zx Posté(e) le 20 octobre 2016 Auteur Share Posté(e) le 20 octobre 2016 il n'exclut pas que la vitesse de descente a été plus importante que prévu. ca du avoir des conséquences dans le processus. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 20 octobre 2016 Share Posté(e) le 20 octobre 2016 il y a 3 minutes, seb24 a dit : Si tu abandonnes a chaque échec tu vas finir par ne rien faire Sept ans de voyage et autant de recherches pour un écrasement non contrôlé, ça fait quand même cher même pour faire avancer la recherche. Et il y aurait sans doute encore beaucoup de choses à apprendre de la Lune. Même si c'est moins vendeur depuis que l'on sait qu'il n'y a pas de petits hommes verts dessus. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 20 octobre 2016 Auteur Share Posté(e) le 20 octobre 2016 (modifié) Les américains se sont pas mal planté sur Mars, avant d'arriver à comprendre et à maîtriser l'approche et l'atterrissage, lls ont finis par récupérer le bénéfice de leur efforts. Pour moi il faut relancer un nouveau module test une fois qu'on a compris ce qui s'est passé. il y a peut être plusieurs facteur, compte tenu de la mauvaise connaissance de cette planète. on ne peut pas se permettre de lancer exomars si on ne maîtrise pas le processus il faudrait tester d'abord avec l'atmosphère terrestre, à plus de 100km d'altitude, pour savoir si ca marche, on doit bien avoir une petite place sur une ariane ou une vega Modifié le 20 octobre 2016 par zx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 20 octobre 2016 Share Posté(e) le 20 octobre 2016 à l’instant, Ciders a dit : Sept ans de voyage et autant de recherches pour un écrasement non contrôlé, ça fait quand même cher même pour faire avancer la recherche. Et il y aurait sans doute encore beaucoup de choses à apprendre de la Lune. Même si c'est moins vendeur depuis que l'on sait qu'il n'y a pas de petits hommes verts dessus. Ben il faudrait arriver a avoir des équipements plus fiable je pense et pouvoir les tester sur terre en situation réelle avant d'envoyer tout ça sur Mars. Mais la Lune ça reste assez limite contrairement a Mars. L’idée c'est aussi d’acquérir un savoir faire et les compétences pour faire des missions complexes. Si tu évites toute difficulté tu vas finir par ne pas faire grand chose. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 20 octobre 2016 Auteur Share Posté(e) le 20 octobre 2016 (modifié) Je retiens deux choses, une vitesse de descente excessive, un allumage de rétro fusée très court. Bon, après ca, j'espère qu'ils vont préparer Schiaparelli II revu et corriger . Pour moi il faut 3 tentatives avant de considérer que le modèle ne fonctionne pas. Mais les simulations ne sont pas suffisantes, il faut des tests à échelle réelle Modifié le 20 octobre 2016 par zx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 20 octobre 2016 Share Posté(e) le 20 octobre 2016 il y a 3 minutes, seb24 a dit : Ben il faudrait arriver a avoir des équipements plus fiable je pense et pouvoir les tester sur terre en situation réelle avant d'envoyer tout ça sur Mars. Mais la Lune ça reste assez limite contrairement a Mars. L’idée c'est aussi d’acquérir un savoir faire et les compétences pour faire des missions complexes. Si tu évites toute difficulté tu vas finir par ne pas faire grand chose. Encore une fois, je n'ai pas dit ça. Simplement, nous n'y arrivons pas. Ou plus. Et comme les missions sont démesurément longues, difficile de faire des RETEX rapides et de refaire plusieurs tentatives rapprochées pour tester de nouvelles configurations. Sans parler des coûts de plus en plus élevées qui grèvent les budgets et qui limitent encore plus le nombre de missions. Il ne s'agit pas de fuir devant le danger. Mais pour dire les choses plus clairement, ne manquons-nous pas d'entraînement et de fiabilité technique pour tenter Mars ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 20 octobre 2016 Auteur Share Posté(e) le 20 octobre 2016 (modifié) Si il suffisait de lancer un test et avoir une réussite à chaque coup, ca serait trop beau, il faut essayer et faire face aux echecs, comprendre, corriger et recommencer. C'est ce qu'on fait les américains avec