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En attendant les"BARRACUDAS"


SPARTAN

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Des sous marins "compacts" comme les rubis sont peut etre interressant malgre tout peut etre pas avec des SCALP mais avec des EXOCET mm40 block 3 ou superieurs....ils peuvent peut etre avoir suffisament de performances pour attendre les Barracudas...Moyennant quelque améliorations sur leur discrétion.

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23 Juin 2006 : Jacques Chirac lancera-t-il le programme Barracuda le 14 juillet ?

Le président de la République pourrait annoncer le lancement du programme des sous-marins nucléaires d’attaque du type Barracuda à l’occasion de son traditionnel discours du 14 juillet. C’est en tous cas ce que croit savoir le journal La Tribune, qui a fait état de cette information dans son édition d’hier. Si, du côté industriel, on semble effectivement attendre une prise de position claire de Jacques Chirac très rapidement, dans les couloirs du ministère de la Défense, la date de la fête nationale est prise avec beaucoup de prudence : « C’est surprenant », a indiqué une source proche du dossier, affirmant que la signature est « prévue en fin d’année ». Déjà, la semaine dernière, Michèle Alliot-Marie avait évoqué une commande à l’automne, provoquant alors une vague d’inquiétude chez les bénéficiaires du futur contrat. DCN et son futur actionnaire, Thalès ; ainsi que Technicatome, filiale d’Aréva, sont chargés de mener à bien les études et la réalisation de ce projet. « Le programme peut très bien être lancé en juillet mais le problème, c’est le temps de latence entre l’annonce et la notification. Or, c’est bien la signature du contrat qui enclenche le processus de réalisation », explique-t-on du côté de l’Industrie, où une commande est toujours souhaitée dans le courant de l’été pour limiter les conséquences du retard sur le plan de charge.

Limiter les conséquences sur le plan de charge de DCN : En effet, le glissement dans le temps de Barracuda est déjà bien réel. Livré en 2016, le premier bâtiment ne devrait pas entrer en service avant 2017, soit cinq ans après la date prévue initialement par la marine. Les conséquences pour DCN Cherbourg et DCN Nantes-Indret, qui conduiront l’assemblage de la coque et la réalisation de la partie propulsive, sont déjà palpables : Un creux de charge se profile fin 2007 début 2008 pour les deux sites et leurs 3500 salariés. Les anciens arsenaux espèrent combler cette baisse d’activité grâce au programme des frégates multi-missions et à l’Indisponibilité Périodique pour Entretien et Réparation (IPER) du porte-avions Charles de Gaulle (2007-2008). Malgré tout, « on ne pourra pas reporter indéfiniment et sans conséquence la signature du contrat. Il faut assurer la charge et maintenir les compétences », préviennent les industriels, engagés depuis un an dans d’âpres négociations autour du prix des six Barracuda. DGA et DCN sont soumis à de fortes pressions, les uns arguant du peu de latitudes financières que le budget offre aux armées et les autres des conséquences sociales catastrophiques que pourrait avoir un nouveau contretemps ou une réduction du programme. « Il s’agit d’un projet structurant sur dix voire quinze années pour l’activité sous-marine de DCN (…) s’il venait à être reporté ou décalé, cela entraînerait des décisions industrielles et sociales délicates », a souligné le 3 mai dernier Jean-Marie Poimboeuf, devant la Commission de la Défense de l’Assemblée nationale (Audition de Jean-Marie Poimboeuf, président de DCN. Commission de la Défense nationale et des Forces Armées – Assemblée nationale, 3 mai 2006).

