trfyrktrv Posté(e) le 11 février 2014 Share Posté(e) le 11 février 2014 Lol Judi, petit naïf, Henri K le sait bien et s'amuse à susciter des réactions indignées chez nos Rafale-fan du forum... Vous parlez de quel PA? L'ex Gorshakov et Hermès ou les Vikrant? Si c'est les 2 premiers les Sea Harrier et Mig 29 feront l'affaire vu que leur retrait de service est proche mais par contre dans l'autre cas... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 11 février 2014 Share Posté(e) le 11 février 2014 Lol Judi, petit naïf, Henri K le sait bien et s'amuse à susciter des réactions indignées chez nos Rafale-fan du forum... Vous parlez de quel PA? L'ex Gorshakov et Hermès ou les Vikrant? Si c'est les 2 premiers les Sea Harrier et Mig 29 feront l'affaire vu que leur retrait de service est proche mais par contre dans l'autre cas... Les deux. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
syntaxerror9 Posté(e) le 11 février 2014 Share Posté(e) le 11 février 2014 (modifié) @ judi: Dassault pourrait le faire si on lui demandait. Quand tu vois le système qui permet au SEM de replier ses ailes, ça rassure! Modifié le 11 février 2014 par syntaxerror9 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Henri K. Posté(e) le 11 février 2014 Share Posté(e) le 11 février 2014 Le Mig-29A n'avait pas d'ailes pliantes non plus. Le Tejas n'avait pas de version navalisé à la base. A part la version 9.31 et 9.47 (les 2 sont appelés -K/-KUB), il n'y a pas d'autres versions navalisées avec MiG-29 me semble-t-il. Lol Judi, petit naïf, Henri K le sait bien et s'amuse à susciter des réactions indignées chez nos Rafale-fan du forum... Vous parlez de quel PA? L'ex Gorshakov et Hermès ou les Vikrant? Si c'est les 2 premiers les Sea Harrier et Mig 29 feront l'affaire vu que leur retrait de service est proche mais par contre dans l'autre cas... Sérieusement je n'avais remarqué ce point que tout à l'heure... Henri K. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 11 février 2014 Share Posté(e) le 11 février 2014 Yep du coup on peut très bien envisager un Rafale Indien adaptés pour un usage sur leurs PA. Même si pense que les Rafale iront plutôt sur le INS Vishal. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 12 février 2014 Share Posté(e) le 12 février 2014 (modifié) Ca avance, mais c'est pas simple http://www.usinenouvelle.com/article/le-rafale-tarde-a-atterrir-en-inde.N239387 La duplication d’une supply chain Rafale made in India avance, mais la signature du contrat final n’interviendra pas avant les élections législatives prévues en mai en raison de contraintes budgétaires. Le "contrat du siècle" peut-il échapper à Dassault Aviation ? La vente de 126 Rafale à l’armée indienne, évaluée à 12 milliards de dollars (9 milliards d’euros), est-t-elle remise en cause ? L’Inde ne signera pas d’accord d’achat de l’avion de combat français avant les élections législatives du printemps en raison de contraintes budgétaires, a déclaré jeudi 6 février le ministre de la Défense, Arackaparambil Kurian Antony. Au 1er février, l’Inde avait déjà dépensé 92 % de son budget d’équipement militaire. "En raison du manque de fonds, il ne faut pas attendre d’accord ou de décision finale lors de cet exercice budgétaire [qui s’achève fin mars, ndlr]", a précisé le ministre indien. Le Rafale a été sélectionné par New Delhi début 2012. Depuis, Dassault Aviation mène des négociations exclusives avec les autorités indiennes. Après le décès brutal du principal négociateur du ministère indien de la Défense, en octobre 2013, l’avionneur bute, désormais, sur le calendrier politique local. "Tous les comités de décision pour les achats stratégiques en matière de défense vont être gelés à partir de la mi-février. Mais aujourd’hui, il y a un consensus sur la stratégie en matière de défense et les décisions prises ne devraient pas être remises en cause", explique un dirigeant français bon connaisseur du pays. Dassault devra au mieux patienter plusieurs mois. "Il faut dix ans pour signer un grand contrat un Inde", rappelle cet habitué des affaires indiennes. L'avionneur français le sait, lui qui pratique le sous-continent depuis les années 1950 et la vente des Ouragan, ses premiers avions à réaction à équiper les forces françaises. Plus récemment, la modernisation de la flotte des 51 Mirage 2000 indiens n’a pas échappé à la règle. Démarrées au milieu des années 2000, les négociations menées avec son partenaire Thales n’ont abouti qu’en… 2011 ! L’extrême lenteur de la bureaucratie indienne n’est