g4lly Posté(e) le 30 décembre 2024 Share Posté(e) le 30 décembre 2024 il y a 58 minutes, Coriace a dit : La "solution" serait d'avoir un officier d'armement face à des écrans et des armes téléopérées. Mais j'imagine qu'on ne veut pas mettre tant d'argent sur ce qui demeure une brouette. Après pour être objectif, mettre tant d'argent pour une situation qui se présente grand max une fois dans la vie du parc ça ne semble pas être la meilleure gestion Les tourelle armement automatisé c'est aussi de la masse en plus ... il faut ajouter les optroniques avec divers champ ... et les différents opérateurs, au moins deux, plus deux consoles ... ça devient un gunship. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Coriace Posté(e) le 30 décembre 2024 Share Posté(e) le 30 décembre 2024 Il y a 1 heure, g4lly a dit : Les tourelle armement automatisé c'est aussi de la masse en plus ... il faut ajouter les optroniques avec divers champ ... et les différents opérateurs, au moins deux, plus deux consoles ... ça devient un gunship. Oui oui, je suis bien d'accord. En fait la solution actuelle est la plus adaptée à ce qu'on fait de ces hélicoptères. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 30 décembre 2024 Share Posté(e) le 30 décembre 2024 il y a 38 minutes, Coriace a dit : Oui oui, je suis bien d'accord. En fait la solution actuelle est la plus adaptée à ce qu'on fait de ces hélicoptères. En plus l'idée c'est d'avoiner sur des départs de coups, en gros du tir de suppression defensif pour sauver les meubles. C'est pas sensé servir de moyen d'appui par exemple. Pas besoin d'optronique de la mort ou de tir précis. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Coriace Posté(e) le 30 décembre 2024 Share Posté(e) le 30 décembre 2024 il y a 3 minutes, g4lly a dit : En plus l'idée c'est d'avoiner sur des départs de coups, en gros du tir de suppression defensif pour sauver les meubles. C'est pas sensé servir de moyen d'appui par exemple. Pas besoin d'optronique de la mort ou de tir précis. On pourrait avoir une belle discussion sur le combat en HM. C'est pas forcément le topic. Mon avis, que je n'argumenterai pas outre mesure c'est que les tireurs de sabords sont surtout là pour rassurer leurs gars et globalement faire baisser les têtes en face. Effectivement pour le tir efficace c'est tout un autre hélico qu'il faut (le combo gazelle / Tireur) était d'ailleurs plutôt bien pensé. Mais il faut garder en tête qu'une pauvre rafale d'AK47 à la derobée peut tomber même un hélicoptère moderne. En dehors du Tigre ou assimilé peut être. Donc l'agilité et la surprise seront toujours de meilleures armes pour les voilures tournantes que tout ce qu'on pourrait leur monter dessus qui les alourdirait outre mesure Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mc Flight Posté(e) le 1 janvier Share Posté(e) le 1 janvier Effectivement le gunner est exposé, mais je dirais comme tout le monde a bord, ne pensez pas que l'alu fin de la cellule arrête quelques choses, peut étre un cadre, un renfort de structure, un élément mécanique, ou encore une plaque de protection contre les armes légéres comme l'on voit qui équipe lateralement le pilote mais il n'y en a pas partout a bord ! Un hélico c'est un appareil lent, trés exposé a des tirs de petit calibre, alors si on le canarde même a mille métres a la 50 (12.7) ou au mieux au mono de 20 mm ou quadruple de 23 mm la c'est trés chaud. En opex en afrique on m'a eu raconté autour d'une biére le soir, du puma rentré de mission troué comme une passoire, appareil HS, poubelle et avec des fortunes diverses a bord pour l'équipage et les pax, juste en ayant malheureusement croisé la route d'une colonne de pickup rebelle bien équipé, les deux premiers sont passés par effet de surprise en TTBA, les deux autres quelques secondes aprés c'était carrément moins bien ! Les armes de bord des gunners sont surtout la pour faire baisser les têtes, et les retours d'expé donne que ça fonctionne visiblement plutôt pas si mal, d'ailleurs le concep a été développé par les forces spéciales sur la Gazelle avec une gatling ! 1 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 27 septembre Share Posté(e) le 27 septembre (modifié) GDHF a acheté 5 H225 lors du salon Verticon en mars Les 5 nouveaux H225 s'ajouteront à la flotte GDHF composée de 10 Super Pumas (8 H225 et 2 AS332L2). https://verticalavi.org/wp-content/uploads/2025/03/GDHF-Airbus-Helicopters-5-x-H225-1.pdf Modifié le 27 septembre par Titus K Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 19 octobre Share Posté(e) le 19 octobre Airbus constate un intérêt croissant pour le H225 comme plateforme de lutte contre les incendies https://verticalmag.com/news/airbus-seeing-increased-interest-in-h225-as-firefighting-platform/ Airbus Helicopters vise une croissance de l’utilisation de ses H225 et H215 de la famille Super Puma dans la lutte contre les incendies, et estime que la certification civile de ces appareils constitue un atout majeur, notamment aux États-Unis, face au Sikorsky UH-60 Black Hawk. Michel Macia, responsable du programme H225 chez Airbus, a déclaré que le constructeur avait engagé des discussions en Californie avec des interlocuteurs manifestant un grand intérêt pour ce type d’appareil dans le rôle de lutte contre les incendies, un rôle pour lequel il est de plus en plus employé. « La raison pour laquelle nous sommes présents sur ce marché est qu’il existe un énorme potentiel. Il y a 400 appareils engagés dans la lutte contre les incendies en Europe, et 400 aux États-Unis », a-t-il indiqué, soulignant la prolifération du Black Hawk outre-Atlantique. « C’est donc un marché immense, et je ne crains pas que nous ne puissions en obtenir une part dans