplois récréés. C’est le principe des vases communicants !

 

Cordialement.

Janmary

 

Ex-ingénieur électronicien

Spécialisé en transmission de données et automatismes

Master d'informatique

Modifié par Janmary
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C’est vrai sur nombres de métiers ainsi remplacés, mais  en oubliant le nombre d’emplois créé par lesdites machines modernes.

 

Mais ne remplaçant jamais nombre pour nombre les emplois détruits. Deuxièmement, la mécanisation détruit des emplois peu/moyennement qualifiés accessibles à tous pour les remplacer par des emplois qualifiés. La caissière licenciée pour être remplacée par un self-scan ne va pas se reconvertir du jour au lendemain en technicienne d'automatisation pour entretenir la machine qui lui a fait perdre son emploi.

Modifié par Kiriyama
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Mais ne remplaçant jamais nombre pour nombre les emplois détruits. Deuxièmement, la mécanisation détruit des emplois peu/moyennement qualifiés accessibles à tous pour les remplacer par des emplois qualifiés. La caissière licenciée pour être remplacée par un self-scan ne va pas se reconvertir du jour au lendemain en technicienne d'automatisation pour entretenir la machine qui lui a fait perdre son emploi.

 

1- Oui, la destruction créatrice est un très beau concept mais le rythme de l'innovation est aujourd'hui bien trop rapide. Ce concept fut inventé à une autre époque... 

2- Ces emplois, du moins dans l'industrie, ont déjà disparu du fait de la concurrence des pays à bas salaire. Maintenant ce sont les emplois de service qui vont dégager, les travailleurs pauvres vont disparaître, ils redeviendront des vrais chômeurs. 

3- Pourquoi pas? pas du jour au lendemain, pas on peut former les gens beaucoup mieux.

4- Se pose bien évidement la question de la réduction du temps de travail, question qui ne peut être abordé dans le cadre d'une économie mondialisé où la sacro-sainte "compétitivité" interdit toute mesure pouvant la dégrader.

 

=> Nous sommes fait comme des rats. 

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Le problème aussi est que la destruction créatrice nécessite une formation constante des travailleurs pour les remettre à niveau ou les réorienter vers un nouveau métier. Or d'une part les capacités de formation des institutions (Pôle Emploi, FOREM, Bruxelles Formation...) sont extrêmement faibles, totalement incapables de former les milliers de personnes qui perdent leurs emplois. Deuxièmement, se pose aussi la question de la formation et reformation permanente. Est-ce qu'une personne peut quitter son emploi et apprendre un nouveau métier d'un claquement de doigt (les temps de formation sont extrêmement courts) tous les 4 ou 5 ans ? Apprendre un nouveau métier (j'en sais quelque chose) est quelque chose d'extrêmement difficile et demande un énorme effort. Honnêtement si c'était à refaire je ne pense pas en être à nouveau capable. De plus qu'elle serait la valeur de quelqu'un qui change de métier à intervalle régulier, sans jamais avoir le temps de prendre de l'expérience ? 

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L'emploi de 3 millions de salariés menacé par les robots d'ici 2025

 

http://www.lefigaro.fr/emploi/2014/10/26/09005-20141026ARTFIG00117-l-emploi-de-3-millions-de-salaries-menace-par-les-robots-d-ici-2025.php

 

France : d'ici à 2025, les robots pourraient tuer trois millions d'emplois

http://www.lepoint.fr/economie/france-d-ici-a-2025-les-robots-pourraient-tuer-trois-millions-d-emplois-26-10-2014-1875730_28.php

 

Si cela doit toucher des cadres supérieurs, des ingénieurs, des juristes, des journalistes, etc.., je suppose que ca concernera aussi les postes dans l'armée  et les état majors.

 

 

i, robot

 

La solution est simple. Diminuer les temps de travail de tout le monde pour que chacun puisse travailler, il n'y a rien de compliqué au final...