pas une légende. "La notion du temps n’est pas la même. Quand vous demandez à vos interlocuteurs des précisions sur le calendrier des opérations, vous récoltez souvent un 'very soon' car eux-mêmes n’en savent rien. Cela peut vouloir dire dans trois mois comme dans cinq ans", en sourit cet observateur. NOMBREUSES FUITES À NEW DELHI Il n’empêche. Le fabricant du Rafale veut avancer vite. "Notre objectif est d’avoir fini de rédiger toute la documentation – technique, commerciale, juridique – relative au contrat pour la mi-février. Nous avons une cinquantaine de personnes mobilisées sur ce projet", précise Éric Trappier. Le PDG de Dassault Aviation fait un point quotidien par téléphone, en fin de matinée, avec les équipes indiennes. Et tous les jours ou presque, les medias indiens, citant "des sources anonymes proches du ministère indien de la Défense", apportent leur lot d’informations sur l’évolution des discussions ! Le 26 janvier, le site d’informations local DNA a évoqué le doublement du montant initial du contrat, qui friserait maintenant la trentaine de milliards de dollars ! Ces informations sont invérifiables. D’autant qu’elles ne sont ni démenties ni commentées par les principaux intéressés. "Jamais aucun montant officiel concernant ce contrat n’a été communiqué ni par l’avionneur ni par les autorités indiennes. La plupart des estimations repose sur l’achat brut des 126 appareils, or le contrat est bien plus complexe que ça", assure un observateur averti. Le contrat englobe toute la prestation d’industrialisation associée à la livraison des avions. Hormis les 18 premiers exemplaires, qui sortiront de l’usine de Mérignac (Gironde), les autres exemplaires du Rafale seront assemblés en Inde par le constructeur aéronautique public Hindustan Aeronautics Limited (HAL). La moitié de la fabrication ira à des sociétés locales. Pour y parvenir, le montage d’une supply chain made in India est tout sauf une évidence. Malgré la qualité des ingénieurs indiens, la maturité industrielle n’est pas la même qu’en France. Les transferts de technologies n’y sont jamais faciles. "Dans le cadre de la production sous licence des Mig 21 et des Sukhoi 30, HAL a rencontré de nombreuses difficultés. Les chantiers navals Mazagon ont aussi souffert pour produire les sous-marins de DNCS en Inde", rappelle Jean-François Maulny, le directeur du pôle recherche à l’Institut de relations internationales et stratégiques (Iris). Pour signer avec leurs fournisseurs des accords de licence sur chacun des équipements du Rafale, HAL et Dassault Aviation ont évalué les compétences des bureaux d’études, audité les capacités de production, défini des plans d’accompagnement à travers la formation. SOUTIEN SANS FAILLE À PARIS Les négociateurs n’ont rien voulu laisser au hasard. "On entre dans tous les détails. Cela prend du temps. Cela va jusqu’à la vis de 5, qui est fabriquée localement", selon Éric Trappier. Peu d’informations filtrent sur le futur schéma industriel, mais on se dirigerait vers une supply chain ramassée autour de quelques grands acteurs comme HAL et le conglomérat privé Reliance Industries. Celui-ci fabriquerait les ailes du Rafale, selon la presse indienne. La différence serait notable avec la France, où quelque 500 PME participent au programme de l’avion de combat. La question centrale de la responsabilité finale des avions sortis de l’usine de HAL à Bangalore a fini par être tranchée. Ce point délicat a, semble-t-il, longtemps freiné l’avancée des discussions. Réputé intraitable sur le plan commercial, Dassault a refusé d’endosser une telle responsabilité alors que HAL est l’intégrateur final. En 2005, le fabricant de navires militaires DCNS, dans une situation comparable, avait accepté de prendre la responsabilité des deux premiers sous-marins Scorpène sur les six assemblés en Inde par son partenaire, le chantier Mazagon. Dassault Aviation bénéficie du soutien sans faille du gouvernement français. L’équilibre de la loi de programmation militaire qui définit les budgets de la défense pour la période 2014-2019 repose largement sur la vente de Rafale à l’export. L’État, qui a réduit ses achats pour les prochaines années, compte sur les commandes étrangères pour assurer une charge minimale d’au moins 11 appareils par an à l’usine de Mérignac. L’État et Dassault Aviation ont prévu de refaire un point en 2015. Lors de l’exécution de la loi précédente, l’armée de l’air avait dû acquérir cinq appareils de plus entre 2009 et 2011 pour compenser l’absence d’exportation ! La