Mars. C'est long ,c'est cher, ca coute de l'énergie, mais c'est le prix qu'il faut payer pour avoir Mars. Les équipes du lander, doivent être déçues après tant de travail et d'énergie. Mars la rouge n'est pas du genre facile. on sait mettre un orbiter, maintenant il faut arriver à maîtriser l'atterissage. La différence avec beagle, c'est qu'on a plein de données utile à analyser même si le lander à fait un trou à côter de beagle. La seconde, c'est qu'on dispose d'une équipe qui a une première expérience et il faut qu'elle continue à la développer. En corrigeant le tir pour un deuxième essai, voir un troisième. Pour exomars, ce sont les technologies russes pour leur lander qui sont retenus. Modifié le 20 octobre 2016 par zx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ezco Posté(e) le 20 octobre 2016 Share Posté(e) le 20 octobre 2016 7 minutes ago, Ciders said: Encore une fois, je n'ai pas dit ça. Simplement, nous n'y arrivons pas. Ou plus. Et comme les missions sont démesurément longues, difficile de faire des RETEX rapides et de refaire plusieurs tentatives rapprochées pour tester de nouvelles configurations. Sans parler des coûts de plus en plus élevées qui grèvent les budgets et qui limitent encore plus le nombre de missions. Il ne s'agit pas de fuir devant le danger. Mais pour dire les choses plus clairement, ne manquons-nous pas d'entraînement et de fiabilité technique pour tenter Mars ? C'est justement le but de ces missions tests: entrainement et fiabilité. Il y a pas d'autres moyens pour acquérir ces retours d'expérience que de ré essayer et de se re planter. 17 minutes ago, seb24 said: Ben il faudrait arriver a avoir des équipements plus fiable je pense et pouvoir les tester sur terre en situation réelle avant d'envoyer tout ça sur Mars. Mais la Lune ça reste assez limite contrairement a Mars. L’idée c'est aussi d’acquérir un savoir faire et les compétences pour faire des missions complexes. Si tu évites toute difficulté tu vas finir par ne pas faire grand chose. C'est clair que le coup de l'atterissage aux moteur fusés, c'était pas le plus simple. Mais lorsqu'on maitrisera ce point alors on pourra envisager des missions plus ambitieuses. Je préfère avoir un raté sur un process ambitieux, plûstôt que de se contenter de ce qu'on maitrise déjà et qui ne servirait à rien pour le future. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Henri K. Posté(e) le 20 octobre 2016 Share Posté(e) le 20 octobre 2016 (modifié) il y a une heure, Ciders a dit : Encore une fois, je n'ai pas dit ça. Simplement, nous n'y arrivons pas. Ou plus. Et comme les missions sont démesurément longues, difficile de faire des RETEX rapides et de refaire plusieurs tentatives rapprochées pour tester de nouvelles configurations. Sans parler des coûts de plus en plus élevées qui grèvent les budgets et qui limitent encore plus le nombre de missions. Il ne s'agit pas de fuir devant le danger. Mais pour dire les choses plus clairement, ne manquons-nous pas d'entraînement et de fiabilité technique pour tenter Mars ? La durée paraît longue à cause de la fenêtre de tir, une fois tous les 26 mois. Sinon le voyage n'est pas excessivement long. La difficulté d'amarsir réside dans le fait que le choix technique est à mi-chemin entre l'alunissage (absence d'air total) et l'atterrissage (atmosphère plus abondant). Doser avec les bons paramètres demande des efforts et de l'expérience. Le délai de la communication impose aussi un niveau d'automatisme et de maîtrise de l'environnement élevé. Si ça se plante c'est soit lié à l'un ou l'autre, ou simplement les deux en même temps. D'ailleurs je ne comprend pas vraiment le choix de cette "précipitation" de larguer le lander dès la première injection en orbite de la sonde. Henri K. Modifié le 20 octobre 2016 par Henri K. 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Rivelo Posté(e) le 20 octobre 2016 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 20 octobre 2016 il y a 13 minutes, Henri K. a dit : D'ailleurs je ne comprend pas vraiment le choix de cette "précipitation" de larguer le lander dès la première injection en orbite de la sonde C'est ce type de trajectoire a insertion directe qui est utilisée pour tous les rovers (dont Opportunity, Spirit, Curiosity et potentiellement Exomars 2020). La vitesse d'entrée est plus élevée, il ne faut pas se planter sur la trajectoire, mais cela permet de poser au sol une masse plus importante (on économise le carburant qui aurait été nécessaire pour freiner et satelliser la sonde). 