Enfin valable si on arrête de se mettre en concurrence avec des pays qui ne jouent pas dans la même catégorie que nous (salaires minables, lois du travail inexistantes, lois sur l'environnement absentes etc.), puis revoir notre système libre échangiste, compétitif et migratoire, sinon c'est la mort assuré de notre société (problémes sociaux grandissants, violences etc.).

 

La Norvège est un bon exemple, les gens décident d’arrêter de travailler lorsqu'ils se rendent compte que dans un mois ils ont assez gagné d'argent. C'est donc du domaine du possible (bon il faut aussi que les pouvoir publiques jouent le jeu et n'essaient pas de casser le système par une immigration massive comme ils tentent de le faire en Norvège).

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Ah ? Moi je trouve qu'à chaque fois c'est un peu plus facile d'apprendre un nouveau métier. Après il y a effectivement des métiers qui demande la maîtrise d'une technique particulièrement complexe et qui donc sont plutôt du domaine de la spécialisation (avant de faire de "vrais soudures" dans les règles de l'Art tu en fait des trous et des boudins... Et il y en a plein qui ne maîtrisent jamais vraiment leur sujet.) etc...

Mais le truc c'est surtout que, un peu aujourd'hui déjà, et demain surtout, on fabrique des robots qui fabriques d'autres robots dont des robots qui servent à réparé les robots qui fabriques les robots... Bref à par les concepteurs (eux même hyper assisté par ordinateur) il n'y a plus grand monde comme humains... Après je suis sur que l'on trouvera une solution mais bon...

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Le problème aussi est que la destruction créatrice nécessite une formation constante des travailleurs pour les remettre à niveau ou les réorienter vers un nouveau métier. Or d'une part les capacités de formation des institutions (Pôle Emploi, FOREM, Bruxelles Formation...) sont extrêmement faibles, totalement incapables de former les milliers de personnes qui perdent leurs emplois. Deuxièmement, se pose aussi la question de la formation et reformation permanente. Est-ce qu'une personne peut quitter son emploi et apprendre un nouveau métier d'un claquement de doigt (les temps de formation sont extrêmement courts) tous les 4 ou 5 ans ? Apprendre un nouveau métier (j'en sais quelque chose) est quelque chose d'extrêmement difficile et demande un énorme effort. Honnêtement si c'était à refaire je ne pense pas en être à nouveau capable. De plus qu'elle serait la valeur de quelqu'un qui change de métier à intervalle régulier, sans jamais avoir le temps de prendre de l'expérience ? 

 

Il n'y a pas plus de destruction creatrice que de beurre au cul ... Dans le meilleur des cas il y a un "renouvellement" du tissu productif. La destruction en elle meme ne produit rien. D'ailleurs a la base le concepte qui se cache derriere cette formulation marketing est péjoratif. Pour le coté philosphique du concept, c'est l'inverse ... la création engendre "nécessairement" la destruction ... c'est tout de suite moins sexy.

 

Autre chose. L'augmentation de la productivité par la mécanisation, qui permet de se passer de l'homme "couteux" pour produire, est sensé libérer l'homme des basse oeuvre de production. Ainis il devrait etre disponible pour produire autre chose de plus élaboré que ce qu'un vulgaire robot puissent produire.

 

Le probleme c'est que cette transition dans l'emploi, depuis un travail répétitif et méchnaisable, vers des emplois non méchanisable est loin d'etre évidente. Il y a la barriere de la compétence ... il y a aussi la barriere du marché. Si demain tous les ouvrier "spécialisé" deviennent écrivains de romans ... je doute que le volume de roman vendu se voit multiplié par l'afflux de nouveau romancier.

 

Donc si en théorie mobiliser du capital et donc du progres, et donc plus de productivité sur un poste de travail, c'est "bon" a la fois pour le producteur - qui va produire plus et moins cher - , mais aussi pour le produisant qui va etre libéré de cette tache peu valorisante... en Pratique, le produisant se retrouve le plus souvent exclu tout simplement exclu du systeme de production car n'étant plus utile a personne donc plus employable, puisque justement il ne sait faire que ce que le robot fait a sa place.