sophistication du Rafale, souvent décriée, reste pourtant son meilleur atout pour que les négociations de Dassault Aviation avec les autorités indiennes aboutissent. Capable d’emporter 1,5 fois sa propre masse en armement et en carburant, et de mener une grande variété de missions (interception, combat air-air, dissuasion nucléaire…), il répond aux besoins d’un pays en froid avec deux puissants voisins, la Chine et le Pakistan. "Ce n’était ni le cas du Brésil ni de la Suisse, qui lui ont préféré le Gripen suédois plus basique, rappelle Jean-Pierre Maulny. Seule une poignée de pays dans le monde ont besoin du Rafale." L’Inde en fait partie. Dassault en a rêvé, DCNS l’a fait Les chantiers navals Mazagon Dock Limited (MDL), à Bombay, tournent à plein. Six sous-marins Scorpène conçus par le français DCNS y sont en cours d’assemblage. Le plus avancé d’entre eux prendra la merpour les ultimes tests en 2015,en vue d’une livraison à la marine indienne un an plus tard.Pour le groupe naval français,ce sera l’aboutissement de plusde dix années d’efforts pourse développer sur ce marché stratégique. En 2005, DCNS signait un contrat pourla fabrication de six sous-marins conventionnels Scorpène pourun montant évalué à 1,1 milliard d’euros, après trois années d’intenses négociations.Pour y parvenir, DCNS a actionné plusieurs leviers. "Nous avons joué à fond la carte du transfert de technologies", explique Bernard Buisson, le directeurde DCNS India. Cela passaitpar la fourniture des plansde fabrication des navires ainsi que les spécifications techniques des équipements. Pour finirde convaincre les autorités indiennes, le français a prisdes risques. "Tous les sous-marins sont fabriqués et pas seulement assemblés en Inde. Même si nous ne les construisons pas, nous nous engageons sur le niveau de performancesen termes de vitesse, de discrétion acoustique, de manœuvrabilité… des deux premiers exemplaires. C’est un engagement fort de notre part que le transfert de technologies et de savoir-faire s’opère bien", explique le dirigeant. Pour cela, DCNS a dû faire monter en compétence son partenaire MDL, qui n’avait plus construit de sous-marin depuis dix ans. Aujourd’hui, ce dernier emploie environ 2 000 salariés, dont un grand nombre est venuse former à Cherbourg (Manche). À la signature du contrat,il en comptait 80. DCNS a aussi dépêché des équipes sur place pour s’assurer que son partenaire appliquait correctementles normes de qualité. Surtout,il a fallu construire une supply chain. "Nous avons étudié le tissu industriel indien riche d’environ 400 PME. Cela a pris deux ans pour trouver les partenaires avec le niveau de qualité requis et les qualifier. Pour sélectionner quatre partenaires, nous avons audité près d’une centaine de fournisseurs", explique Bernard Buisson. Une sélection sévère fondée sur une cinquantaine de critères, à la fois techniques et financiers. De quoi tomber sur quelques pépites, comme SEC, une PME d’Hyderabad, qui travaille avec l’agence spatiale indienne ! Modifié le 12 février 2014 par zx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 14 février 2014 Share Posté(e) le 14 février 2014 (modifié) coût des dev du Tejas, curieux les chiffres http://pib.nic.in/newsite/PrintRelease.aspx?relid=103546 https://www.defenseindustrydaily.com/india-lca-tejas-by-2010-but-foreign-help-sought-with-engine-01901/ Nous avons de nouvelles données sur les coûts du programme, qui sont à la hausse. Une prise de conscience moins paroissiale est également en hausse, il semble ... 12 février / 14: Coûts. ministère de la Défense de l'Inde de presse une autre série de chiffres officiels sur les coûts du programme, laissant le moteur Kaveri, mais l'ajout d'une période de développement "phase III". les coûts de développement de LCA ont augmenté d'un original 71160000000 INR à 140,33 milliards INR (97,2%), ou 168 720 000 000 EUR (137,1%) si l'on compte bien le moteur Kaveri. Investissements de la ligne de production escomptées pousser ces chiffres encore plus élevés. Ministère de la Défense de l'Inde était suffisamment avertis pour comparer les coûts de développement à plus avancé Gripen NG de Saab: «Coût de développement de combat Light Aircraft (LCA), Tejas est Rs.7965.56 crore ($ 1,09 milliards) y compris le renforcement de 15 avions et la création d'infrastructures pour la production de 08 avions par an. Cela se compare avec le coût de développement de JAS 39 Gripen NG est de 1,80 milliards de dollars pour le développement de 5 Véhicules Proto ". C'est en fait