Du volume de la commande dépendra le prix : Après une étude de faisabilité remise en 2001 au ministère de la Défense, le programme Barracuda est entré dans sa phase de définition, entre 2002 et 2006. La première offre relative à ce projet a été présentée le 25 juin 2005. Largement au dessus dans ambitions financières de la Délégation Générale pour l’Armement, elle a été suivie d’une seconde proposition, en novembre 2005, après une série de discussions techniques entre la DGA, le CEA, DCN et Technicatome. Nettement plus basse, cette offre n’a, toutefois, pas été jugée suffisamment compétitive. Sur la base d’un ajustement du contenu technique et d’une simplification de l’organisation industrielle, une troisième mouture a donc été remise le 28 avril 2006 et fait, depuis, l’objet de discussions avec la DGA. C’est à l’issue de ces négociations que le ministère de la Défense donnera son accord pour la signature du contrat. L’une des difficultés semble porter sur le périmètre de la commande, c'est-à-dire le nombre de sous-marins notifié. Le gouvernement serait, en effet, tenté de ne pas acheter les six Barracuda en même temps : « Il faut une visibilité. Le prix est variable en fonction du volume. Pour baisser les coûts, il faut pouvoir bénéficier de l’effet de série. Il est évident que la rentabilité n’est pas la même sur 2 ou 6 bateaux ». L’industrie et les marins craignent, avant tout, que le programme ne fasse les frais des restrictions budgétaires ou d’un changement de gouvernement en 2007 et qu’en définitive, le nombre d’unités soit réduit. Pour l’Etat, l’économie ne serait d’ailleurs pas évidente, le coût de conception devant être assumé, quelque soit la quantité de bateaux commandée : « S'il y en a moins, ils seront tout simplement plus chers ».

Programme crucial : Destinés à remplacer les SNA du type Rubis, livrés entre 1983 et 1993, les sous-marins de la classe Barracuda seront plus grands (5300 tonnes en plongée contre 2670), plus puissants (20 torpilles et missiles), plus discrets et plongeront plus profondément. Pour DCN, le programme est jugé « totalement crucial » puisqu’il doit assurer l’essentiel de la charge de Cherbourg, d’Indret et de leurs sous-traitants dans les toutes prochaines années. Après l’achèvement du premier exemplaire, la cadence envisagée prévoit une livraison tous les deux ans, jusqu’en 2026. D’un point de vue stratégique, avec les Etats-Unis et la Russie, la France est aujourd’hui la seule nation capable de construire par ses propres moyens des sous-marins nucléaires. Pour se faire, la question du maintien de la compétence est crucial, comme en témoigne les graves difficultés que rencontre la Grande-Bretagne avec les SNA du type Astute. Ayant trop tardé à lancer son programme, Londres n’est pas parvenue à reconstituer ses compétences industrielles sur ce type de produit et a été contrainte de faire appel aux Américains. Cette mésaventure anglaise fait dire, en hauts lieux, qu’avec Barracuda, « il en va de la capacité de la France à conserver sa capacité de construire des sous-marins ». D’un point de vue opérationnel, malgré l’augmentation du taux de disponibilité des bateaux ces dernières années, la Marine nationale est très claire quant au nombre de submersibles dont elle a besoin : « Pour assurer les missions qui nous sont confiées et satisfaire aux ambitions françaises, il nous faut six sous-marins », affirme-t-on rue Royale. Outre les missions traditionnelles de protection des bâtiments stratégiques et des groupes navals et aéronavals, les Barracuda verront leurs capacités renforcées pour les missions de renseignement et les opérations spéciales. Ils disposeront, de plus, d’une arme qui a fait cruellement défaut à la marine ces dernières années : Les frappes en profondeur. C’est pourquoi, aux yeux de l’Etat-major, il est indispensable que les futurs SNA soient non seulement réalisés, mais également équipés du missile de croisière naval.

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ZIZOU lui a suggéré de le faire cet après-midi. :lol: commander le PA2 et la série de 6 SNA

Le syndicat à DCN voit l'avenir d'un mauvais oeil alors qu'on attend la signature pour construire les deux premiers sous-marins Barracuda.

« Le Barracuda ne suffira pas à alimenter les 2 500 personnels de l'entreprise », expliquent les représentants de la CFDT. Leur inquiétude est telle qu'ils avaient décidé d'organiser une conférence de presse mercredi. Pour eux, la construction des deux premiers sous marins nucléaires de type Barracuda ne donnera pas une charge de travail assez importante pour occuper l'ensemble des salariés. Le projet initial prévoyait la réalisation immédiate de 6 submersibles pour 6 milliards d'euros.

Le syndicat redoute donc des licenciements, notamment chez les sous-traitants très spécialisés de DCN. « Quand les soudeurs qui bossent sur les sous-marins essaient de se faire embaucher ailleurs, on leur dit qu'ils font de la surqualité », raconte Bernard Pivain, représentant du syndicat de la métallurgie et lui-même employé chez un sous-traitant. Il craint des dégraissages de personnel avant la fin de l'année.

