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France: "super" croissance économique encore possible ?


SPARTAN

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Plus inquiétant, 15,6 % des salariés français ne perçoivent que le salaire minimum alors qu'ils ne sont que 0,8 % en Espagne, 1,4 % au Royaume-Uni, 2,1 % aux Pays-Bas, 3,1 % en Irlande et 5,5 % au Portugal

c'est bien de comparer des smic sans savoir de quoi il retourne . Alors voila quelques elements :

Image IPB

Le SPA (Standard de Pouvoir d'Achat) est une unité monétaire artificielle commune qui sert de référence et permet d'éliminer les différences de niveau de prix entre les pays. Un SPA permet donc d’acheter le même volume de biens ou de services dans tous les pays. Sources : Eurostat.

Il existe, dans l’Union européenne, un salaire minimum national dans 18 des 25 Etats membres (Belgique, Espagne, Estonie, Grèce, France, Hongrie, Irlande, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Slovaquie, Slovénie, République tchèque et Royaume-Uni)[1] et dans les 2 qui la rejoindront le 1er janvier 2007 (Bulgarie, Roumanie). Avant l’instauration d’un salaire minimum au Royaume-Uni et en Irlande, respectivement en avril 1999 et en avril 2000, des minima étaient fixés dans les branches industrielles à bas salaires. La fixation d’un salaire minimum par branches est la solution retenue par les Etats (Allemagne, Autriche, Chypre, Danemark, Finlande, Italie, Suède) qui n’ont pas choisi d’opter pour un salaire minimum national. A titre d’exemple, en Italie, le salaire brut minimal dans le textile s’élève à un peu moins de 800 euro mensuels.

Le salaire minimum ne s’applique en Belgique qu’aux travailleurs de plus de 21 ans et aux Pays-Bas qu’aux salariés de plus de 23 ans. [09]

Par ailleurs, le niveau du salaire minimum peut prendre en compte le type d’activité exercé. En Grèce, il existe ainsi un salaire minimum pour les travailleurs manuels et un autre pour les non-manuels. En France, en revanche, le salaire minimum représente une norme nationale uniforme. La France pratique une contrepartie non négligeable pour les employeurs en procédant à des allègements de charges sociales afin de diminuer le coût total d’un employé peu qualifié.

- Enfin, des divergences découlent aussi de l’appréhension de la masse des salariés susceptibles de recevoir le salaire minimum. Certains Etats estiment que le salaire minimum ne peut être attribué qu’à une portion congrue de la population active, d’autres non. Ces différences se traduisent par un pourcentage de salariés percevant un salaire minimum extrêmement variable d’un Etat à un autre[3]. En Espagne, au Royaume-Uni, à Malte, en Slovaquie, en République tchèque, en Slovénie et aux Pays-Bas, ce pourcentage était en dessous de 3 %. En Irlande, en Pologne, au Portugal en Estonie et en Hongrie, le pourcentage se situait entre 3 % et 8 %. Enfin, pour la Roumanie, la Lituanie, la France et le Luxembourg, le pourcentage était supérieur à 12 %

pour le reste c'est ici .

l'évolution du smic en France .

Devant tant de simplification pour le smic la vaidité du reste de ses allégations me laisse dubitatif .