juste le coût actuel prévu de MK.I / II du développement de l'IAF, moins le moteur Kaveri, et sans doute sans la création d'infrastructures qui pourraient effectivement fournir 8 avions par an. Le chiffre Gripen NG devrait être vérifié soigneusement, pour voir ce qu'il inclus et exclus. Même ainsi, le simple fait de faire la comparaison montre une plus grande prise de conscience externe que nous sommes habitués à voir de Défense de l'Inde. Source: ministère de la Défense Inde / PIB "Coût du développement de LCA projet". Modifié le 14 février 2014 par zx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 17 février 2014 Share Posté(e) le 17 février 2014 (modifié) Interim Budget: Defence allocation raised by 10% to Rs2,24,000 crorenews http://www.domain-b.com/economy/general/20140217_chidambaram.html 17 February 2014 Finance minister P Chidambaram has proposed a 10-per cent increase in the allocation for the defence ministry to help its modernisation drive. Accordingly the defence allocation in the interim budget will go up to Rs2,24,000 crore, an increase of 10 per cent year-on-year. The allocation for the ministry in the last financial year (2013-14) was Rs2,03,672 crore, of which around Rs80,000 crore was to be spent on modernisation. Allocation for the previous fiscal was 14 per cent more than the previous year's defence budget. The ministry is also said to have spent 82 per cent of that amount till the start of this month. The hike in allocation comes at a time when the ministry has postponed a number of procurements in the pipeline while some are in their final stages of execution. These include a $20-billion (Rs1,25,000 crore) deal to acquire 126 multi-role combat aircraft for the Indian Air Force, which had to be postponed because of lack of funds(See: Rafale fighter deal put off as India's defence budget exhausted). Defence minister AK Antony had said last week the purchase deal would be left to be finalised by the next government. ''It has to wait for the next financial year starting 1 April,'' Antony had said, adding, ''Ninety-two per cent of our capital budget has already been used, with only 8 per cent left". Other acquisitions in the pipeline include deals for 22 Apache combat choppers and 15 Chinook heavy-lift helicopters. The defence ministry is also in advance stage of negotiations for a Fifth Generation Fighter Aircraft (FGFA) programme with Russia, on which it is expected to spend around Rs1,50,000 crore in the next 10-15 years. It is also in the process of issuing the tender for the approximately Rs60,000 crore deal for procuring six large conventional diesel electric submarines for the Navy. The ministry has been seeking additional funds of Rs40,000 crore since last year, but that request has been turned down in view of the economic slowdown. In view of defence scams in which foreign firms were involved, the ministry has also worked towards promoting indigenisation in the defence sector for which it made a major procurement policy change to make the importing of weapons systems the last option for the three services. Modifié le 17 février 2014 par zx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
TMor Posté(e) le 19 février 2014 Share Posté(e) le 19 février 2014 http://www.europe1.fr/Economie/La-vente-de-Rafales-a-l-Inde-se-precise-1805521/ Tous les sous-traitants sont désignés, y a plus qu'à, mais faut pas presser. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mgtstrategy Posté(e) le 19 février 2014 Share Posté(e) le 19 février 2014 Dans les prochaines semaines, les discussions autour des aspects techniques et industriels seront terminées", assure Laurent Collet-Billon. >> il reste encore a discuter de toute la technique???! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
prof.566 Posté(e) le 19 février 2014 Share Posté(e) le 19 février 2014 http://www.europe1.fr/Economie/La-vente-de-Rafales-a-l-Inde-se-precise-1805521/ Tous les sous-traitants sont désignés, y a plus qu'à, mais faut pas presser. D'après Dassault tu Bourget, les sous traitants étaient déjà identifiés... Après restait un gros morceau, leur audit et toutes les conséquences... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mgtstrategy Posté(e) le 19 février 2014 Share Posté(e) le 19 février 2014 Et pas eu de nouvelles du contrat des 18 premiers appareils?? Je sais pas quoi on danse en inde, mais on est parti pour une samba digne du bresil :( Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