Quelle solution pour la CFDT ? La diversification des missions et des clients de DCN. Plusieurs tentatives ont déjà eu lieu, comme la réalisation de tête de forage pour puits de pétrole, mais tous ont été abandonnés. « DCN possède les machines, les hommes et les compétences. Tout ce qu'il manque, c'est une vraie volonté au niveau de la direction », regrette Bertrand Brière, secrétaire général du syndicat. « Par exemple, on a les mêmes procédés de soudage que sur les réacteurs nucléaires d'Areva. Si le projet EPR se passe bien, il n'y a pas de raisons que DCN ne soit pas sur le chantier. Ça c'est un contrat pour dix ans ».

Les représentants syndicaux craignent des licenciements chez DCN et ses sous-traitants

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Industriellement parlant est il possible aujourd'hui de relancer une série limitée de SNA rubis?pour quel prix?

Les futurs sous marins MARLIN sont ils des sous marins AIP?

Sujet deja evoqué.Et ca ne sert a rien.De plus une modernisation maximum des Amethystes permettrai de les maintenir jusqu'en 2025 au moins.

Le probleme est avant tout le maintien de la competence SNA qui est ultracritique et impossible à maintenir en cooperation.

Le Barracuda est ultraprioritaire et meme plus que les FREMM ASM.

Il faut en faire au moins 3 d'ici 2018 quitte a moderniser les améthistes pour refaire un second lot plus tard.

quand a l'emploi du personnel de DCN on s'en fout, seuls comptent ceux qui ont les compétences critiques.

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  • 3 weeks later...

Bonjour à tous Pourriez vous me renseigner sur les sous marins français, je m'y perds un peu, j'ai besoin d'un topo complet :) Sur le site de la marine nationale on voit 2 classes : - 4 sous marins lanceurs d'engins ou SNLE (Inflexible, Triomphant, Téméraire et Vigilant) qui semblent être les plus modernes puisque mis en service respectivement en 1985, 1997, 1999 et 2004. Le Triomphant le Téméraire et le Vigilant n'étant en réalité pas de la même classe que l'Inflexible car plus modernes (si j'ai compris). - 6 sous marins nucléaires d'attaque ou SNA dont le premiers, le Rubis, a été admis au service actif en 1975 et le dernier, le Perle, en 1993. C'est ce que vous nommez la classe Améthyste si j'ai compris (qui est en réalité le nom du 5eme SNA) ?? Est à dire que la marine dispose aujourd'hui de 10 sous marins ? Les Barracuda sont donc destinés à remplacer les SNA, mais est il nécessaire d'avoir 2 types de sous marins ? Ne peut on pas avoir des sous marins de même classe équipés en tètes nucléaires et d'autres en missile naval ? Dans ce cas pourquoi ne pas simplement faire évoluer les SNLE ? Le Vigilant est tout de même très moderne non ?

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Les SNLE n'ont pas le meme role que les SNA. Ces derniers sont chargé de l'escorte des GAN ou pour des missions de destruction alors que les SNLE NG sont chargés de la dissuasion nucléaire grace au M 45 et bientot M 51. Ils doivent se faire "oublier" et patrouiller durant des mois dans les océans.

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Les SNLE n'ont pas le meme role que les SNA.

Et surtout, le prix n'est pas le même...

Le prix d'un seul SNLE avec ses têtes nucléaires et missiles balistiques équivaut au prix d'acquisition du porte-avions CdG (hors aviations) :shock:

Le Triomphant le Téméraire et le Vigilant n'étant en réalité pas de la même classe que l'Inflexible car plus modernes (si j'ai compris).

Tu as bien compris. L'inflexible est de la Classe Redoutable (1er unité en 1969, il est désormais désarmé et tu peux le visiter à Cherbourg)

Les Barracuda sont donc destinés à remplacer les SNA, mais est il nécessaire d'avoir 2 types de sous marins ? Ne peut on pas avoir des sous marins de même classe équipés en tètes nucléaires et d'autres en missile naval ?

