gianks Posté(e) il y a 8 heures Share Posté(e) il y a 8 heures Car on craint que les considérations industrielles ne prennent le pas sur les considérations opérationnelles. En effet, la cellule du C27J est jugée inadaptée aux besoins de la mission, en raison de problèmes de taille et de confort de l'équipage. Ce détail a un impact significatif sur la mission. Une quatrième option est également envisagée : l'électronique de mission Leonardo sur une cellule Bombardier, mais il s'agirait probablement d'un produit destiné à l'exportation. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Asgard Posté(e) il y a 8 heures Share Posté(e) il y a 8 heures 24 minutes ago, gianks said: Car on craint que les considérations industrielles ne prennent le pas sur les considérations opérationnelles. En effet, la cellule du C27J est jugée inadaptée aux besoins de la mission, en raison de problèmes de taille et de confort de l'équipage. Ce détail a un impact significatif sur la mission. Une quatrième option est également envisagée : l'électronique de mission Leonardo sur une cellule Bombardier, mais il s'agirait probablement d'un produit destiné à l'exportation. L'A320 MPA c'est non à jamais du coup ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gianks Posté(e) il y a 6 heures Share Posté(e) il y a 6 heures (modifié) Oui Pour un avion dont la cellule est encore en phase de conception, avec une suite électronique fabriquée en France, il n'y a pas de place en Italie. La seule « fenêtre » possible, à mon avis, serait une proposition industrielle de science-fiction : un A320 MPA avec une suite de missions fabriquée chez Leonardo, soit essentiellement la même solution que celle envisagée pour le P1. Mais le problème de l'avion encore sur le papier persisterait. Pour l'industrie japonaise, une commande italienne aurait une toute autre signification pour le P1 Le P8 présente l'avantage d'être déjà largement opérationnel auprès de multiples opérateurs dans le monde (bien que la question de l'intégration des armes italiennes, ou de la nécessité d'acquérir avec l'avion des armes « dédiées » , en dehors de toute logique industrielle ou logistique, pose problème). Je reste convaincu que, dans ce cas également, la préférence de la France pour l'Allemagne a empêché une collaboration aéronautique fructueuse entre la France et l'Italie (qui, par ailleurs, a un bilan positif, notamment dans le domaine des avions de guerre anti-sous-marine). Modifié il y a 6 heures par gianks Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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