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[Rafale] *archive*


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D'après ce que je sais les deux version sont largement sous les dix mètres...

çà peut tomber en panne mais sinon c'est largement sous les dix.

La notion de Cercle d'Erreur Probable est une moyenne je crois.

Par grand vent ou pluie battante çà doit pas être le même topo mais pour l'instant ils ont l'air contents des résultats.

Ce qu'il y a de bien avec l'IR c'est que l'arme devient vraiment intelligente en corrigeant (dans une certaine mesure en deçà d'un écart maxi) qq instants avant l'impact une dérive importante ou une erreur de coordonnées (ce qui fut testé lors du premier tir).

Cà peut pourquoi pas autoriser des tirs sur des cibles en mouvements pas trop rapides et là je pense à certains navires.

Ce qui est intéressant c'est qu'a priori même à bonne distance l'angle d'arrivée sur la cible est > 70° ce qui serait appréciable.

Il y a bcp bcp de choses à tester encore

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Petites infos ...

Challenges.fr, 27/06/08,

"La vérité sur... les chances d'avenir du Rafale"

"En raison des économies imposées à l'armée française, l'avion de combat de Dassault doit absolument se vendre à l'étranger.

Quand on lui parle du Rafale, la petite merveille technologique que le monde entier est censé nous envier mais que personne ne nous a encore achetée, le ministre de la Défense, Hervé Morin, prend l'air résolu de celui qui s'attaque aux monstres sacrés. «Le Rafale est un avion trop sophistiqué et difficile à vendre à l'étranger», déclarait-il à l'université d'été de la Défense, en septembre 2007, devant un auditoire médusé. Dans les rangs de Dassault Aviation, constructeur de l'avion de combat, les dirigeants ne cachaient pas leur irritation. Non seulement parce que cette phrase-choc remettait en cause la vieille complicité entre l'Etat et l'avionneur, mais aussi parce qu'ils savaient déjà - et le ministre aussi - ce qui ne serait divulgué que quelques jours plus tard : le F-16 américain venait de souffler le marché marocain au Rafale, privant l'avion français de son premier succès à l'étranger.

Maintenant que le Livre blanc de la défense et la revue générale des politiques publiques sont passés par là, exporter est devenu impératif.

Rafale, avion de transport A400M, blindés légers, sous-marins Barracuda, frégates Fremm, second porte - avions... Si tous les programmes étaient réalisés comme prévu, les crédits d'équipement annuels des armées devraient augmenter de 20% ! Impensable. Une seule solution, donc, tailler dans les programmes, ou rééchelonner les commandes. Le Rafale n'échappera pas à la règle : sur les 294 appareils prévus, pour un montant de 35 milliards d'euros sur trente ans, seuls 120 ont fait l'objet de commandes fermes, et 57 ont été livrés. La marge de manoeuvre existe donc.

Moins cher que l'Eurofighter

«Le programme Rafale revient moins cher à la France que ne lui aurait coûté une participation à l'Eurofighter», continue pourtant de proclamer Charles Edelstenne, le PDG de Dassault Aviation. Pour un budget de 26 milliards d'euros, les Allemands ne recevront que 180 Eurofighter, fait-on remarquer chez le constructeur français, tandis que les Britanniques en auront 232 pour 33 milliards d'euros. C'est en 1985 que la France s'est désolidarisée des Européens, décidant de poursuivre seule. Hostile à ce projet coûteux, André Giraud, le ministre de la Défense, n'aura pas gain de cause, mais il obtient des industriels qu'ils assument 25% du développement. Ce qui fait dire à Dassault que le prix payé par le contribuable n'est pas de 35 milliards d'euros mais de 28 milliards, si l'on enlève les 2 milliards pris en charge par les industriels... et la TVA, qui, «payée par la défense, revient dans les tiroirs de Bercy, donc de l'Etat» ! Selon ce calcul, le coût budgétaire d'un avion s'élève à 95,2 millions d'euros (et non 119 millions), son prix de série étant de 50 millions d'euros.

Polyvalent

Deuxième argument du constructeur : conçu pour effectuer tous les types de missions aériennes - surveillance, interception, attaque au sol... -, le Rafale doit remplacer six ou sept modèles tels que les Crusader Marine, les Super-Etendard, les Jaguar, ou encore les Mirage F1 et Mirage 2000. A la clé, des économies d'entretien et de formation des pilotes, et une fl otte réduite en nombre : en 2021, les 294 Rafale en service auront remplacé les 680 avions qui constituaient la flotte française au moment du lancement du programme - mais c'était avant la chute du mur de Berlin. Résultat de ce reformatage, une baisse sensible du nombre des bases aériennes. Est-il possible de réduire encore la voilure ? Une interrogation légitime, à laquelle les industriels opposent la réalité de leur faible charge de travail.