Les américains peuvent le faire puisqu'ils ont, par exemple, transformé 4 SNLE en SNA avec Tomawhawk à la place des missiles nucléaires. Mais, il faut que tu saches que les SNLE ont des tailles immenses par rapport au SNA (grosso modo, les bâtiments de la classe triomphant sont deux fois plus grands et 7 fois plus lourds que ceux de la classe Améthyste). Plus c'est grand, plus c'est lourd, plus c'est cher... ;)

C'est ce que vous nommez la classe Améthyste si j'ai compris (qui est en réalité le nom du 5eme SNA) ??

Le cinquieme de la serie à fait l'objet de nombreuses modifications et améliorations. Toutes les autres unités ont été remises à ce standard, ce qui explique que l'on les désigne de la classe Améthyste.

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Merci de ces précisions :)

Il y a donc bel et bien 10 sous marins en service actif aujourd'hui ?

En effet ,4 SNLE appartenant à la FOST pour notre stratégie de dissuasion par l'execution à tout moment d'une frappe nucléaire de riposte.

6 SNA pour notre stratégie de prévention ,de projection et de protection.

Pouvant intervenir pour du RM ou contre les menaces navales.

Ces 2 escadrilles ne pouvant pas descendre à moins de 6 SNA et 4 SNLE en dotation et en service actif.

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Le prix d'un seul SNLE avec ses têtes nucléaires et missiles balistiques équivaut au prix d'acquisition du porte-avions CdG (hors aviations)

Non.De DEUX PA2 avec les missiles.Chaque missile vaut pres de 120 m€ avec ses tetes.

Les Barracuda sont donc destinés à remplacer les SNA, mais est il nécessaire d'avoir 2 types de sous marins ?

Oui leur missions et leur charges utiles ne sont pas les meme.

Un SNLE emporte pres d'un millier de tonnes de missile contre quelques dizaines de tonnes d'armement pour un SNA.

Et il faut au moins 4 SNLE tres silencieux pour en avoir qui puisse tirer a coup sur meme en cas d'attaque preventive.

Ne peut on pas avoir des sous marins de même classe équipés en tètes nucléaires et d'autres en missile naval ? Dans ce cas pourquoi ne pas simplement faire évoluer les SNLE ? Le Vigilant est tout de même très moderne non ?

Les SNLE (sans leur armement) coute le prix de 2,5 SNA: c'est un peu cher!

De plus il faut concevoir une génération de sous marin nucleaires tous les 15 ans pour ne pas perdre la competence.

Mais quoiqu'il en soit notre nombre de SNA est vraiment deja en dessous du minimum que j'estime à 10 (et en plus des modernes).

C'est la plus grande faiblesse de la défense francaise.

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Pourquoi 10 SNA ? L'USN en veut 30 je crois - elle a 12 PA et 13 SNLE (je parle de mémoire...). Pour protéger 1 ou 2 PA et 4 SNLE : 6 SNA pourrait suffire, non ? je crois que la RN va en construire 6 ou 8 ? Que veux tu faire des autres ?? des opérations offensives (ou du renseignement ?) en solitaire (contre quel ennemi ? la chine ? la russie ?)...

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  • 2 months later...

Pourquoi 10 SNA ?

L'USN en veut 30 je crois - elle a 12 PA et 13 SNLE (je parle de mémoire...).

Pour protéger 1 ou 2 PA et 4 SNLE : 6 SNA pourrait suffire, non ? je crois que la RN va en construire 6 ou 8 ?

Que veux tu faire des autres ?? des opérations offensives (ou du renseignement ?) en solitaire (contre quel ennemi ? la chine ? la russie ?)...

14 SSBN (SNLE), 4 SSGN (d'anciens SNLE), 30 SNA Virginia (prévu), 3 SNA Sea Wolf (construit ou en construction, dont un pouvant servir pour les mêmes missions que les SSGN).

Bref, pour moi, pas assez. A peine un par PA et un par SNLE. Et les groupes amphibies??? ils en ont 12...

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Les SNA doivent soutenir les SNLE dans la doctrine américaine? Je crois plutot qu'ils suivent les SNLE russes (ou ennemi, donc peut être chinois), la question est donc, combien de SNLE russes (en prenant en compte le niveau de dispo des navires russes, trés inférieurs à celui des occidentaux ,23% du temps de la guerre froide contre 68% pour les US, sources La Marine Soviétique de Claude Huan) ou chinois (1 seul pour l'instant) à suivre. Sinon il y a 2 par PA et rien pour le reste, c'est effectivement un peu juste (même si les groupes amphibies voyagent avec un PA si l'ennemi possède des soum, car s'il posséde des soum il est assez puissant pour peut être avoir une aviation dangereuse).