TMor Posté(e) le 19 février 2014 Share Posté(e) le 19 février 2014 Calme toi ! On ne sait rien, pas la peine de se miner le moral en se basant sur du "rien". Démonstration : des fois, des choses sont signées, et on le sait en retard, pour diverses raisons. Là, je fais naitre de l'espoir à partir de rien. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 20 février 2014 Share Posté(e) le 20 février 2014 (modifié) Tejas Mk-II conception préliminaire pour être prêt le mois prochain http://tarmak007.blogspot.fr/2014/02/tejas-mk-ii-preliminary-design-to-be.html traduction auto Bangalore: L'Agence de développement aéronautique (ADA) est de donner la touche finale à la conception préliminaire de l'avion de combat léger (LCA) Tejas Mk-II, qui devrait être achevée d'ici la fin de Mars. Un fonctionnaire a confirmé Exprimez samedi que la phase de conception détaillée du LCA Mk-2 commencera au deuxième trimestre de 2014. Une équipe de projet distinct de l'Accord antidumping et Hindustan Aeronautics Ltd (HAL), dédié à la nouvelle version, a entrepris de commentaires par jour pour obtenir la première coupe de la conception par le mois prochain. Le principal objectif de Tejas programme Mk-2 est d'avoir changé le moteur de l'actuelle GE F-404 à F-414 GE. Un contrat de développement de huit moteurs pour la phase de conception préliminaire a déjà été signé avec GE, avec l'examen critique de conception déjà terminé à son usine de Boston. Le chasseur Mk-II aura OBOGS (bord Système d'oxygène Génération), qui est en cours d'élaboration par la bio-ingénierie et de la Défense Electro Laboratoire (DEBEL), un laboratoire de recherche et développement Organisation de défense basé à Bangalore. "Actuellement, le développement du sol est terminée pour OBOGS et les systèmes sont en cours de différentes étapes de processus de qualification," un fonctionnaire qui a souhaité ne pas être nommé, a déclaré. Tejas Mk-II disposera d'un système de guerre électronique unifiée visant à détecter et esquiver les radars ennemis et plus tard il brouillage. "Il est susceptible d'être l'avion le plus facile à entretenir dans sa classe et tous les équipements à bord peut être facilement enlevé ou réinstallé en douceur. L'Tejas MK-I a une certaine latitude pour améliorer les aspects de maintenance, qui est abordé dans Mk- II ", a dit l'officiel. Sa promet de faire Tejas Mk-II libres de tout type de poids mort. "Le Mk-I a un certain poids mort sous la forme de plaques de plomb installés pour équilibrer l'avion qui va disparaître dans Mk-II. Elle aura aussi beaucoup de la capacité supplémentaire de carburant en configuration opérationnelle propre", at-il ajouté. La performance de point de Mk-II sera plus élevé que Mk-I, ce qui signifie que l'avion aura un meilleur taux de montée, l'accélération transsonique et tourner taux. La nouvelle version disposera d'un système de ravitaillement en vol et de l'ADA-HAL combiner envisage de prendre une nouvelle voie pour la production Mk-II. «Nous allons pour la DFMA (Design for Manufacturing et de l'Assemblée) technique pour la production de Mk-II. Le concept DFMA sera utilisé pour la première fois pour un programme indien de l'aviation, ce qui diminuera le temps de production et de coût, aussi augmenter le quotient de la qualité », a déclaré le fonctionnaire. Avec les systèmes d'avionique de changer à un rythme plus rapide menant à l'obsolescence technologique, les fabricants de Tejas ont une tâche ardue de faire la chasse contemporaine même dans les 2025s. «Nous allons tout de suite passer à la phase de production après les prototypes complètent les vols d'essai exigés. L'appui de la Force aérienne indienne (IAF) est un facteur très important pour le projet Mk-2 avec un coût étant partagé par eux. Cela montre l' confiance que l'utilisateur a en nous. Tejas sera le pilier de la FIA sur le long terme ", at-il dit. Le projet Mk-II a été sanctionné en 2009 à un coût environ de Rs 2,400 crore et post-conception phase de finalisation, deux prototypes sont mis à déployer des hangars de HAL.L'IAF a commis un minimum d'escadrons de Tejas Mk-2. Modifié le 20 février 2014 par zx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 20 février 2014 Share Posté(e) le 20 février 2014 HJT-36 cible FOC Dec 2014, dit ministère de la Défense http://www.livefistdefence.com/ The HJT-36 Sitara intermediate jet trainer hasn't obtained initial operational clearance (IOC) yet, but a statement was submitted in Parliament today providing some fresh timelines. Here it is in full: [The] Development of IJT is in the advanced