Car avant même tout décalage de programme, le rythme de production du Rafale se limite à 1,16 appareil par mois ! Difficile de descendre plus bas. Chez Dassault Aviation, le maître mot est «flexibilité». A l'usine d'assemblage de Mérignac (Gironde), les ouvriers travaillent indifféremment sur la chaîne du Rafale comme sur celle des Falcon, les jets d'affaires au succès grandissant. Une organisation si bien pensée qu'elle fait dire à un dirigeant haut placé : «Le programme Rafale a été conçu pour être rentable sans exportation.» Sous couvert d'anonymat, il évalue de 10 à 12% les marges de la branche défense, alors que celle des avions d'affaires ne dépasserait pas les 7%, en raison d'une concurrence très vive !

Quant aux 1 500 sous-traitants et partenaires, exclusivement français, dont Thales (électronique, 25% de la valeur de l'avion) et Snecma (moteur, 20% du prix total), le Rafale ne représente qu'une petite partie de leur activité. Heureusement pour eux. «Les cadences de production du moteur M88 se résument à une trentaine par an, explique Xavier Sahut d'Izarn, directeur général de la division moteurs militaires. Nous produisons chaque semaine le même nombre de moteurs CFM56 destinés à l'aviation civile !» Sans augmentation de capacité, la production pourrait être multipliée par deux ou par trois.

Concurrencé

Cap, donc, sur l'exportation. «C'est un bon avion, estime Jean-Pierre Maulny, directeur adjoint de l'Institut de relations internationales et stratégiques (Iris). Mais il sera toujours en concurrence avec un avion européen et un américain. Sans compter le Gripen suédois !» Après un premier échec en Corée en 2002 et un autre à Singapour, en 2005, il a fallu se rendre à l'évidence : «Les performances du Rafale étaient insuffisantes par rapport à la concurrence», reconnaît un industriel. Il a fallu retravailler le radar, l'optronique et le détecteur de départ de missile. Un surcoût de plus de 400 millions d'euros, financé par le report en fi n de programme de huit avions. Le prix à payer pour que le Rafale, qui intégrera ces améliorations dès 2012, soit enfin exportable.

Tout serait donc réglé ? Trop simple... Au Maroc, 18 Rafale étaient sur le point d'être commandés au printemps 2007. Mais l'administration et les industriels ne proposaient pas le même prix, ni le même périmètre de contrat, et le ministère des Finances avait gelé la demande de financement en attendant l'élection présidentielle... Les Américains ont donc profité de la brèche pour s'imposer, avec un lot de 24 avions d'occasion.

C'est à cela, bien sûr, que pensait le ministre Hervé Morin en lançant sa phrase-choc sur l'exportation du Rafale, l'automne dernier. Vendre l'avion français est devenu une affaire d'Etat. Sous l'égide d'une war room pilotée par l'amiral Edouard Guillaud, chef d'état-major particulier du président de la République, c'est le politique qui mène désormais la danse. A l'américaine. Emirats arabes unis, Grèce, Libye, Inde, Brésil, Suisse... La carrière internationale du Rafale peut enfin commencer. Vingt ans après son lancement."

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Ce qu'il y a de bien, c'est qu'avec un titre pareil, il n'arrive à nous parler que du passé et ne donne même pas les prospects à venir (je ne parle même pas des "chances" d'exportation). A part dénigrer, quel est le but d'un tel article ? (A qui appartient Challenges, qui est l'auteur de cet article ?)

vive "l'information"...

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Après un premier échec en Corée en 2002 et un autre à Singapour, en 2005, il a fallu se rendre à l'évidence : «Les performances du Rafale étaient insuffisantes par rapport à la concurrence», reconnaît un industriel. Il a fallu retravailler le radar, l'optronique et le détecteur de départ de missile. Un surcoût de plus de 400 millions d'euros, financé par le report en fi n de programme de huit avions. Le prix à payer pour que le Rafale, qui intégrera ces améliorations dès 2012, soit enfin exportable.

Un industriel ? Dans quel domaine ? La production de macaronis ? Parce que l'AESA a toujours été proposé à l'exportation, en particulier en Corée et Singapour, sans parler du fait qu'il est la suite logique même pour la France. N'allons pas lui parler d'obsolescence à celui-là.
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EADS et Dassault sont en guerre commerciale sur les avions de combat

Eurofigther vs Rafale

Drones de combat (voir un article très charpenté de JL Promé sur les drones de l'Adla dans Air Fan il y a un an ou deux)

EADS se fout pas mal de savoir qui vendra les Typhies (Anglais, Italiens, Allemands...)

C'est EADS qui vend point barre regardons plutôt qui est actionnaire d'EADS

L'un des ennemis les plus vachard du Rafale est une société dont certains capitaux sont français.

Alors EADS a des parts dans Dassault...

Certes mais reste à savoir sur quelles ventes le groupe gagne le plus d'argent...