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 20 octobre 2016 Share Posté(e) le 20 octobre 2016 il y a 33 minutes, Ciders a dit : Encore une fois, je n'ai pas dit ça. Simplement, nous n'y arrivons pas. Ou plus. Et comme les missions sont démesurément longues, difficile de faire des RETEX rapides et de refaire plusieurs tentatives rapprochées pour tester de nouvelles configurations. Sans parler des coûts de plus en plus élevées qui grèvent les budgets et qui limitent encore plus le nombre de missions. Il ne s'agit pas de fuir devant le danger. Mais pour dire les choses plus clairement, ne manquons-nous pas d'entraînement et de fiabilité technique pour tenter Mars ? Je pense que c'est pour beaucoup une question de moyens budgétaires limitées. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Henri K. Posté(e) le 20 octobre 2016 Share Posté(e) le 20 octobre 2016 il y a 3 minutes, Rivelo a dit : C'est ce type de trajectoire a insertion directe qui est utilisée pour tous les rovers (dont Opportunity, Spirit, Curiosity et potentiellement Exomars 2020). La vitesse d'entrée est plus élevée, il ne faut pas se planter sur la trajectoire, mais cela permet de poser au sol une masse plus importante (on économise le carburant qui aurait été nécessaire pour freiner et satelliser la sonde). Donc je suppose que les Chinois qui vont larguer le lander + rover en 2020/21 vont devoir faire la même chose, car l'ensemble est encore plus lourd que le nôtre ? Henri K. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 20 octobre 2016 Auteur Share Posté(e) le 20 octobre 2016 (modifié) hmm, directement le rover, diantre, la barre est sacrément haute. Modifié le 20 octobre 2016 par zx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 20 octobre 2016 Share Posté(e) le 20 octobre 2016 il y a 2 minutes, Henri K. a dit : Donc je suppose que les Chinois qui vont larguer le lander + rover en 2020/21 vont devoir faire la même chose, car l'ensemble est encore plus lourd que le nôtre ? Henri K. Y'a des chances surtout qu'au niveau charge utile lanceur ils sont encore un peu limite non ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Henri K. Posté(e) le 20 octobre 2016 Share Posté(e) le 20 octobre 2016 (modifié) il y a 1 minute, seb24 a dit : Y'a des chances surtout qu'au niveau charge utile lanceur ils sont encore un peu limite non ? L'ensemble pèse 8 tonnes de mémoire, le nouveau CZ-5 sera utilisée. Bref, je voulais simplement comprendre l'intérêt de la première injection, pas pour parler des Chinois. Désolé pour le HS. Henri K. Modifié le 20 octobre 2016 par Henri K. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jojo (lo savoyârd) Posté(e) le 20 octobre 2016 Share Posté(e) le 20 octobre 2016 il y a une heure, Henri K. a dit : La difficulté d'amarsir Ahhhhh .... Merci merci ... Commençait à me piquer les yeux le terme "atterrir" !! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
penaratahiti Posté(e) le 20 octobre 2016 Share Posté(e) le 20 octobre 2016 il y a 44 minutes, jojo (lo savoyârd) a dit : Ahhhhh .... Merci merci ... Commençait à me piquer les yeux le terme "atterrir" !! pourtant le terme atterrir a toute sa légitimité pour parler de la prise de contact avec le sol martien. Dans sa définition, ce terme ne se cantonne pas à la planète Terre. le verbe amarsir n'existe pas (et me ruine les oreilles ) ; il n’est reconnu ni par l’Académie française, ni pas l’Académie des sciences, qui recommande d’utiliser le seul mot « atterrissage » suivi du lieu. La racine d'"atterrir" ne désigne par la Terre, la planète, mais bien la terre, l’élément (à rapprocher du terme anglais "to land", "земля" = sol/terre/terrain en russe...) si on part là-dessus, on n'a pas fini avec atitanir, avénussir, aganymédir... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 20 octobre 2016 Share Posté(e) le 20 octobre 2016 il y a 3 minutes, penaratahiti a dit : pourtant le terme atterrir a toute sa légitimité pour parler de la prise de contact avec le sol martien. Dans sa définition, ce terme ne se cantonne pas à la planète Terre. le verbe amarsir n'existe pas (et me ruine les oreilles ) ; il n’est reconnu ni par l’Académie française, ni pas l’Académie des sciences, qui recommande d’utiliser le seul mot « atterrissage » suivi du lieu. La racine d'"atterrir" ne désigne par la Terre, la planète, mais bien la terre, l’élément (à rapprocher du terme anglais "to land", "земля" = sol/terre/terrain en russe...) si on part là-dessus, on n'a pas fini avec atitanir, avénussir, aganymédir... Et puis ça va être marrant si on atterrit sur un objet ayant pour nom un numéro On utilise en effet atterrir pour tout. Ça marche très bien. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 20 octobre 2016 Auteur Share Posté(e) le 20 octobre 2016 Demi-succès pour la mission ExoMars http://www.lemonde.fr/cosmos/article/2016/10/20/demi-succes-pour-la-mission-exomars_5017190_1650695.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 20 octobre 2016 Auteur Share Posté(e) le 20 octobre 2016 (modifié) Ils ont été assez peu précis sur la séquence, normalement le lander était prévu d'être larguer à une altitude de 1,1km à la vitesse de 250km/h on sait qu'il a allumé ses retrofusées pendant 3-4s, ca fait court pour faire 1km, j'aurai bien voulu qu'ils nous disent à quelle vitesse et à quelle altitude il était. si il a conservé sa vitesse, il a percuté le sol à 250km/h dans les 10-15s qui suivent. probable que cela a explosé avec le reste de carbu, ca doit pouvoir se voir au sol avec MRO ou Mars Express. hypothèse d'une explosion ou une panne des rétrofusées. on n'a pas trop d'info la dessus Tout s'est joué sur le dernier km Parachute deploy at 11 km altitude, 1650 km/h Heat shield separation at 7 km altitude, 320 km/h Backshell separation at 1.3 km altitude, 240 km/h Schiaparelli thrusters on at 1.1 km altitude, 250 km/h Thrusters off, start of freefall at 2 m altitude, 4 km/h Modifié le 20 octobre 2016 par zx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alpacks Posté(e) le 20 octobre 2016 Share Posté(e) le 20 octobre 2016 Ou ils ont été trop confiant sur la structure amortissante en nid d'abeille sensée absorber le choc du posé ... Et c'est ce qui aurait pu endommager les systèmes du module ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
yoannc Posté(e) le 20 octobre 2016 Share Posté(e) le 20 octobre 2016 résumé de ce que l'on sait (d'apres Andrea Accomazzo) - le parachute a été éjecté 15 s trop tôt. - les propulseurs n'ont fonctionné que 4 à 5 s. - Il s'est écoulé 19 s entre la coupure prématuré des propulseurs et la perte de communication. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 20 octobre 2016 Share Posté(e) le 20 octobre 2016 il y a 30 minutes, yoannc a dit : résumé de ce que l'on sait (d'apres Andrea Accomazzo) - le parachute a été éjecté 15 s trop tôt. - les propulseurs n'ont fonctionné que 4 à 5 s. - Il s'est écoulé 19 s entre la coupure prématuré des propulseurs et la perte de communication. En gros 19s le temps qu'il s’écrase. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 20 octobre 2016 Share Posté(e) le 20 octobre 2016 il y a 36 minutes, yoannc a dit : résumé de ce que l'on sait (d'apres Andrea Accomazzo) - le parachute a été éjecté 15 s trop tôt. - les propulseurs n'ont fonctionné que 4 à 5 s. - Il s'est écoulé 19 s entre la coupure prématuré des propulseurs et la perte de communication. La question suivante étant : pourquoi les propulseurs se sont-ils éteints de manière prématurée ? Les études initiales pointent une première piste - c'est assez technique, donc je le mets sous cache, mais n'hésitez pas à jeter un œil si le cœur vous en dit Révélation Et un coup au but, un ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 20 octobre 2016 Auteur Share Posté(e) le 20 octobre 2016 (modifié) Ca pourrait révéler un problème des propulseurs, on ne sait pas l'altitude ? Modifié le 20 octobre 2016 par zx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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