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Pour la France, 6 SNA sont un mini, avec un taux de dispo de 66 % (1 en IPER, 1 en IE) le taux standard en occident il au mieux reste 4 sous-marins pour les 4 missions primaires: - 1 pour la protection de la FOST - 1 pour la protection du GAN - 1 présent en Medor ou océan indien pour les frappes contre terre (role futur) - 1 pour l'entrainement/les qualifications dans ce type de situation, il n'y a pas de SNA dispo pour une mission de protection des approches, une mission de controle maritimes, des opérations spéciales ou la protection d'un groupe amphibie par exemple... Avec l'apparition de la mission frappe contre terre, il va certainement falloir faire des choix à mon avis à l'image de la R.N. 8 SNA semble la cible raisonnable mais inatteignable avec les budgets actuels..... donc au choix: - abandonner 1 SNA pour acheter 3 ou 4 classiques AIP et essayer de couvrir davantages de missions - conserver 6 SNA en abandonnant la capacité MCDN au regard du ratio investissement/utilité (interet de tirer 4 MCDN en plongée ?) - en gros rester à la situation actuelle - esperer une amélioration du taux de dispo à 80 %

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Les SNA doivent soutenir les SNLE dans la doctrine américaine?

Je crois plutot qu'ils suivent les SNLE russes (ou ennemi, donc peut être chinois), la question est donc, combien de SNLE russes (en prenant en compte le niveau de dispo des navires russes, trés inférieurs à celui des occidentaux ,23% du temps de la guerre froide contre 68% pour les US, sources La Marine Soviétique de Claude Huan) ou chinois (1 seul pour l'instant) à suivre.

Sinon il y a 2 par PA et rien pour le reste, c'est effectivement un peu juste (même si les groupes amphibies voyagent avec un PA si l'ennemi possède des soum, car s'il posséde des soum il est assez puissant pour peut être avoir une aviation dangereuse).

je crois que de chaque coté les accords avait autorisés 14 SNLE, mais coté russe, ils doivent en avoir moins de 10 en état de naviguer et de représenter une menace.

Et ce n'est que des Delta IV, assez bruyants...

Les typhoon servant aux essais.

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Avec l'apparition de la mission frappe contre terre, il va certainement falloir faire des choix

à mon avis à l'image de la R.N. 8 SNA semble la cible raisonnable mais inatteignable avec les budgets actuels.....

donc au choix:

- abandonner 1 SNA pour acheter 3 ou 4 classiques AIP et essayer de couvrir davantages de missions

- conserver 6 SNA en abandonnant la capacité MCDN au regard du ratio investissement/utilité (interet de tirer 4 MCDN en plongée ?) - en gros rester à la situation actuelle

- esperer une amélioration du taux de dispo à 80 %

+1 ,la stricte suffisance devrait être 8 SNA. Choix décidé avant 1991.

Le facteur limitant étant financier ,2 SNA supplémentaires = entre 1600 M€ et 2 Giga €.

Avec une DTO des SNA Améthiste élevée ,il y en a bien un ,du côté de Bercy ou du futur chef des armée pour dire que nous avons besoin de seulement de 5 SNA Barracuda in fine. Pire pourquoi des SNA pour combattre les terroristes ?

Si le dernier SNA Barracuda n°6 est abondonné ,je doute que ce sera pour l'acquision d'une flotte de SM conventionnel MESMA AIP (type Marlin) en dotation supplémentaire.

Prévision de dotation de 50 MdCN pour être délivrés à partir des tubes 533 étant un choix politique et doctrinal ,est-ce que la MN va faire l'impasse de cette capacité de frappe dans la profondeur à partir de SNA ?

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C'est bien possible que l'on fasse l'impasse sur cette possibilité Philippe. 1 SNA accompagnant le SNLE en patrouille, utilité de disposer du MDCN trés limité 1 SNA accompagnant le GAN, étant donné que le GAN comportera 2 voire 3 navires ayant déja la capacité missile de croisiére, utilité trés limité également On bien 2 lots de barracudas bien distincts, avec l'un ayant capacité de frappe de MDCN et l'autre non. Affaire à suivre. Triomphant.

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