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HAL rejects IAF proposal to produce Pilatus trainer aircraft

 

http://economictimes.indiatimes.com/news/news-by-industry/transportation/airlines-/-aviation/hal-rejects-iaf-proposal-to-produce-pilatus-trainer-aircraft/articleshow/24349695.cms

 

NEW DELHI: Hindustan Aeronautics Limited(HAL) has rejected a proposal of Air Forceto produce Pilatus aircraft in its facilities against the backdrop of a tussle between the two on whether to procure an imported trainer aircraft or develop it indigenously. 

IAF has already placed an order for 75 Pilatus trainer aircraft and is planning to procure 106 more of them after the completion of the delivery of first lot by the end of 2017. HAL, however, is in favour of developing the aircraft indigenously. 

IAF had proposed that HAL should licence produce the Pilatus aircraft in its facility but this was rejected by the aerospace giant saying it was working on a project of its own on the issue, senior IAF officials said here. 

HAL is working towards producing HTT-40 basic trainer aircraft which is expected to fly by 2015. 

IAF and HAL have been debating on the issue for over a year now but it came to fore recently when IAF Chief Air Chief Marshal NAK Browne wrote to Defence Minister A K Antony, asking the government to procure the Pilatus instead of the one proposed by the HAL. 

The IAF chief has also told the government that cost of the HTT-40 aircraft being developed by the HAL would be higher than that of the Pilatus aircraft. 

IAF has also told government that the indigenous aircraft would be 25 per cent more expensive than the imported Pilatus. 

According to HAL, the aircraft proposed by it would be much more advanced than the Pilatus as it will have weapon firing capabilities also along with other advancements.

 

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Gné, Ca a bougé ?

 

Toutes ces fois où le Rafale a failli être vendu à l'export

 

http://www.usinenouvelle.com/article/toutes-ces-fois-ou-le-rafale-a-failli-etre-vendu-a-l-export.N210348

 

L’état-major de l’armée de l’air indienne aurait enfin trouvé un accord avec Dassault Aviation autour des offsets liés à l'achat de 126 avions de combat Rafale. Une étape décisive, qui entérinerait une signature officielle du contrat avant mars 2014. Soit plus de deux ans après l'ouverture des négociations exclusives entre l'Inde et Dassault, pendant lesquels le Rafale n'a cessé d'être acheté... sans vraiment être vendu.

 

Dassault Aviation n’a pas encore officiellement confirmé l’information de Reuters selon laquelle un accord aurait été trouvé avec l’Inde sur les offsets du contrat MRCA prévoyant la fourniture de 126 avions de combat Rafale. Le champagne n’a peut-être même pas été débouché au siège de l’avionneur à Saint-Cloud, en région parisienne.

Car depuis sa mise en service, en 2001, le Rafale garnit certes les rangs de l'armée française, mais pas encore ceux de forces aériennes étrangères. Il a pourtant déjà été maintes fois "en bonne place", "favori", "sur le point d'être choisi" et même "vendu". Si, en Inde, le chemin est certes long et tortueux vers l'aboutissement des négociations, l'appel d'offres du Brésil pour 36 avions de combat ne cesse d'être reporté et le Qatar ne semble pas prêt à se décider. Pourtant, dans la loi de programmation militaire 2014-2019, Paris mise sur deux contrats à l'export du Rafale d'ici 2019.

 

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Pour l'Inde je pense vraiment que c'est bien engagé. :)

 

L'Inde finaliserait l'achat de ses 126 Rafale d'ici mars 2014

Le contrat de 15 milliards de dollars portant sur l'achat de 126 Rafale de Dassault Aviation par l'armée indienne devrait finalement aboutir d'ici mars 2014, selon la Confédération de l'industrie indienne.

Dassault Aviation va enfin pouvoir sortir le champagne. Reuters rapporte que, selon la Confédération de l'industrie indienne, le lieutenant-général S. Sukumar, vice-chef d'état-major de l'armée de l'air indienne, a déclaré qu'un accord sur les offsets (part des avions fabriquée localement) a été trouvé avec Dassault Aviation. Le contrat à 15 milliards de dollars portant sur 126 Rafale devrait donc être signé par les deux parties au cours de cette année fiscale, soit d'ici mars 2014

Dassault est seul en lice depuis janvier 2012, date à laquelle l'Inde a écarté l'option du Typhoon d'Eurofighter. Si les négociations entre l'avionneur français et le gouvernement indien durent depuis si longtemps c'est parce que le contrat implique que 18 Rafale soient livrés clefs en main à l'Inde et que les 108 autres soient construits sur place. Hors l'avionneur français doutait de la capacité de l'industriel local Hindustan Aeronautics Limited (Hal) à réaliser un engin aussi complexe que le Rafale.