le futur. Et nous avançons, pas à pas… Il y a une forte demande mondiale pour ce type de plateforme. » Depuis 2014, le Black Hawk domine le marché américain du transport lourd pour la lutte contre les incendies, depuis son entrée dans le monde civil via le programme BEST (Black Hawk Exchange and Sales Team) de l’armée américaine. De nombreux opérateurs civils américains ont profité de ce programme pour intégrer cet appareil très performant à leurs flottes, mais en tant qu’anciens appareils militaires, ils doivent être exploités dans la catégorie « restreinte ». Cela limite leur capacité à transporter des passagers ou à survoler des zones urbaines (sans autorisation spécifique), ou encore à voler dans l’espace aérien de classe B près des grands aéroports. « Vous avez de nombreuses restrictions car c’est un appareil militaire », a expliqué Macia. « [Le H225] est un appareil civil certifié par la FAA et l’EASA, donc sans restrictions particulières, et pouvant être utilisé pour des missions polyvalentes. » Il a reconnu que le marché du Black Hawk se situe dans une gamme de prix différente de celle du Super Puma, mais a précisé qu’Airbus ne cherchait pas à séduire les mêmes clients. « C’est un marché bon marché, et nous n’y sommes pas », a-t-il affirmé. « Ce que nous visons surtout, ce sont les organismes gouvernementaux, car ils veulent accomplir différentes missions. En Californie, ce ne sera pas l’opérateur qui investira, mais plutôt les villes ou l’État. » Macia a également insisté sur les considérations de sécurité liées au choix d’un appareil civil plutôt qu’un surplus militaire, la certification civile imposant un niveau de fiabilité plus élevé (ou une probabilité de défaillance catastrophique plus faible). « Je pense que le marché va évoluer, et que la domination actuelle du Black Hawk ne sera probablement plus la même demain, en raison de l’aspect militaire et des questions de sécurité », a-t-il déclaré. Selon Macia, l’intérêt récent pour les opérations de lutte contre les incendies découle de la fréquence accrue des feux majeurs, et de l’allongement des saisons de feux. Cela pousse à un nouveau niveau d’investissement dans les aéronefs destinés à combattre ces incendies. « Par le passé, le service forestier américain (US Forest Service) contractait des opérateurs pour six mois de lutte contre les incendies », a-t-il expliqué. « Désormais, pour la première fois, ils signent des contrats de cinq ans, avec possibilité de renouvellement pour cinq années supplémentaires. Évidemment, quand on a dix ans devant soi, il est plus facile d’acquérir de nouveaux appareils et d’investir. » Plus tôt cette année, Airbus a reçu une commande de 8 H215 — le plus petit membre de la famille Super Puma — de la part du gouvernement grec, destinés à la lutte contre les incendies de forêt dans le pays. Le contrat prévoit également un partenariat avec Airtelis et SAF Hélicoptères — deux opérateurs expérimentés du H215 — pour assurer le soutien technique et opérationnel des appareils. Ce modèle de gestion, dit « GOCO » (Government-Owned, Contractor-Operated), pourrait être transposé de l’autre côté de l’Atlantique, a indiqué Macia. « J’ai eu des discussions avec certains clients potentiels américains dans la lutte contre les incendies, et ils étaient très intéressés par cette approche globale, où nous fournissons tout le dispositif nécessaire pour les opérations, pas seulement l’hélicoptère, mais aussi les pilotes, la maintenance, et la garantie de disponibilité de l’appareil. » Il a ajouté que la flotte de Super Puma déjà présente sur le continent américain, environ 40 appareils, offrait de « nombreuses possibilités » de partenariats. Selon Macia, le H215 est le meilleur choix si l’appareil n’est destiné qu’à la lutte contre les incendies. Mais si plusieurs missions sont prévues, le H225 devient l’option idéale. « La discussion que j’ai eue en Californie était la suivante : “Oui, nous voulons l’utiliser pour la lutte contre les incendies, mais aussi pour la recherche et le sauvetage.” Dans ce cas, il vaut mieux avoir un 225, car il a une plus grande autonomie et une cabine plus vaste », a-t-il expliqué. Par ailleurs, le Super Puma effectue un petit, mais croissant, retour dans les opérations offshore, notamment pour le transport vers les plateformes pétrolières et gazières en Chine, au Vietnam, en Afrique et au Brésil. Le groupe énergétique Shell a également approuvé le Super Puma pour ses activités dans le secteur. Cependant, Macia précise qu’Airbus ne fait pas activement la promotion de l’appareil auprès du secteur pétrolier et gazier. « Nous restons très réactifs au marché, car nous savons qu’il est sensible depuis l’accident survenu en Norvège », a-t-il déclaré, faisant référence au crash mortel d’un H225 près de Turoy, en Norvège, en 2016, causé par une défaillance de la boîte de transmission principale. « Y a-t-il une possibilité de retour sur le marché de la mer du Nord ? Oui, bien sûr. Mais nous ne pousserons pas. » Airbus a enregistré 58 commandes de Super Puma en 2024, ce qui, selon Macia, « montre la dynamique du marché » ainsi que l’adaptabilité de l’appareil à différents secteurs d’activité. La ligne de production des Super Puma à Marignane tourne actuellement à un rythme de 20 à 25 appareils par an. Macia a indiqué que la croissance du marché civil contribue à équilibrer la demande entre clients civils et militaires, permettant ainsi une production plus régulière. Aujourd’hui, 760 hélicoptères de la famille Super Puma sont en service, exploités par 110 opérateurs dans 66 pays, et ont accumulé six millions d’heures de vol. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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