FAFA Posté(e) hier à 16:50 Share Posté(e) hier à 16:50 Il y a 12 heures, bubzy a dit : Je ne dis pas le contraire, mais la démonstration ne fonctionne pas, rien qu'en prenant tes arguments. Intercepter une cible qui arrive de très loin suppose premièrement de la voir venir. Or, si tu la voit venir de très loin, l'intercepter de très loin avec des missiles longue portée ne pose pas de problème. Si tu parles d'une cible furtive qu'on ne voit pas, alors ça sert à rien d'avoir un intercepteur longue portée... Puisqu'on ne saurait pas où l'envoyer. Ensuite, l'interception pure supposerait un avion qui n'irait pas loin, mais attendrait un point de visée dans une zone donnée pour tirer ses missiles le plus rapidement possible. Or, un avion par rapport à un missile, c'est lent. On envoie pas un intercepteur intercepter un avion à des centaines ou milliers de km. Le scénario en question ne fonctionne pas. Le Japon quant à lui a un chapelet d'iles à protéger dont il se dispute la propriété avec la Chine. Et c'est loin de toute base japonaise. C'est dans ce contexte que ça me paraît cohérent. Et pas pour de l'interception évidemment. Nous sommes en train de parler d'un appareil qui volera au mieux dans les années 2040, qui sera donc doté des technologies de 2040, qui sera peut-être assisté par des drones. Donc, il est encore très difficile de parler de sa doctrine d'utilisation. Par contre, ce qui est certain, c'est qu'autrefois il était préférable de contrer les bombardiers ennemis le plus loin possible des côtes. Qu'aujourd'hui c'est la même chose et que demain avec la portée des missiles de croisière qui ne cesse d'augmenter cela sera un élément encore plus important. Nous serons probablement irréconciliables sur ce sujet, mais ce n'est pas très important. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
bubzy Posté(e) il y a 23 heures Share Posté(e) il y a 23 heures il y a 51 minutes, FAFA a dit : Nous sommes en train de parler d'un appareil qui volera au mieux dans les années 2040, qui sera donc doté des technologies de 2040, qui sera peut-être assisté par des drones. Donc, il est encore très difficile de parler de sa doctrine d'utilisation. Par contre, ce qui est certain, c'est qu'autrefois il était préférable de contrer les bombardiers ennemis le plus loin possible des côtes. Qu'aujourd'hui c'est la même chose et que demain avec la portée des missiles de croisière qui ne cesse d'augmenter cela sera un élément encore plus important. Nous serons probablement irréconciliables sur ce sujet, mais ce n'est pas très important. tu as deux cas de figure. L'interception "simple" (tu fais décoller des avions sur alerte) ou une patrouille sur zone la BARCAP (c'est le terme juste apporté par @pascal) Dans le premier cas de figure, l'interception, tu réagis à une arrivée sur ton territoire. Mais tu dois pouvoir détecter l'agression. Tu décolles, tu fonces et tu tires au point d'interception. Ton principal soucis c'est de détecter la menace. Or, les avions actuels, comme l'EF et le meteor, ont déjà les capacités d'atteindre les limites de detections des systèmes de veille. Avoir un plus gros avion dans le cas de l'interception est overkill. Il se pourrait même qu'il soit plus "lent" car obtenir une bonne accélération et vitesse sur un gros avion ça a un coût. Si tu as des bombardiers non conventionnels, des VLO qui s'approchent, tu te retrouves avec une autre problématique. Comment les détecter ? Il reste donc le BARCAP. Et pour cela on a recours à des ravitailleurs. Les technologies de 2040 sont déjà en cours de développement. L'avion qui naitra en 2040 sera une reponse aux besoins et caractéristiques voulues aujourd'hui. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FAFA Posté(e) il y a 23 heures Share Posté(e) il y a 23 heures il y a 22 minutes, bubzy a dit : Les technologies de 2040 sont déjà en cours de développement. L'avion qui naitra en 2040 sera une reponse aux besoins et caractéristiques voulues aujourd'hui. Lorsque je constate que les Américains se tâtent encore pour savoir exactement ce que sera leur F-47, je pense qu'à ce stade rien n'est figé. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
bubzy Posté(e) il y a 21 heures Share Posté(e) il y a 21 heures il y a une heure, FAFA a dit : Lorsque je constate que les Américains se tâtent encore pour savoir exactement ce que sera leur F-47, je pense qu'à ce stade rien n'est figé. l'avion est cencé être opérationnel à la fin du mandat de trump, et il volerait depuis plusieurs années déjà. Donc j'espère pour eux qu'ils savent déjà ce qu'ils veulent. Après, qu'il ne sache pas exactement à quoi il ressemblera dans 15 après plusieurs upgrades successif, éventuellement. Mais la définition de l'avion ne changera pas. Seul le software et les équipements le sera, ce qui fait aujourd'hui la plus grosse partie de la valeur ajoutée d'un avion de combat. Tu peux dire qu'aujourd'hui on a pas la définition du FCAS, vu qu'on vient à peine d'avoir celle du F5 pour le Rafale. Et je pense la démarche prudente et avisée. Pour le GCAP dont il est question ici, la définition n'est pas figée d'ailleurs. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MatOpex38 Posté(e) il y a 1 heure Share Posté(e) il y a 1 heure Il y a 21 heures, FAFA a dit : Lorsque je constate que les Américains se tâtent encore pour savoir exactement ce que sera leur F-47, je pense qu'à ce stade rien n'est figé. ils le testent depuis 2019 en secret, si ils laissent tomber le F35 (réduction de commande 2000 à 700? ou bientôt 500?) pour l'imposent aux autres pour financer leur échec, c'est qu'ils ont une vraie idée de ce que sera le F47, qui peut être sera ops en 2030, bien avant la dinde sur ce, et les acheteurs heureux, on vous souhaite happy Thanksgiving Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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