Ces doutes semblent désormais levés…

 
 

 

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Rafale Inde : les aviateurs indiens mettent la pression sur le gouvernement
exocet-rafale.jpg

Selon l’agence Reuters, rapportant des propos de la Confédération de l'industrie indienne, le lieutenant-général S. Sukumar, vice-chef d'état-major de l'armée de l'air indienne, a déclaré qu'un accord aurait été trouvé sur les compensations industrielles liées au contrat MMRCA de 126 avions de combat, avec Dassault Aviation. Ce dernier, avec son Rafale, a été désigné début 2012 comme le seul restant en lice.


 
Ces offsets, qui doivent représenter au moins 50 % de la valeur de ce contrat, évaluée entre 10 et 15 milliards de dollars, concernent des parties entières de l’avion (aérostructures) comme de ses systèmes.
 
Dassault négocie principalement avec le groupe public Hindustan Aeronautics Ltd (HAL), mais il semble que ces discussions traînent en longueur en raison de certaines lourdeurs au sein de HAL, et de certains doutes sur sa capacité à prendre en charge la fabrication du Rafale à terme.
 
La déclaration du lieutenant-général est perçue par les connaisseurs du dossier comme un signe que les aviateurs indiens perdent patience, et qu’ils font pression sur le gouvernement indien pour que le contrat soit signé avant le 31 mars 2014, date de clôture de l’année fiscale en Inde.
 
Car si cette échéance est dépassée, les délais pourraient se rallonger sérieusement en raison de la tenue des prochaines élections générales. Ce scrutin doit avoir lieu après le 31 mai 2014, date de la fin de l’actuelle mandature.


http://www.air-cosmos.com/defense/rafale-inde-les-aviateurs-indiens-mettent-la-pression-sur-le-gouvernement.html

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Il y a de bonnes chances que cela soit celui la

 

French

http://fr.reuters.com/article/businessNews/idFRPAE99G05M20131017

 

Anglais

http://in.reuters.com/article/2013/10/17/india-defence-rafale-idINDEE99G0BP20131017

 

 

Marrant, la différence entre les deux, la version anglaise parle de désaccords sur la production locale au passé, alors que celle qui est en français reste au présent.

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Dassault veut encore croire à un contrat indien du Rafale en 2013

 

Le PDG de Dassault Aviation, Eric Trappier juge encore possible de signer avant la fin de l'année le contrat de vente à l'Inde des Rafale de l'avionneur français.

"C'est toujours mon objectif, comme c'est celui de l'armée indienne qui vient de le rappeler ces jours-ci", a-t-il déclaré dans un entretien au quotidien Le Monde daté de mardi 22 octobre.

"Nous faisons tout pour que le volet industriel concernant la fabrication sous licence soit achevé d'ici à la fin de l'année. C'est complexe car le transfert de fabrication concerne de nombreuses sociétés mais c'est possible", a-t-il expliqué.

"Tout dépendra ensuite du gouvernement indien, c'est lui qui décidera s'il signe le contrat avant les élections de 2014. Je me place dans l'hypothèse optimiste de fin d'année", a ajouté Eric Trappier.

 

....

 

http://www.challenges.fr/entreprise/20131021.CHA5876/dassault-veut-encore-croire-a-un-contrat-indien-du-rafale-en-2013.html

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Pour Éric Trappier, "l'Inde a besoin du Rafale"

 

http://www.usinenouvelle.com/article/pour-eric-trappier-l-inde-a-besoin-du-rafale.N210687

 

Éric Trappier, le PDG de Dassault Aviation, précise les priorités du groupe en matière militaire, notamment la vente du Rafale à l’Inde qu’il espère conclure au cours des prochains mois.

L'Usine Nouvelle - Lancement du Falcon 5X, le Rafale presque vendu à l’export... Le groupe Dassault est-il à un moment charnière de son existence ?