 

Et comme a ce probleme on a pas du tout trouvé de solution, ni dans la formation, ni  dans le marché ... on se retrouve avec une productivité qui croit bon an mal an de 2 a 3% l'an, et donc un besoin de mains d'oeuvre qui se réduit d'autant, tant qu'on ne produite pas plus au dela des 2 à 3% gagné par la productivité.

Ah ? Moi je trouve qu'à chaque fois c'est un peu plus facile d'apprendre un nouveau métier. Après il y a effectivement des métiers qui demande la maîtrise d'une technique particulièrement complexe et qui donc sont plutôt du domaine de la spécialisation (avant de faire de "vrais soudures" dans les règles de l'Art tu en fait des trous et des boudins... Et il y en a plein qui ne maîtrisent jamais vraiment leur sujet.) etc...

Mais le truc c'est surtout que, un peu aujourd'hui déjà, et demain surtout, on fabrique des robots qui fabriques d'autres robots dont des robots qui servent à réparé les robots qui fabriques les robots... Bref à par les concepteurs (eux même hyper assisté par ordinateur) il n'y a plus grand monde comme humains... Après je suis sur que l'on trouvera une solution mais bon...

 

Il faut se méfié beaucup de métier demande tout une vie pour exceller ou presque ... zapper d'un métier a un autre rapidement c'est pour de nombreux métiers se résigner a la médiocrité. Je sais bien que la médiocrité c'est devenu tres banal et acceptable de nos jour tant que le pognon rentre, mais c'est aussi un des meilleur moyen de dévaloriser le travail.

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Il faut se méfié beaucup de métier demande tout une vie pour exceller ou presque ... zapper d'un métier a un autre rapidement c'est pour de nombreux métiers se résigner a la médiocrité. Je sais bien que la médiocrité c'est devenu tres banal et acceptable de nos jour tant que le pognon rentre, mais c'est aussi un des meilleur moyen de dévaloriser le travail.

 

Je suis assez d'accord, seulement c'est le mode de fonctionnement des USA et personne ne peut leur reprocher leur manque de technicité.

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@ Drakene

 

Je suis bien d'accord avec toi. Le problème étant que les décideurs (politiciens, grands patrons...) veulent plutôt, au contraire, presser le citron au maximum.

 

@ Conan

 

Ça dépend ce que tu appelles "apprendre" un métier. Si c'est les bases, oui, tu peux vite te débrouiller. Mais après c'est pas dit que se débrouiller suffise pour garder un emploi et être productif.

 

Je suis assez d'accord, seulement c'est le mode de fonctionnement des USA et personne ne peut leur reprocher leur manque de technicité.

 

Ça dépend pour quel métiers ils pratiquent ce zapping de l'emploi. Pour des métiers peu ou pas qualifiés du tout c'est faisable, mais pour les métiers hautement techniques c'est impossible. Tu ne développes pas des avions, des voitures, des appareils médicaux en changeant d'ingénieurs tous les deux ans.

Modifié par Kiriyama
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Apprendre un nouveau métier (j'en sais quelque chose) est quelque chose d'extrêmement difficile et demande un énorme effort. Honnêtement si c'était à refaire je ne pense pas en être à nouveau capable. De plus qu'elle serait la valeur de quelqu'un qui change de métier à intervalle régulier, sans jamais avoir le temps de prendre de l'expérience ? 

 

Question d'habitude, je change de métier presque tous les ans... Je suis d'accord avec Conan, c'est plus facile quand on a l'habitude de changer. G4lly effectivement ça n'est pas valable pour certain métier qui nécessite des connaissances et un savoir faire qui prend du temps à acquérir. Tout le monde n'est pas forgeron de katana ou fabriquant de porcelaine Kakiémon, la plupart des métiers s'apprennent très bien sur le tas et rapidement.