stages of certification with more than 800 test flights completed so far. The activities are progressing well with completion of Sea level trials, night flying trials, high altitude trials as well as weapon and drop tank trials. The activities left for obtaining Final Operational Clearance (FOC) are the refinement of stall characteristics and spin testing which will be commenced as soon as stall characteristics are refined. The project was sanctioned in 1999 and the first and second prototypes flew in March 2003 and in March 2004 respectively. The prototypes were initially flight tested with the LARZAC Engines from SNECMA. To meet technical parameters, a high powered engine AL-55I from Russian was selected based on a global tender. Due to developmental issues in Russia, flight-worthy Engines were supplied to HAL in January, 2009 against the contractual schedule of January, 2007. Flights with these Engines commenced in May, 2009 after resolution of Engine-Aircraft interface issues with the Russians. The Progress of project was affected due to loss of prototype during flight testing which necessitated major changes like total redesign of flight control system and associated increased number of design iteration for recovery and resolution. All efforts are being made to achieve FOC by December 2014. Production of aircraft will commence immediately [thereafter]. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
prof.566 Posté(e) le 21 février 2014 Share Posté(e) le 21 février 2014 Calme toi ! On ne sait rien, pas la peine de se miner le moral en se basant sur du "rien". Démonstration : des fois, des choses sont signées, et on le sait en retard, pour diverses raisons. Là, je fais naitre de l'espoir à partir de rien. Et si c'était vrai? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mani Posté(e) le 21 février 2014 Share Posté(e) le 21 février 2014 (modifié) Difficult to face joint China-Pak threat: IAF The Indian Air Force has dropped a bomb with its alarming admission that it will be difficult for it to tackle a combined threat from China and Pakistan, raising questions about the country's ability to fight a two-front war. The IAF has told a Parliamentary panel that Pakistan would certainly fish in troubled waters if China were to launch offensive operations against India. It, however, stressed that China may not pose "a collusive threat" if hostilities were to break out between India and Pakistan. Setting off alarm bells, a senior IAF officer informed the Parliamentary standing committee on defence that a "collusive threat" from China and Pakistan would be difficult to tackle but the air force was prepared for it. "We have made plans in case of contingency-III (two-front war)," he said, adding that India had upgraded its policy against China from dissuasion to deterrence. The IAF currently operates 34 fighter squadrons, against a desirable 42. In a report tabled in Parliament on Tuesday, the panel asked the IAF to scale up its capabilities by speeding up the acquisition of 126 French Rafale fighters, a deal worth Rs. 120,000 crore. The panel flagged concerns about poor border infrastructure on the Indian side, at a time when China has ramped road, rail and air connectivity across the line of actual control (LAC). The panel warned that the pace of China's military modernisation and infrastructure development had affected the "strategic balance" between the two countries. "Our defence forces must develop the capability to fight a multi-front war," the panel said. India is years behind the Chinese military with the neighbour currently outnumbering the country's combat power by a 3:1 ratio. India's hopes to bridge the gap in the next 15 years hinge on availability of funds. Fhttp://www.hindustantimes.com/india-news/iaf-bombshell-difficult-to-tackle-china-pak-threat/article1-1185495.aspx Ah, si seulement le ministre de la défense pouvait être un militaire non véreux ! Les politiciens indiens me désolent pour leur incompétence, lenteur administrative, corruption, .... :- O0 Je me dis qu'avec l'arrivée au pouvoir des nationalistes au moins le dossier Rafale avancerait bien plus vite ?! :| Modifié le 21 février 2014 par Mani Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mani Posté(e) le 25 février 2014 Share Posté(e) le 25 février 2014 (modifié) Négociations franco-indiennes sur l'achat du Rafale : tout ou rien http://french.ruvr.ru/2014_02_21/Negociations-franco-indiennes-sur-lachat-d-avions-Rafales-cest-tout-ou-rien-4088/ Par La Voix de la