Éric Trappier - Le groupe vit un moment très important. Le lancement d’un avion représente toujours un événement exceptionnel pour un avionneur. Ceci traduit notre forte implication dans le secteur civil où nous réalisons, depuis quatorze ans, en moyenne 70 % de notre chiffre d’affaires. L’arrivée du Falcon 5X n’a pas vocation à modifier cet équilibre, mais à mieux adresser le marché civil. Outre fidéliser les clients, on espère profiter de la reprise du marché et en gagner de nouveaux grâce aux atouts du 5X en termes de consommation, d’autonomie, de taille, de confort et de design cabine, de sécurité...

 

Et dans le domaine militaire, quelles sont vos priorités ?

Gagner un premier contrat à l’export pour le Rafale. Le contrat indien, qui porte sur la vente de 126 avions, est dimensionnant pour l’entreprise, mais aussi nos partenaires et les 500 PME sous-traitantes du Rafale. Il y aura probablement d’autres tranches de livraison. L’avion répond parfaitement aux besoins opérationnels de l’armée indienne. 

Le numéro deux de l’armée de l’air indienne a annoncé la possible signature du contrat Rafale avant mars 2014. Quelle est votre réaction ?

L’armée de l’air indienne a toujours confirmé son choix et son besoin du Rafale. Nous nous en réjouissons. Il nous reste encore du travail pour conclure le contrat. Nous restons optimistes pour une signature dans les prochains mois. 

Où en sont les négociations ?

Les discussions de définition technique sont acquises, les discussions de partage industriel battent leur plein, que ce soit entre les parties française et indienne ou entre les sociétés indiennes elles-mêmes. On a un partenaire imposé par l’appel d’offres, Hindustan Aeronatics Ltd [HAL], chargé de l’assemblage. On entre dans tous les détails. Cela prend du temps. Cela va jusqu’à la vis de 5, qui est fabriquée localement ! La gestation d’un programme de ce type prend plusieurs années et, vu mon expérience de l’Inde, je peux vous dire que c’est un programme qui se déroule rapidement. Les négociations sont intenses. Les équipes mobilisées des deux côtés ont des journées de travail très chargées et intenses.

Quelles conséquences aura la signature du contrat sur les usines françaises de Dassault et ses partenaires ?

Alors que les contraintes budgétaires pèsent sur la loi de programmation militaire, l’arrivée du premier contrat export sera une bonne nouvelle pour tous, pour la France ainsi que pour Dassault Aviation et ses partenaires.

Quel sera l’agenda des livraisons ?

Les Rafale seront livrés environ trois ans après la signature du contrat. Les 18 premiers seront produits en France. Les suivants seront assemblés en Inde avec une montée en puissance progressive du pourcentage d’éléments fabriqués sur place.

Votre contrat pour la modernisation des avions Atlantique 2 avec Thales et DNCS préfigure-t-il un rapprochement plus important entre vos sociétés ?

Il n’y a pas de réalité de ce genre. C’est trop tôt. Cette alliance traduit simplement qu’il y a une logique industrielle à travailler ensemble dans le domaine de la maîtrise des systèmes complexes, à développer des méthodes communes. Il n’est pas nécessaire de fusionner pour être efficace.

Vous détenez 26 % de Thales, qui a des parts dans DCNS...

Pour l’instant nous ne discutons pas d’augmentation de notre participation dans Thales et nous sommes très satisfaits de notre partenariat avec l’État, avec lequel nous sommes liés par un pacte d’actionnaires.

Sur les drones, quelle est la stratégie de Dassault Aviation ?

C’est un enjeu majeur pour notre société. Nous voyons un avenir certain pour les drones en Europe. Cela répond à un besoin opérationnel. Dans le domaine des drones de combat, nous ne sommes pas en retard. Nous avons réalisé le démonstrateur nEUROn dans un partenariat entre six pays européens. C’est une réussite. La France et le Royaume-Uni ont confié une étude à Dassault et BAE Systems dans le cadre des accords de Lancaster House pour travailler sur ce sujet. Nous préparons la phase de définition pour ensuite permettre aux États de lancer un programme.

Dans le domaine des drones de surveillance, le retard est criant...

Pourtant, il y a eu des projets européens. Et beaucoup : Drone proposition Euromale, Héron TP de Dassault, Telemos avec Dassault et BAE, Talarion d’EADS... Mais il n’y a pas eu d’adéquation entre l’offre des industriels, la demande des armées et les décisions des États. C’est un fait ! Il y a quelques mois, le ministre de la Défense a décidé d’acheter le Reaper américain pour répondre à un besoin immédiat. Cela ne me fait pas plaisir, mais j’en prends acte. Les industriels ne s’avouent pas vaincus. Avec EADS et Finmeccanica, nous avons décidé de faire une proposition commune aux États.