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Niveau qualification, sur l’échelle des compétences, barman ça se place où ? Ce type d'emploi est menacé par les robots ?

 

Ça dépend. Un robot sera-t-il assez futé pour comprendre quand offrir la tournée de shots au groupes présent pour s'assurer qu'il reste une heure de plus ? That is the question !

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L’étude en question à été développé par Mr Hakim el Karoui, associé au cabinet Roland Berger.

 

Comme toute étude, il y estimation (empiriques) des marchés pour les robots dans notre cas, donc de destructions d’emplois par remplacement par ces automates – dans le sens combinatoire des fonctions et non séquentielles -   et  il y a absence d’études de nouveaux emplois, car le cabinet n’a pas pu estimer les nouveaux gisements d’emplois nouveaux.

 

Depuis longtemps, ces annonces sur des études réalisées se font par des organismes travaillant sur un sujet donné. Le C.E.A (Commissariat à l’Energie Atomique) par exemple travaille sur le futur des centrales nucléaires et des développements et futurs réalisations dans son domaine.

 

Dans le domaine du numérique, peu de cabinets s’investissent pour faire connaitre les voies possibles des développements. Un Google Européen, les réalisations sur l’auto-conduite des automobiles, etc. sont  synonyme d’emplois important.

 

Les emplois de demain, comme ceux d’aujourd’hui, sont sous le signe de la formation avec une base large et importante liée à des remises à niveaux réguliers. Ce fut mon cas –si vous me permettait avec mes excuses -  ou je suis parti de la radioélectricité, puis de l’électronique analogique, puis numérique (ce qui m’à valu des déplacements en Polynésie Française) en passant des transistors  aux circuits  intégrés, puis en couche mince, avant d’accéder à l’informatique appliqué à l’électronique avec des langages de programmation tel que Basic, Fortran, Pascal, Java, etc.

 

Je veux dire par là, que la connaissance évolue de façon constante et qu’elle doit le moteur de notre vie professionnelle.

Les paysans eux-mêmes, désormais, sont assujettis à l’obtention de diplômes agricole pour la connaissance, Brevet de techniciens ou BTS (Brevet de Techniciens Supérieurs). C’est la rançon du progrès.

 

Le gros problème d’aujourd’hui, se sont les jeunes sans formation quittant le système scolaire ou les anciens restant dans des services sans bouger et qui se retrouvent a un moment donné devant un obstacle. Je pense à nombres d’agents des Télécomm – que j’ai connu - qui ont du quittés leurs travails en stations, avec avantage tel la voitures, etc. et qui se sont retrouvés dans un service avec > 60 appels téléphoniques en relance clients avec ventes de produits à la clé. Pour certains, les nerfs ont craqués.

 

La productivité avec ces nouvelles techniques, à son pendant avec la non-productivité, tel les professions de coiffure, de femmes de ménages, d’aides à la personne, etc. Beaucoup d’économistes croient au service à la personne qui va prendre une grande place dans notre vie du fait du vieillissement des générations.

 

C’est donc un sujet vaste et complexe qui ne peut être traités de façon rapide. Les « perdants » sont les « sans-formation ». Il y a quelques apports économiques pour régler ce problème avec la semaine à horaire variable (de 32 h à 48 h, maximum européen autorisé) avec modification des taux de prélèvements sociaux  en fonction des heures effectuées dans le cadre de l’entreprise, et ceci  parmi d’autres.

 

Janmary

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Question d'habitude, je change de métier presque tous les ans...

 

Euh... Qu'est-ce que tu fais comme métier ?

 

Ça dépend. Un robot sera-t-il assez futé pour comprendre quand offrir la tournée de shots au groupes présent pour s'assurer qu'il reste une heure de plus ? That is the question !

 

On peut très bien avoir un barman pour superviser des robots serveurs.

 

Maintenant il est vrai que certains métiers qui nécessitent le contact humain résisteront mieux.