Dassault aura peut être qq vente sur des clients particuliers mais je me demande si tout n'est pas un peu pré réglé...

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Il y avait hier à Landivisiau à l'occasion de l'Ocean Tiger Meet les deux premiers Rafale rétrofités au standard F3, les B307 pour l'armée de l'air et le M11 pour l'Aéronavale, tout juste sorti de chantier à Istres. Les chantiers ont été réalisés en 8 semaines. La partie la plus importante du rétrofit F2 vers F3 comprends les évolutions de la cellule avion, ainsi que de certains équipements ; en particulier l'aménagement des câblages pour l'ASMP-A et l'amélioration de la tenue mécanique de l'attache avant du point ventral pour l'emport de l'AM-39 et de la nacelle Reco-NG. Les 35 avions suivants doivent être rétrofités en 6 semaines.

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Le M11 Kovy. Le M15 était également présent et a effectué deux vols dans la journée, mais ce dernier est encore au standard F2. Six Rafale M F2 étaient absents de Landivisiau pour cause de départ aux US le 26 juin. Trois Rafale (M21, 22 et 23) ont décollé le matin mais ne sont pas revenus au terrain. Les M11 et M15 étaient présents au statique sur les parkings de la 12F et en vol. Et une bonne majorité des F1 était présents sous les astroarches de la 12F, dépouillés d'une bonne partie de leurs équipements, moteurs compris... Pendant la journée, certains d'entre eux ont fait la navette entre les services techniques et le bâtiment de la 12F, visiblement pour des opérations de maintenance ou de mise à niveau dans le cadre de la mise sous cocon.

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Oui, c'est bien lui. Mais je ne pense pas que cet appareil soit traité contre les obsolescences. C'est normalement, l'objet du standard F3-O et le premier appareil Marine concerné doit être sauf erreur le M27 (et le B327 pour l'armée de l'Air) et sortir directement des chaînes de production.

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Après l'échec cuisant du Maroc, le dernier né des avions de combat français semble bénéficier d'un regain d'intérêt au Moyen-Orient. Acteurs industriel et politique devraient tout faire (et enfin se coordonner) pour offrir au Rafale son premier succès export et effacer les errements du passés... Le groupe Dassault Aviation profite de cette période de forte hausse des cours des hydro-carbures pour promouvoir à nouveau le Rafale dans les Etats pétroliers du Moyen-Orient. Trois pays (Emirats Arabes Unis, Qatar et Libye) ont exprimé leur intérêt pour l'avion français.

Aux Emirats

Abou Dhabi pourrait acquérir 64 Rafales, pour remplacer sa flotte de Mirage 2000 dans ses différentes versions. L'installation de la base interarmées française ne serait pas étrangère à ce nouvel intérêt pour le petit dernier de chez Dassault. Mais Abou Dhabi pose comme condition préalable à cet achat, la reprise de sa flotte de Mirage 2000. Or, Plusieurs pays comme l’Egypte, le Pakistan et la Jordanie se montreraient intéressés par la reprise des Mirage émiratis.

Au Qatar

On évoque aussi à nouveau l’intérêt du Qatar pour l’avion de combat français de cinquième génération. Fait nouveau, l’armée de l’air qatarie ne pose plus comme condition la reprise de ses douze anciens Mirage 2000-5, pour l’achat de douze Rafale.

Et en Libye

Enfin, malgré le secret qui entoure les discussions de Dassault Aviation avec l’armée de l’air libyenne, des informations font état de la récente visite du général Kadiri, responsable des achats au sein de l’armée libyenne, auprès du groupe aéronautique. Au terme d’un vol qu’il aurait effectué à bord d’un Rafale, Kadiri en aurait loué les qualités. En outre, les chances de l’avion concurrent, le Mig-29 SMT se sont amoindries après la visite de Vladimir Poutine à Tripoli, car les accords conclus à cette occasion se sont limités au domaine du chemin de fer. Enfin et surtout, le colonel Kadhafi avait enjoint aux militaires libyens “de s’équiper avec de la technologie française”.

Source : http://www.ttu.fr/francais/Articles/rafalemoyenorien.html

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C'est normalement, l'objet du standard F3-O et le premier appareil Marine concerné doit être sauf erreur le M27 (et le B327 pour l'armée de l'Air) et sortir directement des chaînes de production.

B327 7-HZ livré au standard F2 l'an dernier. Donc pour l'AdA, le premier F3 de série sera le B328, "spotté" sur un parking à Bordeaux récemment
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Le B327 livré en escadron l'an dernier

Le B328 récemment en réception...

Plus de six mois de délais. J'espère que quelques monoplaces ont été réceptionnés entre temps par l'Adla car sinon çà signifie que les cadences sont bien basses et les livraisons itou.

A ce rythme le Gascogne sera pour de bon déclaré opérationnel en 2011

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