Avec quelle approche ?

Nous comptons proposer un drone de moyenne altitude-longue endurance (Male) opérationnel après 2020. Aucun budget n’existe pour le moment, mais le projet est très tangible. Avec le démonstrateur nEUROn, les industriels prouvent qu’ils disposent de l’ensemble des technologies. Il ne manque que la volonté des États pour que ce programme se concrétise.

Le prochain avion de combat français naîtra d’une coopération européenne. Qu’est ce que Dassault est prêt à partager ?

Tout ! Sur le nEUROn, nous étions maîtres d’œuvre mais quasiment tout a été fabriqué chez nos partenaires. Certes, le bureau d’études était principalement ici à Saint-Cloud [Hauts-de-Seine], mais des ingénieurs suédois, français, italiens, espagnols, suisses et grecs travaillaient sur ce projet. Notre souci est de conserver notre cohérence de bureau d’études et notre savoir-faire, mais nous sommes prêts à coopérer.

 

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http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20131024trib000792252/vers-une-sortie-de-route-de-finmeccanica-en-inde.html

 

New Delhi devrait annuler le contrat portant sur l'acquisition de douze hélicoptères VIP fourni par le constructeur anglo-italien AgustaWestland. La filiale hélicoptériste de Finmeccanica devrait être également blacklistée par l'Inde pour les futurs appels d'offre.

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Dans le même temps, la livraison des canon M777 de BAE a été stoppée car les modifs apportées par les indiens posaient de gros problèmes.

C'est tout ça qui me fait un peu peur à propos des Rafales assemblés en Inde...

Ceci dit, les pots de vin sont monnaie courante dans les marchés de l'armement, les indiens le savent bien!

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Si les Indiens blacklistent tous ceux qui ont versé des pots-de-vins il ne va plus rester grand monde pour les fournir.

 

L’Inde a d’énormes problèmes de corruption à tous les niveaux de la société. Le gouvernement Indien est sous pression constante de tout faire pour lutter contre ce fléau.

Une loi anti-corruption existe. Selon cette loi, si corruption a lieu, alors la Justice doit déterminer précisément quelle influence elle a eu.

Si la justice estime que la corruption n’a pas eu d’influence sur le résultat de l’appel d’offre alors la procédure peut continuer comme avant.

Par exemple, si c’est un responsable mineur de l’administration qui profite de sa situation pour détourner de l’argent sans que cela implique le fournisseur ou d’autres fonctionnaires. Dans ce cas, on peut espérer voir se terminer l’appel d’offre comme avant.

Par contre, si la Justice estime que la corruption a eu de l’influence sur le résultat de l’appel d’offre alors la procédure d’appel d’offre est considérée comme nulle.

Par exemple, si un fonctionnaire haut placé a détourné des fonds, l’appel d’offre est considéré comme suspect même s’il n’y a pas de preuves que le fournisseur a donné de l’argent. Dans ce cas, l’appel d’offre va être annulé.

Et finalement, s’il est prouvé qu’un fournisseur a essayé de gagner un appel d’offre par corruption, il peut lui être interdit de participer à un autre appel d’offre gouvernemental pendant des années. C’est déjà arrivé plusieurs fois de voir la justice Indienne utiliser cette punition.

C’est pourquoi Augusta-Westland se bat aussi fort contre cette accusation de corruption sur le marché des hélicos VIP. Cette société risque bien plus qu’une simple amende qu’elle pourrait passer à son budget pertes. Si elle est déclarée coupable, elle risque une interdiction généralisée des ventes gouvernementales sur toute l'Inde. Des centaines de ventes d’hélicoptères sont menacées.

Ce n’est pas le problème pour EADS hélicoptères. Un appel d’offre pour des hélicoptères légers a été annulé pour corruption. Mais EADS a toujours le droit de participer aux appels d’offres actuels et futurs. Cela montre qu’EADS n’est pas accusé ici de corruption. Donc ici, c’est probablement un grand décideur de l’appel d’offre qui a commis un détournement. Et comme la procédure est suspecte, l’appel d’offre pour les hélicoptères légers a été annulé.

Comme le disait Kovy, il y a ceux qui ont compris que les règles du jeux ne sont plus les mêmes.

 

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