Modifié par Kiriyama
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Je ne crois pas à la réduction du temps de travail à la longue (ni augmentation importante). Les besoins des hommes sont illimités et ne sont limités que par leur pouvoir d'achat à un instant T ; lesdits besoins changent juste de nature avec le temps, soi que la mode à changé et crée l’engouement pour un produit et fait oublier un autre, soi le niveau de satiété a été atteint pour un bien quelconque (exemple la nourriture) et fait porter l’intérêt du consommateur sur autre chose quand il a un surplus disponible. Et c'est ce qui explique que l’industrie et avant elle l'agriculture ont été et continuent à être minoré dans le PIB en faveur des services dont la demande augmente elles continument.

 

 

Le vrai défi comme l'indique Janmary est la requalification des adultes au faible qualifications. Le sujet m’intéresse beaucoup, mais j'avoue avoir trouvé peu de programmes/initiatives systématique concluantes. à dire vrai je n'en connais aucune ; juste des initiatives dispersés qui tiennent plus de l'artisanat alors qu'il faudrait une industrie de la reconversion. C'est très inquiétant pour l'avenir et soupçonne des impossibilités: une caissière ne codera probablement jamais un programme informatique...

 

 

Le plus probable selon moi sera l'exacerbation la tendance actuelle: une réduction du périmètre de la population réellement active à des personnes qualifiés  genre CSP/experts+ avec les boulots de chiens non encore automatisés, une classe moyenne étrillé et une population vivant de plus en plus de l'aide sociale pour pacifier la société et solvabiliser avec un pouvoir d'achat suffisant les consommateurs-allocataires, histoire de faire tourner l'économie. 

Modifié par Shorr kan
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Je ne crois pas à la réduction du temps de travail à la longue (ni augmentation importante). Les besoins des hommes sont illimités et ne sont limités que par leur pouvoir d'achat à un instant T ; lesdits besoins changent juste de nature avec le temps, soi que la mode à changé et crée l’engouement pour un produit et fait oublier un autre, soi le niveau de satiété a été atteint pour un bien quelconque (exemple la nourriture) et fait porter l’intérêt du consommateur sur autre chose quand il a un surplus disponible. Et c'est ce qui explique que l’industrie et avant elle l'agriculture ont été et continuent à être minoré dans le PIB en faveur des services dont la demande augmente elles continument.

 

 

Le vrai défi comme l'indique Janmary est la requalification des adultes au faible qualifications. Le sujet m’intéresse beaucoup, mais j'avoue avoir trouvé peu de programmes/initiatives systématique concluantes. à dire vrai je n'en connais aucune ; juste des initiatives dispersés qui tiennent plus de l'artisanat alors qu'il faudrait une industrie de la reconversion. C'est très inquiétant pour l'avenir et soupçonne des impossibilités: une caissière ne codera probablement jamais un programme informatique...

 

 

Le plus probable selon moi sera l'exacerbation la tendance actuelle: une réduction du périmètre de la population réellement active à des personnes qualifiés  genre CSP/experts+ avec les boulots de chiens non encore automatisés, une classe moyenne étrillé et une population vivant de plus en plus de l'aide sociale pour pacifier la société et solvabiliser avec un pouvoir d'achat suffisant les consommateurs-allocataires, histoire de faire tourner l'économie. 

 

Tais-toi! "Le marché" (entité impalpable et inexplicable, mais avec, paraît-il une grosse main qui se fourre partout sans qu'on la voie) est parfait et résout tout, surtout si on le laisse faire, c'est bien connu, on le répète assez, y compris sur ce forum :-[ . Foin de cette idée d'une re-féodalisation de la société, enfin! 