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Oui, P4, 1200 euros net en UK, 1273 aux PB, de grandes différences. En outre, PIB/hab, est on ne peut plus révélateur. La France perd du terrain. P4, si tu es capable de me démontrer par A+B en quoi le fait que la Fr compte de plus en plus de smicards est une bonne nouvelle, je te saluerai. Mais comme tu fais dans la malhonnêteté intelectuelle (prendre une donnée d'une étude pour condamner le tout) : Le SMIC, en France ne s'applique pas non plus à tout le monde : quid des stages? des apprentissages? Des mineurs ayant moins de six mois d'experience? Des handicapés? Des C d'orientation? Les salaires agricoles ont d'autres référentiels. Grâce aux 35, on avait aussi différents smics selon les branches. Les différences entre les pays cités (UK, PB) sont insignifiantes. Bref, faux argument. La smicardisation de la société fr est un fait : - de plus en plus de smicard -le salaire médian se rapproche de plus en plus du SMIC Vision marxisante de l'économie où tout le monde aura le même salaire. On connaît la suite. Il n'y a pas si longtemps, le SMIC était vraiment le salaire du pauvre. Aujourd'hui, c'est presque le salaire de base pour n'importe quel embauche. Sans compter que le nombre de RMIstes est en constante augmentation depuis sa création. SMICards + RMIstes + chômeurs + les autres sont le prix à payer quand un pays a décidé de se priver de croissance au nom d'un pseudo modèle social qui ne fait que traiter les conséquences et non la cause. On se mord la queue. Mais tout ça est un faux-débat car tout le monde sait que la consommation en France n'est pas un problème majeur, ce n'est pas avec des mesurettes d'augmentation de centième du SMIC que la croissance reviendra. La relance de l'économie par la consommation est un vieux mythe socialiste qui n'a jamais marché : 81 et 36 sont des exemples criants. En plus, les français ne sont pas dupes et ça se traduit dans les faits. Les français, à chaque fois qu'il y a eu ce genre de pseudo-politique épargnent au lieu de consommer. Et puis, d'un point de vue structurel c'est encore bidon : le surplus de pouvoir d'achat se dirige vers des produits où la France n'excelle pas ou pire dans l'immobilier. Bref, la relance par la consommation, cette vieille comptine socialiste n'a jamais marchée. C'est vraiment le penchant des collectivistes qui ne comprennent rien à l'économie que de vouloir influer sur les comportements individuels, bref faire consommer. L'agent économique est rationnel : s'il sent que la croissance est factice, par des effets qui ne trompent personne, il épargnera. Pire, l'épargne dans ces cas n'est même pas de l'investissement. Elle va se diriger vers l'immobilier... etc Elle va rarement nourrir les investissements d'entreprise et/ou ne va pas se diriger vers du financement de nouvelles compétences, de recherche etc bref rien qui ne dynamise l'économie. Le pire étant que cette épargne fausse toute politique de relance de consommation et qu'on ne cherche pas à dynamiser cette épargne au motif que ça serait trop capitaliste. Si on cherchait à dynamiser l'épargne (qui je le rappelle, au vu de la situation économique française se fera obligatoirement), en ouvrant le financement des universités, en incitant à l'investissement (faire sauter les barrages à la Bourse etc) ou en incitant à investir dans des PME, dans des musées etc à la limite ça se tiendrait. Or, on ne le fait que pour les assoc, les partis politiques etc bref des trucs qui créent énormément de richesses... Ex : un candidat propose de garder l'ISF (qui prend en compte l'immobilier donc des fruits de l'épargne du réticent ou du sceptique) mais pour exonération, il faudra obligatoirement investir dans des PME dynamiques type gazelle (et non des boîtes du CAC40) : le fruit de l'épargne craintive deviendra investissement et cet investissement servira les moteurs de la croissance. Voilà comment l'on piège les revenus de l'épargne craintive (l'immobilier essentiellement ou des porte-feuilles d'action avec Renault, EADS et Total). En outre, au vu du nouveau profil de l'économie, c'est par l'activité et notamment la recherche que la croissance se fera. Les chinois, les indiens etc ne dilapident pas bêtement leurs revenus de croissance à leurs peuples respectifs pour que ceux-ci s'achètent des Ipod, des Mercedes ou autres trucs bidons qui ne créent aucune richesse et font chuter la balance commerciale, ils investissent au contraire dans les futurs générateurs de croissance : recherche, compétitivité etc Un concessionnaire Mercedes ou un vendeur de Ipod à la Fnac, ça ne fera pas de nous un pays riche.

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  • 2 weeks later...

Le Wall Street Journal a publié son classement annuel des pays "les plus libres économiquement" de la planète, lisez "où il faut investir." La notation est attribuée selon une dizaine de critères, dont les taux de prélèvement, la flexibilité du travail... http://www.heritage.org/research/features/index/countries.cfm En 1er, Hong Kong (?), France 45e position...

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Oui, P4, 1200 euros net en UK, 1273 aux PB, de grandes différences.

En outre, PIB/hab, est on ne peut plus révélateur. La France perd du terrain.

P4, si tu es capable de me démontrer par A+B en quoi le fait que la Fr compte de plus en plus de smicards est une bonne nouvelle, je te saluerai.

Mais comme tu fais dans la malhonnêteté intelectuelle (prendre une donnée d'une étude pour condamner le tout) :

Le SMIC, en France ne s'applique pas non plus à tout le monde :

quid des stages?

des apprentissages?

Des mineurs ayant moins de six mois d'experience?

Des handicapés?

Des C d'orientation?

Les salaires agricoles ont d'autres référentiels.

Grâce aux 35, on avait aussi différents smics selon les branches.

Les différences entre les pays cités (UK, PB) sont insignifiantes.

Bref, faux argument.