Russie | L'issue des négociations sur l'achat par l'Inde de 126 chasseurs français de type Rafale, un contrat de plusieurs milliards de dollars, demeure incertaine. La transaction pourrait ne se faire ni cette année, ni l'année prochaine. Le rédacteur en chef de la revue Exportation d'armes, Andreï Frolov : « Quelle que soit l'issue des élections, elles seront suivies d'une pause. Dans la mesure où ce contrat est véritablement onéreux et important, il suscite de nombreuses questions quant à sa pertinence et aux délais de réalisation. L'aspect financier est important également : entre la fin 2013 et le début 2014, la roupie indienne s'est fortement dépréciée par rapport aux autres devises internationales, et le prix du contrat a augmenté de 10 à 15 % en monnaie locale, ce qui ne peut pas ne pas embarrasser le ministère des Finances et le ministère de la Défense indiens.» Intéressant dans cet article, la critique concernant la confrontation entre les pro-occidentaux (projet franco-indien : Rafale) et les pro-russes (projet russo-indien : avion de 5ème génération). De toute façon, il faudra attendre le résultat des élections en mai 2014 et la formation du nouveau gouvernement qui ne se fera pas du jour au lendemain. Un 3ème larron qui pourrait s'immiscer, si ça traîne : ce sont les Etats-Unis qui ont levé l'interdiction de visa pour le leader nationaliste Narendra Modi. Le chef de l'opposition indienne Narendra Modi (droite) serre la main de l'ambassadrice américaine Nancy Powell à Gandhinagar le 13 février 2014 (Photo Gouvernement de l'Etat de Gujarat. AFP) Inde : le chef de l’opposition Modi retrouve les faveurs des États-Unis : http://www.liberation.fr/monde/2014/02/13/inde-le-chef-de-l-opposition-modi-retrouve-les-faveurs-des-etats-unis_979981 Modifié le 25 février 2014 par Mani Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mgtstrategy Posté(e) le 25 février 2014 Share Posté(e) le 25 février 2014 Et oui, la real Politik americaine.... Donc en gros, le TSR (tout sauf Rafale) inclus les anglo saxons, les chinois et les russes. Genial :'( Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
French Kiss Posté(e) le 25 février 2014 Share Posté(e) le 25 février 2014 Ah, si seulement le ministre de la défense pouvait être un militaire non véreux ! Les politiciens indiens me désolent pour leur incompétence, lenteur administrative, corruption, .... :- O0 Je me dis qu'avec l'arrivée au pouvoir des nationalistes au moins le dossier Rafale avancerait bien plus vite ?! :| A mon humble avis cela ne changera pas grand chose, meme avec un changement de tete politique, vue l'echelle du pays, le temps de reponse du systeme socio-administratif est faramineusement long, donc a moins d'un cataclysme... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kalligator Posté(e) le 25 février 2014 Share Posté(e) le 25 février 2014 Un cataclysme comme une petite crisounette avec la Chine ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mani Posté(e) le 25 février 2014 Share Posté(e) le 25 février 2014 Un cataclysme comme une petite crisounette avec la Chine ? Impossible actuellement et pendant un laps de temps ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Henri K. Posté(e) le 25 février 2014 Share Posté(e) le 25 février 2014 Au lieu de dépenser des milliards pour enrichir les autres, les Indiens doivent se focaliser sur les programmes indigènes. L'argent n'achète pas la sécurité ni la défense. Un cataclysme comme une petite crisounette avec la Chine ? L'heure est à la réconciliation, c'est ce qu'il se passe en ce moment entre l'Inde et la Chine. Henri K. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Zarth Arn Posté(e) le 25 février 2014 Share Posté(e) le 25 février 2014 "L'heure est à la réconciliation, c'est ce qu'il se passe en ce moment entre l'Inde et la Chine." T'inquiète, avec 150 rafales en face et plus, bientôt le Chinois se montrera encore plus bienveillant à l'égard de l'Inde.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Henri K. Posté(e) le 25 février 2014 Share Posté(e) le 25 février 2014 "L'heure est à la réconciliation, c'est ce qu'il se passe en ce moment entre l'Inde et la Chine." T'inquiète, avec 150 rafales en face et plus, bientôt le Chinois se montrera encore plus bienveillant à l'égard de l'Inde.... Si 150 Rafales arrivent à faire plier un pays comme la Chine, la France aurait déjà conquis tout l'Univers... Henri K. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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