 

Sinon, l'avenir du bar:

- des robots, de l'automatisation partout, à chaque table, pour amener direct les consos à des spots multiples

- un "stratège de salle", observant et gérant le timing et les consos des clients, anticipant la demande, décidant des "happy minutes", "free for the girls".... En temps réel

- des robots-grouillots pour les consos basiques et mélanges simples

- un ou des "maître de cocktails" pour assembler des trucs poussés et faire le show

- un psychologue/ psychanalyste de salle pour remplir cet autre office de l'antique barman: l'épaule pour chialer et se plaindre de Bobonne ou Marcel et de la méchanceté de la vie

- optionnel: des animateurs/animatrices choisis pour leur physique et leur déhanchement, voire leur délurement, histoire de pousser à dépenser et fidéliser la clientèle solitaire (marché en croissance constante en zone urbaine)

 

Tu vois? Que d'emplois en perspective dans les bars..... Le seul truc qui risque de manquer, si les prévisions énoncées dans ce topic s'avèrent un peu trop vraies.... Ce sont les clients (donc le nombre de bars, au final). 

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Ils ne faut pas s'inquiéter. L'explosion des licenciements et du désœuvrement seront un coup de boost à cette branche d'activité qui a un avenir radieux devant elle. Le chômeur est presque toujours un poivrot qui s'ignore et le pas est vite franchi, qui d'ailleurs trouve toujours miraculeusement le moyens de se payer ou se faire payer sa bibine.

 

Non, aucune crainte à avoir. La boisson et les débits de boissons sont des secteurs d'avenir.

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Le nombre de bars est pas en diminution, en terme de tendance lourde? Il me semblait que c'était le cas. 

 

De plus, faudra voir la structure de coût d'une robotisation du métier: pour l'instant, ça sent plus comme le genre de trucs qui sera cantonné pour très longtemps aux bars de luxe (ceux où en fait on veut voir de la belle chair, du barman expert, du contact humain mais très domestiqué) pour le côté gadget inutile et cher, et éventuellement à des débits de boisson cheaps entièrement automatisés (genre distributeurs multiples avec une salle autour), avec pas grand chose entre les deux.... Sinon des bars "normaux"/"à l'ancienne". 

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La diminution tient plus du changement des habitudes de consommations. On ne consomme plus de la même manière et la clientèle régulière de café s'estompe pou d'autres genre de festivités (virées entre amis). Il ne faut pas oublier aussi qu'il y a une grosse concurrence des magasins ouverts 24/7 (pakistanais, indiens etc) même si des municipalités commencent à en revenir.

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Bonjour.

 

@ Shorr Kan

Le vrai défi comme l'indique Janmary est la requalification des adultes aux faibles qualifications. Le sujet m’intéresse beaucoup, mais j'avoue avoir trouvé peu de programmes/initiatives systématique concluantes. À dire vrai je n'en connais aucune ; juste des initiatives dispersés qui tiennent plus de l'artisanat alors qu'il faudrait une industrie de la reconversion. C'est très inquiétant pour l'avenir et soupçonne des impossibilités: une caissière ne codera probablement jamais un programme informatique...

 

@ kinyama

A terme, pourquoi pas un robot pour servir les consommations ?

 

 

Les intervenants ont  fait choix de citer et de prendre en référence les « bars-tabac ».

Partons donc de ce cadre.

 

1° - Sur le plan technique, les robots peuvent être utilisés dans de nombreux domaines y compris dans les applications domestiques dont les commerces. Des réalisations  dans des écoles d’ingénieurs en vue de soutenir leurs mémoires ont déjà été réalisées dans le domaine précité. La lecture de la revue « Robotic » américaine donnent un aperçu avec des réalisations  diverses (Dans les années 80 déjà).

 

2° - L’utilisation de ces robots est lié à une formulation simple, qui est celle de la rentabilité, c'est-à-dire du nombre  de personnels qui peuvent être remplacés au vue du coût de revient d’un salarié avec son salaire et les charges afférentes aux employeurs  du commerce et de l’entreprise.

 

Il y a effectivement destruction de l’emploi par la naissance de nouvelles technologies qui inhibe des pans de l’industrie comme cela à été précités. La connaissance progressant depuis des lustres avec ces nouveaux apports scientifiques et techniques, la destruction des emplois ainsi engendrés auraient du avoir pour résultat la négation même de l’emploi. Or, ce n’est pas le cas. Des nouveaux métiers sont apparus en quantités  dans tous les domaines Le principal problème est la non connaissance pour une masse de la population de suivre l’évolution pour être partie prenante dans le cadre d’un emploi.