La smicardisation de la société fr est un fait :

Oui enfin le RU n'est vraiment pas la reference des modèles economiques et sociale. car en GRande bretagne

- Combien de chomeurs passé en maladie pour eviter de les comptabiliser ?

- Combien de travail a temp partiel avec des salaire 2 fois inferieur au salaire minimum ?

- Combien de personnes dans la précarité ?

Je crois surtout le problème c'est de pouvoir disposer d'une vision claire de la situation. Chacun essayant de manipuler les chiffres pour arriver a ses fins.

D'ailleur l'etude du wall street journal est une bonne illustration, des éléments interessants mais largement insuffisant pour se faire une vision d'ensemble. Quand je vois que l'Espagne ou le Portugal sont devant la France pour aller investir j'ai quelques doutes sur une si grande avance...

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Le probléme réel n'est pas de savoir qui a le plus de smicards - mais de reconnaitre que nous assistons actuellement àune paupérisation de la population. Les journalistes s'étonnant qu'il y - est encore plus de 5% de la population gagnant plus de 4000€ par mois - ce qui est encore heureux (même si les chiffres me paraissent peu réalistes). Au lieu de vouloir tirer tout le monde vers le haut - on se glorifie actuellement d'avoir 80% de la population au smic. Il ne faudra pas s'étonner des votes aux prochaines élections - ceux qui préconisent une hausse et la création de nouveaux impôts risquent de devoir payer leurs campagnes faute d'avoir obtenue les 5% requis.

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Relisez la phrase de Friedman que je cite en page d'accueil:

"Si les ménages sous-estiment le taux d'inflation effectif, ils seront enclins à offrir plus de travail, puisqu'ils surestiment le salaire réel proposé, ce qui les conduit à accepter des propositions d'emplois qu'ils refuseraient si leurs prévisions étaient correctes ".

Ne sonne t'elle pas un peu plus claire maintenant que vous possédez quelques clés de lecture et de compréhension supplémentaires?

le texte ci-dessus est la conclusion de cet article .

le programme de NS en matière économique , trois phrases a mettre en rapport avec l'article .

et propose que l'on puisse déduire 100% des intérêts d'emprunt contracté pour l'acquisition de son logement de son impôt sur le revenu.

quelle conséquence sur la spéculation immobilière ?

Je veux aussi le crédit revolving, c'est-à-dire donner la possibilité d'emprunter de nouveau à mesure que l'on rembourse ses emprunts.

Une société qui emprunte est une société qui croit en l'avenir.

l'état doit réduire sa dette , pas les citoyens [20]
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D'apres les propos du ministre de l'economie M Breton l'objectif que doit avoir la France en croissance est de 3-3,5% pour revenir dans les économie du haut de classement! Ce qui semble etre donc un taux réalisable (sous conditions de réformes) pour la france!

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Avec plus d'investissements des entreprises, c'est possible. Le figaro a eu comme mascote les "gazelles", société industriel débutant avec un capital de plsuieurs dizaines de millions de budget, avec un outil adapté, et financé par les impots des classes aisés (exemple, au lieu de bêtement payer un ISF, nos heureux millionnaires auraient une part dans une société sans qu'on leur demande leur avis)

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  • 2 weeks later...

Dans le cas d'une croissanse tres forte retrouvee pensez vous que nous rejoignons les pays de tete en matiere economique (chine etc...) c'est à dire chomage redevenu bas equilibre budgetaire, investissement, recherche...? Existe t il des scenarios etablis par de etudes en fonction de la croissance (comme on le fait pour la démographie)?

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Puisé sur la tribune.fr

L'économie française décroche par rapport à ses voisins européens

La croissance a atteint 2% seulement en France en 2006 contre 2,7% en Allemagne et pour l'ensemble de la zone euro. L'économie française, qui fut un temps la locomotive de la zone euro, est désormais reléguée au rang de simple wagon. Il n'y a que le Portugal qui fasse moins bien que la France, également lanterne rouge de la croissance au sein du G7 avec l'Italie.

L'économie française décroche. En 2006, la France a cru moins vite que la zone euro pour la deuxième année consécutive. La croissance française a atteint 2% seulement en 2006 contre 2,7% pour l'ensemble de la zone euro. L'écart ne fait donc que se creuser puisqu'il est passé de 0,3 point en 2005 à 0,6 point en 2006. "Qu'il est loin le temps où la France était la locomotive économique de la zone euro", souligne Marc Touati, de l'association pour la connaissance et le dynamisme économique (ACDE).

La croissance française figure à la onzième place de la zone euro à douze (juste devant le Portugal) et, bien sûr, à la douzième place si l'on inclut la Slovénie. La pluie de chiffres tombée aujourd'hui témoigne d'un véritable redémarrage de la croissance en Europe l'an dernier. En 2006, la croissance a atteint 3,8% en Espagne, 3,2% en Autriche, 2,9% aux Pays-Bas, 2,7% au Royaume-Uni, 2,7% en Allemagne et 2% en Italie. Mais la France est restée à la traîne.

Pour la première fois depuis 1994, la France réalise une croissance très nettement inférieure à celle de son principal partenaire commercial, l'Allemagne. "La France commence à décrocher et rien ne permet de dire que 2007 inversera la tendance, estime Marc Touati. En effet, si déjà dans un contexte de croissance mondiale et européenne soutenues, celle de l'Hexagone ne parvient pas à dépasser les 2%, il est à craindre qu'elle n'y arrivera pas en 2007 alors que les croissances mondiale et européenne ralentiront. Et ce d'autant que l'attentisme préélectoral et la vigueur excessive de l'euro n'arrangeront pas les choses". La croissance serait en effet comprise entre 2% et 2,3% en 2007, selon le président de l'Eurogroupe et premier ministre Luxembourgeois Jean-Claude Juncker.

"En dépit d'une croissance longtemps timide, l'Europe a bénéficié de créations d'emploi soutenues au cours de ces dernières années avec une baisse de près d'un point du taux de chômage structurel, souligne toutefois l'OCDE dans son rapport annuel "Objectif Croissance". L'OCDE met toutefois en garde ses pays membres contre la "tentation du relâchement", craignant que l'embellie économique ne les dissuade de mener les réformes structurelles qu'elle juge indispensables, notamment dans le domaine du marché du travail, "afin de retrouver le plein emploi".

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On dit que la France à la "meilleure sécurité sociale du monde, si vous voulez vérifier, voici sur le site de la sécurité sociale américaine un descriptif de toutes les systémes d'Europe : http://www.ssa.gov/policy/docs/progdesc/ssptw/2006-2007/europe/index.html En bas de page, vous avez des liens sur les dossiers des autres continents.

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la France manque de PME, ces petits entreprises qui font la force de nos voisins surtout allemand .

La France en manque mais surtout elles sont inexistantes sur le plan international. Non seulement en Allemagne ils en ont plus mais en plus elles exportent et sont compétitives à l'étranger. Sachant que les acquisitions de PME françaises sont une spécialité des fonds US, on les perd dès qu'elles émergent. C'est un réel risque, le nombre de patrons de PME approchant de la retraite est effrayant.
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question de néophyte en économie (pardons par avance envers ceux qui la trouverons "bête") mais en quoi une balance commerciale "globalement" deficitaire est elle un reel prejudice pour un état .... Après tout cette donnée n'indique en rien le volume global des ventes donc la santé des entreprises, il s'agit comme son nom l'indique d'une balance Donc si la France est deficitaire parceque elle achete trop de Tshirts chinois (je carricature) est ce que ca veut reellement dire que ses propres entreprises phares et de pointes sont moins compétitives (Airbus, EDF, GDF, groupe PSA) et ne rapportent rien ...jouer sur la balance me parait un peu simpliste merci a qui pourra eclairer ma lanterne

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Sur les marchés européens, c'est l'actualité microéconomique qui a fait bouger les cours. A Paris, la saison des résultats continue de battre son plein, et les investisseurs n'ont pas été déçus.

Après avoir battu un record mercredi, à 5 725,84 points - au plus haut depuis février 2001 -, l'indice CAC 40 a terminé à 5 713,59 points vendredi (+ 0,37 % sur la semaine).

Total, en plein procès Erika, a annoncé un bénéfice net record de 12,58 milliards d'euros, le plus gros jamais enregistré par une entreprise française.

Si l'énormité de la somme a relancé la polémique sur les profits des compagnies pétrolières, elle n'a pas semblé émouvoir les investisseurs qui s'y attendaient : l'action n'a gagné que 1,14 % sur la semaine. Michelin, en annonçant une hausse sensible de sa rentabilité en 2007, a fait beaucoup mieux en bondissant de 16,17 % sur la semaine !

Les investisseurs ont en revanche boudé les superprofits de la Société générale et de BNP Paribas (respectivement 7,3 milliards et 5,2 milliards d'euros), en raison d'une baisse des marges jugée préoccupante dans l'activité de banque de détail en France.

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