 

Pour ces derniers, il y a les métiers sans trop de spécialisations, nous allons y revenir.

Il y a aujourd’hui dans notre pays, plus de 300.000 emplois non pourvus dans les services, tel les professions de coiffure, de femmes de ménages, d’aides à la personne, etc. Beaucoup d’économistes croient au service à la personne qui va prendre une grande place dans notre vie du fait du vieillissement des générations. Mais également dans la boucherie, les commerces de proximités, le tourisme, etc. Les nouvelles technologies du bâtiment demandent autant de personnel au vue de travaux d’isolement énergétiques, etc.

 

Nous avons un besoin patent de « manuels »  - et le terme ne doit pas être péjoratif -  très utiles à la société et qui ne sont pourvus.

Je rejoins là Shorr Kan avec les temps de travail, dont je vais tenter de décrire très sommairement comment atténuer ou régler ce problème d’emploi dont le coût est supérieur ou très largement supérieur aux couts des salaires et charges inhérente aux employeurs.

 

1° - Le premier est la diminution du temps de travail et compenser les salaires des employés.

C’est difficile à réaliser du fait de la diminution des heures travaillées qui reviennent  à un cout excessif pour l’employeur. La solution à été donnée par un économiste et homme politique. C’est la semaine à horaire variable (de 32 h à 48 h, maximum européen autorisé) avec modification des taux de prélèvements sociaux  en fonction des heures effectuées dans le cadre de l’entreprise.  Les taux de prélèvement d’un salarié  sont plus bas à 32 heures qu’à 48 heures ou ils sont plus élevés. Cela permet de mieux supporter la charge de l’employeur et d’employer un salarié qui cotise – certes moins – aux caisses sociales (retraites, sécurité sociale, etc.) au lieu d’être a la charge de la collectivité. C’est un système analogue qui fut utilisé par Volkswagen durant les années difficiles de notre voisin.

 

2° - Transférer les charges sociales des employeurs sur la C.S.G ou une T.V.A publique qui permettraient aux entreprises d’employer plus de salariés par compensation.

 

3° - Transférer les charges sociales des employeurs par une taxe ciblée sur les machines-outils, toutes machines dont la productivité peur être calculés dans le cadre d’un rendement. Une conférence professionnelle fut même organisée au Brésil si ma mémoire est bonne, suite à un Prix Nobel initiateur de ce projet. Mais l’échec fut la nécessité d’être appliquée mondialement. Or l’impôt est plus facile « à battre » pour un Etat Régalien, c’est à dire plus facile de mettre en œuvre.

 

4° - Une dernière idée est partie des emplois qui existaient après la seconde guerre mondiale  à la S.N.C.F par exemple, avec les porteurs de valises, les portiers dans les administrations, bref des gens sans qualifications, utiles à la société et aux entreprises dans le cadre des services apportés. Restent les couts aujourd’hui dans des entreprises déjà en demi-faillite.

 

La solution proposée réside dans une grille de nombres de salariés dans une entreprise avec les couts généraux et bénéfice de l’entreprise suivant un ratio donné, et de prendre sur les impôts versés à l’Etat par l’entreprise visée, l’emploi d’un certain nombre de salariés pré- calculé, sans technicité particulières, pour assumer du travail aux demandeurs d’emploi. Bien sur l’Etat aura une quotte part de revenus d’impôts des sociétés en moins. La masse des citoyens retrouvant un travail est compensé par des cotisations de ces mêmes citoyens devenus salariés pour les caisses sociales.

 

Voici quelques réflexions qui reviendront peut-être a la surface quand va se poser les ratios salariés avec et sans travail dans les années à venir et qui va peser et poser problème à l’Etat et à la collectivité Nationale.

 

Janmary

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